Dans l’émission en direct du 22 novembre 2015, Alain Soral analysait, entre autres, les attentats du 13 novembre. Nous diffusons aujourd’hui cet extrait en accès libre.
Source: Egalité & Réconciliation
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Dans l’émission en direct du 22 novembre 2015, Alain Soral analysait, entre autres, les attentats du 13 novembre. Nous diffusons aujourd’hui cet extrait en accès libre.
Source: Egalité & Réconciliation
MONDE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Dans un entretien à l’agence de presse Sputnik, le major-général au service de renseignement de l’Armée syrienne libre, Hosam Al-Awak a déclaré « Nous avons à notre disposition des photos représentant des contrats pétroliers signés entre la Turquie et le groupe terroriste Daech ».
Dans cet entretien-choc, nous apprenons que la Turquie soutient l’État islamique depuis 2011 « Depuis le début de la crise syrienne, en 2011, la Turquie continue à soutenir par tous les moyens les islamistes radicaux et djihadistes syriens dans leur lutte contre les groupes modérés », a-t-il souligné.
Pour le major-général, « Les Frères musulmans de Syrie, couvrant cette activité, coopéraient avec lesdites organisations pour éliminer l’Armée syrienne libre, ainsi que d’autres groupes modérés ».
Cela ouvrirait-il une recomposition des alliances ?
Alors que les Russes soutiennent fermement Bachar Al-Assad, l’Armée syrienne libre qui cherche à le détrôner depuis 2011, souhaite s’allier.
C’est ce que déclare le major syrien dans cet entretien : « Nous estimons que la Russie est une alliée par excellence. Face à la crise syrienne, les Russes pourraient sans aucun doute coopérer avec toutes les factions modérées, y compris l’Armée syrienne libre », a poursuivi le militaire.
Et de souligner : « Le cas échéant, l’implication russe dans le conflit syrien portera ses fruits. À l’avenir, nous comptons défendre les intérêts russes en Syrie ».
Outre les subventions, les associations politiques se nourrissent des condamnations dont la justice les fait bénéficier. Dernière victime en date, l'hebdomadaire Valeurs actuelles condamné à 2000 € d’amende, un euro de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ainsi qu’à SOS Racisme, 500 euros de dommages et intérêts à la Maison des potes ainsi qu’à la Licra :
"Pourquoi ? Pour avoir mis une Marianne voilée en couverture et avoir mis en titre : «Naturalisés l'invasion qu'on nous cache», et avoir écrit : «Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls», «Islam, immigration: comment la gauche veut changer le peuple», «Le poids des musulmans n'a cessé d'augmenter».
Sic. Il est aujourd’hui interdit d’écrire cela en France. Il est interdit d’écrire des évidences quand ces évidences évoquent l’une des deux religions d’Etat (l’autre étant le laïcisme, protégé par la même dictature)."
L’appel de la « génération de la crise » initié par l’UNEF pour dénoncer la dérive guerrière et sécuritaire de l’état d’urgence apparaît totalement déplacé aux yeux de Louis Manaranche.
Comment nous situons-nous dans l’histoire ? Deux semaines après la déclaration d’état d’urgence par le Président de la République commencent à se faire entendre des voix dénonçant non seulement les abus que l’on constaterait ici ou là, mais le principe même de mesures exceptionnelles pour répondre à la situation présente. L’exemple le plus significatif est l’appel de « la génération de la crise », initié par l’UNEF et co-signé par d’autres associations militantes. La dialectique qui s’y déploie est pour le moins surprenante : « D’un côté, (...) une dérive guerrière et sécuritaire, qui traduit la montée de la violence et la recherche d’un ennemi intérieur. De l’autre, (...) la construction de la paix, en faisant le choix de renforcer la démocratie. » Tout consentement à l’idée d’un temps extraordinairement troublé est repoussé au prétexte que ce serait un « piège » tendu par les terroristes, tandis que la réponse la plus adéquate serait cet imprécis renouveau démocratique, reposant sur la « constitution d’espaces d’échange, de débat et d’engagements ouverts à l’ensemble des jeunes ». Le principe même d’un moment où doit s’opérer un discernement particulier, entraînant des mesures elles aussi particulières, est refusé au profit d’une déclaration caricaturale : « Nous refusons un état d’urgence permanent. » S’il s’agit là du simple refus d’une modification constitutionnelle, il n’est évidemment pas scandaleux d’exprimer une telle opinion. De même, on ne saurait considérer d’un oeil goguenard comme utopique la salutaire exhortation à être des artisans de paix. La France et le monde en ont bien besoin. [...]
La suite sur Le Figaro.vox
http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-jeunesse-la-guerre-et-l
Lorsqu’une nation est aussi férocement et sauvagement agressée, on s’attendrait à sentir le sol et les murs de la maison commune trembler sous la violence du rugissement de colère et de rage de son peuple, terrifiant cri de la bête blessée relevant la tête dans un violent soubresaut d’orgueil et de courage pour mordre sans pitié la main qui l’a frappé.
