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islamisme - Page 297

  • Qui veut la peau de Riposte laïque ?

    Par Frédéric Pichon, avocat à la cour. Source : Polémia — Il n’est pas de mon habitude de jouer aux pleureuses. Avocat au Barreau de Paris depuis plus de 18 ans, je crois connaître la justice pour savoir que cette institution dont on est en droit d’attendre par définition qu’elle tende autant que possible vers la vérité et l’équité est, à l’image de la nature humaine, imparfaite et faillible. L’exigence d’une justice sans faille, tout comme celle d’une société parfaite sans injustice sont des exigences vers lesquelles l’on doit tendre en sachant aussi que qui fait l’ange fait la bête. Les vertueux qui ont cru prétendre à l’incorruptibilité ont souvent accouché de la Terreur. Et enfin, il est toujours bon de rappeler à nos clients que, non, la Justice n’est pas un moule uniforme où tout serait joué d’avance et qu’il existe parmi les magistrats des hommes courageux et consciencieux comme des négligents, des intempérants et des corrompus.

    Ces précautions d’usage étant rappelées, c’est aussi mon devoir d’avocat, puisque, dans certaines circonstances, ni la rédaction de conclusions pourtant étayées par le droit et des règles établies par notre jurisprudence, ni la conviction de la plaidoirie ne suffisent à incliner les juges, non pas à rendre un jugement de faveur, mais tout simplement à appliquer la loi comme à n’importe quel citoyen.

    Il apparaît cependant évident qu’en matière de procès politique, la donne soit différente.

    Et lorsque l’exercice habituel de la profession ne suffit plus à assurer la défense, c’est la plume qui doit prendre la relève en dehors des prétoires et des salles d’audience et ce conformément à la jurisprudence de la Cour européenne.

    J’ai l’honneur d’être l’avocat de l’association Riposte laïque et de son courageux fondateur Pierre Cassen.

    Je déplore depuis plusieurs mois un incroyable acharnement judiciaire et policier contre mes clients en dépit des règles de droit et de jurisprudence que l’on reconnaît à d’autres.

    Ainsi, il y a quelques jours, mon client a dû faire face à pas moins de quatre convocations en police et en justice. Et si la plupart de ces plaintes n’aboutiront pas, celles-ci n’étant pas fondées en droit, celles-là étant prescrites, elles obligent néanmoins mon client à se déplacer, à répondre à des interrogatoires, exercice toujours désagréable pour un honnête homme suspecté d’avoir publié des articles de fond et des caricatures.

    Ces procédures innombrables ont un coût et elles ont aussi un but : asphyxier financièrement mes clients pour les dissuader de poursuivre leurs actions.

    La raison de fond de cet acharnement ? La dénonciation sans concession par mes clients de l’islam. Non pas seulement de l’islam radical mais de l’islam en tant que système politique englobant d’essence totalitaire qui a vocation à régenter tous les pores de la société et ce en contradiction avec nos règles et nos traditions les plus ancrées.

    Autrement dit, on reproche à mon client d’être un donneur d’alerte, de pointer les causes du mal et pas simplement d’en déplorer les causes en allumant une bougie ou en mettant la faute sur « les religions » en général.
    On lui reproche de mettre de l’huile sur le feu dans le bloubiboulga de la sacro-sainte religion du vivrensemblisme où tous les hérétiques méritent le bûcher judiciaire.

    En 2012, lorsque l’Association décida d’expatrier l’exploitation du site en Suisse, pays connu pour sa neutralité, déplaçant de facto la responsabilité légale du directeur de publication, la police et la Section AC4 du parquet de Paris, véritable instrument politico-judiciaire pour traquer les opposants au dogme remplaciste et libre-échangiste, s’ingénièrent à prétendre que cette expatriation n’était qu’un moyen pour échapper à la justice.

    Mais le plus incroyable étant que, ne s’encombrant pas de contradictions, cette même justice n’hésite pas dans le même temps et quand ça l’arrange à condamner le directeur de publication domicilié en Suisse au nom d’une compétence universelle que s’octroient les juridictions françaises pour connaître de tous les délits de presse commis dans le monde et dans le même temps à poursuivre mon client, Monsieur Cassen, domicilié en France, en prétendant qu’il est également directeur de publication.

