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islamisme - Page 406

  • Attentats : Houellebecq accuse Hollande ... Chapeau !

    C'est à l'Obs [Bibliobs] que nous laisserons le soin de rendre compte des récents - et bien-sûr importants - propos de Michel Houellebecq. Voici un article signé Marcelle Padovani ainsi introduit : « L'écrivain français a publié une tribune virulente dans le quotidien italien Corriere Della Sera ». Houllebecq y va fort, en effet. Son hostilité envers les hommes et l'idéologie du Régime est radicale. Toute la presse, de nombreux sites ont évoqué cette tribune. Beaucoup l'ont saluée. Nous aussi, sans hésitation ! LFAR

    Michel Houellebecq est aujourd’hui à la Une du « Corriere Della Sera ». Il n’est pas exactement un inconnu en Italie, son « Sottomissione », édité chez Bompiani, ayant dépassé les 200.000 exemplaires vendus.

    Il n’y va pas de main morte dans ce texte, qui évoque les attentats du 13 novembre, avec ce titre accrocheur: « J’accuse Hollande et je défends les Français. » Il y déclare:

    « Au lendemain des attentats du 7 Janvier, j’ai passé deux jours collé aux journaux télévisés, sans réussir à détacher mon regard. Au lendemain des attentats du 13 novembre, je ne me souviens pas d’avoir allumé mon téléviseur. »

    Il ajoute : « On s’habitue à tout, même aux attentats. » Puis l’écrivain égrène des souvenirs : les attentats de 1986 sont dus, dit-il, au « Hezbollah du Liban ». Il se souvient de « l’atmosphère qu’on respirait dans le métro », le silence, les regards chargés de méfiance, « au moins la première semaine ». Puis la normalité a repris le dessus, car « on s’habitue à tout », effectivement.

    « La France résistera, dit-il. Les Français sauront résister, sans devoir étaler un héroïsme exceptionnel, sans même avoir besoin d’un sursaut collectif d’orgueil national.» « Keep calm and carry on, sois calme et va de l’avant, poursuit Houellebecq. Oui, nous ferons ainsi (même si – hélas – nous n’avons pas un Churchill pour guider le pays).» L’écrivain juge que si les Français sont plutôt « dociles » et se laissent gouverner facilement, « cela ne veut pas dire que ce sont des imbéciles ». Leur défaut est un défaut de mémoire, d’où la nécessité de la leur rafraîchir.

    Alors commence la philippique houellebecquienne contre François Hollande, principal responsable de la situation actuelle à ses yeux :

    « Il est assez improbable que l’insignifiant opportuniste qui occupe le fauteuil de chef de l’Etat, de même que le débile mental qui accomplit les fonctions de Premier ministre, pour ne pas citer les ténors de l’opposition (LOL), se tirent honorablement de cette situation.»

    En quoi consistent leurs responsabilités ? Ainsi que celles de leurs prédécesseurs, d’ailleurs ? Avant tout elles résident dans le fait d’« avoir fait des coupes sombres dans les forces de police, jusqu’à les réduire à l’exaspération, en les rendant presqu’incapables d’accomplir leur tâche ». Et dans celui « d’avoir inculqué pendant des années l’idée que les frontières sont une absurdité dépassée, le symbole d’un nationalisme nauséabond », ainsi que d’avoir impliqué la France « dans des opérations absurdes et coûteuses, dont le principal résultat a été de plonger dans le chaos l’Irak puis la Libye », en attendant que la même chose se produise en Syrie.

