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  • Le FMI de Christine Lagarde prône 5,5 millions d’immigrés de plus en Espagne, le ministre Josep Borrell veut « un sang nouveau »

    Espagne immigrés FMI Christine Lagarde Josep Borrell
     L’Espagne du président du conseil socialiste archi-minoritaire Pedro Sanchez, non contente d’ouvrir ses frontières à l’immigration à dominante islamique, doit accueillir plus de cinq millions de nouveaux immigrés au cours des prochaines décennies, vient de stipuler le Fonds monétaire international. Ce chiffre est obtenu, par l’entité financière globaliste, à partir d’un calcul des besoins du système des retraites. Equilibres culturels, conflits religieux, poids financier d’une immigration sous-qualifiée et largement inassimilable, intrusion des robots : de cela le FMI de Christine Lagarde évidemment ne veut pas entendre parler. Son raisonnement biaisé vient étayer le stupéfiant appel, lancé par le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell, à régénérer l’Espagne par un « sang nouveau ».

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  • Immigration : Les masques tombent – Journal du Jeudi 16 Août 2018

    1) Immigration / Les masques tombent

    C’est l’été de toutes les vérités pour l’immigration. Alors que l’Aquarius, le bateau de l’association immigrationniste SOS Méditerranée, prouve une nouvelle fois qu’il sert ni plus ni moins de passeur aux clandestins, les nouveaux axes migratoires dirigés sur l’Espagne socialiste met à mal la prétendue spontanéité des exils.

    2) Société / Les dangers des  routes françaises.

    La catastrophe de Gênes réveille les craintes françaises. Alors que le gouvernement a fait passer la limitation de vitesse à 80 km/h sur les axes secondaires, les routes françaises accusent un manque criant d’entretien. L’état des voies routières en France n’a peut-être rien à envier à l’Italie.

    3) International / La Turquie dans la crise

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

     
  • Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?

    Lu sur Medscape :

    "Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.

    Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes :beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.

    En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.

    A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."

    Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-immigr%C3%A9s-mineurs-isol%C3%A9s-qui-sont-ils-.html

  • La tiers-mondisation de la France est en marche

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    Par Nicolas Faure, entrepreneur  Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
    L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !

    Les racailles au pouvoir

    Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs

    Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.

    De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !

    C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.

    En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.

    Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?

    Des racailles pour exemples

    Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.

    Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.

    Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.

    La France en voie avancée de tiers-mondisation

    Agressions sordides

    Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
    Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.

    La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.

    Les infrastructures survivront-elles longtemps ?

    De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.

    L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?

    Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.

    Nicolas Faure  15/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/tiers-mondisation-france-en-marche/

  • La France, 2e destination mondiale pour les immigrés

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    Quand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.

    Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.

    France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.

    Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.

    Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.

    Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.

    Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.

    Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie

    Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.

    Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni

    Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.

    Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.

    Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.

    Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.

    Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.

    Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.

    Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.

    Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.

    Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.

    Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie

    Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda

    Danemark (2) : Groenland, Islande.

    Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.

    Kenya (2) : Ouganda et Somalie.

    Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.

    Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.

    Algérie : Sahara Occidental.

    Bangladesh : Libye.

    Belgique : Pays-Bas.

    Burkina Faso : Côte d’Ivoire.

    Corée du Sud : Mongolie.

    Gabon : Guinée Equatoriale.

    Ghana : Togo.

    Grèce : Albanie.

    Hong-Kong : Chine.

    Jordanie : Palestine.

    Kazakhstan : Corée du Nord.

    Koweït : Emirats Arabes Unis.

    Malaisie : Indonésie.

    Mexique : Etats-Unis.

    Népal : Bhoutan.

    Pays-Bas : Surinam.

    Pakistan : Afghanistan.

    Rwanda : Tanzanie.

    Sénégal : Mauritanie.

    Singapour : Malaisie.

    Soudan : Erythrée.

    Soudan du Sud : Soudan.

    Syrie : Irak.

    Tchéquie : Slovaquie.

    Turquie : Bulgarie.

    Ukraine : Russie.

    Venezuela : Colombie.

    Zimbabwe : Malawi.

    Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.

    A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-2e-destination-mondiale-pour-les-immigres/96622/

  • Nous sommes en PAYS OCCUPÉ, il faut entrer en RÉSISTANCE !

  • La cause des arbres. Partie 2 : les arbres, nos alliés contre le réchauffement climatique.

