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Campagne électorale en belgique : le candidat musulman refuse de serrer la main aux candidates et de les regarder
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LE SCANDALE DE L’ÉLECTRICITÉ VERTE : 134 MILLIARDS EXTORQUÉS AUX FRANÇAIS
La Cour des comptes vient de dévoiler un vol honteux, une escroquerie qui a impacté tous les Français, notamment les plus modestes. Pourtant, les médias n’en parlent pas ou peu, alors qu’il devrait faire les grands titres des journaux. Une telle mansuétude s’explique par l’escroquerie écologique, car ce qui est en cause est la gestion de l’électricité dite verte, une fumisterie qui ruine nos compatriotes au nom de la lutte contre un réchauffement climatique dont les effets sont surévalués.
Ceux qui installent des éoliennes ou des panneaux solaires sont assurés d’un prix de revente supérieur au prix du marché et EDF est tenu d’acheter toute l’électricité produite, même si elle n’en a pas besoin. Quiconque veut mettre des panneaux solaires sur son toit doit déposer une déclaration de travaux à la mairie, qui accepte presque toujours (?) sauf si les bâtiments se trouvent dans des zones classées. Les éoliennes sont simplement tenues d’obtenir un permis de construire. Selon la Cour des comptes, EDF s’est engagée à acheter pour 134 milliards d’euros de cette prétendue électricité verte sur vingt ans, soit près de sept milliards par an. Et ce sont les Français qui financent cette dispendieuse folie par l’intermédiaire d’une taxe sur la consommation d’électricité qui ne cesse – et pour cause – de s’alourdir. Tout le monde paye, y compris nos compatriotes les plus modestes, une centaine d’euros par ménage et par an. Effrayant ! Et cette manne n’a pas servi à créer des emplois en France, car les panneaux solaires proviennent, dans leur grande majorité, de Chine et les éoliennes sont souvent allemandes. Nous enrichissons l’étranger, alors que notre commerce extérieur est gravement déficitaire.
Si, encore, ces sept milliards annuels extorqués aux Français étaient écologiquement utiles… Or, il n’en est rien ! Même si le réchauffement climatique sera probablement plus faible que ce qu’on nous annonce régulièrement, il est normal que l’État veuille fermer des centrales thermiques et inciter à produire de l’électricité qui n’émette pas de gaz carbonique (simple principe de précaution). Mais la France n’est pas l’Allemagne. Avec nos centrales nucléaires, nous étions le pays d’Europe qui émettait le moins de CO2 en produisant son électricité. Notre bilan carbone était exemplaire (même si on ne peut nier le danger de fuites radioactives comme au Japon).
Qu’avions-nous besoin de faire appel à des filières dont le bilan écologique est mauvais (fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes n’est pas très bon pour l’environnement). Et, surtout, qu’avions-nous besoin de subventionner la production d’une électricité superfétatoire. Certes, on a décidé en haut lieu de limiter la part du nucléaire à 50 % (pourquoi ce chiffre ? Pourquoi pas 60 % ou 40 % ?), mais cette stratégie suicidaire est une erreur gravissime.Il aurait mieux valu continuer à exploiter à fond nos centrales (en prenant toutes les précautions possibles) afin de les rentabiliser au maximum et de jouir de notre avantage indéniable sur les autres nations. Serions-nous le pays le plus bête au monde ?
http://www.bvoltaire.fr/scandale-de-lelectricite-verte-134-milliards-extorques-aux-francais/
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Une loi asile-immigration très xénophile, par Francis Bergeron
« La solidarité est-elle un délit ? » Non, bien évidemment. La solidarité, la fraternité, l’amour de son prochain, ne sont heureusement pas des délits. Mais vous l’avez bien compris, il s’agit d’une fausse question. Car qu’est-ce qu’un délit ? C’est un acte contraire à la loi. Aider des délinquants est un délit. En conséquence la solidarité avec des islamistes, avec des fraudeurs fiscaux, etc., est un délit. Et c’est un délit, aussi, que d’aider les filières d’immigration clandestine. Mais lorsque le journal Le Monde (en date du 22 avril) pose cette question, ce n’est pas innocent. Il s’agit d’utiliser une figure dialectique classique, celle de la culpabilisation : des passeurs aident des migrants clandestins ? C’est un acte de solidarité. La solidarité est-elle un délit ? Non. Donc les passeurs ne sont pas des délinquants. Tel est le raisonnement du Monde. Tel est le raisonnement de la gauche. Et telle a été, pour finir, l’analyse des députés, qui ont voté cet amendement, puis la loi elle-même dimanche soir.
