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lobby - Page 1177

  • Le nouvel ordre moral contre Civitas

    LOGO-Civitas-2016-cité-catholique.jpgIl y a une semaine, une campagne de haine et de calomnies contre Civitas était lancée sur le forum des Cahiers du Football lors d’un débat sur les dérapages de la Gabonaise Danièle Obono, députée des quartiers de La Goutte d’Or et La Villette au Parlement républicain.  Cette dernière avait comparé La Manif pour tous avec les attentats de Daech :

    « Est-ce qu’il y a des personnes qui, au nom de leur religion, ont une idéologie réactionnaire et discriminante ? Oui ! De toutes les religions. Je vous rappelle qu’il y a quatre ans, il y a eu des dizaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue au nom de leur religion pour s’opposer à une loi qui finalement a été votée. Oui, il y a donc des personnes qui utilisent leur religion comme justification de leur comportement […] et qui justifient les actes d’autres personnes pour commettre des actes terroristes». Une des membres les moins à gauche du forum posa la bonne question : « On arrêtes les conneries 2 secondes ? Y a vraiment des électeurs de Mélenchon qui s’alignent sur ces stupidités ? Depuis quand c’est « au nom de la religion » qu’on est descendu ? Et manifester contre une loi c’est illégal ? C’est du terrorisme ? ».

    Il fut immédiatement cloué au pilori par l’un des commissaires politiques locaux. De fil en aiguille, la conversation dévia sur Civitas, véritable déferlement d’insultes, de diffamation, mais également de clichés rances et moisis marque de fabrique de la secte du Méchancon (soutenue par au moins 40 % des membres), sans parler des analyses sociologique niveau café du commerce. Le 10 octobre, « Annyong » se lâche dans le délire parano-diffamatoire :

    « Sauf que la Manif pour tous n’a pas été qu’une gentille manifestation de familles bisounours se tenant la main, comme sur les T-shirt. Ca a aussi été un déferlement de haine, de jugements d’une stupidité terrifiante sur ce qui était naturel et ce qui ne l’était pas (non mais sérieusement mec, ta voiture, elle est naturelle, elle pousse dans les arbres ?). Bizarrement on a cessé d’opposer nature et culture pour remplacer le second terme par « contre-nature ». Sans compter l’influence que ça a pu avoir sur les plus jeunes, qui défilaient dans la rue en répétant les argumentaires parentaux sans y comprendre goutte. Et les parents qui répondaient que la civilisation étant en danger quand on leur demandait la raison de la présence des marmots dans la foule. Et n’imaginez pas que personne n’en a souffert, de voir la parole homophobe à ce point libérée ».

    Vient ensuite Lotbur qui le surpasse encore en idiotie :

    « Je rappelle pour ma part que le taux de suicide chez les homosexuels est 6 fois plus important que chez les hétéros (pour les hommes, 4 pour la globalité). Chaque année, environ 30% des homosexuels de moins de 25 ans font une tentative de suicide (selon un rapport du sénat de 2013). L’homophobie tue beaucoup plus dans ce pays que le terrorisme (islamique, bien sur, le seul qu’on appelle comme ça) ou les accidents de la route. L’homophobie décomplexée des dingos de Civitas, sens commun et autre est une forme de terrorisme. Qui tue. Beaucoup. Sans avoir besoin de bombe ».

    Le taux de suicide des homos n’est pas du aux injures ou aux discriminations qu’ils subiraient (sinon, le taux de suicide le plus élevé serait celui des gens qualifiés d’extrême droite…), mais à leur fragilité mentale. Poussons également le raisonnement ad absurdo : si on suit son raisonnement, c’est la « parole libérée » contre les policiers – notamment par voie de presse, de chanson, de films ou de « reportage » –  qui est responsable du fait que les policiers sont l’une des professions où on se suicide le, plus…  Le sophisme, « argument » de base du gauchiste, ce que relève d’ailleurs un autre participant :

