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islamisme - Page 402

  • Progression de l’armée syrienne au nord, Israël se remet à s’inquiéter ...

    Ce n’est un secret pour personne qu’Israël a été le premier à se réjouir de l’éclatement de la crise en Syrie et sa dégringolade vers la guerre. Pour l’unique raison qu’elle détourne de sa confrontation un important pays membre de l’axe de la Résistance.
    Mais au fur et à mesure que le président syrien faisait preuve d’une ténacité inattendue, l’humeur israélienne n’a de cesse de ternir.
    Depuis que les Russes et les Iraniens se sont impliqués corps et âme dans ce pays, facilitant les progressions importantes de l’armée syrienne sur plus d’un front syrien, l’inquiétude a pris place à l’euphorie.
    Un changement dans l’équilibre des forces stratégiques, c’est avec ces mots que des poids lourds israéliens, politiques et médiatiques ont qualifié dernièrement les progressions importantes réalisées par l’armée syrienne avec l’aide de ses alliés russe, iranien et le Hezbollah au nord de la Syrie.
    Selon Youval Steinitz, le ministre des services de renseignements israéliens, les victoires de l’armée syrienne suscitent l’inquiétude de Tel Aviv et constituent une menace sur le long terme, beaucoup plus importante que celle d’équiper le Hezbollah en armements de qualité au Liban, ou celles liées aux tunnels du Hamas dans la bande de Gaza.
    Selon lui, le danger réside dans la présence militaire et d’intelligence iranienne en Syrie laquelle pourrait très bien s’étendre en direction des frontières nord avec Israël, sur les hauteurs du plateau du Golan, au cas où les victoires de l’armée syrienne se reproduisaient sur le front sud aussi.
    « Nous devons faire comprendre à nos alliés, à leur tête les Etats-Unis, l’essence de ce danger provenant de la présence iranienne en Syrie et qui découle de la guerre en cours », a-t-il indiqué.
    Et de poursuivre : « ce qui se passe en Syrie est une opération très dangereuse qui pourrait avoir des répercussions dangereuses sur Israël. L’Iran n’est pas les tunnels du Hamas, c’est une force énorme. Nous ne pouvons minimiser ses capacités, ses ressources et ses forces ».
    « Nous appréhendons de devoir payer le prix de la victoire du régime syrien contre Daesh par le déploiement iranien sur nos frontières nord. Le monde est sous le choc en raison de la férocité de Daesh, et il y a une volonté de le vaincre, mais ceci pourrait très bien ignorer la menace de l’Iran et du Hezbollah », a-t-il ajouté, dans une invitation à se désister de la lutte contre Daesh, en faveur de celle contre le pouvoir syrien.
    Et le général israélien d’extrapoler la menace : « ceci constitue une menace aux Turcs et aux Chypriotes, qui sont eux aussi préoccupés, parce que personne ne veut voir l’Iran atteindre le bassin méditerranéen ».
    La deuxième chaine de télévision israélienne, a elle aussi laissé filtrer cette inquiétude face aux dernières évolutions en Syrie. Après avoir marqué le deuil de l’opposition syrienne, au motif que ses alliés l’ont abandonnée, elle a mis en garde contre la soi-disant menace qui guette la ville d’Alep et les séquelles qui en découleront lorsque l’armée syrienne la contrôlera entièrement. Selon ses analystes, Alep est un point important dans la guerre en Syrie, et sa chute veut dire que la menace qui pesait sur le régime s’est dissipée et qu’il a triomphé.
    Et la télévision d’imputer aux Américains la responsabilité de cette situation : « Le président Barack Obama et son ministre des affaires étrangères ont laissé tomber les opposants syriens et les ont laissés au président russe Vladimir Poutine. Ce qui va permettre au président Assad et à l’Iran de réaliser la victoire sur eux ».
    Toujours selon la Chaine 2, tous les choix alternatifs qui avaient été suggérés se sont dissipées car « les zones de sécurité qu’ils ont menacées d’instaurer n’auront plus aucun effet et ne sont d’ailleurs plus réalisables. De même, la Turquie qui appréhendait ce qui se passait à sa frontière n’a pas osé faire quoique ce soit face aux Russes ».
    Et de conclure avec la plus grande hantise que ce qui se passe au nord de la Syrie pourrait très bien se produire au sud aussi. « Nous serions face aux Iraniens et au Hezbollah, avec une couverture aérienne russe, plus précisément près de la frontière avec le Golan ».
    Quant à la 10ème chaine de télévision israéliens, elle a choisi dans son journal de dimanche de tourner en dérision tous ceux qui avaient dans le passé misé sur une chute imminente du président syrien, leur demandant de réviser leurs calculs « car ce que l’armée syrienne est en train de réaliser est un exploit très important qui transforme Assad en un acteur essentiel et en un président puissant ».
    « Nous devons être conscients à la lumière des réalités sur le terrain en Syrie et de leurs conséquences,…, que Bachar al-Assad est aujourd’hui le gouverneur puissant de la Syrie. Le gel sur le terrain a été brisé à l’avantage de l’alliance russo-iranienne », a-telle conclu.
    Quant au journal israélien proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Israel Today, apres avoir lui aussi mis en garde contre la chute de la ville d’Alep, « le bastion des opposants » selon ses termes, il a écrit que « le soutien fourni par le Hezbollah, l’Iran et les frappes aériennes russes ont porté leurs fruits tandis que l’opposition soutenue par les Américains ne reçoit que des paroles ».
    « Il en découle qu’Obama va quitter la maison Blanche alors qu’Assad va rester le président de la Syrie », constate-t-elle avec un air taquin.
    Et le journal de poursuivre en tançant les Américains: « La Russie a changé l’équilibre des forces alors que les Etats-Unis continuent de se plaindre, sans savoir qu’ils devraient faire quelque chose au lieu de rester inactifs ».
    Quant au site « Times of Israel », tout en mettant en garde contre un scénario similaire au sud de la Syrie, c’est vers l’Arabie saoudite qu’il a dirigé ses incitations en faveur d’une action : « la seule partie capable de freiner l’avancée de l’armée syrienne et de bouleverser l’équilibre des forces en faveur de l’opposition n’est autre que l’Arabie saoudite », croit-il savoir.
    « Mais il est difficile pour le moment de deviner si les plans saoudiens d’envoyer des soldats en Syrie sont réels ou des menaces vides », a toutefois relativisé le site selon lequel même si les saoudiens n’envoient pas des soldats en Syrie, mais ils auront affaire à d’autres fronts, dont le Yémen, le Golfe et le Liban, tout en en prenant en compte la réduction dans leur budget en raison de la baisse des cours de pétrole, au moment où la levée des sanctions contre l’Iran va le renforcer et gonfler ses ressources et ses richesses ».
    Dénominateur commun dans toutes ces inquiétudes et mises en gardes israéliennes : elles poussent les autres pays à intervenir : la Turquie, les Américains (surtout) et l’Arabie saoudite aussi. Il est clair que depuis leur défaite en 2006, les Israéliens sont passés aux guerres par procuration !

