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lobby - Page 1131

  • TRIBUNAL D’EVRY : POLICIERS ET AGENTS DE SÉCURITÉ PILLAIENT LES SACS

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    Paris Vox cliquez ici  Le poste de sécurité à l’accueil du tribunal d’Evry s’est révélé être en réalité un haut lieu de vol. En effet, des policiers et des agents de sécurité y avaient mis en place un système permettant de dérober des objets dans les sacs passés par le scanner.

    A la suite d’une enquête de six mois, cinq personnes ont été interpellées, trois agents de sécurité d’une société privée (S3M) ainsi que deux policiers adjoints de sécurité. Ils ont tous été suspendu de leurs fonctions.

    Les vols, plusieurs dizaines, auraient débuté en septembre 2017 et duré plusieurs mois. Les complices dérobaient essentiellement l’argent liquide présent dans les sacs.

    Un scandale qui secoue tout le tribunal, choqué d’avoir été le théâtre de tels agissements. L’image de la police se trouve elle aussi écornée, au grand dam de Jean-François Papineau, le chef de la police dans le département, attaché à « l’exemplarité » de la fonction.

    Ni la société impliquée ni la présidence du tribunal qui l’a choisie comme prestataire ne se sont exprimées sur cette affaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mise en application depuis le 1er janvier de la loi liberticide sur les réseaux sociaux NetzDG

    ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le président de l’association allemande des journalistes ainsi que le président de la Fédération Européenne des Journalistes, sont unanimes et condamnent la loi en ces termes : « nos craintes déjà présentes pendant le processus législatif ont été confirmées. La loi NetzDG viole la fondamentale liberté d’expression. »
    Une affaire a renforcé le malaise

    L’affaire dite « Titanic » a renforcé le malaise. Rien à voir avec le naufrage du fameux navire. Titanic est un magazine satirique allemand.

    Voici l’histoire : la police de Cologne a twitté en arabe au moment des fêtes de fin d’année ses bons vœux et quelques recommandations sur la manière de se comporter.

    Une parlementaire de la droite conservatrice Beatrix von Storch a alors répondu au tweet de la police, je cite « Pourquoi un site officiel de la police tweete-t-il en arabe ? Pensez vous que ce soit pour apaiser les hordes barbares et violeuses des hommes musulmans ». Son compte fût supprimé sans aucune forme de procès par Twitter.

    Malicieux, le magazine Titanic reprit sous forme humoristique et parodique un faux compte de la parlementaire en écrivant sous son nom cette phrase badine : « Lors du dernier tournoi de fléchettes les hommes blancs boivent et poussent la boule, une de nos dernières traditions allemandes ? ». Twitter non seulement a supprimé ce tweet mais aussi le compte du journal, compte rétabli deux jours plus tard après de fortes pressions médiatiques.

    De lourdes amendes sont prévues par la loi

    La loi incite par la contrainte financière les sociétés qui ne censureraient pas tout ou partie des écrits, post ou vidéos diffusés numériquement et enfreignant 24 articles du code criminel allemand tels « la diffamation de l’État et de ses symboles », « la diffamation des religions » et « l’apologie de la violence ». Une très large part d’incertitude et de nombreuses possibilités d’interprétation donc.

    Ainsi, entre cette censure déjà à l’œuvre et celle attendue en France la liberté d’expression a des soucis à se faire.

    https://fr.novopress.info/

  • LES MIGRANTS DE CALAIS RACONTÉS FAÇON « PLUS BELLE LA VIE » PAR YANN MOIX

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    Au micro de France Inter, Yann Moix s’est livré à un numéro d’indignation sélective de toute beauté. Calais, terre d’infamie ! On y frappe des migrants, on en gaze… C’est horrible. Il le sait, il y est allé. Il a vu de ses yeux les victimes des CRS qui – il le précise – ne sont pas à blâmer puisqu’ils ne font qu’obéir à des ordres. Il est lucide, Yann Moix. Enfin, presque… Juste d’un œil. L’autre est fermé. Si, un jour, il parvient à l’ouvrir, il reviendra dans le studio de France Inter pour dénoncer les agressions dont sont victimes les routiers de Calais, il pleurera les trente jeunes de moins de 25 ans tués à l’arme blanche à Londres entre janvier et juillet 2017, il s’indignera des sévices sexuels dont les femmes font les frais un peu partout en Europe, de l’augmentation de 400 % des viols en vingt ans d’immigration en Suède… Mais chaque chose en son temps. Pour l’instant, l’ami Moix en est à dénoncer avec force lyrisme les violences subies par ceux régulièrement mis en cause dans les délits précités. Violences que – soit dit en passant – personne ne songerait à approuver, à la différence près que le chroniqueur de Ruquier voit dans cette forme de répression policière, hélas très fréquente à l’égard de manifestants, une atteinte à la dignité humaine sans précédent.