    Ainsi les juges ne s’embarrassent-ils plus de décisions contradictoires, pas même de leurs propres jugements où ils disent blanc un jour et noir le lendemain dès lors qu’il faut faire taire par tous les moyens le prévenu Cassen jugé pour hérésie à la religion du Vivre-ensemble et du remplacisme organisé.

    On rappellera ici utilement l’incroyable jurisprudence de la XVIIe correctionnelle validant le racisme anti-Blanc revendiqué par Anne Lauvergeon se vantant d’exclure du recrutement des grands mâles blancs et condamnant même l’AGRIF à des dommages intérêts pour procédure abusive.

    Ne nous y trompons pas : on peut légitimement juger excessifs certains propos de mes clients. On peut même être en désaccord. Mais ce qui est en jeu aujourd’hui aussi c’est le germe d’un nouveau totalitarisme d’une nouvelle religion manichéenne tellement persuadée d’incarner le bien qu’elle n’hésite pas à piétiner ses propres règles pour imposer ses desseins.

    Dans un testament visionnaire, Philippe Muray avait prédit le risque d’une judiciarisation croissante dans une société de l’homo festivus où l’on déteste par-dessus tout le citoyen enraciné et refusant le prêt-à-penser du mondialisme destructeur des âmes et des identités.

    La résistance à l’oppression n’est plus une option : c’est un impératif moral. Et avec elle la dénonciation non plus seulement de la légalité mais encore de la légitimité de certains de ses juges et de leur police.

    « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » proclamait Trotsky.

    Pour notre part, ce sera « Vaincre ou Mourir ».

    Frédéric Pichon
    Avocat à la Cour 27/10/2016

  • [Rediffusion] Le Monde, les photos et l’invasion migratoire

    Source : Ojim.fr (article du 07/09/2015)—  La violence morbide de la photo du petit Aylan publiée en couleurs et en pleine une du Monde daté du vendredi 4 septembre n’est pas dans les habitudes du journal du soir habituellement plus pondéré. Dans un article de son édition en ligne du 6 septembre signé Antonin Sabot, Le Monde se justifie et vend la mèche : il fallait influencer l’opinion française jusqu’ici rétive à l’incessant flux migratoire. Décryptage.

    Une image mais pas n’importe laquelle, pas celle d’un enfant palestinien, pas celle d’un décapité de Daesh, non « une image symbolisant la mort de l’Europe nous renvoyant à notre indifférence collective » La mort de l’enfant n’est pas la conséquence des exactions islamistes ni des actions de ceux qui encouragent les passeurs mais celle de notre « indifférence collective ». La démarche culpabilisatrice est un peu grosse mais ça peut marcher, ça va marcher. D’ailleurs qui sont ces morts, le petit Aylan ou les noyés de la Méditerranée, sinon des « victimes de la forteresse Europe ». Vraiment ? L’Europe serait une forteresse ? Il semblerait que l’actualité des derniers mois l’assimile plutôt à une passoire… Et puis cet enfant est devenu un « emblème », une sorte de drapeau compassionnel destiné à sidérer les opinions européennes.

    L’image fut tout d’abord publiée en ligne avec de désagréables réactions de lecteurs dénonçant une « image morbide et racoleuse ». Puis tout s’emballe, la presse quotidienne britannique du Times au Guardian publie la fameuse image. Alors il faut suivre mais pas n’importe comment, trouver l’angle qui permettra de faire basculer les consciences européennes du côté obscur de la faiblesse « Nous avons cherché le meilleur moyen de la présenter, avec un titre qui disait qu’elle serait peut-être la photo qui permettrait la prise de conscience de l’Europe » (c’est nous qui soulignons), écrit la responsable éditoriale Emmanuelle Chevallereau. Se pose alors la question du choix du meilleur angle, plusieurs images de la même scène sont disponibles. Celle où l’on voit le garde-côte turc observant le petit corps est « la plus forte » celle qui « marquera les consciences », vos consciences. La photo fait l’objet d’un éditorial du directeur du journal. « Cette photo, terrible, est en elle-même une prise de position » (c’est nous qui soulignons), ajoute Luc Bronner. Une prise de position en faveur d’un flux migratoire incontrôlé, inexorable, irréfragable et même souhaitable.

