Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 404

  • BRUSSELABAD, CAPITALE DE L’EURABIA TERRORISTE.

    Les médias du monde entier se focalisent ces derniers jours sur la commune de Molenbeek Saint-Jean, partie intégrante de l’Agglomération de Bruxelles, et repaire des crapules, racailles, narcotrafiquants, criminels et terroristes de toutes catégories, par ailleurs, commune gérée par les socialistes pendant des décennies.

    Il est important de savoir que la l’Agglomération bruxelloise en générale, mais Molenbeek en particulier, est depuis fort longtemps considérée comme « une base arrière » d’organisations terroristes comme l’ETA, les Cellules Communistes Combattantes (C.C.C) et très certainement des affidés d’AL QAÏDA, puisque les assassins du commandant Massoud en septembre 2001 ont reçu ici une aide logistique décisive. On pourrait dès lors se poser la question de savoir si l’Administration belge, les élus (à tous les niveaux) et particulièrement la Justice et les services de renseignements sont anormalement incompétents ou au contraire s’ils ne sont pas d’une tolérance coupable et d’une connivence condamnable envers ces criminels (très majoritairement classés à gauche) tous vivants dans des zones de non-droit?

    EtatProvidence (1)

    Tous responsables, tous coupables.

    Après les attentats du RER à Paris, commis par le GIA en 1995, l’effondrement des tours WTC 1, 2 et 7, le 11 septembre 2001, le carnage de la gare Atocha à Madrid en 2004 et les tueries du métro de Londres en 2005, les Européens espéraient plus de sécurité de la part de leurs dirigeants.

    Il n’en a rien été et bien au contraire, tous les charlatans du multiculturel à visage humain et les gouvernements qui se sont succédé en Europe, de gôche comme de droite, ont permis une « immigration sauvage » en ouvrant nos frontières aux clandestins du monde entier qui, au fil du temps ont été légalisés et ensuite naturalisés. Et parmi ceux-là, beaucoup ne s’intègrent pas !

    Myopes comme les taupes, les services de renseignements belges et français sont muselés par des ministres autistes et ce, depuis 40 ans. Pour ces éminences gauchistes, il ne fallait surtout pas réaliser des contrôles d’identité « au faciès » ! Leurs leitmotivs étaient « Touche pas à mon pote » et « Plus de criquets » (cher à Azouz Begag)…..en plus de la culture de l’excuse qui pendant des décennies a permis de laisser en liberté des multirécidivistes dangereux. De Giscard à Hollande, ils sont tous responsables

    Ce n’est pas avec une informatisation et un cyber espionnage à outrance d’une part, et par le déni des réalités et des diagnostics erronés d’autre part, que l’on parviendra à éliminer des assassins fanatiques. Il faut en revenir au recueil de l’information et de la réalité du terrain, par des « indics », des « infiltrés » et des flics compétents et efficaces, capables d’analyser et d’exploiter les données indispensables aux enquêteurs.

    On atteint le summum du grotesque lorsqu’on apprend maintenant que ce sont les services secrets marocains qui ont immédiatement informé la Belgique et la France sur les ramifications et l’origine des attentats du vendredi 13, permettant ainsi des perquisitions rapides tant dans la région parisienne qu’à Molenbeek. Eux, avaient infiltré les milieux maghrébins et musulmans ! Pourquoi pas nous ?

    « Ouvrez les yeux ! »

    Année après année, différents mouvements ou partis nationalistes comme le Vlaams Blok/Belang en Belgique, le FPO en Autriche ou le Front National en France ont insisté, argumenté, développé et martelé sur les dangers potentiels de l’immigration/invasion, incompatible avec notre culture, notre civilisation, notre religion, nos coutumes, nos traditions, nos lois et nos règlements.

    PERSONNE (ou si peu) n’en a tenu compte : au contraire, pour combattre ces idées prétendues « nauséabondes » ou « fascistes » le Régime a fait voter des lois liberticides à l’usage exclusif des opposants nationalistes qui oseraient combattre les dogmes et les utopies socialo-démocrato-mondialo-capitalistes.

    Il serait grand temps de remettre les pendules à l’heure et définir les objectifs.

