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islamisme - Page 297

  • Le Bataclan un an après la tuerie : une honteuse manifestation de soumission à l'islam

    Un communiqué du MNR

    913647494.5.jpgLe 12 novembre 2016 avait lieu un concert de réouverture au Bataclan, à Paris, en souvenir de la tuerie du 13 novembre 2015. Sur scène le chanteur britannique Sting, qui chante une chanson pro-migrants, avec pour refrain inch'Allah : comment les auditeurs présents ont-ils pu accepter cela ?

    On mesure là la puissance du matraquage médiatique sur le "pas d'amalgame"...

    Il faut que tous comprennent que le but de l'islam (et pas seulement des islamistes) est la conquête du monde, avec pour conséquence le renversement de notre civilisation.

    Avec tous les patriotes, luttons sans relâche contre l'islamisation de notre pays.

  • Toujours plus de terroristes parmi les migrants

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    Selon l’édition de dimanche du quotidien allemand Die Welt, le renseignement allemand (BND) a rendu un rapport confidentiel confirmant que l’Etat islamique entraîne ses terroristes à se fondre dans la masse des demandeurs d’asile et à répondre aux questions des autorités de manière à ne pas éveiller les soupçons. 

    Le média public pro-immigration Deutsche Welle (DW) semble lui-même reconnaître ses erreurs et cite une experte en terrorisme islamique, Susanne Schröter qui affirme : « On le savait depuis le début. […] L’EI avait annoncé qu’il enverrait des combattants en Europe par la route que prenaient les réfugiés. A ce moment-là, les politiciens niaient cette éventualité. […] Nos leaders pensaient que si nous admettions qu’il pouvait y avoir des terroristes parmi les réfugiés, cela ferait le jeu des populistes de droite et aggraverait les sentiments anti-migrants. Ils ont donc choisi de bagatelliser, ce qui n’était pas la bonne solution. »

    Mais pour ne pas reconnaître s’être trompé sur toute la ligne en harmonie avec le gouvernement allemand, DW cherche à s’en sortir en expliquant à ses lecteurs que la masse des « réfugiés » musulmans accueillis, c’est autant de gens dont la radicalisation sera rendue plus difficile que s’ils étaient restés au Moyen-Orient ! Ceci ne l’empêche pas d’avouer, pour justifier l’intensification du contrôle des communications des simples citoyens par les services allemands, que « la sécurité de l’Allemagne et de ses citoyens ne va plus de soi ». Car ce qui inquiète le BND, outre la présence de djihadistes venus spécialement avec les « migrants » en profitant de l’ouverture des frontières à l’automne 2015, c’est le recrutement de nouveaux djihadistes dans ces mêmes milieux par les musulmans radicaux déjà présents en Allemagne.

    C’est ainsi que la police allemande a conduit mardi 200 perquisitions dans tout le pays, pour fouiller les bureaux de l’organisation salafiste « Vraie religion » qui se spécialise dans la distribution gratuite d’exemplaires du Coran et, accessoirement, dans le recrutement de partisans de l’Etat islamique sur le territoire allemand. Le ministère de l’Intérieur a donc annoncé l’interdiction de cette organisation en expliquant que sa traduction du Coran servait à « diffuser des messages de haine et des idéologies contraires à la constitution ».

    Mais si c’était un simple problème de traduction du Coran, le BND ne serait pas aussi inquiet de ces centaines de milliers de demandeurs d’asile musulmans arrivés l’année dernière.

    Olivier Bault

    Article et dessins paru dans Présent daté du 17 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Déradicalisation : le fiasco

    Le gouvernement n’y arrive pas. Face aux islamistes dangereux qui s’accumulent dans nos prisons et dans les centres de déradicalisation, il est complètement dépassé. Il va laisser en mai 2017 à l’équipe gouvernementale qui lui succédera, une armée de bêtes fauves qu’il n’aura eu de cesse de faire entrer chez nous par sa politique migratoire et devant laquelle il s’avoue complètement démuni.

    Après la fermeture des cinq unités carcérales dédiées à la déradicalisation (l’expérimentation s’est terminée par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, vitrine du programme gouvernemental), le ministre de la Justice, en visite à Strasbourg dans un service territorial éducatif en milieu ouvert (Stemo), a avoué son impuissance face aux « radicalisés » : « Nous sommes très tâtonnants. Nous sommes encore loin d’avoir identifié les solutions. »

    Commence déjà par identifier le mal et ça ira mieux !