    La société industrielle et de consommation est une société de fortes pollutions, que celles-ci soient atmosphériques, terrestres ou marines. Les villes, littorales ou continentales, sont de véritables concentrations polluantes, pollueuses et polluées, et la santé des hommes comme celles de leurs compagnons animaux s'en trouve parfois fortement compromise, quand ce n'est pas l'espérance de vie même des citadins qui se réduit ou, du moins, celle sans incapacité majeure : asthme, cancer, etc. trouvent un terrain favorable dans des ensembles urbains saturés de fumées, poussières de particules, ou autres gaz pas forcément hilarants...

    Malgré les progrès techniques qui peuvent limiter les pollutions automobiles et les textes réglementaires qui ont éloigné les usines et leurs rejets de gaz à effet de serre des centres-villes, la qualité de l'air reste problématique dans nombre de cités françaises, et les différentes « alertes pollutions » de l'été 2018 qui émaillent le calendrier estival urbain, de Paris ou d'ailleurs, nous le rappellent à l'envi.

    Or, face à la pollution et à ses différentes formes urbaines, les arbres sont des alliés précieux, et les municipalités auraient bien tort de les bouder ou de les négliger : comme le souligne en quelques pages éclairantes le hors-série Sciences de La Vie de juin 2018 consacré aux arbres et à leurs secrets, les arbres sont « nos alliés » contre le carbone, les métaux lourds, les polluants de la terre et des nappes phréatiques comme les engrais chimiques ou les nitrates... 

    « Pour grandir, rappelons que les arbres ont besoin du dioxyde de carbone, qu'ils absorbent par leurs feuilles. (…) L'arbre contient et retient, tout au long de sa vie, une quantité croissante de carbone. Le phénomène est vital : la photosynthèse participe à la diminution du CO2 dans l'atmosphère, ce gaz à effet de serre en partie responsable du réchauffement climatique. » Ainsi, l'utilité des arbres est ici avérée pour limiter les effets d'une activité industrielle qui, depuis le XIXe siècle, ne cesse de se déployer sur l'ensemble de la planète, aujourd'hui sous le terme de « développement », ou celui, plus explicite encore, d'« intégration à la mondialisation » pour des pays en cours rapide de technicisation globale. Or, les arbres, qui sont plus utiles encore en phase de croissance des productions et donc des pollutions, ne serait-ce que pour « absorber » une partie de ces dernières, sont les victimes, parfois premières, de ce développement machiniste et urbanistique qui prend aussi la forme parfois terrifiante du productivisme agricole : chaque année, environ 13 millions d'hectares de forêts sont rasés pour faire place à des champs de maïs ou de soja, souvent OGM, ou à des monocultures de palmier à huile ou d'eucalyptus, que l'on retrouve respectivement dans le circuit agroalimentaire et papetier. Le même phénomène d'éradication des arbres est à l’œuvre dans les villes et sur leurs pourtours, au nom de la densification humaine et urbaine qui doit permettre une plus grande concentration des bras nécessaires aux activités industrielles ou tertiaires. Partout depuis les débuts de la grande vague d'industrialisation et d'extension de la société de consommation, le même processus s'est fait jour et se reproduit, avec des variantes, parfois des résistances ou des aménagements.

    Dans les villes françaises, les arbres sont toujours là, mais certaines municipalités, pour des raisons plus économiques et commerciales qu'autre chose, ont tendance à réduire leur présence ou à les « enfermer » dans des grands pots, sans enracinement possible dans la terre, comme on le voit trop souvent à Rennes sur les différentes places importantes de la cité. Or, au regard des bénéfices écologiques procurés par les arbres, c'est une politique de plantation et d'entretien qu'il faudrait mettre en place et en usage. Comme le souligne Jordan Pouille, dans l'article cité plus haut, « freiner le réchauffement climatique ne passe pas exclusivement par les forêts tropicales. Un terrain urbanisé moyen peut aussi être pris en compte parmi les différents réservoirs à carbone. En étudiant tous les espaces verts de Leicester, charmante ville de 73 km2 et 300000 âmes du Royaume-Uni, des chercheurs de l'université de Kent ont compris que, malgré la multitude des gazons privés, ce sont bien les arbres qui retenaient 97 % de la quantité totale de carbone stockée dans la végétation urbaine. Et qu'augmenter de 10 % le nombre d'arbres, pour égayer, par exemple, les austères pelouses publiques, ferait grimper la capacité de stockage de carbone de Leicester de 12 %. « Mais il faut planter de nouveaux arbres pour assurer la pérennité du réservoir de carbone et sélectionner les bonnes essences », a rappelé le chercheur Zoe Davis. »

