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  • Combien de temps avant la « Purge » ?

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    Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .

    On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.

    On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.

    Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.

    Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.

    Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?

    Marc Eynaud

    http://www.bvoltaire.fr/combien-de-temps-avant-la-purge/

  • Retraite par points : la misère en perspective

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    La réforme la plus radicale de Macron

    C’est peut-être la réforme la plus radicale d’Emmanuel Macron : l’institution d’un régime universel de retraites par points. Et, curieusement, dans un pays réputé conservateur et adepte des polémiques, cette réforme semble faire son bonhomme de chemin tranquillement, poussée par le tout aussi bonhomme Jean-Paul Delevoye. L’emballage égalité-universalité-simplicité et le slogan bébête « pour qu’un euro cotisé rapporte la même chose à tous » semblent avoir tué tout esprit critique. Est-ce justement sa radicalité qui lui vaut un attentisme plutôt positif des Français ? Ou le fait qu’ils aient la tête ailleurs, dans le budget carburant par exemple ? Or, cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…

    Heureusement, un économiste vient de tirer la sonnette d’alarme pour arracher les Français à cette indifférence dans laquelle MM. Macron et Philippe aimeraient les maintenir. Car cette réforme sera redoutable pour les futurs retraités en les condamnant à la paupérisation.

    Dans Les Échos, Christian Saint-Étienne, professeur d’économie au CNAM, démasque l’objectif véritable de cette réforme :

    « Le but réel du régime de retraite par points est de baisser les retraites sans le dire et en faisant sauter tous les systèmes de solidarité inclus dans le système actuel. »

    Et il précise le rôle du fameux « point » dans cette stratégie de laminage des retraites :

    « La valeur du point peut baisser aussi bien que monter : compte tenu de l’état de l’économie française, il aura tendance à baisser, y compris une fois que vous êtes déjà parti à la retraite, car il sera calculé chaque année. »

    La réforme sera aussi un moyen de rayer les avantages pour enfants qui, pour les parents de famille nombreuse, constituaient une compensation pour les années d’arrêt et, désormais, pour les années de décote.

    Loin d’ignorer les contraintes financières et de prôner le statu quo, Christian Saint-Etienne propose une certaine convergence des régimes existants en continuant à jouer sur les durées de cotisation et l’âge de départ, tout en maintenant trois systèmes différents : « le premier pour la totalité du secteur privé hors indépendants, le deuxième pour les indépendants et le troisième pour le secteur public ». On ne voit pas pourquoi, en effet, à situations différentes, on ne devrait pas maintenir des systèmes différents, et les arguments qu’il avance sont convaincants.

    Par ailleurs, Christian Saint-Étienne a perçu tout ce que peut avoir d’anxiogène cette incertitude sur l’avenir des retraites et de leur montant :

    « La vérité au sein d’un régime paramétré rénové est infiniment préférable à la variabilité d’un régime à points qui prépare un appauvrissement spectaculaire des classes populaires à terme. »

    Son titre affichait aussi l’enjeu : « La retraite par points : un désastre annoncé. »

    Désormais, la question est de savoir si le désastre annoncé, ce sera pour les Français condamnés à une retraite calculée dans cette nouvelle monnaie de singe que sera le « point » ou pour Emmanuel Macron, le liquidateur historique de leurs retraites. Il paraît que le gouvernement a décidé de repousser la présentation de cette réforme après les élections européennes. Une raison de plus pour voter en mai prochain.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/retraite-par-points-la-misere-en-perspective/

  • Marc Rousset : Le tsunami financier sera déclenché par l’envolée des taux d’intérêt

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    Selon Claudio Borio, économiste en chef de la BRI (Banque des règlements internationaux), « il ne reste plus beaucoup de médicaments dans la pharmacie pour soigner le patient ou le soigner en cas de rechute ».

    Les nuages sont nombreux à l’horizon : guerre commerciale sino-américaine, ralentissement économique en Chine, budget italien explosif, négociations sur le Brexit, un prince assassin fragilisé en Arabie saoudite et, surtout, les premiers effets du resserrement monétaire avec des taux d’intérêt en hausse.

