Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1056

  • Lutte contre les violences sexistes et sexuelles : charia ou loi française?

    Je pose ça là : 

    En parallèle de la sage réaction de Gabrielle Cluzel, celle de cet énergumène interpelle :

    DjgHVQtXgAEKu0V

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les fausses accusations de Libération

    Le quotidien qui donne la nausée et les mains sales (puisque fondé par le stalinien Jean-Paul Sartre) donne le 28 juillet une « information » visant en quelque sorte à récupérer politiquement la victoire de nos mercenaires en coupe du monde, article par ailleurs repris dans le torchon Mediapart, dont le père du fondateur a été viré de l’éducation nationale pour haine antifrançaise…

    Dans son édition du 27 juillet, Libération publie un article délirant d’une certaine Noémie Rousseau sur une affaire de bagarre générale lors d’une rencontre de football amateur qui s’est tenue à Mackenheim, en Alsace, le 6 mai dernier. Le titre est un cas typique d’inversion accusatoire : « En Alsace, le football amateur en flagrant déni ». Et d’aligner les pires poncifs de l’extrême gauche :

    Pathos ridicule : « «Si Kerfalla était mort, ils auraient donné son nom à un tournoi.» Cette phrase, terrible, est de l’entraîneur de Kerfalla Sissoko. A mesure qu’on s’immergeait dans le contexte, elle devenait une ritournelle lancinante »

    Haine vis-à-vis des indigènes : « Le contexte ? Sympathique, a priori : le foot des patelins, le foot à la bonne franquette. Quand le village se retrouve le dimanche au match, assis sur des chaises en plastique dépareillées, à prendre des nouvelles des voisins, de la famille, du boulot. Kerfalla Sissoko, joueur amateur de l’équipe de Benfeld, a failli y laisser sa peau début mai. Sa peau noire, sur le terrain de Mackenheim, village alsacien de 800 habitants, qui a placé Marine Le Pen en tête au second tour de la présidentielle avec 54 % des suffrages. C’est l’histoire d’un racisme ordinaire, d’une violence extraordinaire. Un racisme qui se murmure, qui se banalise, qui s’institutionnalise. Kerfalla Sissoko a été coursé avec un couteau de cuisine, roué de coups… puis suspendu par les instances du football. »

    – « Longtemps, les clubs des quartiers faisaient peur quand ils venaient jouer dans les patelins. Maintenant, c’est l’inverse. Ce sont ces clubs qui ont peur d’aller à la campagne, parce qu’ils vont être provoqués, poussés à bout, jusqu’au basculement dans la violence.»Du coup, «les noms de villages chauds circulent», ceux où l’ambiance autour des matchs est connue pour être raciste, indique un entraîneur d’origine africaine. «Des villages où soit tu te bats, soit tu pleures», résume un joueur. Zone urbaine ou rurale, le racisme est partout, d’après Jean-Marie Dietrich. Mais il a différents visages : «En ville, le foot est un prétexte pour un affrontement entre communautés. On se mesure, on se fait peur. A l’écart, c’est la xénophobie, la peur de l’autre qui s’exprime. Le foot des campagnes, c’est la guerre des clochers. Ne pas être du village, c’est déjà compliqué…»

    –  « Les joueurs qui posent problème dans les grands clubs saturés des villes sont virés. Ils échouent dans les basses divisions qu’ils gangrènent», explique le président du FC Hipsheim, Nicolas Smargiassi. Malgré leur comportement agressif, comme ils ont plutôt un bon niveau et la peau plutôt claire, ils atterrissent là où on veut bien d’eux, là où on est même parfois prêt à les rémunérer, souvent dans les petits villages qui peinent à trouver suffisamment de jeunes pour constituer une équipe. Des clubs ruraux qui ne sont pas trop regardants, puisqu’il en va de leur survie même ».