Les députés LREM avaient perdu la bataille des mots, en acceptant de débattre d’un soi-disant « délit de solidarité ». Ils ont donc introduit un assouplissement dans la loi, qui l’a vidée de toute pertinence. Dorénavant en effet les personnes qui aident les réseaux d’introduction de clandestins – sous réserve qu’elles n’en tirent pas une contrepartie pécuniaire – ne pourront plus être poursuivies. L’aide juridique, linguistique, sociale, l’hébergement, la restauration, les soins médicaux, et d’une façon générale, dit le nouveau texte, tout ce qui assurera une vie digne et décente aux clandestins, est légalisé par la nouvelle loi. C’est la victoire de tous les passeurs, de toutes les associations qui, par idéologie, militent pour le grand remplacement.
Cette disposition ruine ce que le projet de loi pouvait avoir d’utile. C’est un texte qui fera désormais de Cédric Herrou, le passeur clandestin des Alpes-Maritimes, traître aux intérêts de son pays, une sorte de « juste », digne du Nobel de la paix !
Les députés du Front national, dans un communiqué, évoquent une « loi hypocrite et inique », « une loi qui favorisera un peu plus une immigration incontrôlée qui déstabilisera un peu plus une république déjà bien abîmée par 30 ans de laxisme politique ».
Loi de préférence non-nationale
Ce qui a eu l’effet de faire perdre son sang-froid à Nicole Belloubet, le ministre de la Justice, qui accusé le FN de « déstabiliser l’ensemble de notre système républicain ».
Mais qui déstabilise le système ? La vraie menace contre le pays n’est évidemment pas l’expression et le vote d’une poignée d’élus FN. C’est cette grave dérive du projet de loi devenu loi.
On comprend que les gouvernements successifs ne s’attaquent que par petites touches à cette question de l’immigration, par peur de « faire le jeu du Front national », de « libérer dans les urnes les populismes ». Mais la loi votée dimanche peu avant minuit par 228 voix pour, 139 contre, 24 abstentions, crée, par le jeu des amendements, un dispositif globalement pire que la situation antérieure, et qui ne peut que rendre impossible le travail de la police des frontières, augmenter l’appel d’air, la pression migratoire.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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“Une épuration ethnique à bas bruit” ?
Le néoconservateur Philippe Val, celui-là même qui lança en 1996 une pétition pour l’interdiction du Front National dans le magazine Charlie Hebdo qu’il dirigeait alors, a rédigé un manifeste contre le nouvel antisémitisme. Il a été publié dans Le Parisien en début de semaine. Un mois après le meurtre de Mireille Knoll, cette tribune a été signée par 300 personnalités du monde politique, journalistique, des comédiens et des chanteurs ( (Sarkozy, Ciotti, Wauquiez, Dépardieu, Aznavour, BHL, Finkilekraut, Haziza, Fogiel, Estrosi, Ferry, Valls, Raffarin, …). Elle demande à « l’islam de France qu’il ouvre la voie », « que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France. » Pour se faire, M. Val fait part de son vœu que dans le texte sacré des musulmans, le Coran, les textes « appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés d’obsolescence par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémite catholique aboli par Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime. »
A ce stade, notons d’ores et déjà que Philippe Val sait pertinemment que son équation personnelle le rend assez peu audible pour demander quoi que ce soit à des musulmans. Lesquels ne peuvent en aucune manière toucher au texte même du Coran, qui représente aux yeux des croyants la parfaite parole d’Allah délivrée à Mahomet par l’intermédiaire de l‘archange Gabriel. Coran qui n’est pas susceptible d’interprétation, de modification, d’abrogation. Coran qui est dit incréé.