    Ainsi, à Rennes comme ailleurs, c'est une véritable stratégie arboricole urbaine qu'il faut penser et pratiquer, au-delà même des simples mandatures municipales : réduire les pollutions automobiles, et en atténuer les effets, c'est possible sans forcément toujours contraindre financièrement les automobilistes locaux. Préserver et entretenir, par un élagage raisonné et par des soins appropriés, les arbres citadins ; en planter de nouveaux pour assurer le renouvellement régulier du parc arboricole ; concevoir les rues piétonnes ou les aménager par une politique intelligente de gestion et d'implantation des arbres ; voilà qui doit permettre une réduction des pollutions atmosphériques et la limitation des nuisances des gaz à effet de serre. Les arbres, nos alliés !

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1507:la-cause-des-arbres-partie-2-les-arbres-nos-allies-contre-le-rechauffement-climatique&catid=52:2018&Itemid=63

  • Les migrants : c’est bien pour se faire mousser ou se pousser du col

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    Les migrants : si on voulait être cynique, on dirait que ce n’est que du bonheur ! Pas pour les migrants, évidemment, mais pour tous ceux qui font leur miel de ces migrations de grande ampleur.

    Du bonheur, d’abord, pour les passeurs. Un article du Parisien, le 10 juillet dernier, révélait que, selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), ce trafic d’êtres humains (2,5 millions de personnes) a rapporté entre 5,5 et 7 milliards de dollars en 2016. On est loin, bien sûr, de ce que rapporte le trafic de drogue – 243 milliards en 2015, selon ce même UNODC – qui touchait, en bout de chaîne, 183 millions de consommateurs dans le monde.

    Du bonheur, ensuite, pour toutes ces associations, organisations non gouvernementales qui se posent en corsaire de la cause humanitaire et, ce faisant, en complices passifs des passeurs. Du bonheur, sans doute, aussi, pour leurs donateurs qui s’offrent une bonne conscience, souvent déductible des impôts, comme c’est le cas en France. SOS Méditerranée, par exemple, qui arme l’Aquarius, serait financé à 98 % par des fonds privés. On notera quand même, pour l’anecdote, qu’en 2016, seize députés français, socialistes et radicaux de gauche, puisèrent dans leur réserve parlementaire pour subventionner cette association. On pourrait citer Bruno Le Roux, éphémère ministre de l’Intérieur de François Hollande, ou Sandrine Mazetier, vice-présidente de l’Assemblée nationale dans la précédente législature.

    Du bonheur, aussi, pour des rescapés politiques, déjà couverts d’honneurs et de prébendes, comme Jean-Claude Gayssot, longtemps membre du Parti communiste, ministre des Transports sous Jospin et qui, aujourd’hui, à 74 ans préside le port de Sète ou, pour être plus précis, le conseil d’administration de l’établissement public régional Port de Sète Sud de France. Un établissement qu’il préside depuis mars 2017 après une élection à l’unanimité, bien aidée par la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga. Et le voilà qui se pousse du col, proposant d’ouvrir le port de Sète à l’Aquarius en authentique humaniste, un peu comme s’il régnait sur une république maritime. Il nous semblait pourtant qu’en 1797, Napoléon Bonaparte avait supprimé la dernière existante – je veux parler de Venise – en permettant qu’elle devienne une province de l’Empire autrichien !

    Du bonheur, enfin, pour Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse qui s’érige, non seulement en donneur de leçons de morale humanitaire – car lui aussi propose que la Corse accueille l’Aquarius –, mais en potentat local qu’il n’est pas. En effet, on a peine à voir le rapport entre l’accueil des migrants et les compétences de la collectivité de Corse : aménagement du territoire, développement économique, culture et patrimoine, éducation et formation, langue, environnement… Jusqu’à nouvel ordre, Talamoni n’est pas le roi Théodore et la République est encore indivisible !

    Mais il est vrai que la nature a horreur du vide et que, pour l’instant, Emmanuel Macron, à vouloir pratiquer la politique du « en même temps », donne la curieuse impression que l’État français est aux abonnés absents sur ce dossier. On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal pour l’instant. Alors, en France, ici et là, on se fait mousser, on se pousse du col en jouant les phares de l’humanité compatissante. C’est bien, pour cela, les migrants, surtout quand on sait que, de toute façon, on n’a pas autorité et compétence pour agir. Votre proposition d’accueil des migrants fera flop au large de la côte ? Pas grave, on aura fait parler de soi, fait croire qu’on est plus important qu’on ne l’est et gagné à pas cher des jetons de moralité.