    Thèse complotiste 1 : « Fin mai, sur le parvis du District de football d’Alsace à Strasbourg, Kerfalla Sissoko, 25 ans, est silencieux. Il est convoqué en commission de discipline. Lui et son coéquipier Moudi Laouali, aussi victime de coups et d’injures racistes, ont été suspendus à titre conservatoire »

    Thèse complotiste 2 : « Le dimanche suivant, Jean-Michel Dietrich (président de l’autre club) est convoqué à la gendarmerie. Pour témoigner, pense-t-il. Il emmène son fils, cela ne devrait pas être long. Finalement, il y passera la matinée. Le club de Mackenheim, qui n’a jamais formulé d’excuses ni pris des nouvelles des joueurs blessés, l’attaque pour diffamation. En cause, une menace de mort. Pas sur le terrain de foot. Non, dans un commentaire sur Facebook. Jean-Michel Dietrich doit retirer le texte, se plier au relevé d’empreintes, aux photos. Pendant qu’il est fiché, un gendarme promène le fils, histoire de faire diversion. «Je me suis senti humilié», dit-il. Il a «honte», envie de tout arrêter. »

    Témoignages bidons : « Aujourd’hui, la parole des joueurs, entraîneurs, arbitres noirs se libère si on garantit leur anonymat. Autour et sur le terrain, «sale nègre» et sa variante «sale noir», demeurent des grands classiques avec «sale bougnoule». On entend parfois des «Elsass frei» («Alsace libre», slogan autonomiste régulièrement repris par l’extrême droite identitaire), ou «retournez chez vous, ici c’est le FN». Un joueur d’un club de la banlieue de Strasbourg raconte qu’un jour, son équipe a été accueillie par «la musique de Hitler», le Horst Wessel Lied, l’hymne officiel nazi. C’était il y a dix ans. Aucun des joueurs de cette équipe métissée n’a oublié. «Le racisme, c’est courant», soupire un arbitre d’origine somalienne, habitant de Strasbourg, qui a officié sur des matchs amateurs dans tout le Bas-Rhin pendant sept ans. L’histoire de Kerfalla Sissoko l’épouvante. Lui-même craint de se retrouver face à un semblable déchaînement de violences, sans personne pour le défendre, sans vestiaire pour se replier… L’arbitre est seul. Et quand il est noir, il se retrouve souvent soupçonné d’incompétence : «C’est la première fois que vous arbitrez ?»«Vous êtes sûr que vous en êtes capable ?» entend-t-il souvent. Ou, venant des supporteurs : «Vous êtes chez nous», quand ce n’est pas juste des «bananes» qui fusent. Il a fini par raccrocher, «par lassitude».Même son fils ne fait plus de foot. Sa mère l’a inscrit au karaté, «là où on apprend le respect», a-t-elle dit. »

    Sauf que…  s’il y a bien eu bagarre générale, le racisme n’en a absolument pas constitué de mobile. Et ce d’autant plus qu’il y a également des joueurs étrangers dans l’équipe de Mackenheim, comme le confirme le site Alsace-actu, qui lui aussi a enquêté et en tire des conclusions à l’opposé des délires de Libé :

    « Un article de Libération fait beaucoup réagir aujourd’hui, et bien au-delà de l’Alsace. Il met en cause une affaire qui n’est pas récente (Rue89 avait déjà écrit plusieurs papiers sur le sujet) et qui concerne une rencontre de football à Mackenheim, qui recevait ce jour-là, dimanche 6 mai, l’équipe de Benfeld. Trois joueurs d’origine africaines ont reçu des coups, parfois violents (l’un deux a eu plusieurs fractures), à la suite de ce qui semble être un début de bagarre générale. La tension est montée sur le terrain à cause d’accrochages physiques, et tout a dégénéré. Jusque-là, rien de bien réjouissant, mais pas de quoi faire un très long article dans Libération : des bagarres générales avec de sérieuses conséquences arrivent quasiment tous les mois en France. Ce qui rend l’affaire particulière, c’est que les joueurs auraient reçus des coups à cause de leur couleur de peau, selon eux-mêmes. Une agression raciste en somme, qui permet à Libération d’incriminer « Mackenheim, village alsacien de 800 habitants, qui a placé Marine Le Pen en tête au second tour de la présidentielle avec 54 % des suffrages ». L’antre du diable, sans aucun doute. Pourtant, il y a dans l’équipe de Mackenheim des joueurs d’origine étrangère. Difficile de considérer un racisme qui s’orienterait uniquement envers l’équipe adverse, et pas contre les joueurs de sa propre équipe. Mais passons. L’arbitre, seule personne neutre, n’a pas entendu d’insultes racistes. C’est aussi le discours des représentants du club de Mackenheim, mais leur parole ne peut pas être considérée aussi objective que celle de l’arbitre. Les gendarmes, qui enquêtent sur l’affaire, préviennent qu’elle « se dégonfle comme un soufflé ». En somme, Libération a fait un article à charge en se fondant presque uniquement sur le témoignage des victimes, alors que les gendarmes ne retiennent pas le motif de racisme. Et Libération accuse sans complexe les « équipes monochromes », ce qui peut être considéré comme du racisme anti-blanc. En revanche, les insultes vont bon train sur Facebook à l’encontre du club de Mackenheim. La tolérance et le respect sans doute… »

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/les-fausses-accusations-de-liberation/95739/

  • Le terroriste de Manchester avait été sauvé par la Marine britannique !