    « A l’issue d’un bref échange avec des jeunes suivis pour radicalisation » (on imagine la teneur de l’échange et on comprend qu’il ait été bref), Jean-Jacques Urvoas a salué la démarche « avant-gardiste » de la structure strasbourgeoise où agents de la protection de la Jeunesse, de l’Education nationale, éducateurs, pédopsychiatres, acteurs associatifs travaillent « en lien » dans la prise en charge. Exactement ce qui s’est soldé par un énorme flop en prison. La déradicalisation à grand renfort de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs, ne marche pas. Le gouvernement a dû fermer en panique ses unités de déradicalisation où se multipliaient tentatives d’agressions, de prises d’otage, projets de mutinerie mais également plusieurs cas de radicalisation de surveillants !

    Le même Jean-Jacques Urvoas disait il y a un mois redouter « l’effet de masse » de l’islamisation radicale : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine. » En octobre, 15 000 personnes étaient recensées en France comme « radicalisées » par le ministère de l’Intérieur. Mais au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes, tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on préfère les garder au chaud chez nous en sachant parfaitement qu’un jour prochain ils tueront des innocents. On viendra alors en cortège allumer des bougies en forme de cœur place de la Bastille. 

    Le gouvernement n’a pas de solution ? Demandons au peuple !

    Article paru dans Présent daté du 16 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/201748/deradicalisation-le-fiasco/

  • Les 9 terroristes de Paris étaient arrivés en tant que "réfugiés"

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    Tous les neuf auteurs de l’attaque de Paris, il y a un an, étaient arrivés camouflés en tant que réfugiés en Europe. Ce n’est pas un hasard : d’après les services secrets, des combattants de l’État islamique préparent spécifiquement des candidats aux procédures d’asile. (Der Spiegel)

    Alors, les migrants sont toujours « welcome » ?

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • EXCLU – Les droits des taulards immigrés ou musulmans, ça c’est important !

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    Hier 14 novembre, le Défenseur des droits a mis en ligne une plaquette qui explique aux taulards immigrés ou musulmans qu’ils peuvent faire appel à lui pour défendre leurs droits durant leur détention !Au lendemain du premier anniversaire des attentats islamistes du 13 novembre, voilà une démarche tout à fait opportune !

    Dans cette plaquette, que nous publions ci-dessous en intégralité, il est en effet stipulé que tout un chacun, parmi les prisonniers, peut faire appel au Défenseur des droits s’il estime, par exemple, être « victime de discrimination » en raison de son « origine » comme de sa « religion » ou, tout simplement, s’il n’a pas de nouvelles de sa demande… « de renouvellement de sa carte de séjour » !

    Un formulaire est même fourni, sur lequel le détenu n’a qu’à inscrire le motif de sa demande et son adresse… carcérale, afin de pouvoir recevoir la visite d’un délégué du Défenseur des Droits

    Pas étonnant, après tout, quand on sait que le Défenseur des droits, nommé par François Hollande, n’est autre que Jacques Toubon, qui présidait avant cela la Cité nationale d’histoire de l’immigration, après avoir été ministre de la Culture et garde des Sceaux… de Jacques Chirac.

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    http://fr.novopress.info/

  • Quand Sting invoque Allah au Bataclan ... Attentat à la décence ?

    Qui a bien raison de poser la question en titre et y apporte la réponse qui s'impose [Causeur, 14.11].

    Il y a une semaine s’éteignait Leonard Cohen, dont la chanson Hallelujah résonne en chacun de nous comme un cantique éternel. « J’ai entendu qu’il y avait un accord secret / Que David a joué, et il a plu au Seigneur / Mais tu ne t’intéresses pas vraiment à la musique, n’est-ce pas? (…) Ta foi était forte mais tu avais besoin de preuves / Tu l’as vue se baigner sur le toit / Sa beauté et le clair de lune t’ont renversé » … Par ces paroles mystérieuses, à la fois bibliques et profanes, s’ouvre un des plus beaux morceaux jamais composés, mêlant à des arpèges d’une beauté saisissante ce refrain sacré, Hallelujah - Dieu soit loué ! - qui se répète inlassablement, s’élève et s’abaisse, espère et renonce, s’exalte et se brise.

    Samedi soir, au Bataclan, dans un concert censé honorer les victimes du 13 novembre, le chanteur britannique Sting a choisi de célébrer un autre Dieu. Accompagné du trompettiste Ibrahim Maalouf, il a ainsi interprété Inchallah, un des titres de son dernier album qui rend hommage aux réfugiés perdus en mer Méditerranée. « La chanson raconte l’histoire d’une famille partie sur un petit bateau. Je n’ai malheureusement pas de solution politique pour la crise des migrants mais, s’il y en a une, je pense qu’on peut la trouver en faisant preuve d’empathie. En s’imaginant sur ce bateau avec vos enfants et ceux que vous aimez » a-t-il expliqué sur scène.

