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  • Prix Jacques-Hamel : l’islamo-gauchisme à la sauce catho, par Caroline Parmentier

    prix-hamel.jpgLa Fédération des médias catholiques a récupéré à sa sauce le père Jacques Hamel, martyr de l’islam égorgé dans son église aux cris d’Allah Akbar, pour en faire un apôtre du vivre-ensemble. Le Prix Père Jacques-Hamel récompense un « travail journalistique engagé dans l’éducation au dialogue, l’accueil de la différence, la promotion du vivre-ensemble ». Voilà ce qu’ils ont fait du père Hamel.

    C’est Samuel Lieven, pour son article « Thomas et Benoît, les convertis du 13 novembre », publié dans La Croix du 13 novembre 2017, qui est l’heureux lauréat. Il remplit parfaitement les critères établis par ces médias catholiques qui de La Vie à La Croix, en passant par Le Pèlerin, Okapi, Phosphore, Pomme d’Api, ou Prions en Église sont devenus les idiots utiles ou les suppléants de l’islamo-gauchisme. Ils ont inventé une nouvelle catégorie dont on avait bien besoin : les islamo-cathos-gauchistes.

    Samuel Lieven présente le portrait croisé de deux frères, Benoît et Thomas. L’un est catholique, l’autre s’est converti à l’islam. Il est également fiché S, c’est encore plus beau. Tous deux ont été élevés dans une famille catholique, leur mère faisait le caté. « La fracture a marqué la vie familiale, bientôt rattrapée par le drame des attentats qui visent à opposer les uns aux autres. Les frères ont pourtant entamé une voie de réconciliation : si l’histoire n’est pas finie, elle porte des signes d’espoir. » Quelle meilleure façon d’honorer la mémoire du père Hamel que de raconter une conversion islamique dans une famille catholique ? Où tout se passe pour le mieux et où c’est même beaucoup mieux qu’avant ? Evidemment le récit d’une conversion catholique dans une famille musulmane aurait été impensable, scandaleux et fasciste et n’aurait certainement pas retenu l’attention de la fédé des médias catholiques. Sans compter qu’elle ne se serait pas passée de la même façon dans la famille musulmane…

    Dans ce bel article de La Croix récompensé par le Prix Père Jacques-Hamel, on apprend que Thomas le converti, est devenu gérant d’une librairie coranique, qu’il est marié à une femme voilée et qu’il a trois enfants : Abdallah, 10 ans, Amin, 8 ans, et Issa, 3 ans. Le lendemain des attentats du 13 novembre, la police fait irruption dans sa librairie islamique avec des hommes encagoulés et des chiens. Curieusement, son profil de converti et ce que l’on trouve dans son commerce en font un suspect potentiel. En quelques heures, le magasin et l’entrepôt voisin sont retournés, les ordinateurs et téléphones passés au peigne fin, tous les ouvrages recensés. A la suite de cette perquisition, Thomas reste inscrit au fichier S. Mais sa famille catholique se rapprochera de lui à l’occasion de cette grande injustice. Pascale sa maman vient chercher ses petits-enfants pour qu’ils n’assistent pas la descente de la Gestapo et tombe dans les bras de sa belle-fille voilée, Lila. Laquelle, c’est précisé dans l’article, voit maintenant sa belle-famille mais n’a ni le droit d’embrasser son beau-père et son beau-frère ni de leur serrer la main, c’est impudique.

    Ce merveilleux récit a transporté le jury des médias catholiques. Présidé par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et composé de Roseline Hamel, sœur du père Jacques Hamel (la malheureuse phagocytée) de Dominique Quinio, présidente des Semaines sociales de France, Christian Makarian, directeur de L’Express et Jean-Marie Montel, directeur général adjoint Bayard et président de la Fédération des médias catholiques. Le prix sera remis vendredi 26 janvier à Lourdes, à l’occasion des Journées internationales Saint-François de Sales, par le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Vatican.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 26 janvier 2018

  • La pro-avortement Sophie Montel en dessous des 3% (législative partielle de Belfort)

    Pascal Gannat (FN) n'oublie pas de rappeler la proximité de Sophie Montel avec Florian Philippot, l'homme de la culture du bonzaï...  