    Certes, ajoute-t-il, on ne peut oublier que la deuxième intervention en Irak, une opération militaire « criminelle et de plus idiote » a été évitée grâce à « l’intervention historique de Dominique de Villepin ». Tout cela n’empêche pas une conclusion sévère : «Ces gouvernements ont échoué lamentablement, systématiquement, douloureusement dans leur mission fondamentale qui est de protéger la population française confiée à leur responsabilité. »

    Mais c’est alors que le texte de Houellebecq devient élégiaque et élogieux pour cette même population française qui, elle, « n’a échoué en rien ». Même s’il n’y a pas de référendum sur ce sujet, les sondages indiquent quelque chose de révélateur : 

    « La population française a toujours conservé sa confiance dans l’armée et dans les forces de l’ordre; elle a accueilli avec dédain les prédications de la ‘gauche morale’ (morale ?) sur l’accueil des réfugiés et des migrants et n’a jamais accepté qu’avec suspicion les aventures militaires étrangères dans lesquelles ses gouvernements l’ont entraînée.»

    Conclusion  sulfureuse : « Le discrédit qui frappe aujourd’hui l’ensemble de la classe politique est non seulement généralisé mais légitime. Et il me semble que la seule solution qui nous reste serait de nous diriger lentement vers l’unique forme de démocratie réelle, je veux dire la démocratie directe.»  • 

    Marcelle Padovani

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Des élus financent l’islamisme radical avec l’argent public

    Marion Maréchal Le Pen répond à Caroline Parmentier dans Présent. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b7c7ef259d970b-320wi.jpg"[...] Je n’ai pas applaudi François Hollande devant le Congrès parce que je ne veux pas applaudir des mots. Je veux applaudir des actes. Je me souviens après Charliedu discours très incisif, tonitruant de Manuel Valls, on allait voir ce que l’on allait voir et il n’y a eu strictement rien de fait. Je n’ai pas entendu la condamnation des mosquées salafistes dans la bouche du président. Il n’a pas nommé l’islamisme, n’a même pas utilisé le terme. Il s’est contenté de parler du mode opératoire des terroristes mais pas de leur idéologie. Je ne vous cache pas que je suis très méfiante parce que je sais que la gauche et certains élus de droite entretiennent une relation et une complicité malsaine aujourd’hui avec l’islam radical. Pour la simple et bonne raison qu’ils y voient aussi un vecteur électoral. A partir du moment où ils achètent certains représentants par des contournements de la loi de 1905, par des subventions ou par des permis de construire de mosquées, ils achètent la communauté. Aujourd’hui on a non seulement le problème des mosquées mais on a aussi ce dont on parle très peu et que j’ai voulu mettre en avant dans mon intervention à l’Assemblée, c’est l’ensemble des associations humanitaires, sportives, culturelles, qui sont en fait des associations satellites de l’islamisme et notamment de l’UOIF, proche des Frères musulmans, qui pullulent sur le territoire et qui sont autant de courroies de transmission du développement de l’islam radical. C’est quelque chose de très important et dont on parle très peu. Nous avons énormément d’élus aujourd’hui comme Christian Estrosi à Nice, en regardant un peu ce qu’il faisait je m’en suis aperçue, qui soit par cynisme électoraliste soit par inconscience ou simplement parfois parce qu’ils ne le savent pas (l’appellation de ces associations ne le laissent pas toujours transparaitre) financent l’islamisme radical avec l’argent public. L’exécutif doit absolument aujourd’hui alerter les élus, identifier ces associations et au-delà de la fermeture des mosquées salafistes et de l’expulsion des imams radicaux, interdire le financement et la propagation de ces associations.

    Vous parlez de la nécessité d’un réarmement moral des Français. A quelles valeurs pensez-vous et comment les défendre ?