    Pour défendre cette noble cause (qui n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres), Yann Moix se sent pousser des ailes de résistant… 

    Quand un enfant de 16 ans vous regarde les yeux rougis par des gaz lacrymogènes… Dans le dialecte romantico-gnangnan, l’adolescent devient un enfant… Un enfant est un bébé et un vieillard de 92 ans un galopin. L’auditeur sort un premier mouchoir. Il n’est pas au bout de ses peines. Du lourd se profile : il y a, parmi les Afghans, des gens qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts (0,002 %) et qui sont venus en France pour ça. Ils arrivent et on les frappe… Et même pas avec un dictionnaire ou une encyclopédie – ce qui serait un moindre mal pour ces assoiffés de culture… 

    L’auditeur file chez « Carrefour Drive » récupérer sa commande de quinze paquets de Kleenex® grand format. Cette fois-ci, c’en est trop. Des migrants culturels frappés par des CRS, mais dans quelle France vivons-nous ? Mais il y a pire encore : on nous fait accroire que c’est au moment où les migrants entrent dans les camions qu’on les gaze. C’est faux. Et quand même ce serait vrai, ce serait détestable et illégal. Comme chacun le sait, la mission des forces de sécurité est, au contraire, d’aider les clandestins de Calais à monter dans les camions. De leur aménager des nids douillets parmi les palettes de pudding que la France exporte vers l’Angleterre… Au point où nous en sommes, il n’est pas interdit d’apporter sa petite touche personnelle à la fiction que nous raconte Yann Moix… Et ensuite ? Que se passe-t-il ? L’auditeur est à cran. France Inter tient son Plus belle la vie à la sauce bobo. Monsieur Moix, voici votre contrat. Signez là. Demain, vous nous raconterez l’attentat du Bataclan, dont tout le monde est sorti indemne… Si vous le voulez bien !

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-de-calais-racontes-facon-plus-belle-vie-yann-moix/

  • Notre-Dame des Landes

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    Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

    L'affaire de Notre-Dame des Landes présente un grand intérêt à plusieurs titres car elle est révélatrice d'une situation prometteuse pour ceux qui luttent contre le SATLP (Système à tuer les peuples)  :

    1) En baissant son froc devant une bande de pouilleux (je mets à part les paysans qui voulaient légitimement garder leur terre) l'Etat-Macron a avoué son impuissance à faire face aux défis de la racaille : c'est le cas à Notre-Dame des Landes comme c'est le cas à l'intérieur des prisons (où, de l'aveu même des matons la racaille fait la loi) ou dans les "quartiers" dits pudiquement "de non droit", c'est à dire, en clair, des territoires où "l'autorité de la République", comme disent les larbins du Système, ne s'exerce plus (policiers, pompiers, professionnels des métiers de santé en savent quelque chose, qui savent ne pouvoir attendre aucune aide d' "autorités" (?) démissionnaires et lâches). Leçon édifiante et bien enregistrée pour ceux qui, un jour plus ou moins proche, voudront étendre leur domination à de nouveaux pans de territoire, où les Blancs auront le choix entre se soumettre, partir ou... mourir. J'exagère ? Prenez donc la peine d'écouter les messages diffusés  par ceux qui prêchent la guerre sainte. Tout est dit. Clairement. Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. 