    Cela fait plus de 40 ans que Jean-Marie LE PEN a déclaré : « le processus de décadence intellectuelle, morale et physique est engagé depuis longtemps » et aussi « la Crise où s’exaspère l’Europe en général et la France en particulier est moins économique et financière que morale et politique » ; que de temps perdu, de milliards gaspillés dans une politique de la Ville absurde, de centaines de milliers de victimes des racailles impunies, de millions de hors-la-loi peuplant des quartiers classés en ZSP (zone de sécurité prioritaire) où la police ne met plus les pieds !

    Ce n’est pas parce qu’un agneau nait dans un poulailler qu’on le nomme « poussin » !

    Il faut en finir avec cette chimère du « Droit du sol », imposée par les gourous de la société pluriethnique et par les obsédés du « Vivr’ensemble », et rétablir sine die le Droit du Sang !

    Et il ne s’agit pas ici d’exclure ceux qui depuis le début du XXème siècle ont émigré chez nous (et en d’autres pays d’Europe) en provenance de Russie, d’Italie, d’Espagne ou du Portugal, pour chercher un meilleur avenir en fuyant des régimes politiques qu’ils ressentaient comme « totalitaires ».

    TOUS partageaient, dans leur grande majorité, une même civilisation que la nôtre, une même culture et une même religion.

    TOUS se sont efforcés, majoritairement, à respecter nos traditions, nos us et nos coutumes, nos règles et nos lois, pour parler couramment aussi notre langue, par une intégration (ou assimilation) difficile parfois.

    MAIS il ne nous appartient pas à nous, Européens blancs, de culture gréco-romaine et de religion chrétienne de renier l’héritage et les valeurs léguées par nos ancêtres, pour se plier aux modes de vie et aux rites de peuples non européens ! Jamais !

    Dans le monde Arabe, vous devez vous soumettre à ses règles ; alors, ICI, CHEZ NOUS, que tous les étrangers (et les immigrés de la 1ère, 2e, 3e ou 4e génération) respectent nos lois et nos habitudes ou si cela ne leur plaît pas, qu’ils retournent dans le pays de leurs aïeux. Vite !

    Bruxelles ville morte.

    En proie à une soudaine « fièvre sécuritaire », le gouvernement belge et les barons à la barre de la Région de Bruxelles ont soudainement décrété un niveau d’alerte maximum (de 1 à 4) face au danger d’attentats. Conséquences : du samedi 21/11 au mardi 24/11, pendant 3 jours les cinémas, les théâtres, les expositions et les musées seront fermés. Annulation de tous les spectacles populaires et notamment du concert de Johnny Hallyday et des rencontres sportives. Portes closes pour les centres commerciaux et tous les magasins situés dans les artères les plus vivantes de la Capitale de l’Europe. Un désastre économique qui confirme la précipitation dans laquelle ces restrictions ont été imposées à la population.

    Bien sûr, les métros ne roulent plus et tous les établissements scolaires sont fermés. Si les contrôles sont nombreux et sévères dans les gares et à l’aéroport, rien de tel dans les « quartiers » et dans les zones de non droit : il ne faudrait pas « stigmatiser » une partie des citoyens ! Par contre, rien de tel pour foutre la trouille aux gens et créer un vent de panique. Ce dimanche, les boulevards et autres artères de Bruxelles étaient vides ; peu de circulation, pas de vélos ni beaucoup de badauds. Ubuesque et désopilant quand on voit les bidasses si nombreux arpentant les rues bruxelloises… pour conjurer l’impéritie et l’aveuglement idéologique des pourriticards trop longtemps au Pouvoir. Ridicules, ces blindés dans les avenues !

    A qui fera-t-on croire qu’en arrêtant l’activité de la Capitale de l’Europe on va stopper les attentats ?

    Qui est persuadé que toutes ces improvisations d’une classe politique dégénérée vont dissuader les assassins de DAESH, AL QAIDA et autres fanatiques de commettre leurs crimes ?