    TERRORISTE-refugie.jpg

    Royaume-Uni – Le quotidien Daily Mail, citant une source gouvernementale, révèle que l’auteur de l’attentat suicide de Manchester qui avait fait 22 morts en mai 2017 était un « réfugié » sauvé par la marine britannique.

    Salman Abedi, d’origine libyenne, faisait partie des 110 personnes évacuées par le navire britannique HMS Enterprise et conduites à Malte en août 2014, selon le journal.

    Il s’était fait exploser, à l’âge de 22 ans, à la sortie d’un concert de la chanteuse pop américaine Ariana Grande à Manchester (nord-ouest de l’Angleterre), tuant 7 enfants et 15 adultes. « Que cet homme ait commis une telle atrocité sur le sol britannique après avoir été sauvé de Libye est une pure trahison », a commenté une source gouvernementale citée par le journal.

    Selon un ami de la famille Abedi, cité par le Wall Street Journal l’an dernier, Abedi s’était rendu en Libye avec son père en 2011 pour se battre aux côtés d’une milice de Tripoli en lutte contre le régime de Mouammar Kadhafi.

    terroriste-refugie-2.jpg

    http://www.medias-presse.info/le-terroriste-de-manchester-avait-ete-sauve-par-la-marine-britannique/95827/

  • Jordan Bardella : « La moindre critique contre la politique d’immigration massive vous vaut d’être cloué au pilori ! »

    Jordan Bardella, porte-parole du RN, s’indigne de cette poursuite et fait part de ses fortes inquiétudes pour la liberté d’expression en France, alors que « les idées majoritaires ne sont plus les idées dominantes ».

  • L’association Solidarité migrants capitule face à la réalité

    Porte-de-la-chapelle-845x475.jpg

    Depuis vingt mois, l’association Solidarité migrants distribuait repas et bons sentiments aux Africains installés porte de la Chapelle. 250.000 repas. Des millions de bons sentiments. Un dévouement qui forçait l’admiration qu’ils avaient d’eux-mêmes. « Mais qu’est-ce qu’on est bons ! » se disaient-ils en remplissant les bols de soupe.

    À deux doigts d’en finir avec l’injustice mondiale, l’association a brutalement fermé boutique. Trop de violence, trop d’insécurité, les dealers de crack qui s’en mêlent. Dans un dernier message avant de plier bagages, les réparateurs de tort ont désigné les fautifs : « Nous voulons alerter les pouvoirs publics sur le caractère totalement explosif de la situation et les appeler, une fois encore, à prendre leurs responsabilités. » Demander de prendre leurs responsabilités à des autorités qui ont l’irresponsabilité de laisser entrer des populations qu’ils n’ont pas les moyens d’accueillir ne manque pas de sel. Les pouvoirs publics doivent fournir des locaux qui n’existent pas, donner des moyens qu’ils n’ont pas, réquisitionner monts et merveilles imaginaires. « Pouvoir public » est, ici, synonyme de Dieu le père. Une force céleste venue des hauteurs administratives descendra un jour sur terre pour fonder un monde meilleur.

    « Nous avons toutes les raisons de penser qu’en août, avec l’arrivée attendue de réfugiés en plus grand nombre encore, la situation va être pire. » Dans la série « Dénonçons les effets dont nous chérissons les causes », le constat mérite le détour. Roi des lamentations, le bénévole immigrationniste encourage une situation qui ne peut générer rien d’autre que ce qu’il dénonce. Il est l’enfant inconscient du danger, le videur d’océan furieux de constater que le niveau ne baisse pas.