    « lotbur, ton saut de « les homosexuels se suicident plus que les hétéros » à « Civitas tue » il est très joli mais il n’a aucun sens. Je suis toujours fasciné, quand quelqu’un veut montrer que quelque chose est dangereux et qu’il est incapable de le montrer quantitativement, de le voir systématiquement se réfugier dans ce qui est inmesurable. En page précédente c’est la libération de la parole (un grand classique), là tu nous balance une affirmation qui ne serait prouvable que si on pouvait comparer un monde avec Civitas et un monde sans Civitas, donc un truc impossible. C’est toujours la même chose.  Après si tu penses que l’homophobie est un terrorisme parce qu’elle tue, soit tu as la mauvaise définition du terrorisme, soit on peut faire une liste super étendue des terroristes. L’alcool ? Terroriste. La drogue? Terroriste. Les fabricants de bagnoles? Terroristes. Les fabricants de bouffe grasse? Terroristes ! ».

    S’en suit le bon cliché » bien rance : « Vous n’en n’avez pas marre d’évoquer ces cintrés moyenâgeux ? Laissons-les dans les poubelles de l’histoire qu’ils n’auraient jamais dû quitter » et on arrive avec le plan parano-conspi de « Esay Slider » :

    « Nier qu’aujourd’hui des homosexuels puissent vivre dans un climat de terreur, et plus encore suite à la manif Pour Tous dans laquelle ont été observés des ratonneurs et casseurs d’homo notoires (Goldofaf ça te dit peut-être quelque chose jéronimo), c’est beau. Pas pouvoir se tenir la main dans la rue sans avoir à essuyer moqueries et menaces ».

    Ce crétin serait bien incapable de citer un cas de militants de Civitas ayant frappé un homo. Rappelons quelques cas qui me viennent à l’esprit : On se souvient du fameux Wilfried qui avait été victime d’une agression très violente avec son camarade de jeu en avril 2013. Il avait alors accusé la manif pour tous. L’enquête prouva ensuite que l’agression était à la fois homophobe et raciste, puisqu’il avait été massacré par un groupe de Maghrébins, non seulement parce qu’il était gay, mais aussi parce qu’il était Blanc. Rappelons ce patron de bar gay de Laval qui en avril 2009 eut la main cassée. Il accusa des jeunes du MJCF de l’avoir blessé. L’enquête prouva que c’est lui qui s’est cassé la main en agressant les jeunes catholiques. Plus anciennement, on peut se souvenir du gay Sébastien Nouchet qui, en 2004 à Noeux-les-Mines prétendit avoir été victime d’une tentative de meurtre par des « homophobes » qui auraient voulu le bruler vifs, agresseurs qui n’avaient existés que dans son imagination. Pire, il avait accusé un innocent qui avait le meilleur des alibis : il était en prison…  Quant à Goldofaf, il est aussi coupable du suicide des gays que Georges Brassens de ceux des gendarmes.  Et on ne parle pas des propos de haine et des menaces de mort provoqués par les agents de la gaystapo contre les catholiques, cela mériterait un article entier…

    Puisque on en est dans les rappels, souvenons-nous que le premier couple gay marié dans l’Oise à vu l’un des deux partenaires être arrêté pour pédophilie gay, tout comme le fut l’un des principaux cadres LGBT d’Ecosse. A Verdun, un des premiers couples de lesbiennes mariée fut arrêtée pour avoir séquestré, torturée et violée une jeune handicapée mentale de 20 ans. On pourrait multiplier les cas à l’infini. Encore tout récemment, le 25 mai 2016 à Cardiff, Elsie – une petite fille de 18 mois adoptée par un couple de gays – est morte au bout de 15 jours, torturée à mort par l’un des deux, Matthiew Scully-Hicks. Quelques jours plus tard, lors de l’affaire Weinstein, sur les Cahiers du Football, un intervenant plastronnait : les couples d’hommes gays au moins n’harcèlent pas les femmes. Non, immonde kopile ! Ils tuent juste les gamines… (Je vois arriver le truc : oui mais chez les hétéros… Compare les pourcentages, glupak !). Et pour ne pas être accusé de sexisme contre les hommes, le procès de Scully-Hicks arrive au même moment que celui de deux militantes LBGT de Tulsa condamnées le 21 septembre à 20 ans de prison pour avoir torturé le petit garçon de 5 ans de l’une d’elle…  Notons, hasard ou non, que chez les gays, la fillette est torturée et chez les lesbiennes, le garçon…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/le-nouvel-ordre-moral-contre-civitas/81758/