    Homo Festivus ne pouvait imaginer plus belle réouverture ni plus belle rédemption pour la salle de spectacle la plus tristement célèbre de la planète : un artiste engagé chantant l’Islam et l’amour. Dans un narcissisme qui confine au délire, faisant fi de la souffrance infinie de centaines de familles, Sting allait absoudre et sauver l’Humanité de la haine des victimes à l’endroit de leurs bourreaux, des peurs occidentales à l’égard des migrations orientales, des phobies archaïques vis-à-vis des lumières de la diversité.

    Sting a tenu à préciser au public qu’inchallah était « un très beau mot », comme pour appuyer un peu plus sa pédagogie lumineuse dans l’arène même où Allah était invoqué pour l’assassinat de 130 personnes, il y a un an.

    Souhaitant probablement faire définitivement taire les allahou akbar des terroristes, cet Inchallah très maladroit les a bien au contraire fait résonner.

    Il y a des choses que la pudeur commande de ne pas faire. Mais cette pudeur gagne rarement les hommes de spectacle que l’hubris finit toujours par métamorphoser en prêtres. La grande messe des émotions faciles et des absolutions immédiates a tellement corrompu la société du spectacle que tout artiste qui se respecte se croit sommé par la Providence de remettre les hommes de leur péchés, de leurs angoisses, de leurs préjugés, de leurs peurs.
    Samedi soir, Sting n’a pas pris la mesure de l’événement auquel il était convié. Il aurait probablement pu se contenter de jouer ses titres classiques. Et pourquoi pas rendre un double hommage en interprétant ce merveilleux Hallelujah, bien plus consensuel, bien moins violent, bien moins violemment prescriptif.

    Mais la promotion de son nouvel album et la propre célébration de son âme ne pouvaient se contenter d’une simple dédicace aux disparus du Bataclan.   

    Thomas Clavel

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Capituler devant la mort

    Entretien avec Jesse Hughes, chanteur du groupe Eagles of Death Metal par Gavin Mcinnes. Ce que nous dit Jesse Hughes, dans son témoignage, mérite qu’on lise, et plutôt deux fois qu’une, tant ses propos viennent battre en brèche le ronronnement des media maintream sur ce qui s’est vraiment passé au Bataclan, dont Jesse Hughes est l’un des survivants.

    Takimag. C’est difficile de parler des attaques sans donner l’impression de blâmer les victimes, mais c’est impossible de nier que la peur de l’islamophobie et la peur des armes ont mené à de nombreuses morts ce soir là.

    Jesse Hughes. J’ai vu la peur tomber comme une couverture sur toute la foule et ils sont tombés comme du blé dans le vent, la façon dont vous le feriez devant un dieu. J’étais totalement conscient dès le tout début. La première chose dont j’avais besoin était de trouver ma compagne. La peur a pris un siège arrière et « où est ma compagne ? » est passé devant. Je pouvais sentir la poudre dans les coulisses et j’ai compris que quelqu’un avait tiré là. J’ai vu un type avec un fusil automatique et quand il s’est retourné vers mois, ses yeux ressemblaient à des billes. Il était totalement défoncé et nous savons maintenant qu’ils étaient sous Xanax et cocaïne. Je l’ai reconnu. Je l’avais vu plus tôt dans la journée et l’avais remarqué en train de nous regarder.

    Takimag. Ils étaient dans la salle très tôt. Ce qui veut dire que des membres du personnel étaient avec eux.

    Jesse Hughes. J’ai eu beaucoup de problèmes pour avoir dit ça. Je sais de façon certaine qu’ils étaient là tôt. Je me rappelle d’eux regardant mon pote. J’ai mis ça sur le compte de la jalousie arabe. Vous voyez ce que je veux dire ? Quand un musulman voit un Américain sûr de lui avec des tatouages, ils le regardent. J’ai réalisé après que c’était Abdeslam et qu’il regardait mon collègue parce qu’ils pensaient qu’il était un danger. Il est incontestable que les terroristes étaient déjà à l’intérieur et qu’ils devaient y être entrés d’une façon ou d’une autre. Pendant la fusillade je suis allé dehors et la porte des coulisses était grande ouverte. Comment cela a pu arriver ?

    Takimag. Pensez-vous que le politiquement correct est en train de tuer nos instincts naturels et nous rend vulnérables ?