    Avec al-Akhbar : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVVpFEEFAmjWMqJqk.shtml

  • On nous manipule ?

    A l’instar de Marine, Marion ou Florian, Bruno Gollnisch s’est ému  de l’arrestation, samedi 6 février  à Calais, du général Christian Piquemal, 75 ans, ancien dirigeant de la Légion étrangère de 1994 à 1999,  ex président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP). Il lui était reproché  d’être présent  à ce rassemblement pacifique, mais interdit, contre l’immigration sauvage, à  l’appel notamment   du mouvement allemand Pegida. En raison de son état de santé, l’audience du général Piquemal a été  reportée au 12 mai. Le député européen FN a jugé également abusive cette interdiction de manifestation. Manifestations frontistes qui sont  elles aussi  dans le collimateur… de l’Etat islamique  si l’on en croit  le magazine francophone de cette entité,   Dar al-islam, petite sœur de sa revue anglophone  Dabiq. Dans son  numéro 8 paru  samedi, et succédant  aux menaces habituelles contre la France, les Français, les enseignants mécréants, la communauté juive, les forces de l’ordre ou Alain Soral, Dar el islam dirige principalement ses attaques contre des associations et des personnalités   musulmanes en  France qui ne valident pas le djihadisme. Mais le FN est aussi évoqué parles fous d’allah

    Dans l’éditorial de ce numéro de 114 pages,  il est ainsi écrit :   « la question n’est plus de savoir si la France sera de nouveau frappée par des attentats (…) Les seules questions pertinentes concernent les prochaines cibles et la date ».  Les nationaux   sont visés de  façon directe à travers la publication d’une photo du défilé frontiste du 1er mai en l’honneur de Jeanne d’Arc ,  accompagnée de cette légende explicite : «Rassemblement d’idolâtres du FN. Des cibles de premier choix.»  

    De Renaud Dély au sénateur PS de de Côte d’Or François Patriat (« Voter FN, c’est voter Daech ! ») en passant par le Premier ministre, l’idée d’une collusion d’intérêts entre  l’EI et  une opposition  nationale dont la victoire pourrait conduire «à la guerre civile » (dixit Manuel Valls)  a été avancée à des fins  de propagande. Pour faire peur dans les chaumières,   un  certain nombre de politiciens sont prêts à  prononcer les formules les  plus irresponsables ou imbéciles, à l’instar du très immigrationniste  député PS Erwann Binet qui s’était   interrogé sur l’absence de communiqué des égorgeurs  de l’EI se félicitant des scores du FN au premier tour des régionales. Kolossale finesse…

    Sur le site d’Europe 1, il est fait mention de la réaction du  chercheur Romain Caillet  qui relève que «  c’est la première fois que les djihadistes visent spécifiquement des Français en fonction de leur opinion politique. (…). Pour Romain Caillet, il pourrait s’agir d’une réponse cinglante aux observateurs qui ont récemment assimilé montée du Front National et montée du terrorisme. (…). Ce slogan irresponsable a peut-être agacé les djihadistes, souligne le chercheur sur Twitter. Il s’agirait, donc, d’une forme de désolidarisation publique.»