    2) Macron et son porte-serviette censé être Premier ministre se préparent des jours difficiles. Les Zadistes, pour qui Notre-Dame des Landes était un test, ont annoncé la  couleur :  Notre-Dame des Landes ? Ce n'est qu'un début, continuons le combat. L'objectif ? Avoir dix, cent Notre-Dames des Landes. Qui les en empêchera ? Malgré les rodomontades  élyséennes, ceux qui seraient tentés de le faire (par exemple les élus locaux) auront contre eux, comme cela vient d'être démontré, l'Etat (ce qu'il en reste...) qui est prêt à tout accepter pour ne pas prendre le risque d'être accusé de "fascisme" (le péché mortel). Avec l'appui des bobos et des braves connards qui n'ont pas conscience de creuser leur tombe (mais ça, c'est plutôt rigolo) en votant pour des gredins que le sort des petites gens laisse profondément indifférents car, eux, ils sont hors d'atteinte grâce aux privilèges qu'ils se sont accordés. Du moins le croient-ils... Car un jour, peut-être, le réveil sera difficile pour eux aussi. Ce jour-là nous boirons un dernier verre de chablis car nous risquons d'être nous aussi entraînés dans l'apocalypse. Mais il faut bien mourir un jour, n'est-ce pas ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mémoires de Le Pen : des auteurs menacent leur éditeur

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    Info VA cliquez ici Plusieurs écrivains, dont Amélie Nothomb, ont notamment fait pression sur Albin Michel pour refuser la publication des ouvrages du cofondateur du FN.

    Très attendu, parce que maintes fois annoncé, le premier tome des Mémoires de Jean-Marie Le Pen, portant sur la période 1928-1972, paraîtra en mars prochain. Les mastodontes parisiens ayant boudé sa publication, c’est donc Muller, petite maison d’éditions d’Asnières-sur-Seine, qui a raflé la mise. Après avoir lu l’ouvrage, Robert Laffont a préféré décliner l’offre. Idem pour Albin Michel, contraint pour sa part de céder à la pression de certains de ses auteurs phares, telle Amélie Nothomb, menaçant de changer d’éditeur… Le deuxième tome, dans lequel quelques pages devraient être consacrées à la relation père-fille, est prévu pour le premier trimestre 2019. De quoi pimenter la campagne des européennes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Certaines ONG n'ont aucun intérêt à ce que les immigrés trouvent un confort

    Lu dans Minute :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Connexions extrémistes

    Plagiant une nouvelle fois le slogan popularisé chez nous dans les années 80  par Jean-Marie Le Pen qui s’était approprié la formule reaganienne   (America is back) dans sa version française, Emmanuel Macron a (de nouveau) assuré hier, lors de la grand messe de la mondialisation  à Davos,  que « la France est de retour » . « France is back » a-t-il assuré dans la langue de l’empire. Soucieux de montrer à nos compatriotes qu’il comprend leurs craintes (et leur colère) bien légitimes , c’est en Français qu’il a exhorté les puissants à mettre en place un « nouveau contrat mondial » face à une mondialisation « qui tire le monde vers le bas. » Faute de quoi, a-t-il solennellement  averti, « les extrémismes gagneront dans 10 ou 15 ans dans tous les pays. » A dire vrai les Français sont nombreux à constater  que les extrémistes sont déjà au pouvoir depuis des décennies. Ces extrémistes aux commandes ce sont justement aujourd’hui les  Macron, les Trudeau, les Merkel,  la Commission européenne et leurs amis.  Tous  ceux qui appliquent des politiques qui  paupérisent  les peuples,  qui imposent des directives de  destruction massive de notre identité charnelle, culturelle, civilisationnelle, de notre  souveraineté, de notre prospérité économique,  pour répondre aux ajustements obligatoires de la mondialisation,  aux règles d’airain du laisser faire-laisser passer planétarien. Bien  évidemment, dans la propagande officielle, l’épithème d’extrémiste n’est réservé qu’aux contempteurs  de ce  Système à tuer les peuples, à commencer par les plus pacifiques, notamment les hommes et les femmes du FN. 

    Les médias aux ordres, détenus par une poignée de grands groupes financiers, ne sont pas les derniers à relayer servilement la propagande de l‘Etablissement, ils en sont certes  un rouage essentiel, consubstantiel. Pourtant si l’on en croit le sondage publié hier dans La Croix, la  confiance dans Français dans les médias traditionnels progresserait, la loi macronienne  en gestation visant à criminaliser les fausses nouvelles  (fake news)  serait plébiscitée, la défiance vis-à-vis d’internet (on y trouve certes le pire comme le meilleur)  grandissante… Pourtant, à lire cette enquête dans le détail, on s’aperçoit que télévisions, radios  et journaux sont de moins en moins regardés, écoutés et lus – le décrochage est impressionnant chez les plus jeunes et dans les catégories populaires. De même, et c’est  aussi tout à fait éclairant, moins d’un Français sur quatre (24%) estime   que les journalistes exercent leur métier en toute indépendance vis-à-vis de leur direction  et des puissances d’argent (ce qui revient au même).