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/147242_147242.html#more-147242

  • Livre : parution : Comprendre l'islam : Guillaume Faye

    Comprendre l’islam, c’est repérer sa double logique, son double ADN millénaire : le totalitarisme et le djihad, la guerre de conquête sans limite géographique, par la ruse ou par la violence. Comprendre l’islam, c ‘est voir qu’en dépit de ses divisions intestines meurtrières, il désigne un ennemi commun : notre civilisation et toutes les autres. Comprendre l’islam, c’est saisir qu’il n’existe aucune différence, seulement tactique, entre islam et islamisme. Comprendre l’islam, c’est réfléchir sur sa confusion de la foi et de la loi, du spirituel et du temporel, du religieux et du politique. Comprendre l’islam, c’est admettre son incompatibilité absolue, d’essence, avec la démocratie pluraliste, la laïcité et la liberté. Sa raison d’être est la théocratie, son règne signifie le recul de l’intelligence.
    ErreurComprendre l’islam, c’est voir qu’un ”islam laïc” ou un ”islam des Lumières” sont des utopies. Ses collaborateurs occidentaux sont des soumis, des apeurés, des aveuglés, des schizophrènes en contradiction avec leurs propres principes. Comprendre l’islam, c’est débusquer des convergences troubles avec le fascisme, le nazisme, le communisme marxiste, l’antisémitisme. Comprendre l’islam, c’est mesurer à quel point il joue sur une immigration de peuplement et de colonisation massive, rapide et incontrôlée.
    Comprendre l’islam, c’est percevoir qu’il ne possède ni métaphysique, ni théologie ni philosophie mais fonctionne sur le binôme dogmatique de la superstition et de l’idéologie. C’est aussi réfléchir sur le duel entre l’obscurantisme et la raison, entre la liberté et la soumission.
    Comprendre l’islam, c’est admettre sa puissance historique de sidération et de conquête, ressurgie des siècles anciens, archéofuturiste et volontariste. Comprendre l’islam, c’est refuser de se soumettre à ses valeurs et d’admettre ses principes. Comprendre l’islam, ce n’est pas le mépriser, car il n’est pas méprisable, c’est le connaître, afin d’éviter l’islamisation de l’Europe qui déboucherait sur un cataclysme et une décadence.
    L’auteur s’exprime d’un point de vue aristotélicien.
    L’auteur : Guillaume Faye, auteur de nombreux livres, est l’auteur du blog gfaye.com ou J’ai Tout Compris. Conférencier en UE, en Russie et en Amérique du Nord, il est considéré comme un théoricien dissident de la « Nouvelle Droite ».
    Sommaire 
    Introduction : une nouveauté archaïque radicale
    I La nature historique de l’islam : l’invention du totalitarisme
    II Le processus d’islamisation de la France et de l’Europe
    III Les collaborateurs de l’islamisation et les résistants
    IV L’idéologie islamique : fractures, contradictions et ruses
    V L’Europe comme champ de bataille, Dar al-Arb
    VI Penser l’islam pour le prévoir
    Conclusion : éviter la défaite

    Ouvrage disponible ici
    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuVAupyAVBBhVQhHi.shtml
  • La Seine-Saint-Denis est un de ces départements où on se réclame ouvertement de l'Etat islamique

    Guylain Chevrier, membre de la mission laïcité du Haut Conseil à l'Intégration (2010-2013), docteur en histoire, déclare au Figarovox :

    "[...] La Seine-Saint-Denis pourrait dégager comme des ondes positives pour ces fous de dieu, même si des lieux plus neutres peuvent satisfaire à leurs desseins. Ceci étant, on sait combien ce département concentre une population issue de l'immigration où le culte musulman est particulièrement présent. On a vu s'y mettre en place un communautarisme qui fonctionne comme un marqueur, avec une tendance à la désertion de la mixité sociale, où les valeurs de la République passent à l'arrière-plan d'un religieux qui tient la place. Du MacDo 100% halal au coiffeur strictement réservé aux femmes avec une salle spéciale pour les femmes voilées, à l'IUT de Saint-Denis dont le directeur a été amené à fermer une salle confiée à une association communautaire transformée en salle de prière, le décor est posé. [...]

    La Seine-Saint-Denis, on le sait, est un de ces départements où on peut rencontrer des mosquées où le salafisme prolifère voire, où on se réclame ouvertement de l'Etat islamique. Un cadre qui peut être ressenti par des radicaux comme un milieu particulièrement favorable comme base d'organisation et de repli, de mise à l'abri, sans attirer l'attention. D'ailleurs, on apprend que le groupe a aussi pour une part, recruté en Seine-Saint-Denis. La jeune radicalisée morte lors de l'assaut, a sa famille à Aulnay-sous-Bois. [...]