  • LE PROBLÈME DES EXPULSIONS : UNE HONTE FRANÇAISE

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    Emmanuel Macron, le Président des « Celzéceux » (c’est ainsi qu’il désigne généralement les Français), s’est enfin adressé à « ceux-ci, celles-ci », dimanche 15 octobre, en promettant que « tous les étrangers en situation irrégulière qui commettent un acte délictueux seront expulsés ». Cependant, cette volonté si affirmée de plaire à la grande majorité des Français qui souhaitent l’arrêt de l’immigration et la reconduite des clandestins délinquants aux frontières n’est qu’une rodomontade car M. Macron n’ignore pas que tous ses services semblent s’être concertés pour organiser l’impossibilité de la mise en œuvre des lois référentes à ce problème, quand ces lois existent ; ainsi, le fait de séjourner irrégulièrement en France n’est plus un délit depuis la loi du 31 décembre 2012. Ahmed Hannachi, l’égorgeur des deux jeunes filles à la gare de Marseille, constamment appréhendé et relâché pour de nombreux délits, était un délinquant en situation irrégulière depuis… 2005. Se présenter sept fois sous une fausse identité n’est pas un délit non plus.

    Mais alors, comment expulser un clandestin délinquant dont on ne connaîtra jamais l’identité et comment lui signifier son expulsion s’il n’a pas d’adresse ? Mais c’est très simple : dans ces cas-là, on ne fait… rien.

    Et l’on se trouve devant cette situation ubuesque où notre bureaucratie incompétente et tatillonne ne va décider l’expulsion que des personnes qui ont fait l’effort de s’intégrer.

    Certains ont vu des forces de police arrêter sur la route des vieilles dames qui avaient omis d’attacher leur ceinture pendant que passent devant leur nez des « jeunes » sans casques, à trois sur un scooter et qui font un doigt d’honneur à leur intention.

    Nous sommes dans le même cas de figure.

    Il est bien plus confortable de signifier son expulsion à un étranger affable et discret, respectueux des lois du pays qui l’accueille.

    On n’expulse que ceux qu’on peut expulser sans risque. Il n’y aura pas de manifestation violente, ni de pétitions d’intellectuels et d’artistes, ni d’indignation des médias, ni de soutien des associations « charitables ».

    C’est ainsi que, dernièrement, les préfectures ont signifié un arrêté d’expulsion à un cuisinier japonais réputé à Reims, à une Allemande polyglotte employée à l’office du tourisme de Roquemaure, à une doctorante russe en économie qui finance elle-même ses études à Perpignan, à une bachelière (mention très bien), russe elle aussi, à Blois et bien d’autres encore, tout aussi méritants.

    Cette réelle discrimination est scandaleuse, une véritable honte française.

    Mais quel est l’intérêt, pour l’administration, de déclencher cette procédure à l’encontre de ces véritables « chances pour la France » s’il ne n’agit pas de « faire du chiffre » puisque, ces personnes n’étant pas délinquantes, aucune amende n’accompagne ces reconduites à la frontière ?

    Notre administration est gérée par l’idéologie de notre « élite » de gauche (certains politiciens, magistrats, médias, publicitaires, associations, syndicats, « artistes », etc.) qui n’aime ni les Russes ni les Japonais ni les Allemands pour différentes raisons inexprimables mais qui tiennent à une haine viscérale.

    Nous pouvons aussi nous demander s’il n’y a pas une volonté délibérée de remplacer les Français par une sous-classe d’individus déracinés, malléables et sans qualifications qui permettra à ladite « élite » et aux multinationales dont elle est dépendante de faire ce que bon leur semble.

    http://www.bvoltaire.fr/probleme-expulsions-honte-francaise/

  • Le scandale Weinstein éclabousse désormais les LGBT

    Balançons les porcs :

    "Le voile semble également se lever sur un fléau encore moins médiatisé: celui du traitement réservé aux (très) jeunes acteurs à Hollywood. Un phénomène certes moins endémique que le système sexiste, mais particulièrement tabou. Et soumis lui aussi à la culture du silence.