    Au moment où le point final est mis à ce papier, on apprend qu’Emmanuel Macron a annoncé que la France allait accueillir 60 migrants de l’Aquarius. On passe du cabotinage au cabotage.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/les-migrants-cest-bien-pour-se-faire-mousser-ou-se-pousser-du-col/

  • Voile de Gap : Marlène Schiappa a pris son temps pour réagir…

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    Elle en a pris, du temps, pour réfléchir, Marlène Schiappa, depuis plusieurs jours que des femmes politiques LR et LREM, à propos d’une fillette portant le voile en affiche de la campagne publicitaire de l’enseigne américaine Gap, « Back to School », diffusée aux États-Unis et au Royaume-uni, se sont, de façon virulente, exprimées à plusieurs reprises sur la question. Décoiffant !

    Il faut dire qu’elle prend des vacances bien méritées, la secrétaire d’État à l’Égalité femmes-hommes, et qu’au bord de la mer, entourée de « mixité sociale » sans affreux « yachts pour milliardaires » au milieu de « tout le monde » (pour reprendre les mots de son interview donnée à La Provence, la semaine dernière), elle a autre chose à faire et à penser ! Et puis, qui sait si ce n’était pas un « choix éclairé » de la part de cette gamine, de se cacher les cheveux, puisque maman Schiappa « n’interdirait rien idéologiquement » à ses filles, n’est-ce pas ?

    En tout cas, côté féministes, éclairées celles-ci, on ne décolère pas. Non sans raison. C’est Florence Portelli, la vice-présidente du groupe LR au conseil régional d’Île-de-France, qui se montrait « assez abasourdie par le silence des féministes » en face de « ce genre d’affiche scandaleux »« En quoi une petite fille est un symbole sexuel »« en quoi son visage exprimerait quelque chose d’indécent » ? Finalement, Marlène est d’accord : « À 9/10 ans, ce n’est pas un choix de porter le voile. » Mais à onze, l’âge de son aînée, si ?

    Pour Valérie Boyer, la députée LR des Bouches-du-Rhône, voiler des gamines occidentales, contrées dans lesquelles se sont déchaînées les campagnes « MeeToo » et « BalanceTonPorc », tandis qu’en Orient « des femmes risquent leur peau pour l’enlever », est proprement inadmissible. Du côté de LREM, seule la députée Anne Lang s’est dite « heurtée » par cette affiche « tout à fait insupportable ».

    Mais Marlène a donc réagi, alors, où est le problème ? Le problème, c’est que Marlène Schiappa, si elle n’y avait pas été un peu obligée, dérangée par le coup de téléphone d’un journaliste à l’heure de l’apéro, aurait peut-être fait la sourde oreille.

    Féministe, Marlène Schiappa ? Une féministe, mais du XXIe siècle, qui voit dans le voile « un choix pour les femmes adultes » en même temps qu’« une forme de promotion de l’islam politique ». Mais alors, que peut bien signifier d’autre le voile porté par des mineures ? Mystère. Et contre l’expansion de cet islam politique, qui apparemment l’inquiète, que fait-elle, celle qui s’autodéfinit comme une ambitieuse ? On ne saura pas.

    Marlène Schiappa, la féministe type de notre époque, maniant avec aplomb des contradictions qu’aucune lueur de lucidité ne vient jamais ébranler. Une féministe d’un genre nouveau pour qui les « ennemis des droits de la femme et de l’homme » sont « les extrémistes nationalistes et les obscurantistes de l’autre ». Vous savez, ceux qui « s’allient » et « promeuvent un idéal de société mortifère dans lesquels les femmes n’ont plus de liberté ».

    Vous savez quoi ? En fait, Marlène, qui « s’imagine avoir des orgasmes à l’Assemblée », doit aimer se faire désirer. Apprécier que des journalistes « aillent la chercher ». Alors, celle qui reçoit « des menaces de mort et de viol » a pris son courage à deux mains pour envoyer un courrier à Gap. Pour lui remonter les bretelles, lui dire tout le mal qu’elle pensait de cette affiche promouvant l’obscurantisme musulman ? Notre culottée de féministe lui a tout bonnement demandé… de « s’expliquer ». Waouh !

    En Macronie, avec des féministes de cet acabit, les obscurantistes sont tranquilles…

    Caroline Artus

    http://www.bvoltaire.fr/voile-de-gap-marlene-schiappa-a-pris-son-temps-pour-reagir/