    Comme le souligne Slobodan Despot dans l’édition en ligne de Causeur du 7 septembre « Les européens à qui l’on veut faire avaler sans broncher un des mouvements de population les plus colossaux de l’histoire ne sont pas des citoyens qu’on veut convaincre mais des chiens de Pavlov qu’on s’emploie à dresser ». Comme les prises se position du Monde le confirment. CQFD.

    http://fr.novopress.info/

  • Alerte aux « revenants », ces djihadistes qui sont de retour en France !

    Cv08BVOXEAEKuP9.jpg-large-230x350.jpg28/10/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Ils étaient partis faire le jihad, ils sont de retour en France ! Tel est le sujet du livre-événement de David Thomson qui paraît le 1er décembre aux éditions du Seuil, en collaboration avec le site Les Jours, et est intitulé Les Revenants. « Depuis 2012, des centaines de Français sont partis rejoindre des groupes jihadistes. Plus de 500 sont toujours sur place, près de 150 ont déjà été tués, mais 250 ont choisi de rentrer » et, comme l’écrit l’éditeur, tous ont des profils différents :

    « Certains sont revenus dégoûtés de la violence du champ de bataille syrien, voire des attentats qui ont endeuillé la France, et cherchent à se faire oublier, dans une liberté très surveillée. D’autres reviennent gravement blessés ou psychologiquement détruits. D’autres encore sont en prison, où leur regroupement pose de nouveaux problèmes qui semblent aujourd’hui insolubles. Certains, enfin, sont de retour pour continuer le jihad sur notre sol. »

    Journaliste à Radio France Internationale (RFI). David Thomson a couvert « les révolutions arabes » et leurs transitions politiques en tant que correspondant régional en Tunisie et en Libye de 2011 à 2013. Depuis 2011, il s’est spécialisé sur les mouvements jihadistes en Tunisie et en France. « Il a publié Les Français jihadistes aux éditions Les Arènes en mars 2014, ouvrage basé sur des entretiens directs avec les jihadistes eux-mêmes, qui retrace le parcours d’une vingtaine de jeunes Français ayant décidé de partir combattre ou de s’installer en Syrie. Pour cette enquête, Les Revenants, il décide de raconter le retour au pays de Français partis faire le jihad. »

    http://fr.novopress.info/

  • FRANCE COLONISEE : OBJECTIF ATTEINT.

    Fermer les yeux, refuser de voir, suffit-il à écarter le danger ?

    Deux études récentes, commandées et organisées dans le seul but de rassurer les citoyens français, et de donner raison au slogan gouvernemental « Pas d’amalgame », viennent prouver, si cela était nécessaire, le danger présent, et futur, devant lequel se trouve la France.

    Le premier sondage, publié le 18 septembre par l’Institut Montaigne et réalisé par l’IFOP, sous le titre « Un islam français est possible » nous démontre tout le contraire de ce qu’il souhaitait prouver.

    1029 musulmans ont été intérrogés par l’ex conseiller, Hakim el Karoui, de l’ex premier ministre Jean-Pierre Raffarin. L’un des résultats nous apprend que 28% de l’ensemble, en majorité des jeunes, peu qualifiés, vivant dans des quartiers populaires périphériques des grandes agglomérations, voudraient imposer l’islam comme support de la société française. Vivre en marge des lois de la République et proclamer la « charia », la polygamie, le niqab et la burqa.

    L’islam, disent-ils, est le support de leur révolte, et cette révolte va jusqu’à la rupture, la violence et l’antisémitisme.

    Et 50%, de ces 28%, ont moins de 25 ans.

    En résumé, un jeune français musulman sur 2 est un « radicalisé » en puissance, même s’il ne connaît pas sa religion et ne fréquente aucune mosquée.

    Il souhaite une réislamisation de la famille musulmane qu’il fondera demain.