    Déjà je crois qu’il faut sortir de l’auto-culpabilisation. La théorie qui est développée maintenant depuis des années et qui malheureusement a été celle portée par les élus au pouvoir, a été de dire : le développement de l’islam radical, les départs pour le djihad, la violence liée à l’islam sont dus à l’islamophobie. Un transfert de responsabilité totalement délirant. C’est un peu la thèse du philosophe Pierre Manent qui séduit un certain nombre de gens de droite ce qui me terrifie et qui consiste à dire : il faut faire des accommodements raisonnables parce que finalement c’est le laïcisme et c’est le refus de laisser la religion musulmane s’exercer sereinement qui fait que l’on a aujourd’hui un islam radical. Il faut arrêter avec cette théorie délirante. Aujourd’hui le développement de l’islamisme est mondial, ce n’est pas un phénomène propre à la France. Il se développe spécifiquement en France du fait de l’immigration, du communautarisme et de la lâcheté de nos gouvernements. Mais c’est d’abord un phénomène mondial et il faut arrêter de dire que c’est parce que les Français sont islamophobes. Quand on regarde le nombre d’actes prétendus islamophobes détectés par le très partial Observatoire de l’islamophobie, on se rend compte que cela concerne 300 actes islamophobes par an qui vont du graffiti sur la mosquée à l’agression. Il n’y a aucun phénomène d’islamophobie en France. Il faut sortir de la culture de l’excuse. Et ne pas en permanence justifier la délinquance, la violence, le retour à l’islamisme ou au terrorisme par soi-disant le chômage, la pauvreté, l’exclusion, autant de théories qui ne se vérifient pas dans des territoires qui sont pourtant également très pauvres notamment les campagnes. Il faut porter un diagnostic différent.Et puis je crois qu’il y a un moment aussi où il faut accepter de définir et de revendiquer quel est notre héritage et quelle est notre identité. Ça passe par l’affirmation de notre héritage gréco-romain et chrétien. Il faut dire que la France est une terre culturellement et très longtemps spirituellement chrétienne. Et dans ces conditions, si des Français peuvent être musulmans et exercer leur foi, il faut qu’ils acceptent de le faire sur une terre qui est culturellement chrétienne. Ça implique aujourd’hui qu’ils ne peuvent pas avoir exactement le même rang que la religion catholique. Ne serait-ce que parce que nous avons des traditions populaires qui ont des connotations spirituelles qui peuvent s’exercer dans le cadre public ce qui aujourd’hui ne peut pas être le cas de l’islam."

    Michel Janva

  • Attentats de Paris : Requiem pour la gauche

    Les horribles attentats de Paris auront sans doute pour effet durable, cette fois, d'achever ce qu'il peut rester de (la moins en moins) hégémonique pensée de gauche dans notre pays. Toujours dominante dans les sphères de pouvoir, en particulier dans les médias qui en sont le miroir, cela fait déjà un moment qu'elle se consume chez les gens ordinaires. Eric Zemmour a beau s'attirer toujours plus les foudres de ses collègues, son dernier ouvrage (Le suicide français) s'est vendu comme des petits pains, atteignant un succès que BHL et consorts ne pourront jamais prétendre ne serait-ce qu'effleurer...

    Ce retour du réel, violent et macabre, signe en réalité l'acte 2 de l'effondrement idéologique de la gauche. Quel en était l'acte 1 ? Ce fut le renoncement au socialisme et même, au fil des ans, à la régulation du capitalisme devenu mondialisé et prédateur. Ce fut le grand tournant par lequel on proposa aux classes populaires les secours de l'Etat Providence plutôt que le travail et la réduction des inégalités économiques. Avec un résultat flamboyant qui consista à faire migrer progressivement les classes populaires du communisme vers le Front National. L'Histoire retiendra que le plus fou ne fut pas tant ce retournement que le mépris avec lequel la nouvelle gauche l'accueillit. Hier héros mythique du grand soir à venir, le prolo devint en l'espace de deux décennies le beauf, voire le facho, qu'il était de bon ton d'accabler. Ce fut l'heure de Terra Nova, des (inépuisables) combats de société, de l'antiracisme tonitruant (en réalité, de la xénophilie antifrançaise), de la lutte contre toutes les formes de discrimination, de l'art comme étendard de la branchitude et, bien sûr, de l'Europe marchande et monétaire sur fond de banalisation de la France dans un monde unipolaire.