Or, depuis vendredi dernier, l’atmosphère n’est saturée que d’un long miaulement femelle, un vaste gémissement tragique et pleurnichard, un immense sanglot fienteux expurgé par des millions de bouches tremblotantes et hagardes, postillonnant spasmodiquement leur incompréhension terrorisée.
« Mais pourquoi nous ? Pourquoi nous ? » répète inlassablement le bobo libéral-libertaire recroquevillé en position fœtale sur la moquette 100% fibres naturelles de son loft rénové du 11e arrondissement. « Pourquoi moi et mes frères, pourquoi mes semblables, ces gens bien éduqués, tolérants, ouverts, antiracistes jusqu’à l’extrême limite du trognon, écolos-sympas et gay-friendly ? ». Entre deux crèmes de jour et un tri sélectif, il s’interroge profondément. Et il a raison. En effet, pourquoi frapper la génération bisounours, celle qui aime tout le monde sauf, bien sûr, les sales fachos et, bien entendu, ses ignobles ancêtres obscurantistes et esclavagistes ? Pourquoi eux, qui ne cessent de répéter que l’Islam est une religion de paix et de fraternité qui a toute sa place en Europe, eux qui étaient prêts à toutes les acceptations et les reptations pour ne pas froisser la susceptibilité de nos hôtes mahométans, glorieux rédempteurs de toutes les vilénies et de toutes les tares d’un Occident criminel ? Pourquoi eux qui ne demandaient pas mieux que de faire de nouvelles pipes aux Muzz et autres minorités de tous poils ? A l’horreur, s’ajoute donc l’injustice. Inimaginable. Insupportable. Si au moins ils avaient liquidé Marine, Zemmour ou Houellebecq, il y aurait une logique, une cohérence. Mais là ? C’est le camp du bien qu’on attaque, ce sont ceux qui avaient tous les brevets de citoyenneté mondiale et d’amour sans frontières qu’on assassine. Scandale dans le scandale, abomination dans l’abomination ! Comment peut-on haïr à ce point des gentils ? Face à cette interrogation déstabilisante, empressons-nous d’ajouter des fleurs dans nos cheveux et allons vite nous trémousser à Bastille sur du John Lennon, transe cathartique et expiatoire pour somnambules trop soudainement éveillés et désirant retourner au plus vite dans les limbes cotonneuses du sommeil médiatico-bien pensant. La narcolepsie, ultime remède au réel. Ressortons aussi les vieux drapeaux « Peace and love » mités, les arcs-en-ciel délavés, et dégueulons d’un amour si général, si global, si diffus, si incantatoire, qu’il devient sans consistance ni objet. On n’aime plus quelqu’un ou quelque chose, on aime tour court. Même ce qui nous tue. J’aime tout parce que je ne suis plus rien. Suicide collectif et festif par overdose d’amour universel.
Source : A moy que chault !
Donc, le terrorisme jihadiste n’a rien à voir avec l’islam. OK. Même si je n’arrive quand même pas à comprendre comment le « jihad », mot du Coran, n’a rien à voir avec l’islam.
Le ministre de l’Intérieur, pour qui « ce n’est pas un délit de prôner le jihad », déclare qu’il a fermé trois mosquées où l’on prône le jihad. OK. Si on commençait à vérifier la cohérence des paroles et des actes des gouvernants, on n’en sortirait pas.
Mais le problème se complique. Car il faut donc désormais comprendre que ces mosquées où l’on prêche l’islam n’ont rien à voir avec l’islam. Et même Bernard Cazeneuve parle d’une école coranique clandestine dans une de ces mosquées. Une école où l’on apprend le Coran qui n’a rien à voir avec l’islam.
Là ça devient vraiment difficile.
C’est comme ce mot de « radicalisation » et de « radicalisés ». Il semble qu’il ne s’agisse ni des radicaux de gauche ni des radicaux valoisiens, qui sont pourtant les radicalisés historiques, essentiellement des radicalisés du laïcisme. Qui sont donc les « radicalisés » que l’on recherche ? Car s’ils n’ont rien à voir avec l’islam, qu’est-ce qu’ils peuvent bien radicaliser ? On ne radicalise pas le rien, on ne peut radicaliser qu’une doctrine. Or ça n’a rien à voir avec l’islam, nous affirme-t-on. Quel mystère…
Selon la presse de juin 2015, le ministère de l'Intérieur recensait 89 mosquées radicales sur le sol français.
3 mosquées ont été fermées depuis la semaine dernière dans le cadre de l'état d'urgence, a annoncé le ministre de l'Intérieur.
A 3 par semaines, peut-on espérer que d'ici 6 mois ces mosquées soient toutes fermées ?
Quatre PEGIDA organisent le dimanche 13 décembre 2015 à 14h un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle en Allemagne : PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie des discours se tiendront en français. En savoir plus cliquez là