    Et quand on pense que ces deux cadres politiques ont eu tant d'influence durant 3 ans cruciaux au FN, exigeant l'expulsion de Jean-Marie Le Pen, détruisant toutes les références de droite au sein du FN, et précipitant une crise majeure nécessitant changement de nom et refondation https://twitter.com/jejeblt/status/957671265388630020 

     Les premiers résultats ici.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Complotisme présidentiel

    Georges Feltin-Tracol

    1420209586.jpgSuite aux vœux présidentiels à la presse du 3 janvier dernier, les commentateurs ont beaucoup discuté des intentions gouvernementales de légiférer contre les désormais célèbres fake news et d’instaurer dans les faits une censure préalable afin d’empêcher toute véritable réinformation.

    Si cette future loi liberticide et contre-productive avait déjà été adoptée, se serait-elle appliquée au ton foncièrement complotiste du discours présidentiel de ce jour-là ? En effet, avant que Libération publie que 79 % des Français suivraient au moins une théorie de la conspiration, personne n’a relevé que le locataire de l’Élysée évoquait lui aussi le sombre jeu de « forces occultes » dans les arrière-coulisses obscures de la « gouvernance » puisqu’il dénonçait une « propagande [qui…] adopte votre ton, parfois vos formats. Elle emploie votre vocabulaire et parfois même, elle recrute parmi vous. Parfois même financée par certaines démocraties illibérales que nous condamnons au quotidien, elle se diffuse, elle se banalise et elle finit par jouer de cette confusion que nous avons progressivement acceptée ».

    Le mal élu du 7 mai 2017 décline sciemment et tranquillement un avis hautement complotiste. Pour lui, « il y a là une stratégie et une stratégie financée visant à entretenir le doute, à forger des vérités alternatives, à laisser penser que ce que disent les politiques et les médias est toujours plus ou moins mensonger ». Le PD-G de la start up Hexagone en Marche insiste lourdement : « Cela fonctionne, nous l’avons vu à l’œuvre à l’étranger mais aussi en France. Le processus démocratique s’en trouve profondément altéré parce que l’indignation que suscitent ces fausses nouvelles est éruptive et prend le dessus sur la réflexion. Et c’est d’ailleurs le pari en quelque sorte anthropologique qui est fait par ceux qui manipulent ces canaux. »

    Bien sûr, les coupables tout désignés sont les « démocraties illibérales », la Russie de Vladimir Poutine en tête, cette Russie qui a le toupet d’ouvrir à Paris des studios pour l’édition française de RT – France et qui diffuse déjà la Webradio francophone Sputnik. Pourquoi n’a-t-on pas entendu les mêmes belles âmes s’indigner de la diffusion par satellite dans nos banlieues de l’immigration d’Al-Jazeera, de MTV ou de CNN du démocrate clintonien Ted Turner ?

    La condamnation présidentielle aurait été crédible si elle avait invité les journalistes présents à ne plus copiner avec les sbires de l’ambassade yankee près des Champs-Élysées, ces plumitifs qui comme de nombreux politiciens sont de véritables abonnés aux journées de l’ambassadeur étatsunien. Avant de s’en prendre à la paille dans l’œil du voisin, il importe toujours de regarder la poutre qui est dans le sien.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°63, diffusée sur Radio-Libertés, le 26 janvier 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Forum économique de Davos : un prix remis en faveur des immigrés clandestins

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     SUISSE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La quarante-huitième édition du Forum économique mondial, plus connu sous le nom de forum de Davos s’est ouverte lundi soir dans la station suisse du même nom. Cette organisation réunissant les plus hauts dirigeants d’Etats, de gouvernements et d’entreprises planifie tout simplement l’évolution de l’ordre mondial des temps à venir. C’est ce que Klaus Schwalb, co-fondateur avec Richard Attias a rappelé dans son discours JE CITE « Nous avons besoin de travailler en équipe : aucune nation, aucune personne, aucune partie prenante ne peut à elle seule faire face à la complexité de l’agenda mondial de manière constructive ».