    Il faut être très vigilant au regard d'une délinquance des mineurs qui est marquée par le laxisme judiciaire, qui les laisse dans l'idée d'une toute-puissance qui peut les faire se rêver en caïds, prêt à porter de l'exclusion qui joue contre eux, et en fait potentiellement des futures recrues de la radicalisation. Ces jeunes délinquants déjà en conflit avec la République peuvent être une proie facile pour les endoctrineurs, qui utilisent l'argument selon lequel elle serait contre eux parce que contre leur religion et donc un ennemi légitime, transformant leur délinquance, difficulté sociale, en instrument de guerre religieuse. [...]

    Les 150 mosquées radicales (chiffre du ministère de l'intérieur) qui en France appellent à la haine, se rejoignent dans des exhortations qui fondent la violence djihadiste. Ils jouissent d'une écoute, sans jamais avoir provoqué des dénonciations ciblées et publiques de la part des autres religieux musulmans, montrant qu'ils jouissent d'une impunité dans leur propre champ d'action religieux et dans des quartiers, et même bien au-delà. [...]

    Mais où vont-ils chercher la légitimité à un tel discours et les djihadistes leur Modus vivendi? Tout simplement dans le Coran, où on trouve des appels à la violence en faveur du jihad (guerre sainte), tels que contre les idolâtres, «saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez» et de façon plus générale envers les apostats et les mécréants, «Ceux qui ne croient pas dans nos versets, nous les brûlerons bientôt dans le feu» (4.56) «n'appelez point à la paix alors que vous avez la supériorité» (47.35)3. L'islam y est décrit comme religion et Etat, en lien avec l'affirmation d'un nouveau pouvoir politique et religieux au VIIe siècle, que le texte sacré sert, afin qu'il domine sur la terre. Chose qui est donc à replacer dans un contexte historique qui n'a plus cours, ce qui est le sentiment d'une large partie des musulmans, mais qui ne se traduit pas par une remise en cause de ces références mais le fait de les cacher, le Conseil Français du Culte Musulman lui-même ne sachant répéter autre chose que «l'islam est une religion de paix», créant la suspicion.

    A vouloir absolument nous dire que le djihadisme n'aurait rien à voir avec l'islam, cela ne permet pas de désamorcer, de déjouer ce risque, cette entrée vers le terrorisme. Tant qu'un travail de désacralisation de ces références ne sera pas fait et assumé, il y aura danger. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Génération Rantanplan...

    Lorsqu’une nation est aussi férocement et sauvagement agressée, on s’attendrait à sentir le sol et les murs de la maison commune trembler sous la violence du rugissement de colère et de rage de son peuple, terrifiant cri de la bête blessée relevant la tête dans un violent soubresaut d’orgueil et de courage pour mordre sans pitié la main qui l’a frappé.
    Or, depuis vendredi dernier, l’atmosphère n’est saturée que d’un long miaulement femelle, un vaste gémissement tragique et pleurnichard, un immense sanglot fienteux expurgé par des millions de bouches tremblotantes et hagardes, postillonnant spasmodiquement leur incompréhension terrorisée.
    « Mais pourquoi nous ? Pourquoi nous ? » répète inlassablement le bobo libéral-libertaire recroquevillé en position fœtale sur la moquette 100% fibres naturelles de son loft rénové du 11e arrondissement. « Pourquoi moi et mes frères, pourquoi mes semblables, ces gens bien éduqués, tolérants, ouverts, antiracistes jusqu’à l’extrême limite du trognon, écolos-sympas et gay-friendly ? ». Entre deux crèmes de jour et un tri sélectif, il s’interroge profondément. Et il a raison. En effet, pourquoi frapper la génération bisounours, celle qui aime tout le monde sauf, bien sûr, les sales fachos et, bien entendu, ses ignobles ancêtres obscurantistes et esclavagistes ? Pourquoi eux, qui ne cessent de répéter que l’Islam est une religion de paix et de fraternité qui a toute sa place en Europe, eux qui étaient prêts à toutes les acceptations et les reptations pour ne pas froisser la susceptibilité de nos hôtes mahométans, glorieux rédempteurs de toutes les vilénies et de toutes les tares d’un Occident criminel ? Pourquoi eux qui ne demandaient pas mieux que de faire de nouvelles pipes aux Muzz et autres minorités de tous poils ? A l’horreur, s’ajoute donc l’injustice. Inimaginable. Insupportable. Si au moins ils avaient liquidé Marine, Zemmour ou Houellebecq, il y aurait une logique, une cohérence. Mais là ? C’est le camp du bien qu’on attaque, ce sont ceux qui avaient tous les brevets de citoyenneté mondiale et d’amour sans frontières qu'on assassine. Scandale dans le scandale, abomination dans l’abomination ! Comment peut-on haïr à ce point des gentils ? Face à cette interrogation déstabilisante, empressons-nous d’ajouter des fleurs dans nos cheveux et allons vite nous trémousser à Bastille sur du John Lennon, transe cathartique et expiatoire pour somnambules trop soudainement éveillés et désirant retourner au plus vite dans les limbes cotonneuses du sommeil médiatico-bien pensant. La narcolepsie, ultime remède au réel. Ressortons aussi les vieux drapeaux « Peace and love » mités, les arcs-en-ciel délavés, et dégueulons d’un amour si général, si global, si diffus, si incantatoire, qu’il devient sans consistance ni objet. On n’aime plus quelqu’un ou quelque chose, on aime tour court. Même ce qui nous tue. J’aime tout parce que je ne suis plus rien. Suicide collectif et festif par overdose d’amour universel.