    Pour l’ancien du RPR et très controversé  «spécialiste»   Jean-Charles Brisard,  actuel président du Centre d’analyse du terrorisme (CAT) « cette propagande s’inscrit dans la droite stratégie opportuniste de l’EI de créer des divisions au sein de la société française. En visant le parti le plus dur à l’égard des musulmans, l’organisation contribue à faire monter les communautés les unes contre les autres, à créer le chaos. Elle prouve aussi qu’elle suit les débats en France et veut montrer qu’elle connaît son ennemi

    Autre invité récurrent des médias quand il s’agir de parler de terrorisme,  l’universitaire islamologue franco-tunisien  Moez Kouider, alias Mathieu Guidère, ancien  précepteur du fils de l’émir du Qatar,    Hamad Ben Khalifa al Thani,  se demande pour sa part  « s’il n’y a pas une volonté affichée de victimiser le parti d’extrême droite  (sic) . Ceci, non sans arrière-pensées. Si une campagne se lance en France pour dire que le FN est menacé, qu’il faut le protéger et que le gouvernement approuve, le message pourrait être très mal interprété par les musulmans. Ce serait catastrophique car ils se sentiront stigmatisés par l’ensemble de la France. Le FN peut sortir renforcé », note l’universitaire, évoquant « une logique perverse » ».

    Logique perverse qui est de notre point  de vue surtout ici  dans l’exégèse  de M. Guidère, perversité mensongère qui caractérise aussi, trop souvent,   les grands canaux d’information , ce dont les Français ne sont pas dupes .  Le baromètre annuel La Croix-TNS Sofres, rendu public mercredi dernier, vient ainsi  confirmer que les  gros médias, relais principaux de l’idéologie progressiste, européiste  commune, à quelques  nuances prés aux  Etats-Majors de LRPS,  suscitent toujours une grande défiance. Selon cette enquête 64% des sondés (+6 points par rapport à l’année dernière)   jugent que les journalistes ne résistent pas aux pressions des partis politiques et du pouvoir,   ni aux pressions de l’argent (58%, +5 points).

     Cette enquête pointe aussi la méfiance, très souvent légitime et justifiée, vis-à-vis des informations  relayées sur la «toile». A peine un Français sur trois (31%) 31%  pensent que les choses «se sont passées vraiment comme internet les montre». 71% affirment ne pas avoir confiance dans les informations qui circulent sur les réseaux sociaux.

    A ce sujet le site du gouvernement accueille une page  formellement assez réussie  pour mettre en garde  les jeunes contre les théories du complot et autres folles rumeurs. S’y trouve  également  une vidéo humoristique, relayée sur  les réseaux sociaux  (#OnTeManipule),    qui indique assez clairement   le segment  spécifiquement  visé par cette contre-propagande de l’Etat.

    Le site du quotidien  20 minutes s’en est d’ailleurs offusquée : «La vidéo met en scène deux personnages, joués par le seul et même Kevin Razy, humoriste et youtubeur. L’un croit aux théories du complot, l’autre au contraire tente de lui ouvrir les yeux sur ces théories souvent fumeuses et infondées. Problème : les deux personnages sont pour le moins caricaturaux. Le premier, qui croit à l’omniprésence du complot, parle avec un accent caricatural (de « jeune de banlieue », NDLR)  tandis que le second s’exprime dans un Français impeccable… »

    C’est une évidence, des lémuriens aux petits gris, en passant par les rumeurs débiles et autres vidéos haineuses des djihadistes, la Toile abrite et véhicule bien des simplismes, des bêtises,  des immondices constate Bruno Gollnisch. Mais elle permet aussi de diffuser des analyses, des informations que les médias, pour les raisons bien perçues par nos compatriotes dans le sondage précité, gardaient sous le boisseau.