    Le conseiller d’état Thierry Tuot, l’un des magistrats chargé de conclure dans l’affaire estivale du « burkini » affirme (et l’on s’est bien gardé d'en informer les Français) que « L’islamisme est la revendication publique de comportements sociaux présentés comme des exigences divines faisant irruption dans le champ public et politique ».

    L’islamisme donc s’étendra inexorablement.

    Le second sondage, réalisé au printemps 2016 par l’Institut Randstad et l’OFFRE (Observatoire du fait religieux dans les entreprises), révèle que 2 dirigeants sur 3 notent un durcissement du « comportement religieux » dans l’espace de travail, et que, dans 95% des cas, il est d’origine musulmane.

    Les symboles religieux se multiplient et, également dans 95% des cas, ces symboles visibles sont islamiques.

    Le premier fait religieux visible, dans les entreprises, est, bien entendu, le port du hijab au travail.

    Les conflits ont quintuplé depuis 2013 et les poursuites engagées contre l’employeur sont toujours basées sur le « racisme » et la « discrimination ».

    *Refus des hommes de travailler avec, ou sous les ordres, des femmes.

    *Refus de livrer de l’alcool ou des produits d’origine porcine.

    *Refus de travailler avec des non-musulmans.

    Etc.

    En conclusion, l’école publique est dans l’incapacité, aujourd’hui, de transmettre les valeurs républicaines, en particulier aux jeunes musulmans, pour les ¾ enfants d’ouvriers et d’employés résidants en zones pré-urbaines, qui sont les premières victimes de la désindustrialisation.

    La France compte 66,6 millions d’habitants (sondage INSEE du 1er janvier 2016), mais il est impossible de connaître le pourcentage de musulmans, de noirs, de blancs, de juifs, de catholiques, d’arabes, etc. parmi ces 66 millions, et cela devient un handicap de sécurité nationale.

    Quand un groupe religieux et ethnique s’attaque aux fondements même de notre société, il serait indispensable, afin que cette société puisse se défendre, qu’elle dispose de ces informations concernant son adversaire, pour ne pas dire son ennemi.

    En 2016 on ignore officiellement le pourcentage de la population en provenance du Maghreb ou de l’Afrique subsaharienne par exemple.

    L’Institut Montaigne l’estime à environ 5,6% (3 millions), alors qu’Azouz Begag, ancien ministre de l’égalité des chances (2007) l’estime à environ 15 millions (plus de 20%).

    Dans le meilleur des cas (si l’on peut dire) 50% des 28% sur 3 millions font 420.000 « dangers potentiels » pour notre pays, et ce sera difficile de se protéger.

    Dans le pire des cas (on peut le dire) 50% des 28% sur 15 millions font 2.250.000 « dangers potentiels) et dans ce dernier cas la France est perdue.

    Il est raisonnable de supposer que ce dernier chiffre est plus proche de la réalité, et ce n’est pas fait pour nous rassurer, car, dans ce dernier cas, seule une guerre sainte pourrait, peut-être, nous sauver.

    Il n’est pas besoin d’être armé pour « coloniser » un pays : l’argent suffit. Qui offre les 3 à 5000 euros nécessaire (alors qu’ils représentent plusieurs années de salaire) pour payer les « passeurs » des migrants ?  

    Nos gouvernants, d’où qu’ils viennent, occultent ce grave et mortel danger pour notre civilisation.  Ils refusent d’admettre qu’il s’agit là d’un plan préparé de longue date pour « nous coloniser » insidieusement.

    http://magoturf.over-blog.com/2016/10/france-colonisee-objectif-atteint.html

  • Allemagne : une école primaire force les enfants à chanter "Allah Akbar"

    6a00d83451619c69e201b8d232ccc5970c-800wi.jpgLe père d'une l'élève de l'école primaire de Garmisch-Partenkirchen a découvert que sa fille avait été forcée d'apprendre une prière islamique. Il a affirmé qu'elle avait été «forcée» par les enseignants à mémoriser des chants islamiques et a transmis le document à l'agence de presse autrichienne unsertirol24. Le texte est le suivant :

    La directrice n'a pas confirmé l'incident mais a déclaré que l'école émettrait une déclaration écrite détaillant sa position au cours de la semaine à venir.