    Quant  aux nouvelles  technologies de communication,  de  l’information,  aux réseaux sociaux, ils ne sont pas exempts de critiques lourdes, ni de techniques de manipulation(s) dont les systèmes totalitaires du passé auraient rêvé. Il est plus largement tout sauf anecdotique  que les grands pontes de la Silicon Valley privilégient pour l’éducation de leurs enfants les vraies livres et non les tablettes, l’écriture au stylo et le tableau noir plutôt que l’ordinateur et bannissent massivement de leur sphère privée les objets connectés;  ça c’est bon pour les crétins de consommateurs matraqués par la pub qui n’ont rien compris… Bill Gates, le fondateur de Microsoft « l’une des plus grandes entreprises d’informatique au monde»,« (a) inculqué des règles très strictes à son domicile concernant l’utilisation des objets connectés.» «(Il)  ne semble pas apprécier voir ses enfants utiliser les technologies. Pour (Bill Gates) , il est important de cadrer l’utilisation des technologiques des plus jeunes (…). »

    « Il faut dire que plusieurs études ont déjà démontré l’aspect néfaste d’une surutilisation des smartphones et autres technologies, notamment sur la concentration, mais aussi sur les relations sociales. C’est une véritable dépendance qui se construit pour ce moyen de communication qui prend toujours plus de place dans nos vies, surtout chez les adolescents. Une préoccupation de plus en plus inquiétante pour les parents, mais aussi pour les chercheurs en psychologie de la Silicon Valley. On pourrait penser que Bill Gates soit de la vieille école, mais Steve Jobs semblait partager également son raisonnement. Le PDG d’Apple ne laissait pas ses enfants utiliser ses propres produits à la maison. »

    Les critiques pleuvent aussi ces derniers temps sur Facebook.  Après les révélations de son ex-président, Sean Parker,  Chamath Palihapitiya, qui en fut le  vice-président en charge de la croissance des audiences, a  balancé lui aussi  sur les méthodes (extrémistes) du géant américain. En décembre rapportait le site sciencepost « Sean Parker (admettait)  avoir aidé Mark Zuckerberg à construire un monstre et que  Dieu seul sait ce que ça fait aux cerveaux de nos enfants.  Des mots lourds de sens alors que Facebook dépasse aujourd’hui les deux milliards de membres. Chamath Palihapitiya (…)  a donc emboîté le pas de Sean Parker.   Sa mission principale était de faire en sorte que de plus en plus d’internautes s’inscrivent au réseau. L’intéressé, invité par la Stanford Graduate School of Business le 13 novembre 2017, a fait une déclaration détonante : Les boucles de réaction à court terme, dopaminergiques, que nous avons créées sont en train de détruire la façon dont la société fonctionne.  Facebook  érode les fondements du comportement des gens  at-il affirmé, avouant  qu’il éprouvait une  énorme culpabilité  pour avoir mis au point des outils qui  déchirent le tissu social . L’ancien cadre ne s’est pas arrêté là et a annoncé avoir abandonné les réseaux sociaux quels qu’ils soient, les qualifiant de merdes  que même ses enfants ne sont pas autorisés à utiliser.»

    Si l’addiction, l’utilisation compulsive desdites technologies et des réseaux sociaux produisent des effets délétères, très inquiétants,  bien réels, les Français perçoivent aussi les grosses ficelles à l’ancienne qui sont utilisées plus classiquement par nos adversaires. Celles qui visent aussi à éroder les les fondements du comportement des gens en caricaturant ou en  privant de tribune les lanceurs d’alerte qui comme Bruno Gollnisch ne parlent  pas la langue de coton, refusent  le prêt-à-penser et les faux bons sentiments. Pourtant élu  de la circonscription Grand Est, le député européen frontiste n’a ainsi  pas été invité  à participer à  la Conférence-débat La politique migratoire de l’Union européenne à l’aune de la protection des droits fondamentaux organisée le 23 février prochain à Toulon, en partenariat avec  l’antenne locale du  Bureau d’information du Parlement européen. 