Bernard Antony souligne de son côté que « ce ne sont pas seulement quelques versets dits médinois et notamment ceux de la sourate IX qui appellent à l’élimination des juifs ou de ceux (les chrétiens) coupables du seul péché qu’Allah ne pardonne pas : associer d’autres Dieux à Dieu . Il y en a un très grand nombre d’autres dans le Coran, mais aussi dans les Hadîths (les faits et gestes du prophète) quasiment autant sacralisés. » Il précise encore que « L’assertion (du manifeste de M Val) sur la suppression des incohérences de la Bible par le concile Vatican II témoigne d’une bien médiocre culture par son rédacteur. Il n’existe rien de tel dans les textes de ce concile ! Par le passé, l’interprétation de la Bible a été simplement contrôlée, chez les chrétiens catholiques et protestants comme chez les juifs, par leurs autorités d’interprétation spirituelle. Notons d’ailleurs que le texte de la Bible catholique est pour l’essentiel celui de la Bible judaïque et ni les Juifs ni les Chrétiens ne se sont avisés d’en supprimer quelques passages…»
Dans son manifeste Philippe Val écrit aussi que « les Français, dont on a mesuré la maturité démocratique après chaque attentat islamiste vivent un paradoxe tragique. Leur pays est devenu le théâtre d’un antisémitisme meurtrier. Cette terreur se répand, provoquant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre. Les Français juifs ont 25 fois plus de risques d’être agressés que leurs concitoyens musulmans. 10 % des citoyens juifs d’Ile-de-France – c’est-à-dire environ 50 000 personnes – ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République. Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Émile Zola et de Clemenceau. »
Une épuration que les autorités publiques accepteraient sans broncher ou dont elles s’accommoderaient «parce qu’au vieil antisémitisme de l’extrême droite s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société. Parce que la bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif. »
Invité de France Inter lundi matin, l’essayiste Pascal Bruckner, qui a signé cette tribune, a précisé: « Nous n’appelons pas à la stigmatisation, mais à l’insurrection des bonnes volontés et, dans ces bonnes volontés, les musulmans réformateurs, les musulmans libéraux, les musulmans éclairés sont évidemment d’accord . Non seulement nous ne stigmatisons pas, mais nous avons un certain nombre d’imams qui ont signé avec nous et qui sont eux-mêmes horrifiés par ce qui se passe. » Il fait ici référence à l’imam de Nantes Mohamed Guerroumi et à l’ancien imam de Drancy (Seine-Saint-Denis), Hassen Chalghoumi, qui, sans leur faire injure, ne sont pas vraiment considérés comme des pointures et qui ne jouissent pas d’une grande popularité au sein de la communauté musulmane.