    Le projet de budget italien pour 2019 prévoit un déficit augmenté de 22 milliards d’euros, à 2,4 % du PIB, multiplié par 3, très éloigné des 0,8 % promis par le précédent gouvernement de centre gauche. L’ancien Premier ministre Matteo Renzi, qui était dans les bonnes grâces de Bruxelles, avait pu proposer des déficits de 2,9 % pendant trois années d’affilée. C’est la raison pour laquelle Matteo Salvini répète à qui veut l’entendre « Me ne frego » (« Je m’en fous »), le cri de ralliement des chemises noires de Mussolini pendant les années 1930. Juncker, de son côté, estime le budget inacceptable, d’où un dialogue de sourds.

    L’Italie est un véritable volcan financier car les banques italiennes détiennent non seulement 350 milliards de créances pourries (22 % du PIB), mais aussi 387 milliards d’euros de la dette publique dont la valeur s’érode, ce qui entraîne inéluctablement des pertes et la diminution de leurs capitaux propres. Les taux actuels de 3,58 % de la dette publique italienne (131 % du PIB) ont toutes les chances de s’envoler, avec une possible dégradation de la note souveraine fin octobre. L’écart avec le taux allemand à 10 ans de 0,46 % est déjà de 3,12 %. Le calme avant la tempête.

    La dette chinoise totale représente 250 % du PIB, d’où le durcissement des conditions de crédit, la diminution des investissements publics et des projets de « nouvelles routes de la soie », le ralentissement de la croissance autour de 6 %, soit son plus bas niveau depuis neuf ans, et la chute de 20 % de la Bourse de Shanghai.

    Aux États-Unis, la probabilité est grande pour que la Fed continue de resserrer la vis monétaire en vendant 50 milliards de dollars d’obligations par mois, ce qui commence à se ressentir sur les taux obligataires, désormais à 3,23 %, soit le plus haut niveau depuis 2011. La Fed souhaiterait aussi augmenter le taux d’intérêt à court terme de 2,25 % à 2,50 %, le 19 décembre, afin de prévenir l’inflation et de pouvoir baisser les taux si, demain, une récession apparaît. Trump pratique, en fait, une relance budgétaire très dangereuse de « fuite en avant » à contretemps. Les programmes militaires sont en hausse de 6 %, pour atteindre le chiffre ahurissant de 601 milliards de dollars, tandis que les impôts diminuent. Le déficit budgétaire 2019 atteindra 1.000 milliards de dollars ; l’endettement de la consommation atteint les 4.000 milliards de dollars et la dette publique devrait s’élever à 40.000 milliards en 2030, soit le double de la dette actuelle !

    Le grand krach de 1929 a commencé quand les actions s’évaluaient à trente fois leurs gains annuels. Aujourd’hui, elles représentent presque 10 % de plus. Mais il semble aussi que les taux à dix ans des obligations, après avoir chuté régulièrement pendant quarante ans depuis 1980, repartent à la hausse, ne serait-ce que pour éviter le croisement illogique des courbes d’intérêt à court terme et à long terme. Or, de 1940 à 1980, soit pendant le même laps de temps, cela avait été exactement le contraire, avec une hausse continue des taux d’intérêt jusqu’à près de 16 % en 1980. Nous sommes donc à la veille d’un gigantesque krach des actions et des obligations. Les banquiers centraux contrôlent plus difficilement les taux obligataires que les taux à court terme. Pour certains observateurs, le krach obligataire a même déjà commencé en Italie et aux États-Unis.

    Les capitaux propres des banques européennes, dans une union monétaire et bancaire incomplète, sont incapables de faire face à un krach boursier, obligataire et bancaire. Les capitaux propres de la BNP s’élèvent à 107 milliards d’euros, soit 5 % seulement des 1.960 milliards d’euros de son bilan – une taille comparable au PIB de la France. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de banques centrales, dans le monde, achètent à nouveau de l’or. Tous nos malheurs ont commencé il y a cinquante ans, lorsque Nixon annonça, le 15 août 1971, la fin de la convertibilité du dollar en or !   