    Jesse Hughes. Absolument. Il y avait deux filles qui étaient impliquées. Elles étaient dans la salle et se sont évanouies avant la fusillade et ses femmes étaient en tenue musulmane traditionnelle. Elles savaient que les gens ne les fouilleraient pas à cause de la façon dont elles étaient habillées. Elles ont été arrêtées quelques jours plus tard.

    Takimag. La peur d’offenser les musulmans est l’arme la plus grande des terroristes.

    Jesse Hughes. Regardez les gars qui ont attaqué Bruxelles. Ils portaient des gants noirs à une seule main. Leurs bagages étaient trop lourds pour être soulevés, mais ils ne voulaient que personne ne les aident avec. Personne n’a remarqué ça avant que les bombes n’explosent.

    Takimag. Nous devrions mourir plutôt que d’être traités de bigots.

    Jesse Hughes. Comment la religion peut être associée au racisme ? Prenez juste le mot islam et remplacez-le par communisme. C’est une idéologie. La façon dont les époux Rosenberg auraient pu vendre des secrets nucléaires depuis l’intérieur de l’Amérique est la même manière dont les terroristes musulmans peuvent nous attaquer de l’intérieur. C’est légitime de discerner quand cela vient des musulmans aujourd’hui et à cette époque.

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  • Conseil d’Etat laïc ou Conseil d’Etat islamique ?

    Lorsque le Conseil d’Etat a annulé, le 26 août dernier, un arrêté municipal interdisant le port du burkini, nous avions rappelé que le principe de laïcité n’était pas le bon instrument pour protéger l’identité française et européenne de l’islamisation (*). La décision du Conseil d’Etat du 9 novembre 2016 sur les crèches le confirme.

    Alors que le juge administratif suprême a privilégié une interprétation libérale de l’ordre public quand il a statué sur les burkinis, il a au contraire retenu une interprétation extensive et rigoriste du principe de laïcité quand il s’est agi de se prononcer sur l’installation de crèches de Noël dans les bâtiments publics.

    Cette décision n’est pas anodine. D’abord par son contenu. Sa rédaction est, certes, alambiquée voire ambiguë mais les conséquences que le Conseil d’Etat a tirées de ses considérants de principe en déclarant illégale la crèche installée dans l’enceinte de l’hôtel de ville de Melun rendent les choses claires – même s’il n’a pas osé régler au fond le litige sur la crèche installée par Philippe de Villiers dans l’hôtel départemental de Vendée. En substance, le Conseil d’Etat estime que la loi de 1905 et le principe de laïcité s’opposent à l’installation de crèches dans les bâtiments publics sièges de services publics, telle une mairie, « sauf si des circonstances particulières montrent que cette installation présente un caractère culturel, artistique ou festif ». En pratique, au-delà du concours de crèches ou du jour de l’arbre de Noël des enfants du personnel, les crèches semblent bel et bien interdites dans les mairies, même si ce sera aux juges du fond d’apprécier les circonstances particulières à chaque espèce.

    Ce n’est que dans les autres emplacements publics, notamment sur la voie publique, que les juges suprêmes consentent à plus de libéralisme : l’installation d’une crèche y est possible, à la condition qu’elle s’inscrive dans le « caractère festif des installations liées aux fêtes de fin d’année » et sous réserve qu’elle ne constitue pas « un acte de prosélytisme ou de revendication d’une opinion religieuse ».

    Non seulement cette décision est sévère mais elle est quasiment sortie du chapeau. En effet, l’article 28 de la loi de 1905 qui interdit la pose d’emblèmes religieux sur les emplacements publics ne fait aucune différence entre bâtiments publics sièges de services publics et autres emplacements publics, comme le fait pourtant en pratique le Conseil d’Etat ! Voilà une nouvelle manifestation du gouvernement des juges, qui inventent des règles non prévues par le législateur.

    Cette décision est ensuite d’autant plus marquante qu’elle a été mûrement réfléchie par les membres de l’assemblée du contentieux, cette formation de jugement de 17 membres, qui comporte toutes les « huiles » du Palais-Royal. Ce n’est donc pas par hasard que cette solution est tombée. Le rapporteur public avait prôné une approche « pacificatrice » de la laïcité, en admettant les crèches dans les bâtiments publics au motif qu’elles sont un objet mixte, religieux et culturel, à la condition qu’elles ne manifestent pas une revendication religieuse. Une interprétation qui était tout à fait défendable juridiquement et qui aurait évité au juge de s’immiscer dans les choix des maires ou des directeurs d’hôpitaux quant aux décors accompagnant les festivités de Noël.