  • Les anonymous démasquent un compte youtube islamiste qui explique comment réaliser toutes sortes de détonateurs via un telephone…

    MPI relaye ce mail reçu des Anonymous :

    Bonsoir,

    Nous avons suite aux événements de vendredi 13 novembre à Paris, lancé une cyber-resistance contre l’État islamique.
    Nous avons donc chercher, fouiner absolument tous le net à la recherche d’informations, de comptes, de liens en rapport avec Daesh. Afin d’envisager une cyber-attaque comme certains médias et réseaux sociaux l’ont révélés il y a quelques jours.

    Un de nos membres est tombé sur la chaîne YouTube d’un groupe islamique « BRIGAD MUSLIM CYBER » présentant des vidéos dont certaines vu 100 000 fois. Ces vidéos montrent comment réaliser tous sortes de détonateurs via un telephone, une sonnette….
    Mais que font les autorités ? Que font les personnes censées sécuriser ces grands sites ?

    Nous sommes Anonymous,
    Nous sommes legions,
    Nous n’oublions pas,
    Nous ne pardonnons pas,
    Redoutez-nous.

    chaine_youtube_terroriste

    Que fait le gouvernement français ? Les cyber policiers sont-ils trop occupés à traquer les messages « racistes » et « antisémites » sur facebook pour oublier malencontreusement ce type de comptes et de vidéos ?

    http://www.medias-presse.info/les-anonymous-demasquent-un-compte-youtube-islamiste-qui-explique-comment-realiser-toutes-sortes-des-detonateurs-via-un-telephone/44238

  • Jawad Bendaoud, le « naïf » logeur des terroristes : un caïd qui avait tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans en 2008

    Le jour de l’assaut donné par la police à Saint Denis, BFM TV interrogeait la personne chez qui étaient logés des terroristes ayant participé aux attentats du 13 novembre.

    Avec un aplomb coutumier chez ce type d’individu, l’homme joue les naïfs comme on peut le voir dans cette video :

    On apprend par la suite dans le Figaro que ce Jawad Bendaoud est décrit «dans son quartier, surtout comme «un chef de rue»  » et surtout qu’il a été « condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans pour une obscure histoire de portable, déjà dans la rue du Corbillon, décidément mal famée ». Et que « à part ses années de prison pour coups mortels entre 2008 et 2013, il cumule 13 condamnations depuis 2010: stupéfiants, détention d’armes aggravée en réunion, faux et usage de faux, conduite en état d’ivresse et sous l’emprise de stupéfiants, violences conjugales, violences aggravées en réunion. »

    Vous ne rêvez pas : il tue un adolescent de 16 ans à coups de hachoir, et il ne prend que 8 ans sans bien sûr être expulsé (avec déchéance de la nationalité le cas échéant), et il n’en fait que 5…

    http://www.contre-info.com/jawad-bendaoud-le-naif-logeur-des-terroristes-un-caid-qui-avait-tue-a-coups-de-hachoir-un-adolescent-de-16-ans

  • L'état d'urgence, cette "divine surprise" de la République...