    Oui sur  internet le pire côtoie le meilleur. Oui, internet  donne aussi accès  à  une pensée non formatée,  intelligente et étayée.  Mais il s’agit de ne pas tout confondre, sciemment, dans la même opprobre,   comme le font parfois les bien-pensants.  Toutes les critiques contre les menées économiques, commerciales  militaires, géopolitiques,  atlantistes Etats-uniennes;  tous les avertissements sur  les offensives conceptuelles, idéologiques des cénacles  mondialistes, ce qui est  dénommé   «nouvel ordre mondial » notamment  sur le site du gouvernement, ne sont pas ridicules, paranoïaques et infondés. Ne dit-on pas d’ailleurs que  la plus grande ruse du diable, qu’on nous pardonne cette référence religieuse, est de faire croire qu’il n’existe pas ?  Peu ou prou ce que les grands médias nous rabâchent à longueur de journée… tout en diabolisant très souvent  tous ceux qui ne pensent pas dans les clous.

    http://gollnisch.com/2016/02/09/on-nous-manipule/

  • États nationaux versus Oumma

    Toutes les civilisations antiques ont été fondées sur la Nation et son produit dérivé, le culte des ancêtres, avec ou sans notion de « race élue ou choisie » par une divinité pour triompher de ses adversaires.
    Dans la Chine antique, l’âme d’un défunt honorable devenait un esprit céleste (Chen) tant que ses descendants poursuivaient son culte sur Terre… leur extinction ou leur désintérêt faisant du Chen un esprit vagabond, errant et d’autant plus dangereux (un Kouei). Les Romains antiques avaient exactement les mêmes légendes, comme nombre de peuples amérindiens et africains. La Nation, comme le clan familial ou la tribu formée par l’amalgame plus ou moins réussi de clans, est une réalité universelle et diachronique. Nos bons maîtres mondialistes l’apprendront à leurs dépens.
    Toujours et partout, l’implantation d’une Nation a défini le sol national (et l’on rappelle que l’expression germanique de cette réalité « Ein Reich, ein Volk » était antérieure à la naissance d’Adolf Hitler). Certains peuples ont voulu lier la notion de « race » à celle d’un culte… mais ils confondaient race et Nation (les Yézidis du Kurdistan ne sont pas les seuls à entretenir cette croyance en notre époque).
    En opposition à cette pratique, il a toujours existé des individus pour rêver d’un projet impérial, tentant de réunir dans le même État un nombre plus ou moins grand de Nations. Certains l’ont fait au seul plan temporel et ces empires, parfois puissants et durables (5 siècles pour l’Empire romain d’Occident, dix siècles de mieux pour celui d’Orient, de 2 à 4 siècles pour les empires mongols) se sont tous effondrés, quand l’esprit de jouissance l’a emporté sur la rude austérité guerrière et administrative.
    Infiniment plus dangereux, car faisant appel à l’irrationnel, soit l’aliment préféré des foules, sont les empires spirituels. Après 2 millénaires, l’imperium chrétien demeure vivace surtout en zones de médiocres jouissances terrestres. Le bouddhisme est toujours puissant. Grâce au soutien du pétrodollar, l‘islam connaît une résurgence d’expansion – prévue dès les années 1942-45 par l’étonnant personnage cité plus haut, maudit des historiens conventionnels et des médias. Ce regain d’intérêt pour une religion médiévale est favorisé tant par la simplicité primitive de son enseignement qui, n’expliquant rien des mystères physiques et biologiques, est indémodable, que par son idéal communautaire.
    La Oumma, ou communauté musulmane, sous-entend un rêve de paradis terrestre où chaque être humain adorerait Allah et pratiquerait la Charî’a. Il est évident qu’il existe des assassins et des voleurs, des époux adultères et des violeurs, des escrocs et des menteurs en terre d’islam comme il en existe en toute société humaine (et même animale, comme de remarquables études éthologiques le démontrent à l’évidence). Mais mollahs, ulémas et autres prêcheurs rapportent ces errements à une perversion des merveilleux fidèles (muslim) par le contact des « chiens d’infidèles » et de leurs usages maléfiques.
    Les organisateurs de la féérie globalo-mondialiste ont cru trouver en ces naïfs et très brutaux sectateurs d’Allah des collaborateurs de choix pour briser les États nationaux d’une Europe peuplée d’autochtones amollis et aveulis par le bien-être et davantage encore par sept décennies de propagande pseudo-humanitaire, parfois curieusement accouplée à des résidus idéatoires marxistes… on ne se débarrasse pas aisément d’un crétinisme imposé de force par l’ambiance générale (et par une majorité d’enseignants) durant près d’un siècle.
    Les Nations européennes ont toujours su réagir aux coups du sort, dont elles étaient responsables (par leurs divisions, leur aveuglement ou leur avilissement). L’histoire nous apprend l’optimisme… du moins, en considérant les faits du point de vue de la durée. À nous, Européens, de faire en sorte que l’inévitable réaction européenne, à la fois contre l’islam médiéval et la folie niveleuse et métisseuse globalo-mondialiste, survienne rapidement.

    Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVuZlkEVAxjbAtzSM.shtml

  • Le FN, cible de choix de Daech ?