    Mais les prétendus sages de la Haute Assemblée ont préféré retenir une interprétation stricte et prétorienne de la loi de 1905, au nom de leur vision des valeurs de la République, lesquelles s’opposent en l’occurrence aux traditions de la France. A en croire Le Figaro, cette décision n’a pas été évidente à prendre. Le premier délibéré n’aurait pas abouti à un accord. Le président de la formation de jugement semble avoir laissé le temps du débat mais ce temps n’a manifestement pas été mis à profit pour faire prévaloir la rectitude juridique et la mesure sur les passions laïcardes.

    Dans sa récente lettre ouverte au vice-président du Conseil d’Etat, Philippe de Villiers l’avait mis en garde contre les effets dévastateurs de cette décision qu’il redoutait sur l’image et la légitimité même de l’institution. « Les conseillers d’Etat ont dit oui au burkini. S’ils disent non aux crèches, le Conseil d’Etat changera de nature dans le cœur des Français. Il ne sera plus le Conseil d’Etat de la France qui nous protège mais le Conseil d’Etat islamique », déclarait-il au Figaro le 31 octobre dernier.

    Hélas, la messe – laïque – est dite ! Certes, on peut encore espérer que cette jurisprudence sur les crèches puisse aussi servir à faire interdire les événements islamiques ou islamophiles des autorités publiques – telle l’organisation d’une rupture du jeûne du Ramadan en mairie. Mais c’est une bien maigre consolation face à l’agression contre notre identité que constitue la décision des juges, alors qu’il nous faudrait une préférence de civilisation pour répondre à l’islamisation de notre pays.

    Mettre sur le même plan les traditions musulmanes – qui sont étrangères et même hostiles à la France – et les traditions françaises d’origine chrétienne revient à nier l’identité culturelle de la France. La fête de Noël, qui est au demeurant d’origine païenne, s’est sécularisée et est aujourd’hui un élément de notre culture nationale : le 25 décembre est bien un jour férié ! A ce titre, interdire aux maires de célébrer cette fête dans l’ensemble de ses composantes religieuse, spirituelle, culturelle et festive, c’est priver les Français de leurs racines et de leur histoire millénaire. C’est nous forcer à oublier ce que nous sommes, pour mieux nous faire accepter la colonisation humaine et religieuse dont la France est l’objet.

    Non, les décisions des juges qui, sous prétexte de laïcité, étouffent l’expression de notre identité nationale et civilisationnelle ne sont pas légitimes !

    Carl Hubert, 9/11/2016

    (*) Voir : Décision du Conseil d’Etat sur le burkini : la laïcité ne suffit pas pour protéger l’identité française de l’islamisation

    http://www.polemia.com/conseil-detat-laic-ou-conseil-detat-islamique/

  • Du rififi entre professionnels de l’antiracisme

    Alain Jakubowicz

    La LICRA utilise le même procédé en accusant d’antisémitisme ceux qui se battent contre une doctrine politique, le sionisme

    C’est la guerre ouverte entre la LICRA et les associations musulmanes spécialistes de la pleurniche contre « l’islamophobie ». Le frénétique président de la Licra, Alain Jakubowicz, a profité du colloque « Faux amis de la laïcité et idiots utiles » organisé dans l’enceinte de l’Assemblée nationale pour tancer l’Observatoire national contre l’islamophobie(rattaché au CFCM).

    Jakubowicz, veut « reprendre le combat contre cette imposture qu’est le concept d’islamophobie ». A ses yeux, « le concept d’islamophobie est un détournement de la lutte contre le racisme antimusulman qui n’a rien à voir avec l’antiracisme ».

    Le président de l’Observatoire national contre l’islamophobie Abdallah Zekri n’a pas tardé a réagir :
    « Alain Jakubowicz n’est désormais plus crédible pour parler du racisme, car il fait une distinction entre les formes de discrimination. Il se permet de nier le phénomène réel et combien (il est) inquiétant. Le président de la LICRA a-t-il oublié que son rôle est de réunir le plus grand nombre de citoyens contre tous les racismes et non de cliver l’opinion et de diviser les différentes communautés culturelles ? »

    Loin du problème sémantique, des mauvaises langues disent que Jakubowicz est jaloux du succès de l’Observatoire contre l’islamophobie qui compte actuellement plus de 12 000 adhérents.

    http://www.contre-info.com/

  • Daniel Conversano - Scandale au Bataclan - Le chanteur Sting, incarnation du mal absolu