    Michel Janva

  • Prisons radicalisées : la panique, par Caroline Parmentier

    Chard-Prisons-radicalisés.jpg

    Ils sont complètement paumés. Après nous avoir dit que c’était ce qu’il y avait de mieux, le gouvernement abandonne son dispositif phare de lutte contre la radicalisation en prison avec ses unités spécialisées qui regroupaient les islamistes dangereux. Au contraire maintenant, total revirement, on va les isoler.

    Il faut dire que l’expérimentation menée depuis un an s’est terminée le 4 septembre dernier par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, l’une des vitrines du programme gouvernemental. Les deux principaux syndicats de surveillants, l’UFAP-UNSA et FO Pénitentiaire, avaient réclamé l’arrêt immédiat des frais à Osny, Fleury-Mérogis, Fresnes et Lille Annœullin où se multiplient les tentatives de mutinerie et de prises d’otages. Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, vient d’annoncer qu’il fermait ces cinq unités dédiées. Curieusement, l’effet pervers de ces regroupements de bêtes fauves ne leur avait pas sauté aux yeux.

    La réalité c’est que la déradicalisation à grand renfort « de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs » ne marche absolument pas. Au contraire elle rendait encore plus furieux ces fanatiques qui n’avaient qu’une idée : égorger les kouffars qui voulaient leur faire renier leur folie religieuse.

    Au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes (si cela avait été le cas, l’attentat de Nice n’aurait pas eu lieu), tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on va garder à nos frais ces centaines de djihadistes comme autant de bombes à retardement. Ils vont désormais être répartis en France et isolés. Facile à gérer pour l’administration pénitentiaire quand la surpopulation carcérale atteint des records.

    Précision rassurante : c’est l’effet de masse qui a poussé le garde des Sceaux à changer de méthode. La Chancellerie redoute dans les semaines qui viennent « une déferlante des détenus terroristes » dans les prisons françaises : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine ».

    Le budget consacré à la sécurisation des prisons est passé de 30 millions en 2016 à 58 millions d’euros en 2017 (contre 17 millions en 2015). Aujourd’hui qu’on les décapite, c’est la tête des surveillants de prison et des policiers qu’il s’agit de sauver.

    Caroline Parmentier : Article et dessin parus dans Présent daté du 27 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • DÉMANTÈLEMENT DE LA « JUNGLE » DE CALAIS : ENTRE IMPOSTURE ET DÉMAGOGIE CRIMINELLE

    Un communiqué de la Dissidence française :

    4196954521.pngHier a débuté l’évacuation des immigrés clandestins de la « jungle » de Calais. Des dizaines de cars affrétés spécialement pour l’occasion, aux frais du contribuable, ont été dépêchés sur place avec pour mission de disséminer ces immigrés aux quatre coins de la France. La situation a déjà commencé à dégénérer. Incendies dans la jungle, heurts et affrontements entre migrants, grogne des maires, des élus locaux et des riverains de dizaines de communes à qui le gouvernement impose sans concertation l’arrivée de centaines d’immigrés clandestins… Des observateurs ont déjà pu constater que nombre de ces « migrants » ont profité de leur transfert pour s’échapper à la première occasion, parfois aidés par des activistes gauchistes « no-borders ». Malgré les annonces faussement rassurantes des autorités, nul ne sait qui ils sont, ni où ils comptent aller.

    Tandis que l’hiver s’installe et que plusieurs dizaines de Français de la rue crèveront une nouvelle fois dans l’indifférence générale, le gouvernement prend soin de ses « migrants » : allocations, aides de toutes sortes, hébergement et transport gratuit, impunité judiciaire…

    Au-delà des effets d’annonce, une réalité : le gouvernement Hollande-Valls se montre parfaitement incapable de répondre avec fermeté à cette crise et ne fait qu’aggraver la situation en multipliant des « jungles » partout en France. Jamais le taux de reconduites à la frontière des déboutés du droit d’asile n’a été aussi bas, et jamais les autorités françaises n’ont fait preuve d’un tel laxisme judiciaire avec des ressortissants étrangers, parmi lesquels nul ne sait combien ont prêté allégeance à l’État Islamique et commettront dès qu’ils en auront l’occasion des actes terroristes.