    6a00d83451619c69e201b8d19cb718970c-320wi.jpgDans le dernier numéro de son magazine de propagande en français «Dar-al-islam», Daech évoque sur plus d'une centaine de pages les attentats de Paris, et les menaces à venir. Et l'Etat islamique s'en prend directement au Front national. Une photo du cortège annuel du 1er mai est accompagnée de cette légende: «Rassemblement d'idolâtres du FN. Des cibles de choix».

    Le secrétaire national du FN, Nicolas Bay, a interpellé le premier ministre sur Twitter:

    «Manifestations du FN dans la ligne de mire de l'État islamique... Satisfait Manuel Valls?»

    Et Florian Philippot, il a tweeté:

    «À travers le Front national, Daech s'en prend à la France».

    On se souvient que des personnalités politiques avaient rapproché le FN et l'État islamique. «Voter FN, c'est voter Daech» avait déclaré l'ancien président de la région Bourgogne François Patriat. Le journaliste Jean-Jacques Bourdin avait établi sur RMC un parallèle entre l'organisation terroriste et le FN.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/le-fn-cible-de-choix-de-daech-.html

  • 90 terroristes seraient arrivés en France avec Abaaoud : crédible ?

    Sonia qui a rencontré Abdelhamid Abaaoud affirme que le terroriste lui aurait déclaré être rentré en France avec 90 autres terroristes dans le but de perpétrer des attentats. Fanfaronnade ou vraie menace ?

    90 terroristes infiltrés parmi les migrants, dans le sillage d’Abdelhamid Abaaoud ? Le témoignage de Sonia, fait froid dans le dos. Le coordinateur des attentats de novembre lui a ainsi laissé entendre qu’il était accompagné de 90 autres djihadistes, répartis « un peu partout en Ile-de-France ». Des Français, des Syriens, des Irakiens, mais aussi des Allemands et des Anglais, lui aurait-il confié.


    Attentats de Paris : 90 terroristes seraient arrivés en France avec Abaaoud

    La réaction des officiels de la DGSI a été de rapidement minimiser, voire démentir ces propos.

    Les policiers n’y croient pas. Pour eux, Abaaoud a voulu impressionner sa jeune cousine ainsi que cette jeune femme.

    explique Frédéric Crotta, en duplex depuis le siège de la DGSI. “Tout remonte à la Belgique. C’est là-bas qu’ont été conçus et préparer les attentats, dans une certaine improvisation puisque le terroriste n’avait aucune planque, aucun point de chute”, poursuit le journaliste, oubliant au passage que les terroristes avaient prévu de mourir « en martyr », rendant par là inutile les points de chute.

    Pour autant, de nombreux policiers trouvent crédibles, sous couvert d’anonymat, les déclarations du djihadiste.

    La cellule d’Abaaoud, une vingtaine d’individus, n’est qu’une infime partie de ceux qui sont entrés en Europe avec comme projet de commettre des attentats. Il y a d’autres cellules dormantes. Ce chiffre de 90 voudrait dire qu’il y aurait trois autres groupes dans la région. Le renseignement est malheureusement crédible.

    explique, auprès de Metronews, un policier en poste dans un service antiterroriste.

    Mais qu’il s’agisse en réalité de 25 ou 120 terroristes, le problème reste entier pour les forces de l’ordre : quand, par qui et où se produiront les prochaines attaques en France, s’interrogent les spécialistes. « On travaille à l’aveugle », commente une autre source policière. « La principale faute a été de ne pas imposer un protocole au niveau européen permettant de mieux suivre les mouvements d’entrée et de sortie. Aujourd’hui, on le paye », conclut-il, profitant de son anonymat pour tacler les manques flagrants de l’espace Schengen en termes de sécurité.

    La priorité est aujourd’hui de protéger les frontières des pays européens, comme le réclame notamment Victor Orban et de développer une vraie coopération entre forces de l’ordre afin d’identifier les possibles fauteurs de trouble :
    Ainsi, les directeurs des services de police de cinq pays (l’Autriche, la Croatie, la Slovénie, la Macédoine et la Serbie) ont-ils décidé d’un formulaire d’enregistrement commun. Un premier pas, mais ni l’Allemagne, principal pays de destination, ni la Grèce, principal point d’entrée des demandeurs d’asile n‘étaient à la table des discussions.

    http://fr.novopress.info/197922/90-terroristes-seraient-arrives-en-france-abaaoud-credible/

  • L’argent n’a pas d’odeur : en Arabie Saoudite, Starbucks interdit l’accès d’un café aux femmes

    Alors que la chaine américaine des cafés à emporter supprime en occident les références à Noël (voir ici) et milite en faveurs des LGBT (voir ici), elle n’hésite pas à interdire l’accès aux femmes dans sa boutique saoudienne… L’argent n’a pas d’odeur pour les firmes capitalistes.