    Notre société de communication a tendance à ne pas toujours savoir hiérarchiser les informations, au risque de « distraire » des véritables sujets et débats importants : ainsi, la vague récente d’attentats, désormais bien instrumentalisée par le gouvernement et par le président lui-même à leur profit politique et électoral, a failli nous faire oublier que, durant l’état d’urgence, les problèmes persistent et, même, peuvent trouver dans l’actualité des raisons de prospérer, tandis que les grands dossiers, eux, subsistent malgré l’indifférence à leur égard en ces heures particulières…

    Ainsi, du chômage : même s’il reste, a priori, le premier souci de nos concitoyens, il semble désormais passer au second plan des préoccupations de nos gouvernants et des partis, comme s’il s’inscrivait un peu plus dans une « normalité » qui rassurerait presque en ces heures agitées. Vous croyez que j’exagère ? Alors, lisez la presse écrite, réécoutez les bulletins d’informations de ces dernières semaines, et vous pourrez aisément constater par vous-mêmes cette étrangeté ! Pourtant, la lutte contre le chômage est sans doute un des moyens de donner une moindre prise aux discours des islamistes qui se nourrissent aussi, mais pas seulement, du ressentiment social des déclassés et des populations délaissées. Un emploi ne préserve pas de la tentation totalitaire, mais il peut l’éloigner, par la simple satisfaction de l’utilité sociale personnelle.

    Autre victime collatérale des attentats et de l’état d’urgence, la question régionale qui, pourtant, aurait dû être au centre des débats électoraux de l’automne, autour des élections qui se dérouleront dans quelques semaines en France. La réforme bâclée de la carte des régions et de leurs attributions, ces dernières années, aurait mérité une vaste contestation et l’ouverture d’un « front » des régionalistes (au sens large du terme, et non seulement des partisans du régionalisme) sur les questions linguistiques, celles des pouvoirs régionaux et de leurs compétences, celles aussi des responsabilités de l’Etat et de son idéologie dominante dans la mauvaise gestion de l’aménagement du territoire et des terroirs. Mais rien de tout cela ne sera évoqué et seul le score du Front National semble intéresser et « inquiéter » avec gourmandise les médias, quand la revendication du rattachement de Nantes à la Bretagne, par exemple, n’arrive plus à traverser le rideau de brouillard des journaux locaux et nationaux…

    Est-il nécessaire d’ajouter à cette liste la question environnementale et climatique qui, en prévision de la COP 21, devait être l’occasion de forums, de marches et de manifestations, parfois contestataires, et dont les nombreux débats se résument aujourd’hui à l’évocation de grands principes sans beaucoup de risques d’application concrète ? L’interdiction de toute activité de rue et, donc, de toute manifestation sur la voie publique jusqu’au 30 novembre (avant une nouvelle prolongation ?), évite au gouvernement de la République la crainte d’une remise en cause de son hypocrisie sur ce sujet pourtant majeur pour les décennies et les générations qui viennent.

    Je ne dirai pas que les attentats ont servi la République dans ses organes institutionnels et je ne méconnais pas la réelle émotion du Chef de l’Etat devant la tragédie du vendredi noir, ni ne la remets en cause. Néanmoins, je ne suis pas loin de penser que l’état d’urgence proclamé au soir du drame est désormais vu par certains, y compris au gouvernement, comme « une divine surprise » qui permet de limiter, sinon l’esprit critique, du moins l’affirmation trop visible ou bruyante de celui-ci…

    Que l’on ne se méprenne pas : je suis partisan de ne rien céder au terrorisme du moment, et je comprends bien la prudence nécessaire de l’Etat et, au-delà, de la nation toute entière face aux risques de nouvelles poussées de violence djihadiste. Mais je ne pense pas que l’état d’urgence soit la seule réponse et la mieux adaptée à la situation actuelle : c’est chaque jour que notre société doit répondre aux défis lancés par la terreur totalitaire, non par le coup de menton, mais par la valorisation de ce qu’est, historiquement et sentimentalement, la France et de ce qui fait son unité profonde, à travers ses racines diverses et ses fleurs originales. Au-delà, il faudra bien, aussi, poser la question de la meilleure réponse institutionnelle politique à cette diplomatie de la terreur de l’Etat Islamique et de ses épigones, et mesurer combien un Etat digne de ce nom, symbole de l’âme de la France et de l’unité de ses communautés comme de ses citoyens, pourrait être le meilleur moyen d’affronter les tempêtes, contemporaines comme futures, qui s’abattent ou qui s’annoncent sur notre terre, sur ce « royaume de France » qu’évoquait Charles Péguy à la veille de 1914, et qui attend, encore et toujours, son Prince français…