    Et voilà que survient désormais, avec les attentats de Paris, l'acte 2 de la chute, par lequel les bobos vont cesser d'exercer leur hégémonie intellectuelle sur les classes moyennes. On essaiera encore, bien sûr, de faire passer les terroristes djihadistes pour des fous, sans lien véritable avec l'Islam. On tentera de nous faire le coup de la pathologie, de personnes mentalement fragiles qui se radicalisent et qu'il serait possible de "déradicaliser" (on attend de voir ça). On masquera le fanatisme religieux dont on ne prononce pas le nom pour lui préférer un vocable médical. On entendra toujours parler de laïcité "ouverte" ou "positive" et je parie même que nous subirons encore les mises en garde contre les "amalgames" pour éviter de nommer clairement les choses (à savoir le retour du religieux sur fond de ressentiment identitaire et social dans la société française par le truchement d'une religion importée, l'Islam). Tout cela ne nous sera pas épargné. Mais, contrairement à ce qui s'est passé à la suite du massacre de l'équipe de Charlie Hebdo, ça ne prendra plus. L'idéologie du multiculturalisme et du respect des différences qui tient lieu de pensée de substitution à la gauche contemporaine a vécu parce qu'elle n'apparaîtra plus comme une possible solution, mais comme un pas de plus vers la dissolution de la communauté nationale.

    Aussi, quand au renoncement d'un idéal fondateur (le socialisme) vient s'ajouter un aveuglement politique radical sur fond de bétise crasse (la traque du racisme dans une société qui ne fait qu'accueillir et s'ouvrir depuis quatre décennies), l'issue est inévitable. Elle a pour noms la défaite, la débandade, la chute. Et, à moins d'une révolution copernicienne initiée rapidement en son sein, la gauche n'évitera pas désormais ce funeste destin à laquelle sa constante bêtise, et sa morgue insolente, l'auront conduite. Le plus ironique, et le plus redoutable aussi, est qu'il n'est pas impossible que la fameuse "droitisation" tant et tant combattue ces 30 dernières années (la "lepénisation des esprits") alors qu'elle n'était largement qu'un épouvantail, devienne à présent réalité. Car enfin, quand nous nous réveillerons de l'horreur qui vient de nous abasourdir, qui peut savoir si l'inévitable basculement idéologique fera émerger un nouveau patriotisme républicain ou bien si nous assisterons au triste spectacle de luttes ethniques ? Combien tragique serait alors une telle ironie, qui verrait une sorte de retour aux années 30 issu des entrailles même d'une pensée de gauche mortifère...

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/attentats-de-paris-requiem-pour-la-174406

  • Vladimir Poutine : « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire »

    « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire » Ce sont les mots forts du Président de la Russie, Vladimir Poutine, en officialisant l’attentat terroriste djihadiste, qui a touché l’avion qui a explosé en Egypte avec 224 personnes à bord.

    La journaliste de l’agence russe RT, Remi Maalouf, a publié sur son twitter ces déclarations, qui se sont répandues rapidement.

    Pendant la conférence de presse dans laquelle on a communiqué les conclusions de l’attentat du Sinai, Poutine a averti publiquement les djihadistes « Nous irons vous chercher jusqu’au bout du monde, et là, nous vous tuerons. »

    « Sur le vol a explosé un artefact explosif d’une puissance de 1,5k de trilite. Le résultat a été la désintégration de l’appareil en plein vol» informa le chef du Service Fédéral d’Information (FSB, succédant à l’ancien KGB), Alexandre Bortnikov.

    Vladimir Poutine a annoncé durant la conférence de presse que la Russie intensifiera ses bombardements en Syrie contre l’Etat Islamique. « Le travail de notre aviation de guerre non seulement doit continuer. Il doit s’intensifier de telle manière que les criminels comprennent que la vengeance est inéluctable. » La guerre ne fait que commencer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/11/19/vladimir-poutine-pardonner-aux-terroristes-c-est-le-role-de-5718727.html

  • Face aux nouvelles menaces planétaires, que pèse encore l’armée française ?