    Un Starbucks café a interdit à Riyad (Arabie-Saoudite) l’accès du magasin aux femmes, s’est indigné sur Twitter une cliente le 1er février. La police religieuse a demandé au café de prendre cette mesure après l’effondrement d’un mur qui séparait les espaces entre les hommes et les femmes, indique The Independent en s’appuyant sur le journal saoudien Al Weaam.

    http://www.contre-info.com/

  • PEGIDA : Le général Piquemal passera en comparution immédiate demain

    piquemalCe lundi, cinq personnes passeront en comparution immédiate au tribunal de Boulogne-sur-Mer après leur interpellation samedi à Calais lors d’un rassemblement hostile aux migrants. Parmi elles se trouve un général ancien patron de la légion étrangère, Christian Piquemal, désigné comme ayant eu « le rôle principal » dans cette manifestation interdite. Il sera poursuivi pour « participation à un attroupement qui ne s’est pas dissout après sommation » et les quatre autres personnes pour « port illégal d’armes ». Ils risquent une peine allant jusqu’à un an de prison ferme.

    « On sait bien que la manifestation a été interdite et que l’autorité de l’Etat a été défiée. Le général, il n’est pas venu à Calais pour faire de la figuration », a affirmé à l’AFP le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi. Les quatres autres individus avaient été contrôlés en amont de la manifestation et portaient sur elles « des armes dangereuses » de type taser, poing américain et cutter. « Ceux là, même s’ils n’ont pas participé à la manifestation, puisqu’ils ont été contrôlés avant, ils étaient là pour en découdre: on ne vient pas à une manifestation interdite avec des armes si on n’a pas l’intention d’en découdre », a expliqué cette même source.

    Samedi soir, de nombreuses réactions à l’arrestation du militaire, ancien commandant de la Légion étrangère de 1994 à 1999, et qui n’est plus en service actif, agitaient les réseaux sociaux.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • CALAIS : APPEL URGENT

    MINURNE soutient les Calaisiens qui luttent par tous moyens (des moyens de fortune) pour leur survie et le respect qui leur est légitimement dû comme à nous tous.

    La ville de Calais est devenue le “laboratoire d’essai de l’invasion migratoire. Si l’on n’y prend garde avec la plus extrême vigilance, les virus vont s’échapper de ce laboratoire et se répandre comme traînée de poudre sur toutes les terres de France, déjà bien menacées. Personne n’est à l’abri.

    Pour recevoir décemment des militants de toute la France et des pays voisins qui veulent soutenir Calais contre cette invasion grandissante,une association calaisienne que nous avons sélectionnée pour son sérieux et son action CONCRÈTE et efficace de tous les jours recherchela mise à disposition d’une grande salle pouvant accueillir une vingtaine de personnes à la fois par roulement, pendant 1 ou 2 mois, si possible dans un rayon de 60 km maximum de Calais. Des sanitaires sont indispensables, un coin cuisine serait bienvenu. Ce peut être une grange, un hangar, une salle des fêtes ou tout autre local abrité, de préférence chauffé, mais les détails peuvent s’arranger sur place. Cette association s’occupera de la literie mais vous pouvez aussi lui faire parvenir tout matériel de camping dont vous n’auriez plus l’usage et aussi des dons en nature (conserves, etc.) pour les opérations menées par l’association comme « sandwichs chauds pour les CRS » et autres en cours et à venir. Voir l’article À CALAIS COMME AILLEURS, LES ORDRES VIENNENT D’EN-HAUT. Rien n’est gaspillé : les surplus sont distribués aux Calaisiens de souche réellement nécessiteux. Et il y en a…

    Peut-être aussi avez-vous dans vos relations le maire d’une commune qui accepterait – sans aucune connotation politique – de participer à cet effort de solidarité patriote et accepterait de mettre à disposition unlocal municipal.

    La solidarité active et ouverte à l’endroit de nos Forces de l’Ordre est légitime, mais c’est aussi un élément essentiel à notre survie.

    Contactez MINURNE qui transmettra.

    Merci pour eux.

    Merci pour vous.

    LS
    luc.sommeyre@minurne.org

    http://www.minurne.org/

  • L’espace Schengen en grand danger

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    La situation n’est plus tenable : face à l’invasion migratoire subie par l’Europe l’an passé, la Commission Européenne a été contrainte de réagir en se retournant contre la Grèce. Celle-ci constitue le trou béant par lequel transite la marée humaine. Un rapport de l’organisme Frontex, destiné à protéger les frontières, pointe du doigt la négligence des autorités grecques dans les contrôles aux frontières. Une procédure a été enclenchée le 2 février par la commission européenne ; le gouvernement grec dispose de 3 mois pour reprendre le contrôle des frontières.