    Où est cette porte de Paris magnifique, ce lieu idyllique où le militant associatif pourra exercer tranquillement son besoin impératif d’en finir avec la misère du monde ? Sans choc culturel, sans violence, face à des migrants bien sages, bien reconnaissants, pleins de sens civique. Incapable de comprendre que sa manière d’envisager la solidarité n’est que chimère, le pro-migrant cherche des boucs émissaires. Et les trouve ! L’État, la gauche, la droite, le maire, le préfet, le ministre, les gens, les boucs, les émissaires… Ses demandes sont des incantations. Mais comment prier lorsque, de la Chapelle, il ne reste que la porte ?

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/lassociation-solidarite-migrants-capitule-face-a-la-realite/

  • Benalla, Diallo, Belatar… Les « cités » au Pouvoir

    cites-pouvoir-benalla-588x330.jpg

    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent ♦

    Les bagagistes de Roissy, issus pour la plupart de la diversité comme Lahcene Benahlya, alias Alexandre Benalla, vont-ils bientôt se mettre en grève et exiger une augmentation de salaire ? Ils sont loin, en effet, de gagner la bagatelle de 10.000 euros par mois, rémunération attribuée à celui qui était, selon le secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement , le culotté Christophe Castaner, simplement « chargé de la logistique des bagages » des footeux retour de Moscou pour se faire cajoler dans les jardins de l’Elysée par le couple Macron et des invités de banlieue triés sur le volet.

    Un copinage malsain

    On sait, bien sûr, que le gorille présidentiel s’était vu octroyer par son ami Macron bien d’autres responsabilités autrement plus sensibles (en même temps que ces symboles du pouvoir que sont un véhicule à gyrophare avec chauffeur, un appartement à l’Elysée et un autre quai Branly, une accréditation jusqu’au saint des saints du Palais-Bourbon, etc.) mais les  propos de Castaner en disent long sur le mépris dans lequel la caste macroniennne tient les Français, pensant bêtement que « plus c’est gros, plus ça passe ». Il faut dire que le personnage est abonné aux dérapages verbaux , lui qui  a récemment accusé  Pierre de Villiers, l’ancien chef d’état-major des armées traité voici un an comme un laquais par Emmanuel Macron, qui a en revanche les yeux de Chimène pour  un vulgaire et intrigant garde du corps, l’accusant « d’avoir été déloyal dans sa communication et d’avoir mis en scène sa  démission ».

    Considéré par le même Castaner comme un « détail » (sic), ce scandale d’Etat montre en fait, comme l’explique sur le site Boulevard Voltaire le politologue Guillaume Bernard,  « la rencontre et la protection réciproque des élites mondialisées et de l’immigration, l’une et l’autre étant incapables de maîtriser leurs pulsions ».

    Le drôle de jeu de Washington

    Ce phénomène n’est cependant pas nouveau. Il est de bon ton de dire que la Seine-Saint Denis, par exemple, est le parent pauvre de l’Ile-de-France et n’a que ses yeux pour pleurer. Il faut se rappeler cependant que ce département est, depuis des années, le chouchou de l’ambassade des Etats-Unis qui, depuis le 11 septembre 2001, ont orienté leur stratégie d’influence en direction des  leaders musulmans des pays occidentaux. Une démarche que les deux mandats de Barack Obama ont encouragée. Leur volonté, comme le disait Laura Berg, attachée culturelle de l’ambassade en 2010, est « d’identifier les futurs leaders français, ceux qui pourront émerger, ceux qui pourront prendre des responsabilités ». L’ambassade a ainsi constitué un véritable réseau et de nombreux relais afin d’identifier les élites des quartiers et des minorités ethniques. Les sujets les plus doués bénéficient de séjours de plusieurs semaines outre Atlantique et deviennent ainsi les ambassadeurs de ce melting-pot racial que les élites mondialisées veulent absolument vendre à l’Europe et dont l’équipe des Bleus est le modèle absolu. Rokhaya Diallo, la féministe noire qui veut « en finir avec la  France blanche et chrétienne »  a ainsi été du voyage et s’est félicitée, à son retour, d’avoir « été identifiée comme un leader potentiel ». On a vu en 2010 l’acteur Silvester Stallone faire une visite remarquée dans le département, accompagné de l’ambassadeur Charles Rivkin, venu faire son marché de futurs contacts politiques, pour la plus grande joie à l’époque, de  l’islamo-humoriste Yassine Belatar qui se félicitait que les Etats-Unis, eux, « mettent tout le monde sur le même pied ». Certes, Rivkin est parti et son successeur est depuis 2017 la trumpiste Jamie Mac Court, mais la politique de l’ambassade, elle, n’a pas changé.