Cette initiative de Philippe Val et consorts a heurté beaucoup de responsables ou d’autorités religieuses de confession musulmane. Le président du Conseil du culte musulman, Ahmet Ogras, estime que « cette tribune est un non-sens, un hors-sujet. La seule chose à laquelle on adhère, c’est qu’on doit tous être ensemble contre l’antisémitisme. »Le président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, Abdallah Zekri, a condamné un débat « nauséabond et funeste » sur l’islam. Le recteur de la grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a dénoncé un «procès injuste et délirant. » « Cette tribune présente le risque patent de dresser les communautés religieuses entre elles. » « Les citoyens français de confession musulmane majoritairement attachés aux valeurs républicaines n’ont pas attendu (cette) tribune (…) pour dénoncer et combattre depuis des décennies l’antisémitisme et le racisme antimusulman sous toutes ses formes. »
L‘imam de Bordeaux Tareq Oubrou, membre de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, qui se fait appeler désormais Musulmans de France) apprécié par Alain Juppé, a pris l’initiative d’une autre tribune. Publiée aujourd’hui dans Le Monde et signée par une trentaine d’imams, elle condamne le racisme et l’antisémitisme: « Nous avons décidé de prendre la parole, c’est parce que la situation, pour nous, devient de plus en plus intenable ; et parce que tout silence de notre part serait désormais complice et donc coupable, même s’il ne s’agissait jusqu’à présent que d’un mutisme de sidération. »
« Le Coran est, à l’origine, en arabe. Je pense que ceux qui ont signé la tribune (de M. Val) ont lu une traduction, une interprétation. Ça montre un manque de culture religieuse. N’importe quel texte sacré est violent, même l’Evangile ! » indiquait auparavant M. Oubrou. Sur francetvinfo il affirme qu’ «attribuer l’antisémitisme à l’islam est presque un blasphème, puisque les deux-tiers des prophètes du Coran sont des juifs ! Donc cela ne rime à rien. Dans la tribune (de Val), il est stipulé clairement que le Coran appelle au meurtre des juifs et des chrétiens : c’est une erreur monumentale, et d’une violence inouïe. Le Coran n’appelle pas au meurtre ; il appelle au combat des gens qui sont hostiles. C’est la même erreur que commettent un certain nombre d’ignares musulmans, des délinquants, qui prélèvent des textes isolés de leur contexte historique. Attribuer l’antisémitisme à une génétique coranique quelconque est une erreur intellectuelle monumentale ; la même erreur que commettent nos jeunes qui n’ont aucune culture religieuse.»
Selon la recension faite par Le Point, les éditorialistes ont diversement apprécié la pertinence de la tribune de Philippe Val , écartelés entre leur refus de fermer les yeux (et donc de tomber sous l’accusation d’un antisémitisme implicite, par lâcheté) et leur peur de stigmatiser les musulmans. Une frousse de l’amalgame qui est aussi (depuis longtemps) celle de Claude Askolovitch qui le confie sur slate.fr. Certains résolvent l’équation difficile en tentant une filiation, en voulant enraciner l’antisémitisme musulman dans un humus français, en l’intégrant dans une vieille tradition autochtone , quitte à tout mélanger: « À l’heure où la République écarte les œuvres de Charles Maurras et de Louis-Ferdinand Céline du catalogue des célébrations nationales, elle ne peut pas continuer à fermer les yeux sur cette nouvelle forme d’antisémitisme beaucoup moins littéraire, mais tout aussi détestable », écrit Hervé Favre dans La Voix du Nord.
Même son, de cloche d’ Alain Dusart dans L’Est républicain : « Val et ses cosignataires inventent le nouvel antisémitisme. Ce dernier, certes inadmissible, n’a rien de nouveau en France. De l’affaire Dreyfus au régime de Vichy. Il s’agit ici de faire porter le chapeau de ce nouvel antisémitisme à l’ensemble des musulmans. C’est caricatural et ridicule (…). »
Un procès en antisémitisme qui fut aussi longtemps fait au Front National au motif assez étrange qu’il combat le mondialisme, entend défendre la France des terroirs et des clochers, l’identité charnelle de notre pays. Ce qui lui valut l’accusation d’accointances idéologiques avec le pétainisme et le maurrasisme de la part de la gauche ou de la droite courbe. L’ex ministre de l’Education nationale Luc Ferry l’explique en rapportant cette anecdote: « Quand j’ai dit à l’Assemblée nationale que nous avions à faire à un nouvel antisémitisme, que ce n’était plus l’extrême-droite traditionnelle ni l’anti-judaïsme chrétien, je me suis fait insulter, j’ai été traité de salopard, je m’en souviendrai toute ma vie, par un parlementaire de gauche, désespéré qu’on lui retire sa cible principale qui était le Front National. »