    En cas d’échec, la Grèce ne sera pas directement exclue de l’espace Schengen : mais l’article 26 du code de Schengen sera appliqué : il prévoit le rétablissement du contrôle frontalier dans certaines zones de libre-circulation pour une durée de deux ans. Cela voudra dire que le pays sera isolé pendant toute cette durée.

    Il est manifeste qu’il est impossible pour un pays harcelé par les créanciers de mettre en place le dispositif sécuritaire nécessité par le contrôle des frontières, la reconduite des clandestins, etc. Les milliers d’îles ioniennes constituent un obstacle infranchissable au contrôle de l’immigration. Bernard Cazeneuve est hier venu visiter un hotspot : ce dispositif permet de prendre les empreintes, et d’examiner la situation des immigrés. Il en existe 5 pour l’instant, que le gouvernement grec s’est engagé à rendre opérationnels.

    L’espace Schengen semble donc vivre ses derniers mois : pourtant, dans une tentative de sauvetage désespérée, la grande presse publie unanimement une étude publiée mardi de façon fort opportune : réalisée par France Stratégies, elle fixe le coût de départ de l’espace Schengen à 10 millions d’euros par an.

    Le problème, c’est que personne ne désigne les avantages potentiels octroyés par un départ de l’espace Schengen : notre politique actuelle d’immigration, par exemple, représente un coût exorbitant. Or, dans un budget, on compare toujours les coûts avec les recettes ; ici, il n’y a que les coûts de la sortie de l’espace Schengen qui semblent dignes de l’attention de nos économistes et, partant, des journalistes.

    http://fr.novopress.info/197875/lespace-schengen-en-grand-danger/

  • "Déchoir un djihadiste de sa nationalité ? C'est déjà possible en 15 jours"

    En plein débat sur la déchéance de nationalité, Charles Prats, magistrat et membre du Conseil supérieur de la formation et de la recherche (CSFRS), explique auFigaro que la déchéance de nationalité existe déjà dans le droit français, et qu'un nouveau texte ne ferait que la rendre plus difficile à prononcer.

    [...] "Le Parlement examine, depuis vendredi, la constitutionnalisation de la déchéance de nationalité. Pourquoi jugez-vous ce texte inutile, voire contre-productif?

    Charles Prats.- Inscrire la déchéance de nationalité dans la Constitution ne semble pas nécessaire juridiquement parlant. En effet, tant la «déchéance» de nationalité que la «perte» de nationalité existent déjà dans le droit français. Ce sont les articles 25 et suivants du code civil, ainsi que les articles 23-7 et 23-8 du même code qui les prévoient. Cette possibilité existe dans le droit français depuis 1791. Il n'y a donc pas novation, juridiquement parlant. Au contraire, on pourrait paradoxalement aboutir à une situation nouvelle beaucoup moins sévère que l'état actuel du droit, voire empêcher concrètement de déchoir de la nationalité française des terroristes aujourd'hui poursuivis, alors qu'ils encourent actuellement cette sanction.

    Comment cela?

    Le projet de loi constitutionnelle encadre plus restrictivement la déchéance de nationalité. Aujourd'hui, concrètement, l'article 25 du code civil énumère les différents cas où les bi-nationaux peuvent être déchus de la nationalité française: s'ils sont condamnés pour crime ou délit de terrorisme, d'atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, ou encore s'ils se sont livrés au profit d'un état étranger à des actes incompatibles avec la qualité de français et préjudiciables aux intérêts de la France. Le projet de réforme constitutionnelle, s'il étend la déchéance à l'ensemble des Français, la restreint aux seules infractions pénales constituant une atteinte grave à la vie de la Nation. Et l'avant-projet de loi d'application qui circule modifie profondément le champ d'application de la déchéance de nationalité. En effet, le projet de futurs articles 25 du code civil et 131-18-1 du code pénal limite la future déchéance de nationalité aux seules atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation qualifiées de crimes ou de délits punis de 10 ans d'emprisonnement. Le champ d'application de la déchéance de nationalité serait donc bien plus restreint qu'aujourd'hui.

    Vous soulignez également une «judiciarisation» de la déchéance de nationalité, qui changerait la nature de cette sanction.

    Effectivement, dans le régime «administratif» actuel, le gouvernement tire les conséquences d'une condamnation judiciaire pour prononcer une déchéance de nationalité. Alors que dans le régime «judiciaire» qui pourrait voir le jour, la déchéance de nationalité deviendrait une peine pénale. Ce qui aurait des conséquences très importantes.

    Lesquelles par exemple?

    Une déchéance de nationalité entendue comme une peine pénale pourra toujours faire l'objet d'une réhabilitation: soit par la justice dix ans après la condamnation (comme le prévoit l'avant-projet de loi), soit de façon automatique au bout de quarante ans, en application des règles de droit pénal. Et le gouvernement ne pourra pas s'y opposer puisqu'il s'agira d'une décision juridictionnelle. C'est certainement un progrès en termes de respect des droits fondamentaux. Mais il faut bien l'expliquer aux citoyens afin d'éviter tout malentendu dans quelques années.[...]