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

    Le communiqué de la Dissidence française :

    Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

    MOBILISATION GÉNÉRALE !

    Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

    Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

    RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
    PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

    L'appel de Vincent Vauclin :

  • Délivrer les Français de l’emprise des médias

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle ♦ Les médias représentent aujourd’hui le premier pouvoir, avant le judiciaire, l’exécutif et le législatif. Mais s’ils dominent les politiques, ils ont aussi placé les Français sous influence. Tous adeptes de la pensée unique, ils cherchent à les endoctriner en utilisant les méthodes classiques de manipulation de l’opinion. Les Français se trouvent dès lors privés d’informations objectives et soumis à une propagande qui n’est pas sans effet. Ligne droite considère donc comme essentiel de délivrer nos compatriotes de cette emprise et pour ce faire d’imposer la pluralité aux médias.

    La mise sous influence des Français

    Aujourd’hui, ceux-ci contrôlent en effet la vie nationale. Ils ont pris le pas sur le pouvoir politique, mais ils se sont aussi imposés auprès des autres acteurs du pays. Il n’est guère d’activité qui échappe à leur impérium. Les entreprises les craignent, les fonctionnaires et les professionnels aussi. Ils font et défont les carrières et décident de ce qu’il faut penser. Ce sont eux qui désignent ceux qu’on doit aimer et ceux qu’il est bon de détester.

    Or, ce pouvoir d’influence n’est évidemment pas neutre idéologiquement ni politiquement. Derrière l’affichage d’un pseudo-professionnalisme souvent caricatural, ce sont les mêmes mots d’ordre et les mêmes techniques qui sont utilisés, quel que soit la chaîne ou le support, pour défendre et promouvoir l’idéologie du Système.

    Une atteinte aux libertés et à la démocratie

    Dès lors, soyons clairs, les Français se retrouvent dans une situation comparable à celle des citoyens des démocraties populaires à l’époque de l’URSS. S’ils ne risquent pas le Goulag, ils sont en revanche confrontés à un système médiatique totalement verrouillé ainsi qu’à une idéologie officielle qui leur est imposée. Et s’il n’y a pas de médias officiels, la configuration n’en est que plus malsaine, car elle est dissimulée au point que beaucoup de Français n’ont pas conscience d’être la cible d’une manipulation. Nos compatriotes sont ainsi privés d’informations objectives et soumis à un endoctrinement caractérisé. Et malgré leur esprit critique, nombre d’entre eux se laissent aveugler et renoncent à s’opposer.

    Il est vrai que le Système utilise pour se protéger un argument très fort, celui de l’émotion et des bons sentiments. Pour obscurcir l’esprit des Français et les détourner de leur instinct identitaire, les tenants du politiquement correct n’hésitent pas en effet à montrer par exemple la misère des migrants, voire la mort de certains d’entre eux, fussent-ils des enfants. L’idée est d’émouvoir nos compatriotes en faisant appel à leurs bons sentiments pour les amener à accepter le volet le plus traumatisant de la pensée unique, à savoir l’immigration. Et beaucoup, n’entendant aucune voix contraire, se laissent entraîner sur un chemin qu’ils n’auraient peut-être pas suivi autrement.

    On peut dès lors affirmer que, les médias, par leur puissance et leur quasi-monopole, limitent les libertés de nos compatriotes. De ce fait ils faussent les votes et assurent artificiellement la survie du Système tout en empêchant le grand changement.

    Remettre les médias à leur place

    Devant cette situation, ô combien malsaine, Ligne droite estime nécessaire de remettre les médias à leur place. Jusqu’à présent, aucun dirigeant n’a eu le courage de tenter une telle mise en ordre, car c’est à une réaction violente et dévastatrice qu’il s’exposerait ainsi qu’à l’accusation terrible de vouloir mettre en cause la liberté de la presse. Un mot d’ordre incapacitant qui vise à neutraliser par avance toute tentative de remise en cause du statut actuel des médias.