    Le gouvernement Hollande semble découvrir les menaces mortelles qui pèsent sur notre pays…
    Avec la disparition de l’URSS et de la menace communiste sur l’Europe, nos politiques, de droite et de gauche, s’étaient délicieusement coulés dans la vision fukuyamienne de la « fin de l’histoire » : paix universelle, règne sans fin d’un marché émancipateur des peuples, mondialisation heureuse, bisounoursisme à tous les étages. Certes, le budget de notre outil de défense croît régulièrement chaque année, mais il s’agit d’une croissance en trompe-l’œil. Depuis 1990, en euros constants, le budget de l’armée a en fait baissé de 20 %. Si l’on observe les 15 meilleures années de cette période en termes de croissance économique, on constate que le PIB français a crû en moyenne de 2,8 % alors que le budget de notre défense n’augmentait quant à lui que de 0,3 %. En 2014, la France ne consacrait plus à son outil de défense que 2,2 % de son budget, un minimum historique, contre 3,5 % pour les États-Unis et 4,5 % pour la Russie.

    Coupes massives dans les effectifs de l’Armée depuis 2008…
    La loi de programmation militaire (LPM), décidée, en 2013 par François Hollande fixait un objectif de 34 500 postes à supprimer entre 2014 et 2019, s’ajoutant aux 45 000 déjà supprimés au cours de la précédente LPM du quinquennat Sarkozy. En tout, une saignée de quelque 80 000 postes. En termes de destruction de notre défense nationale, « Républicains » et socialistes font donc rigoureusement la paire. Dans son livre La Dernière Bataille de France, le général Vincent Desportes se livre à un réquisitoire sans appel.

    Les Français croient être protégés, ils ne le sont plus… Les armées françaises n’ont jamais été aussi fragiles (…) Un avion sur deux ne peut décoller, un navire sur deux ne peut prendre la mer, un char sur deux ne peut plus rouler, quatre hélicoptères Tigre sur cinq ne peuvent prendre l’air.

    Mais en avril dernier, le président Hollande annonçait que 18 500 postes seraient finalement maintenus
    Soit malgré tout un bilan net de 61 500 postes supprimés. Les socialistes se montrent en cela les dignes héritiers du Front populaire de 1936, qui n’avait eu de cesse, trois années avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, de casser notre outil de défense. Souvenons-nous de ce cri du cœur de Léon Blum, le 7 mars 1936, dans le quotidien l’Humanité : « S’il s’agit de détruire l’armée française, j’en suis ! » On connaît la suite…

    http://fr.novopress.info/

  • Le frère d’Hasna Ait Boulahcen voudrait se venger

    Depuis ce jeudi, Hassan Ait Boulahcen, le frère d’Hasna Ait Boulahcen, cette femme morte lors de l’assaut par les forces de l’ordre françaises de l’appartement de Saint-Denis près Paris, a disparu de Maasmechelen où il habite.

    Hassan Ait Boulahcen a un lien direct avec Abdelhamid Abaaoud, puisqu’il est son cousin. Abbdelhamid Abaaoud, dont le corps a été identifié grâce à ses empreintes après l’assaut de l’appartement, est présenté par les autorités comme étant celui qui a coordonné les attentats de Paris. Alors que la traque se poursuit pour retrouver plusieurs suspects, les mouvements des proches des terroristes sont également surveillés par les enquêteurs.

    C’est dans ce cadre qu’il a été remarqué qu’Hassan Ait Boulahcen, le frère de la kamikaze présumée, avait disparu de son domicile situé à Maasmechelen en Belgique, près de la frontière Néerlandaise. Le véhicule d’Hassan Ait Boulfahcen, une camionnette blanche lettrée d’une société de nettoyage à son nom, a également disparu. Lors de leur enquête, les policiers ont été informés que l’homme pourrait avoir décidé de se venger contre les forces de l’ordre françaises de la mort de sa soeur qui est intervenue lors de l’assaut de l’appartement. Des témoignages inquiétants, mais qui restent à vérifier, sont parvenus à la police concernant cette disparition. 

    En effet, des personnes ont dit que ce jeudi, ils ont vu Hassan Ait Boulahcen monter dans plusieurs véhicules avec, au total, sept ou huit individus qui semblaient bien décidés. On ignore si cette camionnette blanche lettrée à son nom fait partie du convoi. Ces derniers auraient ensemble pris la direction de la France. Les autorités prennent ces déclarations au sérieux étant donné le contexte actuel.