    De mauvais choix

    « Jusqu’à 18 ans, s’il y avait eu une guerre entre le Sénégal et la France, j’aurais choisi le Sénégal. Et depuis je ne sais pas ». Ainsi s’exprimait, en 2007 dans son livre Noirs de France, les Nouveaux Neg’marrons,  Rama Yade  alors sénégalaise avant d’être adoubée par Sarkozy et, toue fraîche naturalisée, de devenir secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme. Ses démêlés avec la justice en font une habituée des prétoires… et des condamnations pour diffamation, aussi bien envers l’ancien maire de Colombes Philippe Sarre ou l’ancien député LR Manuel Aeschlimann qu’envers Marine Le Pen  et son père qu’elle avait copieusement injuriés sur son blog.  Sa collègue Fadela Amara, l’égérie de Ni putes ni soumises avait l’habitude de prêter son logement de fonction aux membres de sa famille et a longtemps refusé de libérer le logement HLM qu’elle occupait dans le XIIIème arrondissement.

    Toujours du côté des ministres de la diversité recrutés par Sarkozy, signalons pour  Rachida Dati que des doutes subsistent sur l’authenticité de ses diplômes, que ses liens avec le Qatar ont suscité  de nombreuses interrogations comme d’ailleurs ses relations avec le Groupe Engie dont elle a défendu, au Parlement européen, les intérêts avec une telle vigueur qu’elle a fait l’objet d’une enquête de la part de Bruxelles.

    Pour sa part, Yamina Benguigui, proche de Laurent Fabius et ex-ministre de la Francophonie jusqu’en 2014, est condamnée en appel en 2016 à un an d’inéligibilité  pour des omissions dans ses déclarations de patrimoine  et suspendue pour deux ans des ordres de la Légion d’honneur et du Mérite. En novembre 2017, elle est définitivement condamnée en cassation et démissionne de son mandat du Conseil de Paris.

    La situation n’est guère meilleure du côté  de leurs collègues masculins. Kader Arif, ancien secrétaire d’Etat de François Hollande aux Anciens Combattants et proche de Lionel Jospin qu’il avait charmé quand ce dernier battait la campagne à Cintegabelle, a été obligé de démissionner pour une sombre affaire de favoritisme  dans l’attribution de marchés publics en  faveur de la société de communication d’Aïssa Arif, son frère.  Pour finir, signalons que Faouzi Lamdaoui, ancien chef de cabinet de François Hollande dans sa course à la présidentielle puis promu Conseiller à l’égalité des chances à l’Elysée, serait impliqué, avec deux commissaires de police, dans un affaire de divulgations de données confidentielles et de violation du secret professionnel de la police. Il aurait abusé de sa position pour tenter de décrédibiliser un de ses compatriotes qu’il aurait employé comme chauffeur et qui était devenu son ennemi juré.  Depuis 2015, il pantoufle chez Véolia comme patron des relations institutionnelles pour l’Afrique et le Moyen-Orient. Le changement socio-démographique voulu par les Américains est en marche et Benhalya-Benalla en est le symbole. Pour le malheur — et le déshonneur — de notre pays.

    Françoise Monestier 31/07/2018

    Source : Présent

    Crédit photo : David Monniaux [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/benalla-diallo-belatar-cites-pouvoir/

  • La dictature en marche : des dizaines de comptes Twitter suspendus cette nuit (Add.)

    Si vous êtes dans le même cas, faites-vous connaître dans les commentaires de ce post.

    • Karim Ouchikh, avocat, président du SIEL, Conseiller Régional Île-de-Fr, Conseiller municipal de Gonesse.
    • Jean Lahire, rédacteur au Salon beige.
    • Les r

     Add. : Le JDD tente une explication. Bizarrement, il ne recense que des réactions à droite. La gauche et la Macronie ont-elles été épargnées par cette purge objective de Twitter?

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avons-nous franchi une nouvelle étape dans les incidents de banlieues ?

    photo-82308-845x475.jpg

    La situation dans les banlieues aurait-elle tendance à se tendre ? Deux faits divers qui se sont passés ce week-end répondent par l’affirmative.