Sur Mediapart, l’autoproclamé islamo-gauchiste Yvan Najiels a le mérite dans son article de résumer la défense dialectique d’une certaine nébuleuse telle qu’elle est représentée aujourd’hui , peu ou prou par la planète LFI et ses satellites trotskistes, islamo-communautaires politisées. Pour la gauche de la gauche immigrationniste , anticapitaliste, se voulant toujours antisioniste, la nouvelle figure du Juif discriminé et persécuté s’incarnerait en ce début de XXIe siècle en la personne du Musulman en France. Et les antisémites de souche applaudiraient de surcroît à la création de l’Etat d’Israël au motif qu’elle a conduit au départ de nombreux juifs : «le dessein de cette tribune (de Val) est de désigner un nouvel ennemi intérieur. Son nom ? L’Islam et ses fidèles qui menaceraient, comme au bon vieux temps de l’antisémitisme vintage, l’identité nationale de la France et la liberté de ses femmes. C’est du reste le sens de l’expression glaçante épuration ethnique à bas bruit qui n’est que le pendant, de gauche et démocratique, de ce que le fasciste Renaud Camus appelle, lui, sans fard le grand remplacement . Vision strictement raciale du pays.(…). »
«L’antisémitisme de l’Etat français poursuit-il, s’est mué en philosémitisme après un génocide auquel son personnel politique a participé et après la création de l’État d’Israël qui a mis fin au caractère transnational des juifs du monde entier, exauçant alors un vieux souhait antisémite, en assignant à ce peuple une terre et un site national dont furent, par conséquent, chassés ceux qui y vivaient paisiblement. La Palestine et son peuple ont payé pour les crimes de l’Occident blanc mais cela ne suffit pas à Philippe Val. Celui-ci ne supporte pas la dénonciation de ce crime destiné à laver l’Occident d’un précédent crime et en occidentaliste de choc, il appelle par sa tribune à museler, à tout le moins, celles et ceux qui dénoncent l’infâme politique criminelle israélienne qu’il amalgame à dessein au judaïsme et aux juifs, en général. Le philosémite n’est qu’une variante de l’antisémite et Lucien Rebatet, ex-collabo qui soutint Israël dans la guerre de 1967 (dans l’hebdomadaire Rivarol, autre époque, NDLR) , l’a expérimenté avant lui.»
Au delà de cette pauvrette et lourdingue analyse gauchiste, nous pensons pour notre part qu’il n’est pas contestable que nos compatriotes d’origine et/ou de confession juive aient été victimes d’homicides du fait même de leur judéité. Et la justice dira si l’antisémitisme est aussi le mobile du meurtre atroce de Mireille Knoll. Nous l’avons écrit sur ce blogue en janvier dernier , il est tout aussi incontestable que des familles juives ont quitté en masse les quartiers islamisés pour rejoindre si ce n’est l’Etat hébreu, du moins des communes, des départements moins métissés ou comptant déjà une forte communauté israélite structurée. Une accélération du communautarisme sur une base ethno-culturelle pour échapper aux « joies » du vivre-ensemble en quelque sorte, phénomène qui se répand bien au-delà du cas des juifs de France, tel est le résultat de la politique des partis dits de gouvernement, communiant dans le même universalisme républicain…
Il est tout aussi évident que ce sont TOUS les Français qui sont victimes de l’immigration massive, du changement de nature, de visage , de climat qu’elle impose à la France constate Bruno Gollnisch. N’interpréter ce problème qu’au travers du prisme de la religion musulmane (même si cette donnée là est tout sauf anodine) et de l’antisémitisme est extrêmement réducteur. Ce sont des milliers , plus certainement des dizaines des milliers de gaulois qui ont été victimes ces dernières années de violences physiques, d’insultes, d’agressions parfois mortelles motivées par le racisme anti-de souche d’immigrés ou de Français de papier qui ne sont pas tous musulmans. Le Front National fut bien seul (il l’est certes moins aujourd’hui) à le dénoncer. Il n’est pas certain que cette réalité là puisse être l’objet d’une tribune publiée dans Le Parisien ou Le Monde et qu’elle serait approuvée par la totalité des signataires de celle du militant Philippe Val; a fortiori quand lesdits signataires portent une responsabilité plus ou moins directe dans la situation actuelle.
https://gollnisch.com/2018/04/24/une-epuration-ethnique-a-bas-bruit/
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De quelques ressorts de la désinformation médiatique : notamment par une seule lettre !