    En guise d’ouverture du forum, un prix remis en faveur des clandestins

    Trois prix on été remis pour l’ouverture du forum, dont un attribué à Cate Blanchett pour son action en faveur des clandestins. En recevant son trophée, l’actrice a évoqué la migration prochaine de près de 66 millions de clandestins. Pour elle : « Nous devons accepter notre mission : trouver de nouvelles manières de répondre à la crise des réfugiés »

    Emmanuel Macron a pris la parole hier

    Déjà présent l’année dernière en tant que ministre de l’économie de François Hollande, Le président français s’est exprimé pendant plus de 40 minutes. Il a évoqué la question environnementale avant de faire la promotion de ses projets de réformes économiques, scolaires et financières pour notre pays. Il appelle à la coopération internationale, exigeant notamment un contrat mondial dans le domaine fiscal.
    Un ennemi à ce forum mondialiste : la montée des courants nationalistes

    En effet, Angela Merkel et Emmanuel Macron se sont tous deux inquiétés des de l’importance croissante des courants nationalistes. “Le populisme est un poison” haranguait la dirigeante d’outre Rhin tandis que le président français encourageait la salle à prendre des mesures pour que les nationalistes n’emportent pas les élections « dans cinq ans, dans dix ans, dans quinze ans ».

    https://fr.novopress.info/

  • Laurent Wauquiez refuse de couper le cordon avec la gauche

    6a00d83451619c69e201b7c949556a970b-200wi.png...pour envisager des alliances avec le FN, seule condition qui permettrait à son parti de pouvoir revenir au pouvoir :

    «J'ai toujours très clairement dit que tant que je m'occuperai des Républicains, je ne ferai jamais d'alliance avec des élus FN. En revanche, je revendique que nous parlions à ces personnes que nous avons écœuré et qui ne sont pas des fascistes ni des extrémistes. Si on sort de l'euro, ce sera une catastrophe pour les Français. Je veux que la France reste dans l'euro. Il y a des différences fondamentales en termes de vision et de propositions.»

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LES FEMEN ONT RECONNU ELLES-MÊMES AVOIR CIBLÉ CIVITAS POUR DISCRÉDITER LES OPPOSANTS AU MARIAGE POUR TOUS ! »

    Le 18 novembre 2012, lors d’une manifestation « anti-mariage pour tous » organisée par l’association Civitas, des Femen travesties en religieuses et accompagnées de la très militante Caroline Fourest s’en étaient prises au cortège. Expulsées par le service d’ordre, elles avaient porté plainte pour violences. Vendredi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné sept des huit hommes poursuivis à des peines allant jusqu’à un an de prison avec sursis.

    Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites, la collusion entre le pouvoir de l’époque et Caroline Fourest, et l’incroyable dispositif policier utilisé pour identifier les auteurs.

    Frédéric Pichon, un ultime rebondissement a eu lieu dans l’affaire opposant certains militants de l’association Civitas et les Femens. Le tribunal a rendu sa sentence ces derniers jours. En tant qu’avocat d’une partie des plaignants, que retirez-vous de ces années de procédure ?

    Tout d’abord, je retiens l’incroyable partialité des poursuites.
    Il faut quand même rappeler que nos clients ne sont pas allés chercher les Femens dans leur local de militants. Ce sont elles qui ont délibérément attaqué une manifestation autorisée par la préfecture. Mes clients étaient donc dans le cadre de l’exercice d’un droit de manifester.
    Elles se sont grimées et ont mis des coiffes de religieuses. Elles avaient le torse à l’air avec un slogan manifestement antireligieux et blasphématoire. Je sais que le blasphème n’est pas interdit. En revanche, ils constituaient manifestement un trouble à l’ordre public.
    Elles étaient de surcroît équipées d’extincteurs. On ne pouvait pas présumer à l’époque qu’il s’agissait d’extincteurs anti-incendie. On aurait pu au contraire présumer qu’il s’agissait d’extincteurs lacrymogènes puisqu’ils étaient de couleur blanche avec des slogans dessus dont je vous fais l’économie du contenu.
    On avait donc affaire à un acte d’agression caractérisé et à des violences non pas physiques, mais morales. La jurisprudence est assez claire en la matière.
    La Police n’était pas là. C’est pourquoi il a fallu l’intervention du service d’ordre de Civitas. Dans ce chaos général, alors qu’elles avaient utilisé leurs extincteurs et qu’il y avait de la fumée partout, quelques jeunes énergiques ont effectivement voulu les repousser, et quelques coups ont été échangés.