    «L'industrie du showbiz est probablement le milieu où les adultes ont le plus de liens directs et inappropriés avec les enfants au monde», déclarait Corey Feldman, ex-enfant star américain connu pour son rôle dans The Goonies. Récemment interrogé sur Harvey Weinstein, l'acteur a rappelé avoir dénoncé, depuis plusieurs années déjà, de nombreux cas d'abus sexuels sur de jeunes garçons à Hollywood. En allant jusqu'à parler de pédophilie. 

    Ces allégations, il les illustre par sa propre histoire et celle de son feu-meilleur ami - et compère à l'écran dans la série The Two Coreys - Corey Haim. L'acteur est décédé d'une pneumonie sous fond de surdose de drogues en 2010. Dans une interview accordée au Hollywood Reporter en 2016, Corey Fieldman raconte avoir subi des agressions sexuelles à maintes reprises dans le cadre de sa carrière d'acteur. Dont un viol, à l'âge de 15 ans, par un manageur employé par son propre père. Corey Feldman assure: «J'ai été molesté et passé d'homme à homme», comme un certain nombre d'autres enfants. Avant de révéler que son ami Corey Haim avait quant à lui été violé à l'âge de 11 ans seulement. Et ne s'en était jamais remis.

    Elijah Wood, l'acteur phare du Seigneur Des Anneaux, a lui aussi osé parler, en qualifiant Hollywood de repaire de "vipères". Il confie, pour sa part, avoir été protégé par sa mère, qui l'avait empêché de se rendre aux soirées mondaines Hollywoodiennes au début de sa carrière. S'il réfute avoir avoir subi de tels sévices, il sous-entend que tous ses collègues n'ont pas eu cette chance.

    Journaliste proche de l'alt-right, le très controversé Milo Yiannopoulus s'était lui aussi exprimé, en 2016, sur ces rapports malsains : dans un podcast, il décrivait un milieu rongé par la drogue, dans lequel certains grands noms de l'industrie avaient des rapports sexuels avec des garçons bien plus jeunes qu'eux. Chose qu'il refusait lui-même de condamner.

    Si peu de noms circulent encore, quelques réalisateurs ont été publiquement pointés du doigt. Parmi eux, Bryan Singer, le réalisateur de la saga X-Men, qui aurait pris part à de sulfureuses soirées privées auxquelles des magnats d'Hollywood conviaient les jeunes pousses du cinéma ou de la télé. En 1997, il avait d'ailleurs été traîné en justice pour avoir contraint des mineurs à se doucher nus en parallèle du tournage d'Apt Pupil. En 2014, il avait cette fois été accusé d'avoir abusé sexuellement d'un jeune homme de 17 ans."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat de Marseille : Opération diversion, le préfet limogé [Focus I-Media]

  • Attentat de Marseille : le rapport de l’IGA révèle la guerre raciale dans les centres de rétention

    Gérard-Collomb-Rapport-IGA-600x281.jpg

    Minute-Marseille-Couv-248x350.jpg« Guerre raciale », l’expression n’est pas trop forte. Entre clandestins en attente d’expulsion (ou pas), ce n’est pas vraiment le grand amour. Et dans les centres de rétention, l’Etat ne parvient même pas à assurer l’ordre. Telle est une des révélations du rapport de l’Inspection générale de l’administration (IGA) commandé par le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb après l’attentat commis à la gare Saint-Charles de Marseille par l’islamiste Ahmed Hamachi, remis en liberté la veille de son double assassinat, faute de place dans le Centre de rétention le plus proche. Extrait du dossier que l’hebdomadaire Minute consacre cette semaine à ce rapport bien plus intéressant qu’on ne l’a dit.

    La solution, qui aurait permis d’empêcher Ahmed Hanachi de se trouver le lendemain gare Saint-Charles mais n’aurait nullement permis de l’expulser, aurait consisté à le placer quand même dans un centre de rétention administrative (CRA), et c’est parce que cela n’a pas été fait que le préfet du Rhône a sauté. Au CRA le plus proche, celui de Lyon-Saint-Exupéry, il n’y avait pas de place.