Tenons-nous en à aujourd’hui, jeudi 19 avril. Dès leurs premiers bulletins d’information, sur France-Info ou France-Inter, les faux informateurs mais vrais propagandistes font leur travail sur ces « radios publiques gauchos », financées par nos impôts, relais de la CGT ou de SUD. Elles ont pour mission l’annonce sans cesse répétée des grèves et manifestations de l’en-cours des mobilisations « syndicales » avec toutes précisions d’heures et de lieux de rassemblement. Sans cesse aussi les diffusions des appels et déclarations de vaniteuses donzelles et chefaillons comminatoires du pseudo syndicalisme étudiant en mal de frissons des grandes épopées révolutionnaires.
On sait bien qu’ils ne représentent que de petites minorités. Mais pour les présentateurs médiatiques, ils deviennent « les étudiants », selon la grosse ficelle, vieille mais jamais usée, de la généralisation et de l’amalgame. Or ils ne sont que « des étudiants ». La substitution systématique de l’article « les » à l’article « des » n’est ainsi pas du tout anodine : une seule lettre que l’on change et la réalité est ainsi déformée…
Même procédé avec « les » cheminots ou « les » enseignants…
Et à propos d’enseignants, sur France-Inter, vers 13 h, on donnait abondamment la parole à un des sentencieux pédagogues ayant ce jour signé dans l’Humanité un appel à la convergence des luttes. Oui, dans l’Humanité, ce torchon tchékiste d’abord lénino-collaborationniste puis organe de la convergence hitléro-stalinienne du pacte germano-soviétique de 1939 ; dans l’Humanité, ce canard atroce où furent systématiquement louangés les plus grands massacreurs d’un siècle de crimes communistes.
« L’Huma » : un journal « collabo », de menteurs, de criminels, d’une continuité historique séculaire de diffamateurs de tous les combattants de la liberté sous tous les jougs des empires rouges.
On me demande quelquefois, si, rappelant cela, je ne crains pas des procès. Si des procès m’étaient intentés, je m’en réjouirais. Mais hélas, les cocos ne sont pas à ce point des idiots !
En revanche, ceux que Lénine appelait « les idiots utiles », c’est-à-dire « les compagnons de route » des révolutionnaires, n’ont jamais fait défaut aux bolcheviques de tous poils, lénino-trotskystes ou lénino-staliniens, lénino-maoïstes ou lénino-castristes.
Monsieur Macron n’est évidemment pas dénué d’intelligence. Mais il correspond pourtant parfaitement à la définition que donnait Georges Bernanos de l’intellectuel moderne : « le plus grand imbécile que la terre ait porté ». Et il faut en effet n’être point exempt d’imbécilité stratégique pour prendre un Edwy Plenel comme interlocuteur d’un débat télévisé sans jamais rappeler qui est ce personnage !
Mais la vérité, c’est que prenant souvent l’opinion d’un Daniel Cohn-Bendit et ayant une Marlène Schiappa pour secrétaire d’État, Emmanuel Macron, quoi qu’il en soit de quelques aspects acceptables de ses réformes sociales, continue dans la voie d’une nihiliste révolution sociétale fondamentalement nihiliste.
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Révolutionnaires de salon : faculté de Montpellier, les vacances ont eu raison de l’occupation
Après Tolbiac, les forces de l’ordre ont envahi ce matin le campus de l’université Paul-Valéry, à Montpellier (Hérault). Mais contrairement à Paris-I, où l’intervention avait donné lieu à quelques échauffourées, l’entrée des CRS s’est faite cette fois dans le plus grand calme. Et pour cause : vacances obligent, les étudiants ont préféré rentrer chez eux se reposer plutôt que de maintenir le blocage. Les étudiants n’ont toutefois pas manqué de critiquer l’intervention des forces de l’ordre, dénonçant le « ridicule » et « l’incompétence de la direction ».