    La liberté de la presse : pour les journalistes ou pour les Français ?

    La question de la liberté de la presse est pourtant très ambiguë. Si nous vivions sous un régime officiellement totalitaire, il s’agirait de mettre fin à la censure. Mais il y a longtemps que celle-ci n’existe plus dans notre pays.

    Dès lors, quelle est cette liberté de la presse qui serait si importante à préserver ? Est-ce la liberté des journalistes d’écrire ce qu’ils veulent ? Sans doute est-ce l’idée que s’en font les intéressés mais une telle conception est totalement illégitime car elle conférerait à la caste des journalistes des privilèges hors du commun.

    De même, la liberté de la presse ce n’est pas la liberté des patrons propriétaires de médias de faire dire ou écrire ce qui leur plaît. Une telle conception, qui correspond pourtant aux usages actuels, est là encore totalement illégitime car elle accorderait un avantage indu aux milieux d’argent.

    Non, dans le monde d’aujourd’hui, la liberté de la presse devrait plutôt se définir comme la possibilité offerte à tous les Français de disposer de journaux ou d’émissions qui correspondent à leur sensibilité. En d’autres termes, la liberté de la presse c’est le pluralisme dans les médias.

    Imposer le pluralisme

    Aussi, pour délivrer les Français de l’emprise médiatique, la droite nouvelle devra rétablir une véritable diversité politique et idéologique de la presse ainsi que des chaînes de radio et de télévision. De nombreuses dispositions pourront être prises à cet égard, à commencer par la réforme du financement public des médias. Dans la mesure où il est assuré avec des crédits publics venant de toute la population, le système actuel exige qu’une partie des contribuables payent pour des médias qui s’en prennent à leurs convictions et bafouent leurs valeurs. Il s’agira donc de remplacer ce système par un dispositif démocratique et transparent qui permettra aux Français de financer directement les médias de leur choix.

    Quant au secteur de la publicité qui procure aux médias une fraction déterminante de leurs ressources et qui utilise cette position stratégique pour empêcher toute émergence d’un média nouveau non politiquement correct, il devra faire l’objet d’une restructuration notamment pour casser la prééminence de Publicis.

    Il conviendra en outre de réformer le CSA pour qu’il reflète enfin la réalité de l’opinion et intervenir dans les écoles de journalisme, aujourd’hui totalement soumises à la pensée unique, pour y introduire une véritable diversité de convictions.

    Libérer la parole

    Par ailleurs, la parole devra être libérée aussi bien pour les journalistes de droite que pour les Français en général. La répression qui s’exerce actuellement sur tous ceux qui ne communient pas dans la pensée unique devra être supprimée. Il conviendra pour cela de priver la justice des lois prétendument antiracistes dont elle se sert à cette fin.

    Le rétablissement du pluralisme dans les médias et la remise en cause de leurs pouvoirs et de leur prééminence aideront à rendre leur liberté aux Français et leur permettront ce faisant de mieux discerner la voie de leur intérêt collectif.

    Ligne droite 28/10/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Noah Fischer via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/delivrer-les-francais-de-lemprise-des-medias/

  • Du carnaval moche au vandalisme, voire au terrorisme

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    Bernard Plouvier

    Passé du rituel celtique au Nouveau Monde anglo-saxon, revenu en Europe occidentale pour familiariser les enfants, grands et petits, avec le parfum de l’horreur, Halloween pourrait bien devenir une occasion d’émeutes pour la racaille autochtone et immigrée.

    Vous la connaissez – même si le pouvoir et les media font semblant de la minimiser voire de l’ignorer -, cette racaille qui règne en France sur deux mille cités de non-droit et vomit régulièrement ses hordes sur les quartiers adjacents et les centres-villes (un mot composé que chacun peut conjuguer à son aise, car les chenus académiciens ne sont point parvenus à s’accorder sur son pluriel... encore un symbole du laisser-aller post-soixante-huitard).