    Il y a urgence. Depuis des décennies, les gouvernements successifs dit de « gauche » ou de « droite » n’ont fait qu’accentuer et organiser cette invasion, précipitant notre pays vers une guerre civile aux conséquences inimaginables. Depuis plusieurs années, la Dissidence Française a formulé des propositions fortes, et publié son Plan d’urgence pour Calais qui, s’il était appliqué, réglerait une fois pour toute le problème. D’une manière plus générale, seul un changement radical de politique migratoire, sociale et judiciaire pourra protéger les Français du terrorisme et inverser le processus d’invasion migratoire.

    Aidez-nous à imposer nos solutions et faire entendre la voix du pays réel.

    Le changement, ce sera nous. De gré, ou de force.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Journal du Mercredi 26 octobre 2016 - Société / Détenus radicalisés : le gouvernement change de cap

  • Islamalgame, voyoucratie et utopisme

    Toute personne curieuse aura pu constater que les attentats commis depuis 25 ans en Europe (et depuis 1956 par le FLN et le MNA en France) sont majoritairement le fait de musulmans prétendus intégrés dans la société « multiculturelle ».

    Les tueries de Charlie Hebdo en janvier 2015 et du super casher à Paris, du Bataclan et des terrasses le vendredi « noir » 13 novembre 2015 toujours à Paris et des attentats dans le métro et à l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars 2016 ne sont donc pas des faits « nouveaux » et « imprévisibles » comme les médias et les politiciens ont essayé de nous le faire gober.

    Il y a eu en 2001 les trois tours du WTC et l’explosion au Pentagone, puis en 2004 les attentats de la gare Atocha à Madrid et ceux commis en juillet 2005 dans les transports publics à Londres. Il ne faut pas venir nous raconter que c’est une « surprise » …d’autant plus qu’au fil des multiples enquêtes, il apparaît que tous ces massacres, tueries et attentats ne sont pas du tout la conséquence d’actes isolés commis par des « radicalisés récents », des « déséquilibrés » ou encore des « êtres fragilisés » en proie aux affres d’une société « stressante ».

    De Khaled Kelkal au duo d’assassins qui ont égorgé le prêtre dans son église de Saint-Etienne du Rouvray, TOUS sont des fidèles d’ALLAH « le plus miséricordieux ».

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    TOUS ont été de petits voyous avant de devenir de grosses crapules.

    TOUS ont tué pour répandre la terreur.

    TOUS avaient un casier judiciaire abondamment fourni.

    TOUS avaient pour but de massacrer des infidèles.

    TOUS ont échappé à la vigilance des services de sécurité et au suivi de la Justice.

    Alors pourquoi les gouvernements et le renseignement intérieur ne peuvent-ils pas mettre ces criminels hors d’état de nuire ?

    Pourquoi, depuis 25 ans ces fanatiques ont-ils réussi à déjouer la Loi et l’Ordre ?

    Pourquoi le Régime refuse-t-il de porter le fer dans la plaie, de nettoyer les quartiers « difficiles » et les 64 Zones de Sécurité Prioritaire, comme il le devrait ?

    Par déni des réalités ? NON ! Par faiblesse, par lâcheté et par félonie.

    Vidons ces ordures politiques – réels collabos de la cinquième colonne islamo-terroriste – ceux de la gôche caviar et de la droite cosmopolite, accoquinées aux Ecolos et aux Centristes & Humanistes…  Avant qu’il ne soit trop tard !

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/islamalgame-voyoucratie-et-utopisme_171367.html#more-171367

  • Syrie : Avertissement de Moscou !

    Débat avec la participation de Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE depuis Moscou, Laurent Ozon, analyste des questions internationales depuis Paris, ainsi que Bahar Kimyongur, journaliste depuis Bruxelles.
    Source: presstv.ir