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Albéric Dumont face à Caroline Mécary : nous demandons toujours l'abrogation de la loi Taubira
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Le coup d’éclat des Identitaires, par Franck Deletraz
Lançant samedi de façon spectaculaire leur « Opération Alpes » au col de l’Echelle, les militants de Génération Identitaire ont certes réussi à empêcher pendant plus de 24 heures le déferlement de nouveaux clandestins dans notre pays. Mais surtout, rappelant l’Etat à son devoir par le biais de ce coup d’éclat, ils ont obtenu du gouvernement le renforcement du contrôle de cette frontière passoire.
Samedi matin, en effet, une centaine d’Identitaires ont pris position sur ce point particulièrement sensible de la frontière franco-italienne, situé à 25 km de Briançon. L’objectif ? Barrer la route aux clandestins qui, rappelons-le, sont (officiellement) plus de 2 000 à avoir emprunté ce passage pour entrer illégalement en France depuis l’été 2017. Un flot qui ne cesse de grandir, a expliqué Romain Espino, porte-parole de GI, en raison d’« un manque de courage des pouvoirs publics ». Aussi, pour prouver au gouvernement qu’« avec un petit peu de volonté, on peut contrôler l’immigration et les frontières », les Identitaires, appuyés par deux hélicoptères et des drones, ont-ils investi puis surveillé cette zone jusqu’à dimanche, en fin de matinée.
Une opération nette, sans bavure et qui, de l’aveu même de la préfecture des Hautes-Alpes, s’est déroulée « dans le calme ». Ce qui n’aura pas été le cas de la contre-manifestation organisée dimanche par les « antifas » transalpins et français qui, regroupés du côté italien, ont violemment forcé un barrage de la gendarmerie avec une trentaine de clandestins au col de Montgenèvre, faisant deux blessés à la tête parmi les forces de l’ordre. La veille déjà, la lie bolchevique et pro-immigration s’en était donné à cœur joie, en saccageant le centre-ville de Gap, brisant et/ou « taguant » de nombreuses vitrines ainsi que du mobilier urbain lors de leur manifestation.
Opération Alpes ? « Une réussite »
Un déchaînement de violence qui, au fond, faisait écho à celui que l’on a pu observer à l’Assemblée, où les élus de gauche ont dénoncé le prétendu « laxisme » de Collomb vis-à-vis de « l’extrême droite » et où l’affaire a même donné lieu à un accrochage sévère entre Me Collard et Mélenchon.
En tout cas, comme le soulignait Romain Espino dimanche, cette Opération Alpes aura été une vraie « réussite ». D’abord parce que GI a réussi à « attirer l’attention médiatique et politique sur le col de l’Echelle ». Mais aussi parce que, placé subitement devant ses responsabilités, Collomb a été contraint d’annoncer dimanche soir l’envoi de renforts de police et de gendarmerie « importants » pour « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières » dans les Hautes-Alpes. Marine Le Pen s’en est amusée dans un tweet : « L’opération de Génération Identitaire a une conséquence cocasse : toute la gauche s’est plainte en hémicycle que ce ne soient pas les forces de l’ordre qui aillent protéger les frontières… »
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 23 avril 2018
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À AVIGNON, VA-T-ON DÉBAPTISER DES ÉCOLES POUR FAIRE PLAISIR AUX MUSULMANS ?
À Avignon, des établissements scolaires publics vont-ils être débaptisés ? C’est ce qu’annonce Vaucluse-Matin, le 20 avril. Laïcité oblige ? L’école Saint-Roch, l’école Saint-Jean, pour commencer. Saint-Gabriel, Saint-Ruf et Sainte-Catherine devraient leur succéder. Cécile Helle, le maire socialiste, s’en défend. Sauf que l’adjointe d’un quartier de la cité papale a déclaré : « On propose de changer le nom de certaines écoles pour qu’il corresponde plus aux aspirations du moment. Est-ce qu’un saint représente encore quelque chose par rapport à ce quartier multiculturel ? » On peut imaginer que cette adepte du multiculturalisme a dû lire ce rapport officiel, écrit par un « groupe de réflexion » appelé « Laïcité et République moderne », et rendu en 2015 à Manuel Valls, alors Premier ministre.
« Revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble » : le titre dudit rapport donne le ton. D’apprendre ensuite que les deux principaux parlementaires l’ayant établi appartenaient, l’un au Parti socialiste (Yann Galut), l’autre à EELV (la trinationale Esther Benbassa), donnait d’emblée le la. Il s’agissait, pour le groupe, de proposer des solutions pour lutter contre « l’apartheid territorial, social, ethnique » évoqué par Manuel Valls, qui ciblait « les discriminations quotidiennes parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme ».
Mais revenons à la toponymie. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. »
Et de prendre pour exemple des musulmans habitant Pont-l’Abbé qui seraient « amenés à se demander s’il s’agit d’une insulte » ! Vous parlez : être appelés des Pont-l’Abbistes ! Pour parer à cette abominable éventualité, les auteurs de ce vivre ensemble nouveau n’y sont donc pas allés par quatre chemins : « Débaptiser tous les noms de communes comprenant le mot « saint » dans l’intitulé afin “de relaïciser profondément la République” » avec, pour but, de supprimer un « affichage discriminant ». Couper les têtes de nos « saints » accolés à 4.794 communes pour ne pas offenser des fidèles d’un islam intrinsèquement tolérant, quelle drôle d’idée…
En tout cas, éradiquer les signes de chrétienté, c’est chose faite, au pays de Taubira – je veux dire en Guyane. L’école Saint-Jean s’appelle désormais Rosa-Parks, plus fun ; celle de Saint-Maurice a cédé la place au nom d’une féministe, ancienne inspectrice de l’Éducation nationale et d’académie ; et, dans un registre bien dans l’air du temps, le nom d’un architecte designer a remplacé l’école Espérance.
Ces suggestions de la part de ces nostalgiques révolutionnaires ne vous plaisent pas, pas du tout ? Vous vous dites que vous avez votre mot à dire ? Vous rêvez ! Des « référendums locaux, s’ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns et même néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire qui ne pourrait s’exprimer en dehors des édifices cultuels » (sic).
Ce rapport, comme le disait en aparté un conseiller de Valls en personne, « c’est l’occasion de voir qui est républicain et qui ne l’est pas ». En somme, de voir qui se préoccupe du bien-être des uns plutôt que des états d’âme des autres…
À ce train-là d’effacement de nos racines, combien de temps, à Avignon, avec ses 35 % de population musulmane (chiffre avancé par un représentant musulman à Vaucluse-Matin en 2016 pour justifier la construction d’une grande mosquée dans la cité des papes), la mairie osera encore, sur son site, rappeler qu’elle fut « capitale de la chrétienté au Moyen Âge » ? Et combien reste-t-il à vivre, à tous nos saints communaux ?
http://www.bvoltaire.fr/a-avignon-va-t-on-debaptiser-ecoles-faire-plaisir-aux-musulmans/
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Cette Juliette, elle vaut le détour...
Dans la catégorie "bêtise crasse", avec cette dénommée Juliette, on a affaire à une championne... Voilà donc un pur produit de la bobocratie post soixante-huitarde qui dévoile sa haine de la race blanche, c'est à dire sa haine d'elle-même. Regardez ce film, c'est affligeant de stupidité et de naïveté. En d'autres temps, cette pauvre gamine aurait sans doute eu un avenir assuré au Parti socialiste...
Il faut vraiment la montrer partout cette Juliette. A elle-seule, elle constitue une véritable "usine à patriotes". D'abord, elle donne l'envie de gerber et, réflexions faites, celle de s'engager encore plus dans le combat nationaliste et identitaire. On comprend mieux en l'écoutant pourquoi, parfois, le GUD pouvait s'énerver...
Quant à Robert Ménard, sa patience l'honore.