    La violence sous toutes ses formes a envahi jusqu’aux églises (mais pas les mosquées, allez savoir pourquoi), les hôpitaux et les écoles. Nos excellences jouent aux matamores, mais aucune n’ose présenter la cause véritable de ce déchaînement de bestialité, qui depuis les années 1950 avait disparu d’Occident.

    Les mahométans, soutenus par les roitelets des terrains pétrolifères, des champs de haschisch et de pavot, sont intouchables. Oser parler des Africains et des Moyen-Orientaux comme cause essentielle de la violence, c’est faire du « wouacisme ». Prétendre qu’il existe en France, en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne un racisme anti-Blancs effarant, c’est délirer !

    Certes, il existe une minime source autochtone de violence : celle des gauchistes, trotskistes et autres fils à papa friqués jouant avec le feu, comme un honteux procès récent l’a démontré. Mais ces tristes sires – encouragés par quelques politiciens que nul n’inquiète pour leur machiavélisme de débiles – ne représentent que quelques dizaines d’attardés, qu’un unique affrontement avec une horde de « jeunes chances pour la France » anéantirait.

    Il n’est pas étonnant qu’en tout pays envahi, les populistes gagnent en crédibilité. À dire vrai, ils remporteraient toutes les élections si, au lieu de parler lors des périodes pré-électorales, ils montraient simplement les images exactes des quartiers de cités européennes saturés d’individus exotiques, des émeutes raciales, des actes de violence menés individuellement ou plus souvent en bande par nos « chers immigrés »... et c’est vrai qu’ils sont « chers » : les impôts et taxes à la consommation grimpent à chaque nouvelle arrivée massive de ces « invités ».

    Si halloween est – comme l’a été la finale de la coupe du monde de football – l’occasion de débordements haineux des indésirables, il faut qu’un maximum de citoyens filment ces émeutes et en fassent circuler les images sur le Net, qui reste encore – mais plus pour très longtemps – un espace de liberté d’expression, alors que les media consensuels jouent le jeu de la désinformation, donc du pourrissement de la situation.

    Il faudra bien un jour que nos princes reconnaissent qu’en terre civilisée, seule la Nation est souveraine. Seule, elle a le pouvoir de statuer sur l’arrêt ou la continuation de l’invasion de sous-doués violents qui nous submerge et sur l’opportunité de renvoyer impitoyablement les inutiles : chômeurs, délinquants et criminels.

    À trop laisser monter la colère du bon peuple, il arrive qu’il se fâche. Les guignols qui se sont succédés aux apparences du pouvoir depuis le milieu des années 1970 n’ont fait qu’accroître les risques pour la Nation. Il ne lui restera bientôt plus qu’une alternative simple : l’expérience populiste ou la révolution, qui toujours et partout fut aussi bête que violente.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/du-carnaval-moche-au-vandalisme-voire-au-terrorisme-6101659.html

  • Le choc migratoire a-t-il ébranlé la gauche des valeurs et la droite du travail ?

    arton52620-c9ddc.jpgRT France et Frédéric Taddeï ont organisé le 3 octobre de cette année un débat équilibré sur l’immigration intitulé : « L’immigration nous apporte-t-elle enrichissement ou appauvrissement ? » Ce n’est certainement pas en 58 minutes que cette problématique complexe pourra être résolue mais l’avantage d’Interdit d’interdire, c’est qu’on n’y joue pas les petites musiques mainstream habituelles. Le taux de désinformation par rapport aux émissions qu’on peut trouver sur le service public audiovisuel, encore sous-tendu par les obligations de propagande oligarchique, y est largement moindre.

    « Frédéric Taddeï reçoit Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de Regards Médias, Djordje Kuzmanovic, orateur de LFI et analyste en géopolitique, Élisabeth Lévy, directrice de la rédaction de Causeur.fr et Laurent Pahpy, entrepreneur membre de l’IREF. »

    Si nous posons d’emblée la question de la disparition de la gauche humanitaire naïve et/ou complice sous l’effet du choc migratoire, c’est parce que la gauche française a littéralement explosé en moins de trois ans. Certes, ses fondations étaient vermoulues, mais il fallait encore le coup de pied final, le coup de grâce. 
    Il reste bien sûr la gauche dite réaliste, pas celle du traître à la nation Manuel Valls, qui s’en réclamait, mais celle du lieutenant souverainiste de Mélenchon, Djordje Kuzmanovic, dont la mission consiste à ratisser chez les populistes de gauche, et pourquoi pas de droite. Et à droite, c’est la grande trahison na...sioniste ! 