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Migrants : Quand les médias dénonçaient « le fantasme de l’infiltration terroriste »

    Après avoir dénoncé l’hypothèse de terroristes parmi les « réfugiés » ; après avoir moqué et parfois psychiatrisé ceux qui affirmaient l’inverse, c’est désormais le sauve-qui-peut dans les rédactions.

    Certains médias bidouillent leurs articles écrits durant ces dernières semaines, d’autres les suppriment carrément d’Internet, tous s’enferment dans un silence hautain et font comme si de rien n’était. Par leur désinformation, certains journalistes sont pourtant complices des attentats. Faut-il exiger qu’ils rendent des comptes ?

    Athènes et Belgrade ont confirmé que le passeport syrien retrouvé à côté d’un kamikaze à Saint-Denis était celui d’un migrant arrivé en Europe par la Grèce et enregistré le 3 octobre sur l’île de Leros. Du nom de Ahmed Almuhammed, ce candidat au statut de réfugié en Europe avait par la suite été enregistré en Serbie, puis en Croatie, en Autriche, en Allemagne… avant de se retrouver le 13 novembre devant le Stade de France, une ceinture d’explosifs autour de la taille. Les empreintes relevées sur le terroriste correspondent bel et bien à celles relevées en Grèce si bien que le doute n’est plus possible. Deux autres terroristes auraient effectué le même parcours et certains dirigeants européens n’hésitent plus désormais à établir un lien direct entre les attentats et la vague de migration que subit l’Europe depuis quelques mois.

    Dès juillet dernier, Michèle Coninsx, présidente de l’agence européenne chargée de la coopération judiciaire Eurojust avait indiqué à l’agence Associated Press avoir été informée de cas de combattants de l’EI se faisant passer pour des réfugiés. Les médias dans leur majorité ont pourtant choisi de traiter cette information capitale comme un « fantasme », de nier l’hypothèse pour ne pas donner des arguments aux « anti-migrants » et de culpabiliser ceux qui s’effrayaient légitimement de cette possibilité.

    Les terroristes « ne se mêlent pas aux réfugiés » affirmait ainsi doctement Ouest-France le 14 septembre dernier. Le journal qualifiait carrément l’hypothèse de « ridicule », tout comme BFMTV s’appuyant sur une parole d’ « expert ». Le 9 septembre, Pauline Moullot (Libération) brocardait l’hebdomadaire Valeurs Actuelles qui mettait en garde contre une arrivée de terroristes par ce biais.

    « Le fantasme de l’infiltration terroriste », titrait de son côté France Inter avec cette morgue caractéristique des idéologues. Au lendemain des attentats, dans un acte d’une lâcheté inouïe, la rédaction changeait en douce son titre sur Internet par « Des terroristes parmi les migrants ? », légitimant rétroactivement la question qu’elle interdisait alors. Quel courage de poser cette question le 14 novembre après la découverte du passeport ! L’article parlait de l’hypothèse d’une infiltration comme d’un « chiffon rouge agité par l’extrême-droite pour faire peur aux Français ». Était-il tellement absurde d’agiter ce chiffon-rouge ? Est-ce vraiment l’extrême-droite qui fait aujourd’hui peur aux Français ? Est-ce l’extrême-droite qui a provoqué la panique le vendredi 13 novembre et vidé les rues de Paris le lendemain ? Aucune réponse de la rédaction en question. « Quand on fait une demande d’asile, on laisse nécessairement ses empreintes », écrivait Géraldine Hallot, l’auteur de l’article, avec le sentiment d’avoir trouvé l’argument définitif contre le « chiffon rouge ». En effet, le terroriste a laissé des empreintes en Grèce et alors ? Cela ne l’a pas empêche de se faire sauter aux abords du stade de France.