    Pas tant parce que, ce jour-là, ça se « bousculait au portillon » comme l’a dit un agent du CRA, qu’en raison du fait que, au centre qui est en fait un ancien hôtel F1, « six chambres de quatre places étaient indisponibles », soit 24 places, dans l’attente « de leur remise en état ». Il est donc vétuste ? Ce n’est pas cela : « L’accroissement des dégradations volontaires et des troubles au sein du centre conduisent à l’immobilisation continue d’une part importante des chambres. » (page 20)

    L’Etat n’est pas plus capable d’assurer le maintien de l’ordre dans les centres de rétention que dans n’importe quelle banlieue !

    L’IGA l’écrit noir sur blanc :

    « La plupart des interlocuteurs rencontrés […] ont […] souligné la difficulté la maintenir l’ordre au sein du CRA en raison notamment de tensions entre les retenus originaires d’Europe de l’Est et du Maghreb » !

    RAPPORT-IGA-Couv-248x350.jpgEh oui : la guerre raciale, dans notre société multiculturelle, c’est aussi dans l’antichambre des couloirs aériens !

    Sinon, pour placer Hamachi, il aurait été possible de faire du « place pour place ». Du troc ! Ça semble courant :

    « Si elle veut néanmoins procéder à un placement [quand le CRA est plein], la préfecture n’a alors d’autre choix que de négocier avec le CRA une arrivée en échange de la remise en liberté d’un autre retenu dont les perspectives d’éloignement paraissent plus faibles (par exemple s’il n’est pas susceptible d’être rapidement reconnu par les autorités consulaires de son pays). »

    Tu me sors un Cap-Verdien, je te file un Marocain ! Ou l’inverse…

    En fait, il y avait de la place. Mais des places auxquelles Hamachi n’avait pas accès. Au CRA de Lyon-Saint-Exupéry, ce samedi 30 septembre, seize places étaient libres : douze places réservées pour d’éventuelles familles et quatre places pour des femmes. On a préféré ne pas mettre Hamachi dans le quartier des femmes. Après tout, on a bien fait. On n’a juste pas pensé qu’il pourrait les trouver ailleurs, gare Saint-Charles, le lendemain, à Marseille.

    Extrait d’un article de Marc Bertric
    paru dans Minute n° 2843 daté du 18 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Convoqué au tribunal pour avoir médiatisé une affaire de viol chez les antifas

    L'animateur de FDesouche est convoqué car il est accusé d'avoir médiatisé une affaire de viol chez les antifas. C'est sa 3e convocation en 15 jours...

    S

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Suite aux amalgames douteux de la presse aux ordres, un communiqué de l'Action française

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    François Bel-Ker, Secrétaire général d’AF

    Certains se sont crus autorisés à évoquer l’Action française après l’annonce de l’arrestation, mardi 17 octobre, d’une dizaine d’individus à la suite de celle, en juin dernier, de Logan Nisin, soupçonné de préparer des attentats contre des personnalités politiques. Jean-Luc Mélenchon est allé jusqu’à interpeller le ministre de l’Intérieur, le préfet de Police et le maire de Marseille, mercredi 18 octobre 2017, afin de demander la fermeture du local provençal de l’AF, 14, rue Navarin à Marseille.

    L’Action française tient à apporter les précisions suivantes :

    1 – Elle n’a jamais nié que, durant quelques mois, Logan Nisin, en errance idéologique, ait, après de nombreuses autres tentatives de militantisme politique, « trouvé refuge chez les royalistes de l’Action française (AF) » pour reprendre les mots de l’article d’Elise Vincent, paru le 18 octobre dans Le Monde. Le 4 juillet dernier, après l’interpellation et le placement en détention provisoire du jeune homme, l’Action française, par voie de communiqué, avait fait savoir qu’il avait quitté notre mouvement, le jugeant « trop politique » et « trop consensuel ». Nous réaffirmons ici que ses agissements solitaires étaient parfaitement inconnus des membres et des cadres de notre organisation et nous nous réservons le droit de poursuivre tous médias ou personnalités prétendant le contraire.

    2 – L’Action française affirme avec force qu’elle ne connaît ni les identités ni les agissements des individus interpellés mardi 17 octobre. Elle rappelle simplement que toute son histoire prouve son refus de l’action terroriste. Elle n’a aucun mort sur la conscience.