    Sortie d’un bar samedi soir à Fréjus, d’après Var-Matin, une émeute aurait éclaté. Les scènes de violences se sont déroulées entre 21 h 30 et 1 h 00 du matin dans le quartier de La Gabelle. À la suite de plusieurs appels d’habitants se plaignant de nuisances sonores, la police a dépêché une équipe. À son arrivée, celle-ci a été brutalement prise à partie par un groupe d’individus qui ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre. Ces violences ont alors mis aux prises une vingtaine de policiers et une soixantaine d’individus. Les policiers ont utilisé des Flash-Ball®, des grenades de « désenclavement » et une soixantaine de grenades lacrymogènes. Trois agents de police ont été blessés, aucune interpellation n’a été enregistrée, même si une enquête a été ouverte.

    Quartier des Moulins, à Nice, comme le révèle Nice-Matin, des violences urbaines ont éclaté dans la nuit de dimanche à lundi après qu’un jeune homme a été grièvement blessé à scooter. Repéré par la police en train de rouler sur la pelouse de la ligne 2 du tramway, le conducteur a refusé d’obtempérer, préférant prendre la fuite pour échapper à un contrôle. Un communiqué de la ville précise que le délinquant, âgé de 25 ans, a alors percuté un arbre. La situation s’est immédiatement embrasée. Selon les informations du quotidien régional, des jeunes du quartier des Moulins se sont rassemblés pour caillasser les forces de l’ordre. Les policiers ont riposté à coups de gaz lacrymogène. Pendant plusieurs heures, le quartier a été le théâtre de véritables scènes d’émeutes. Le conducteur du scooter souffrirait d’une fracture et serait également blessé à la hanche. Aucune interpellation n’a été réalisée sur place. La sûreté départementale est saisie de l’enquête.

    Ces deux incidents particulièrement violents nous font mieux comprendre la dangerosité qui émane des banlieues l’été. Trois points sont à souligner.

    L’agressivité et la réactivité de ces bandes face à la police. Pour défendre leur territoire ou un « jeune du quartier », elles se regroupent très vite, n’hésitant pas à employer la violence. Il faut le redire : dans ces cités, la peur du gendarme n’existe plus ; c’est même le contraire, l’arrivée des forces de l’ordre fait office de chiffon rouge.

    L’arrestation, pour la plupart de ces racailles, ne signifie plus rien. De toute façon, que risquent-ils : quelques jours de prison ? L’obligation d’un travail d’intérêt général ? Ou, tout simplement, la remise en liberté, faute de preuves. Car, évidemment, aucun témoignage ne viendra corroborer les dires des policiers, les gens ont trop peur des représailles et les caméras de surveillance sont de plus en plus souvent hors d’usage.

    Enfin, plus préoccupant est le fait qu’aucune interpellation n’ait eu lieu dans les deux cas précités. Clairement, ces non-actes signifient que les forces de l’ordre ont abandonné le terrain ou, au mieux, n’ont pas cherché à l’occuper pour en débusquer les meneurs. Leur rôle s’est borné à contrer l’action des mutins. Cette non-préhension d’individus dangereux démontre peut-être que nous avons gravi une phase supplémentaire dans ce face-à-face qui conduira inexorablement à des troubles majeurs.

    J.-P. Fabre Bernadac

  • Vidéo retirée par la Grande Mosquée de Toulouse - prêche sur le sacrifice et le jihâd