    Capture d’écran 2015-11-18 à 14.43.27

    « Complément d’enquête », le 15 octobre dernier, se moquait de la « parano hongroise » en général et de la télévision hongroise en particulier, laquelle faisait bien entendu œuvre de propagande en voyant « des terroristes partout, y compris chez les migrants ». Et si c’était « Complément d’enquêtes » qui s’était livré à la pire des propagandes en niant l’ampleur de la menace pour des raisons de basse idéologie ? « Des terroristes parmi les migrants ? Ce fantasme semble faire des ravages en Hongrie, notamment à la télévision », affirmait le reportage. Fantasme : « production de l’imagination par laquelle le moi cherche à échapper à l’emprise de la réalité », explique le Robert. Qui a fantasmé ? Ceux qui affirmaient que des terroristes se mêlaient aux migrants ou ceux qui affirmaient que c’était un fantasme ridicule ? Le 13 novembre a apporté la réponse.

    Mais celui qui s’est le plus enfoncé dans ce déni idéologique a une fois de plus été Thomas Guénolé qui dénonçait le 28 septembre dans L’Obs « l’islamo-psychose » dans laquelle avaient selon lui sombré les Français. Il demandait à ses compatriotes de cesser de « fantasmer », là encore, et tenait les arguments de l’infiltration et du danger représenté par l’islam comme une « une rhétorique pseudo-culturelle dangereuse car elle ne tient absolument pas compte du réel ». Le politologue brodait ainsi tranquillement sur la psychose et le « réel », rejetant ceux qui voulaient alerter leurs compatriotes sur les risques que faisait courir ces migrations démentes dans la catégorie des malades mentaux : « Concept venu de la psychiatrie, la psychose désigne une perte de contact avec le réel, au profit d’une perception fantasmée et délirante de la réalité. La psychose peut parfaitement porter sur un thème politique : auquel cas, sous le masque de l’opinion l’on assiste en fait à un cas d’école de troubles psychotique », écrivait-il en effet. Mais au fait : qui a perdu contact avec le réel ? Qui a une perception délirante de la réalité en s’imaginant vivre dans le pays des Bisounours ? Le 13 novembre, là encore, a apporté la réponse.

    Et à présent ? Certaines rédactions comme RTL font purement et simplement disparaître leurs articles brocardant le « fantasme », d’autres prennent laconiquement acte de la réalité de l’infiltration, mais aucune ne s’explique sur cette désinformation de masse qui depuis le 13 novembre a du sang sur les mains.

    Source : OJIM – Observatoire des journalistes et de l’information médiatique

    http://la-dissidence.org/2015/11/18/migrants-quand-les-medias-denoncaient-le-fantasme-de-linfiltration-terroriste/

  • Bruxelles ville morte par crainte des attentats

    La crainte d’attentats sur le modèle de ceux de Paris a placé Bruxelles en état de siège : armée et police déployées dans les rues, commerces et transports fermés.

    Face à une menace « imminente », le gouvernement belge a relevé dans la nuit de vendredi à samedi son niveau d’alerte terroriste à 4 pour la région bruxelloise, l’aéroport de Bruxelles et la commune flamande de Vilvorde, d’où sont issus plusieurs jeunes qui se sont radicalisés. Un homme a en effet été arrêté et inculpé de participation à des attentats terroristes. Suite à cette arrestation, les enquêteurs sont à la recherche d’au moins deux hommes dont l’un transporterait une bombe, du type de celles actionnées par les kamikazes lors des attaques menées à Paris le 13 novembre.

    Dès samedi, Bruxelles était « en alerte maximum », autrement dit en état de siège avec l’armée et la police massivement déployées, par crainte d’une réplique des attentats de Paris, dont un suspect-clé est toujours traqué.
    Mesure la plus spectaculaire : la fermeture de toutes les stations de métro, au moins jusqu’à dimanche après-midi, avant une nouvelle réévaluation de la situation par les autorités. Les centres commerciaux, les complexes cinémas, la plupart des musées sont également restés porte close samedi. Les marchés, les compétitions sportives ont aussi été annulées, donnant à Bruxelles des allures de ville morte. Un concert de Johnny Hallyday a également été annulé samedi soir dans la capitale, où un important dispositif policier et militaire était déployé.
    Et samedi soir, sur recommandation du bourgmestre (maire) de Bruxelles, la plupart des cafés et restaurants du centre-ville ont fermé leurs portes.

    http://fr.novopress.info/