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    Jacquemain l’immigrationniste humanitaire, ou la gauche des valeurs

    Dans le rôle du représentant en plateau de la gauche (des valeurs) qui plane, Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de Regards médias à l’origine, avec Mediapart et Politis, de la pétition des « 150 » contre le fascisme anti-immigrationniste en France.

    Jacquemain à 15’10 : « La question n’est pas une question de frontières… les frontières n’existent pas, il faut arrêter de penser qu’il y a des frontières ! » En regardant son parcours, on comprend mieux cette phrase surréaliste.

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  • ÉLECTIONS DE BOLSONARO AU BRÉSIL : POURQUOI LES MÉDIAS NOUS FONT-ILS SI PEUR ?

  • L’Autriche refuse de signer le pacte des Nations Unies sur la migration

    L’Autriche refuse de signer le pacte des Nations Unies sur la migration

    Tout comme les Etats-Unis, la Pologne et la Hongrie, l’Autriche souhaite conserver sa souveraineté en matière d’immigration :

    Le gouvernement autrichien a annoncé aujourd’hui son retrait du pacte de l’ONU sur les migrations, qui sera formellement entériné en décembre et auquel le pays dit s’opposer, comme la Hongrie et les Etats-Unis, pour “défendre sa souveraineté” en matière d’immigration (…) Ce texte [est] considéré comme le premier document international sur la gestion des migrations.

    Les pays de l’ONU, à l’exception des Etats-Unis, ont approuvé le document en juillet. Quelques jours plus tard, la Hongrie avait annoncé son retrait de cet accord, qui doit être entériné par l’ensemble des signataires lors d’un sommet à Marrakech les 10 et 11 décembre.

    Alors que le pacte n’a pas de caractère contraignant, Vienne justifie sa décision par “l’importance de défendre la souveraineté nationale de l’Autriche“, selon le chancelier Kurz cité par le communiqué. Grâce à ce retrait, “l’Autriche pourra continuer à élaborer ses propres lois sur toutes les questions de migration”, ajoute la déclaration gouvernementale. Vienne avait déjà critiqué le texte, jugeant certains aspects “en contradiction avec le programme” de la coalition qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale une priorité de son mandat.

    Le vice-chancelier FPÖ Heinz-Christian Strache avait dit craindre que le document ne consacre “un droit à la migration” (…)

    Le gouvernement hongrois de Viktor Orban avait de son côté dénoncé un pacte jugé “dangereux”, car il “incitera des millions de personnes à prendre la route”. La Pologne a récemment fait part de son intention de rejeter aussi le texte. Washington s’était retiré fin 2017 de l’élaboration du document en affirmant qu’il comprenait des dispositions contraires à la politique d’immigration de Donald Trump.

    Le pacte de l’ONU préconise notamment de renforcer la coopération internationale pour répondre au phénomène mondial des migrations. Il recense une série de principes – défense des droits de l’homme, des droits des enfants, reconnaissance de la souveraineté nationale, etc – et comprend un catalogue de mesures pour aider les pays à faire face aux migrations: améliorer l’information, mesures pour mieux intégrer les migrants, échange d’expertises…”

    https://www.lesalonbeige.fr/lautriche-refuse-de-signer-le-pacte-des-nations-unies-sur-la-migration/

  • L’homophobie qui se développe a pour origine principale la montée du fondamentalisme islamiste

    L’homophobie qui se développe a pour origine principale la montée du fondamentalisme islamiste
     
    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    "L'homophobie qui se développe dans notre pays a pour origine principale la montée du fondamentalisme islamiste. Vais-je à nouveau être la seule à oser le dire ? Qu'on nous donne le nom des agresseurs !"