  • "Mineurs étrangers isolés": mensonges et aveuglement

    1 -Depuis deux ans le quartier Marcadet du XVIIIe arrdt. subit une explosion du racket, des vols et agressions, du fait de bandes juvéniles, visant surtout des collégiens et passants. Que sait on de cette "bande d'ados qui sème la terreur" ?
    Ces malfaiteurs juvéniles sont une intégrale part de l'arnaque pseudo-humanitaire des "mineurs étrangers isolés". Car si étrangers ils sont bien, ils ne sont souvent pas "mineurs" du tout et, chassant en meute, pas le moins du monde "isolés". 
    Rappelons d'abord ceci. La fort bienséante Suède a accueilli (plus que tout autre pays d'Europe en proportion) 200000 migrants en 2015-2016, dont 37 000 de tels "mineurs". Vérifications d'âge faites de mars à octobre 2017 par l'agence suédoise d'Etat spécialisée (Rattsmedicinalverkert), sur 7 858 de ces "mineurs" vérifiés (radio des dents de sagesse et scanners des genoux) 6628 d'entre eux avaient "certainement" plus de 18 ans, et 112 "sans doute" plus de 18 ans. Environ 80% de ces "mineurs" sont donc frauduleux. Pratiquons ces examens - dont bien sûr les complices de ces juvéniles malfaiteurs ne veulent pas - : on obtiendra à peu près un analogue résultat. 
    Enfin, les "ados semant la terreur" dans le XVIIIe arrondissement de Paris sont pour la plupart Marocains et les travailleurs sociaux ayant pu les approcher, puis les identifier, affirment qu'ils ont en général des familles au Maroc, souvent désolées de leurs fugues et prêtes (du moins, disent-elles) à les reprendre.
    2 -Comment expliquer que tout cela dure depuis deux ans sans que ces voyous n'aient été stoppés par les autorités ?
    La mairie et la préfecture de police ne font que se refiler la patate chaude. Pendant ce temps, la population est au pillage. Ministères, préfecture, mairie, vivent dans la terreur de la bienséance médiatique, de la gauche-culturelle et du show business, si prompts à s'indigner-et à disparaître quand ça se gâte. Souvenons-nous des stars, ministres - et président -idolâtrant le si pétillant Mehdi Meklat ou Théo, victime de policiers barbares. Et filant sous le lit quand l'un écrit des horreurs et que la fratrie de l'autre est (tout ou partie) poursuivie pour "escroquerie en bande organisée, abus de confiance, etc.". Bien sûr, ces impostures finissent toujours par être exposées. Mais en attendant, si un policier ou fonctionnaire de base est pris dans la tornade bienséante, sa carrière est fichue, pour de bon. Alors, dans cet infect climat de délation et de lâcheté, les acteurs du terrain baissent les bras. Il faut les comprendre.
    3 -Quelles mesures à prendre pour un retour à la normale, ce, sans "délocaliser" le problème dans un autre quartier ?
    Encore une preuve de l'impuissance des officiels, paralysés par une camarilla moralisatrice, de conseilleurs qui ne sont pas des payeurs. Car ces jeunes (vrais ou faux) sont pour la plupart des délinquants, survivant comme sous-traitants de dealers ou pillards au quotidien, aux dépens d'une population (souvent d'origine immigrée à l'Est de Paris) qui ne sait comment s'en protéger. 
    Or l'enfantine solution relève, comme toujours, de la décision politique. Dans le respect des lois en vigueur, interpeller tous ces jeunes brigands, vérifier s'ils sont vraiment mineurs ; traduire les vrais majeurs -faux mineurs en justice comme adultes qu'ils sont, et rendre les vrais mineurs à leurs familles au Maroc. Ne restent alors plus en France qu'une petite minorité de la présente meute : ceux qui a) sont de vrais mineurs et dont b) leur famille ne veut plus. Ainsi, le problème est réglé à 80%. C'est tout bête. Que ne le fait-on ? Que font le ministre de l'Intérieur, le préfet de police de Paris et Mme Hidalgo ? La question est posée.
    Ajoutons ceci : le trafic de migrants vers l'Europe est surtout une entreprise criminelle rapportant chaque mois des millions d'euros à ses commanditaires, des caïds conseillés par maints avocats et pseudo-humanitaires. Voyez ce qui se passe à l'instant sous nos yeux : à peine l'Italie se cabre-t-elle que soudain, l'inondation file sur le Maroc et l'Espagne, plus souple. Comment des misérables sans le sou, laissés à eux-mêmes, pourraient-ils bien pratiquer de telles volte-face stratégiques, sur de telles distances et instantanément ? Impossible, bien sûr.
    De même, la bienséance européenne se lasse-t-elle des migrants adultes ? Hop ! Voici l'arnaque des" mineurs étrangers isolés" ; on déclarera ensuite inhumain de les priver de leurs familles, appelées à les rejoindre. La solution est donc de traquer et "neutraliser" (comme on dit gentiment aujourd'hui) ces cartels de la traite des migrants, plutôt que d'indéfiniment regarder, sans rien comprendre, par le petit bout de la lorgnette.
    Xavier Raufer pour Atlantico, juin 2018, 3 & 4