    Le parquet fédéral a lancé un message pour prévenir tous les policiers du Royaume de ces déclarations et du fait que cet homme est à rechercher.

    Hasna Ait Boulahcen, présentée comme kamikaze, n’est s’est finalement pas fait exploser lors de l’intervention de ce mercredi. Par contre, elle est bel et bien décédée.

    Source

    http://www.contre-info.com/le-frere-dhasna-ait-boulahcen-voudrait-se-venger#more-40024

  • Le frère d’Hasna Ait Boulahcen voudrait se venger

    Depuis ce jeudi, Hassan Ait Boulahcen, le frère d’Hasna Ait Boulahcen, cette femme morte lors de l’assaut par les forces de l’ordre françaises de l’appartement de Saint-Denis près Paris, a disparu de Maasmechelen où il habite.

    Hassan Ait Boulahcen a un lien direct avec Abdelhamid Abaaoud, puisqu’il est son cousin. Abbdelhamid Abaaoud, dont le corps a été identifié grâce à ses empreintes après l’assaut de l’appartement, est présenté par les autorités comme étant celui qui a coordonné les attentats de Paris. Alors que la traque se poursuit pour retrouver plusieurs suspects, les mouvements des proches des terroristes sont également surveillés par les enquêteurs.

    C’est dans ce cadre qu’il a été remarqué qu’Hassan Ait Boulahcen, le frère de la kamikaze présumée, avait disparu de son domicile situé à Maasmechelen en Belgique, près de la frontière Néerlandaise. Le véhicule d’Hassan Ait Boulfahcen, une camionnette blanche lettrée d’une société de nettoyage à son nom, a également disparu. Lors de leur enquête, les policiers ont été informés que l’homme pourrait avoir décidé de se venger contre les forces de l’ordre françaises de la mort de sa soeur qui est intervenue lors de l’assaut de l’appartement. Des témoignages inquiétants, mais qui restent à vérifier, sont parvenus à la police concernant cette disparition. 

    En effet, des personnes ont dit que ce jeudi, ils ont vu Hassan Ait Boulahcen monter dans plusieurs véhicules avec, au total, sept ou huit individus qui semblaient bien décidés. On ignore si cette camionnette blanche lettrée à son nom fait partie du convoi. Ces derniers auraient ensemble pris la direction de la France. Les autorités prennent ces déclarations au sérieux étant donné le contexte actuel.

    Le parquet fédéral a lancé un message pour prévenir tous les policiers du Royaume de ces déclarations et du fait que cet homme est à rechercher.

    Hasna Ait Boulahcen, présentée comme kamikaze, n’est s’est finalement pas fait exploser lors de l’intervention de ce mercredi. Par contre, elle est bel et bien décédée.

    Source

    http://www.contre-info.com/le-frere-dhasna-ait-boulahcen-voudrait-se-venger#more-40024

  • Le 15 octobre le général de Villiers avait prévenu les élus

    Le 15 octobre, le général de Villiers, chef d'Etat-Major des Armées, était interrogé par la Commission de la Défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale. Extraits :

    "[...] Le contexte sécuritaire est marqué par la gravité, l’urgence et la complexité des crises géopolitiques, ainsi que par un niveau de menace inédit depuis de nombreuses années. Ce contexte mouvant conditionne les missions de nos armées, celles d’aujourd’hui et aussi celles de demain. Les menaces augmentent et se rapprochent. Daech au Levant, AQMI au Sahel, Boko Haram au Nigeria : nous n’avons pas le droit de détourner le regard. Demain il sera trop tard ; nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas !

    Pour bien comprendre les ressorts de cette violence, je voudrais vous présenter les quatre lignes de forces qui sont à mes yeux la toile de fond des crises, et qui mettent au défi l’efficacité de nos propres forces.