    C’est Marie-Christine Vergiat,  affiliée  au parlement européen au groupe   Gauche unitaire européenne, qui a été choisie pour ronronner dans le même entre-soi avec les autres conférenciers. Une immigrationniste forcenée, favorable à l’accueil massif des immigrés clandestins (rebaptisés exilés en novlangue mélenchoniste et communiste).   Ancienne adhérente du PS, ex conseillère  au cabinet de Martine Aubry ( ministère des Affaires sociales ), ayant  siégé  de la direction de la Ligue des droits de l’homme et de la Fédération des oeuvres laïques,  Mme Vergiat  est aujourd’hui membre du Conseil national du Front de Gauche et du Parti de la Gauche européenne. Un CV qui lui donne une légitimité que Bruno Gollnisch ne saurait avoir, lui qui a le front de défendre les Français d’abord;  à commencer par nos compatriotes les plus modestes,  les plus exposés aux ravages d’une babélisation encouragée pareillement par l’extrême gauche  et la haute finance hors-sol.

    https://gollnisch.com/2018/01/25/connexions-extremistes/

  • CRISE DANS NOS PRISONS : FAUT-IL CHANGER LE MINISTRE ?

    Dans nos statistiques officielles, il est plus facile de trouver des informations relatives au suicide des détenus dans nos prisons que celles concernant les agents de l’administration pénitentiaire. Cet état de fait, choquant en soi mais néanmoins révélateur, n’est pas sans expliquer en grande partie la crise qui touche, maintenant depuis plusieurs jours, nos prisons.

    L’affaire a débuté avec l’agression, par un détenu radicalisé proche de Daech, de trois surveillants au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil. Les jours qui ont suivi ont vu d’autres violences contre des surveillants se perpétrer dans plusieurs prisons, provoquant ainsi la colère d’une corporation déjà fragilisée par une situation interne qui ne cesse de se dégrader, moralement et matériellement, depuis de nombreuses années. Ainsi, ce sont à ce jour pas moins de 118 établissements pénitentiaires, sur les 188 que compte notre pays, qui sont touchés par des manifestations avec des blocages totaux ou partiels. Face à cette situation, inédite depuis de nombreuses années, les forces de l’ordre ont été envoyées afin de débloquer les accès de certaines prisons et permettre les transferts de détenus dangereux.

    Ce mouvement de colère qui touche aujourd’hui nos prisons n’est pas le fruit du hasard, ou même simplement le fait d’une agression de trop. Il couvait depuis longtemps. À l’instar de l’ensemble des forces de l’ordre, les agents pénitentiaires, et en particulier les surveillants, vivent depuis plusieurs années sous tension. Les problématiques liées au terrorisme islamiste n’ont fait qu’accentuer un malaise qui, peu à peu, a fini par désespérer des hommes et des femmes qui, pour beaucoup, vivent chaque jour un véritable enfer.

    À ce mal de vivre, qui fait de la corporation des surveillants pénitentiaires l’une des plus touchées par le suicide (en 2015, les rares chiffres disponibles révélaient que leur taux de suicide était de 20 % supérieur à celui de la population générale), est venu s’ajouter le sentiment d’être oubliés puis sacrifiés par les pouvoirs publics. Les violences dont ils sont l’objet de façon de plus en plus fréquente n’ont fait que les conforter dans cette conviction.

    Aujourd’hui, le gouvernement est donc confronté à une crise majeure. Elle révèle, une fois encore, le manque d’anticipation et de réaction de politiques qui attendent systématiquement d’être au pied du mur pour envisager des solutions et répondre aux grands défis sociétaux qui se posent. Mais le problème est profond. Manque cruel d’établissements pénitentiaires dans notre pays. Manque de places dans les prisons, qui provoque une surpopulation qui favorise la récidive et empêche toute action de réinsertion efficace. Manque de personnel face à un métier qui n’est pas attractif et qui n’offre que peu de perspectives d’avenir. Et puis une absence de politique carcérale, qui hésite encore, pour de sombres raisons idéologiques, à faire la part entre ces détenus qu’il faut écarter durablement de la société au nom de la paix sociale et ceux qu’il est encore possible de réinsérer.