    3 – Ce sont les militants de l’Action française qui sont de manière récurrente l’objet de violences de la part de groupuscules extrémistes semblant jouir de la plus parfaite impunité. Depuis la montée en puissance des activités de notre mouvement royaliste, nos membres, à Paris, à Lyon et à Marseille, subissent un nombre grandissant d’attaques violentes : dépôt de grenade, bombe artisanale, attaques physiques des militants. Ainsi, une bombe a explosé cet été devant le local de l’AF, rue Navarin, sans que cet acte odieux ait suscité la moindre indignation de la part du personnel politique. M. Mélenchon qui demande aujourd’hui la fermeture de notre local, n’avait pas alors protesté contre cet acte à caractère terroriste. Bien que député de la circonscription où a eu lieu cet attentat, il ne s’est jamais inquiété de l’état d’avancement de l’enquête.

    4 – Concernant les troubles à l’ordre public qu’impute M. Mélenchon à notre mouvement, nous rappelons que, par deux fois, la préfecture de police des Bouches-du-Rhône a pris un arrêté bloquant l’accès à la rue Navarin par un très large déploiement des forces de l’ordre à la suite des très nombreuses exactions qui ont toutes été commises, avec l’adoubement et la complicité des médias locaux, par des militants de l’ultra gauche proches pour certains de la France Insoumise.

    5 – Si la seule vocation des groupuscules dits antifascistes et d’extrême-gauche est d’en découdre violemment, à Marseille comme au plan national, avec les forces de l’ordre, l’engagement des militants d’Action française est celui du combat pour la France par la diffusion des idées royalistes. Il est évident que c’est la simple présence de l’Action française qui est insupportable à certains. En pratiquant l’amalgame, ceux qui diffament notre mouvement avouent simplement leur profond mépris des libertés politiques fondamentales.

    Les militants de l’Action française sont des citoyens à part entière : forts de leurs droits et conscients de leurs devoirs envers la nation, ils continueront, à Marseille comme partout ailleurs en France, à militer pour ouvrir les yeux de leurs compatriotes sur la réalité d’un régime qui les conduit à l’asservissement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les territoires perdus des femmes en France

    André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »

    Cela fait des années que l’on voit l’islamisme irriguer des banlieues et y imposer progressivement sa loi, notamment sur les femmes. Nombre d’entre elles sont surveillées et leur liberté s’y restreint chaque jour davantage. Elles ont non seulement perdu le droit de s’habiller comme elles l’entendent sous peine d’être insultées, voire molestées, mais, ainsi qu’un reportage diffusé le 16 décembre 2016 sur France 2 l’a montré, dans plusieurs quartiers de la périphérie de Paris et de Lyon, par exemple, elles deviennent de plus en plus indésirables dans l’espace public. Là, pour une femme, se promener en jupe ou prendre un verre en terrasse s’apparente, aux yeux de certains musulmans, à une attitude de défi. Dans le reportage, une femme, Aziza Sayah, déclare : « Pour moi, l’islam, c’est comme le Code pénal, maintenant “Ça, c’est interdit ! Ça, c’est interdit ! Tout est interdit !” On est en France, quand même ! » Le reportage montre des femmes résignées comme cette assistante maternelle qui fait tout pour ne pas être remarquée : « Je mets des vêtements sombres, des pantalons, pas de jupe, pas de maquillage. On s’efface. – Pourquoi ? – Parce qu’on a peur, tout simplement ! »

    Lire la suite sur Causeur

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LE PROCÈS DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE EST UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION »

    Il y a cinq ans, l’action choc du groupe Génération identitaire, qui avait occupé le chantier de la mosquée UOIF de Poitiers, avait défrayé la chronique. Leur procès a lieu ce 20 octobre.

    Me Frédéric Pichon, un des avocats de ces jeunes gens, dénonce ces poursuites politiques qui n’ont d’autre but que de museler l’opinion sur la question de l’islam. 

    http://www.bvoltaire.fr/proces-de-generation-identitaire-atteinte-a-liberte-dexpression/

  • Expulsion de clandestins : une fausse promesse ? - Journal du Mercredi 18 Octobre 2017