    Cette séquence est relatée dans le livre intitulé Inna de Caroline Fourest consacré à la patronne des Femens. Qu’avez-vous appris dans ce livre ?

    On a appris de manière absolument hallucinante que madame Fourest reconnaît explicitement les suspicions de l’époque sur la partialité du parquet.
    De mon côté, mon client et son épouse ont porté plainte contre les Femens. Elle a été classée sans suite au motif que les auteurs n’étaient pas identifiables. C’est absolument hallucinant !
    Dans son ouvrage, Caroline Fourest raconte qu’alors qu’elle était mise à l’écart par les policiers, elle a reçu un coup de téléphone de Manuel Valls, du président de la République lui apportant tout son soutien, du cabinet de madame Taubira, ministre de la Justice à l’époque et auteur de la loi contestée, qui lui apportait également tout son soutien, et enfin du préfet de police lui disant qu’il allait mettre à son profit tous les moyens à sa disposition.
    On est donc dans une intervention absolument hallucinante du pouvoir exécutif dans une procédure judiciaire. Cela nous a permis de voir les jours suivants l’incroyable dispositif policier pour identifier les auteurs. Les policiers sont arrivés tels des cow-boys. Ils ont fait des perquisitions avec des pistolets à la main pointés sur nos clients. C’était un véritable délire !
    Tout cela pourquoi ? Parce que madame Fourest a des appuis au plus haut niveau de l’État, ce qu’elle confirme d’ailleurs dans son ouvrage. On est donc dans un dossier d’une partialité incroyable.
    On a appris également dans ce dossier que les Femens avaient délibérément ciblé Civitas parce que La Manif Pour Tous, c’était un peu trop gentil. Elles craignaient qu’il n’y eût pas de réaction. En ciblant Civitas, le but de l’opération était de provoquer une réaction pour discréditer les opposants au mariage pour tous.
    On est donc dans une opération préméditée et politique où des gens en particulier ont été ciblés pour provoquer un esclandre et avec les réactions que l’on sait. Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes, comme le dit un adage du droit civil.

    Quelles peines ont été prononcées à l’encontre de vos clients et de leurs compagnons ?

    Mise à part une relaxe sur huit prévenus, il y a eu des peines allant d’un mois à un an de prison avec sursis.
    Je note que le Tribunal n’a pas tenu compte des arguments que nous avions fait valoir. Nous avons soutenu que les Femens avaient une part de responsabilité dans ce qui est arrivé, y compris leur propre préjudice. Elles ont subi les conséquences de leur propre illégalité. Après tout, l’entrave à une liberté de manifester est une infraction. Elles ont attaqué délibérément un cortège.
    Le Tribunal ne nous a pas suivis sur ce point.
    Par ailleurs, Caroline Fourest n’était pas là en tant que journaliste, mais en tant que militante. Dans la procédure, il est ressorti qu’elle était l’instigatrice et le conseil des Femens tout au long de cette opération. Elle a même recueilli les militantes Femens chez elle, à la suite de ces incidents.
    Le Tribunal ne nous a pas non plus suivis sur ce point.

     Avocat Vice président du SIEL
  • On refuse d’enregistrer un prénom breton. Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le procureur et l’état civil de la mairie de Rennes ont refusé d’enregistrer le prénom Derc’hen (avec une apostrophe entre les lettres c et h) choisi par un couple pour son petit garçon. C’est en tout cas ce que relate le quotidien Ouest-France. Motif : le prénom contenait une apostrophe. Une première selon Charlie Grall, président du Secours Breton, une association qui défend l’identité bretonne. Ce dernier a précisé que « de nombreux prénoms bretons ainsi que des noms de famille s’écrivent avec un c’h et n’ont pas (…) posé de problème ces dernières années. »

    Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

    C’est tout le paradoxe ! Les prénoms français perdent du terrain face aux prénoms à consonance arabe ou noire-africaine, et l’on débat des cultures régionales. Pour rappel, L’Officiel des prénoms 2018 note que Mohamed se situe dans le top 20 des prénoms les plus donnés en France. Il était déjà dans les dix premières places à Paris, suivant en cela une tendance bien établie dans plusieurs capitales européennes, Bruxelles, Londres et Oslo. Au Royaume-Uni, le dernier recensement sur les prénoms a suscité polémique. D’après le Bureau de la statistique nationale, Oliver était le prénom le plus populaire en 2016. Mais en tenant compte des déclinaisons multiples du prénom Mohamed, (Mohammed, Muhammad…), le site Quartz avait conclu qu’en réalité c’était prénom numéro 1 outre-Manche.

    https://fr.novopress.info/

  • ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…

    L’histoire s’est passée en Suède.

    Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
    Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.

    Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.

    Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.

    Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan ! 

    Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.

    On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…

    La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…

    Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/

  • Un grand mérite de l’épopée Trump est d'avoir dévalué la « valeur média »

    6a00d83451619c69e201b7c948fe58970b-250wi.jpgVivien Hoch, docteur en philosophie et fondateur du Comité Trump France, dresse le bilan philosophique de la première année de la présidence de Donald Trump :

    "Il manque une description philosophique du tableau Donald Trump. Donald Trump mérite d’être pensé à sa juste valeur. Son comportement public, sa manière d’inscrire son action dans l’efficacité et de nouer des deals, demandent une analyse rigoureuse qui le prenne au mobilisent des concepts et transforment l’art de faire de la politique. Donald Trump n’est pas un politique. Il pratique la grande politique, qui inscrit ses actions dans le temps long et qui provoque une métamorphose de la société.

    Chez Trump, la présidence des Etats-Unis vient couronner un tempérament, une stratégie et, comme le disent les philosophes, une vision du monde qui est gagnante.

    Cet vision du monde, c’est celle du Businessman. Trump mène sa vie, sa famille, son entreprise, sa campagne et son pays comme un homme d’affaires : «Tout est de l’ordre des affaires, que vous le vouliez ou nom». Cette affirmation n’est absolument pas anodine : l’homme contemporain est un être-pour-les-affaires. Cela veut dire que l’homme se définit comme celui pour qui tout est à faire, tout est à construire, tout se négocie dans un seul but : son propre intérêt– en l’occurrence celui du peuple américain. Il ne s’agit pas de s’enfermer dans le monde des affaires, mais faire du monde une affaire.

    Faire des affaires veut également dire : prendre des risques, s’aventurer dans des possibles inattendus, et désamorcer en permanence les certitudes. Ce sont les qualités qui ont propulsé l’Occident en maître du monde. Donald Trump condense dans sa personne et dans son être ce qui a fait la réussite de l’homme occidental. [...]

    Un grand mérite de l’épopée Trump, c’est qu’il a, à lui seul, complètement dévalué la « valeur média » auprès de l’opinion mondiale. Il rappelle que tous les discours sont idéologiquement situés, et que le discours des médias dominants est univoque. Il pousse les médias à avouer clairement leurs présupposés et leur situation d’énonciation, c’est-à-dire le « point de vue » duquel ils parlent, et montre que ce point de vue est souvent profondément le même. Sous couvert d’être «ouverte aux tendances», la dialectique des médias revient en fait toujours au même : mêmes critiques, mêmes conclusions, mêmes idées.

    Donald Trump dénonce cette rigidité hypocrite des médias. Il réintroduit de l’herméneutique là où il n’y avait que de la répétition inlassable du même. Il montre que les médias sont enfermés dans un abject mimétisme. Il réintroduit de l’altérité là où il n’y avait que consanguinité d’intellects. Par là, il sauve la raison d’être du journalisme : en donnant en permanence à commenter des faits, des paroles et des actes qui sont totalement étrangers et répulsifs aux médias, il les réveille de leur sommeil dogmatique. Il permet à la démocratie de revivre, et de réaliser à nouveau son essence : assumer le conflit."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html