    En vous appuyant sur le droit actuel, vous estimez que le gouvernement pourrait déchoir tout djihadiste français en quinze jours sans qu'une condamnation soit nécessaire.

    Tout à fait. Juridiquement il ne s'agit pas d'une «déchéance de nationalité» mais d'une «perte de nationalité». Cependant, le résultat reste le même. Le droit permet aujourd'hui de retirer la nationalité française à tous les individus prêtant leur concours d'une manière ou d'une autre à Daech, qu'ils soient binationaux ou seulement français. Et ce, sans même qu'il n'y ait besoin d'une condamnation judiciaire pour acte de terrorisme.

    Comment est-ce possible?

    En s'appuyant sur le code civil, tout simplement. Dans son article 23-8, il dispose que tout Français qui occupe «un emploi dans une armée ou un service public étranger, ou dans une organisation internationale dont la France ne fait pas partie ou plus généralement leur apportant son concours», perd la nationalité française s'il poursuit ses activités malgré «l'injonction qui lui en aura été faite par le gouvernement». Le cas échéant, la sanction est notifiée à l'intéressé par décret en Conseil d'État, à l'issu d'un délai fixé par l'injonction, délai qui ne peut être inférieur à quinze jours. Et dans l'hypothèse où l'avis du Conseil d'État serait défavorable, la mesure peut être prise «par décret en conseil des ministres».

    Cette sanction est donc applicable à tout Français qui «apporte son concours à Daech».

    Tout à fait. Tout djihadiste français est concerné, qu'il soit en Syrie, Libye ou Afrique subsaharienne, puisque l'État Islamique correspond en tout point à une force armée étrangère au regard du droit militaire. Tout un chacun peut constater dans les médias que Daech remplit effectivement les critères édictés par les conventions de Genève et ses protocoles additionnels. Si l'on considère dès lors que tout djihadiste français engagé auprès de l'État Islamique peut se voir retirer la nationalité française, qu'il soit binational ou pas, la procédure à suivre est relativement simple et surtout très rapide: avis informatif d'injonction publié au Journal officiel puis, à l'expiration du délai prévu par l'injonction, perte de la nationalité française déclarée par décret motivé pris selon les formes prévues. La personne visée peut évidemment faire valoir ses arguments avant la décision. Et ensuite exercer un recours devant le Conseil d'État dans les deux mois, classiquement.

    En quoi cette solution est bien plus efficace en matière de lutte antiterroriste?

    Elle est plus efficace car elle ne nécessite pas de condamnation judiciaire préalable. Sans toucher à la Constitution ni modifier la loi, l'exécutif a donc à sa disposition ce dispositif «préventif» qui lui donne la possibilité de faire perdre leur nationalité aux djihadistes français de Daech pour lesquels les services de renseignement disposent des éléments.[...]

    Mais la France peut-elle créer des apatrides?

    Dans l'état du droit actuel, il n'y a aucune impossibilité juridique à créer des apatrides en l'espèce. Le premier ministre a annoncé que la France allait ratifier la convention ONU de 1961, qui proscrit la possibilité de rendre une personne apatride. Mais la France l'a signée en se réservant le droit de créer des apatrides en cas d'atteintes particulièrement graves. Le terrorisme en fait évidemment partie. La Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme, et notamment le principe du droit au respect de la vie familiale, pourrait éventuellement faire obstacle à ce qu'un français soit déchu de sa nationalité s'il n'en possède pas une autre. Mais les dispositions de l'article 15 de la Convention permettent d'en suspendre partiellement son application «en cas de guerre ou en cas d'autre danger public menaçant la vie de la nation». Ce qui est le cas de la France, en état d'urgence depuis les attentats du 13 novembre. La violation éventuelle de ces dispositions de la Convention européenne des droits de l'Homme ne semble donc pas invocable en cas de décision de retrait de la nationalité française prise avant la fin de l'état d'urgence. Reste à déterminer si une telle mesure est conforme à la Constitution. Selon mon analyse, la gravité des faits motivant une perte de nationalité et l'existence de cette possibilité dans le droit français depuis 1791 laisse présumer qu'elle n'est pas fondamentalement contraire au bloc de constitutionnalité... Surtout si la déchéance de nationalité vient à être inscrite dans notre texte fondamental!Il ne semble donc pas y avoir d'obstacle de droit à ce que la France, pour sanctionner des terroristes, en fasse des apatrides."[...]

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/d%C3%A9choir-un-djihadiste-de-sa-nationalit%C3%A9-cest-d%C3%A9j%C3%A0-possible-en-15-jours.html