    Face à ces enjeux d’importance, le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites. Il prouve, par son manque de lucidité, de réactivité et d’efficacité, qu’il ne suffit pas d’être une grande juriste pour conduire un département ministériel aussi sensible que celui de la Justice. Et qu’avoir siégé au Conseil constitutionnel ne prédispose pas forcément à tout connaître de l’âme humaine et de ses turpitudes. C’est donc une réponse ferme et déterminée à leurs problèmes de sécurité et à leurs difficultés matérielles qu’attendent les surveillants pénitentiaires. Si le ministre n’en est pas capable, qu’on le change !

    http://www.bvoltaire.fr/crise-nos-prisons-faut-changer-ministre/

  • Balance les traîtres ! : La délation de Mediapart, par Caroline Parmentier

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    9036-20180125.jpgFidèles à leur réputation de « petits flics », les sites Mediapart et Buzzfeed se lancent dans la délation à grande échelle des hauts fonctionnaires qui ont conseillé dans l’ombre Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle.

    Il y en avait donc ? On croyait que c’était une légende. Et que les conseillers de Marine Le Pen n’étaient que des minus habens, des beaufs ou des judas. Il y en avait bien, et à des postes clés, imperméables à la propagande médiatique, qui avaient misé sur Marine Le Pen et qui ne faisaient aucune confiance à Emmanuel Macron.

    Et pas des moindres : des préfets, des énarques, des dirigeants du Cac 40, des directeurs de grands groupes, des hauts gradés de la gendarmerie, des hauts fonctionnaires de la Cour nationale du droit d’asile, du Conseil d’Etat et de la Cour des comptes. Ils ont partagé leurs expertises et leur savoir dans leurs domaines spécialisés. Médiapart et Buzzfeed les dénoncent méthodiquement, un par un, avec leurs noms, leurs photos et le détail de leurs crimes : comme ce directeur d’un grand groupe qui a envoyé à Marine Le Pen une note de travail pour mettre fin à l’AME [l’aide médicale d’Etat qui coûte un milliard par an à la France et qui permet à tous les clandestins d’être soignés gratuitement] et qui précise que « les Algériens sont les spécialistes de ces détournements pour faire soigner leur famille en France ».

    Comme ce haut fonctionnaire de la gendarmerie qui a apporté ses lumières sur des points stratégiques en matière de sécurité. Ils n’ont rien fait d’illégal, n’ont rien divulgué de confidentiel ni rompu le secret professionnel. Mais aux yeux de ces commissaires politiques, ce qu’ils ont fait est pire. Ils ont choisi librement Marine Le Pen : « Nous révélons le profil et l’identité de ces conseillers, préfet, hauts fonctionnaires, actuels ou anciens serviteurs de l’Etat, qui ont décidé de mettre leur expérience et leur réseau au service de la victoire de Marine Le Pen. »

    Il faut les balancer à leur hiérarchie et à la vindicte médiatique (hier plusieurs radios divulguaient leurs noms à l’antenne). « La plupart d’entre eux ont passé une partie de leur carrière dans les cabinets de ministres RPR ou UMP, époque Chirac ou Sarkozy, avant de réaliser, dans le secret, et parfois sous pseudonyme, la fameuse union des droites. » Il faut leur faire la peau !

    Il n’aura échappé à personne qu’après la défaite au second tour de la présidentielle, Marine Le Pen et le Front national font l’objet d’un « nettoyage » en règle : bancaire, politique, judiciaire et médiatique. Ils ont été éliminés, on respire, mais maintenant ils doivent disparaître. Il ne doit rien rester. La situation ne change pas : Emmanuel Macron nie le problème de l’islam, n’inversera pas la soumission à l’UE, ni la submersion migratoire, ni la menace terroriste islamiste, celle-là même qui bloque les prisons françaises aujourd’hui. Les réseaux sociaux grondent, les médias alternatifs enflent, la « menace FN » perdure, sous une forme ou sous une autre.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 24 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/209241/balance-les-traitres-la-delation-de-mediapart-par-caroline-parmentier/