    Le lien de plus en plus étroit entre sécurité extérieure et sécurité intérieure constitue une première ligne de force. Cette tendance se confirme. Les crises extérieures ont des répercussions directes sur le territoire national et sur l’espace européen : le retour de combattants français à l’étranger et, dans un autre registre, l’ampleur du phénomène des migrants en sont les deux illustrations les plus criantes. Dans tous les cas, les menaces et les défis sont transfrontaliers. Je constate qu’aujourd’hui, certains États se comportent parfois comme des bandes armées alors que certaines bandes armées prétendent constituer des États et agissent comme tels. Les menaces de la force et de la faiblesse décrites dans le Livre blanc de 2013 sur la défense et la sécurité nationale sont toujours présentes, mais la menace du non-droit progresse, à l’image du phénomène Daech. Il y a donc un lien de plus en plus fort entre la défense de l’avant, ce que nous faisons en opérations extérieures, et la sécurité de l’arrière, c’est-à-dire la protection de nos concitoyens sur le théâtre national.

    Le phénomène du terrorisme international dessine une deuxième ligne de force. Incarné par Al-Qaïda, Daech et leurs affidés, il renvoie à la radicalisation djihadiste et répond à une stratégie délibérée : la recherche de la rupture par une surenchère de terreur. Sa propagande, véhiculée par les réseaux sociaux est offensive et de grande « qualité » technique. Son bilan est efficace et, ne nous leurrons pas, elle exerce une attractivité certaine sur une partie de notre propre population, notamment sur notre jeunesse. En cela, elle menace notre société et elle place la violence au cœur de notre démocratie. La menace est sérieuse. Il suffit de regarder quelques faits pour s’en convaincre :2 700 comptes Twitter pro-Daech en langue française relaient la propagande djihadiste, et environ 20 % des combattants dits étrangers, présents aujourd’hui même au Levant, sont francophones, parmi lesquels on dénombre environ cinq cents Français.

    Une troisième ligne de force peut être observée : l’avance technologique, qui nous donnait d’office l’ascendant, se réduit sous l’effet des modes d’action qui visent à la contourner. Ces modes d’action limitent les avantages liés à la technologie. Il s’agit des cyber-attaques, des engins explosifs improvisés, des snipers, des attaques suicides, des actions dans les champs de l’influence et de la perception. Nous les avons affrontés en Afghanistan, au Mali, et maintenant nous les affrontons au Levant.Qui peut dire qu’ils ne viendront pas demain jusqu’à nous ? La technologie reste indispensable, mais elle n’est pas suffisante. Nous réfléchissons à la façon d’adapter nos équipements à cette tendance.

    [...] En agissant au Sahel et au Levant, en y combattant les groupes armés terroristes, en y recueillant des renseignements sur les intentions hostiles de nos ennemis, nous luttons contre l’installation et le développement de sanctuaires à partir desquels ces derniers pourraient venir nous frapper. En agissant au Sahel et au Levant, en contribuant à un environnement plus sûr, nous luttons également contre la misère et la terreur qui poussent des millions d’hommes, de femmes et d’enfants à fuir leurs pays dans l’espoir d’une vie meilleure. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France doit des excuses au Front national

    Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si Jean-Marie Le Pen avait été élu président de la République en 2002.
    François Hollande amorce un virage sécuritaire et la droite applaudit. C’est sans doute une bonne nouvelle, mais d’un genre de bonnes nouvelles dont on ne peut que se lamenter. Car dans l’absolu, donc dans un monde imaginaire, ce que les députés de droite auraient dû faire au Congrès, ce n’est pas applaudir François Hollande, c’est au contraire lui tourner le dos et s’adresser à madame Marion Maréchal-Le Pen pour lui présenter leurs excuses.
    La France doit en effet des excuses au Front national, car c’est bien trente ans de diabolisation du FN qui ont jeté les bases du drame du Bataclan. Petit rappel:
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan si les flux migratoires, dès 1981, avaient été strictement maîtrisés.
    – Il n’y aurait jamais eu de Bataclan avec 30.000 places de prison supplémentaires.

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