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lobby - Page 1177

  • Laurent Wauquiez refuse de couper le cordon avec la gauche

    6a00d83451619c69e201b7c949556a970b-200wi.png...pour envisager des alliances avec le FN, seule condition qui permettrait à son parti de pouvoir revenir au pouvoir :

    «J'ai toujours très clairement dit que tant que je m'occuperai des Républicains, je ne ferai jamais d'alliance avec des élus FN. En revanche, je revendique que nous parlions à ces personnes que nous avons écœuré et qui ne sont pas des fascistes ni des extrémistes. Si on sort de l'euro, ce sera une catastrophe pour les Français. Je veux que la France reste dans l'euro. Il y a des différences fondamentales en termes de vision et de propositions.»

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LES FEMEN ONT RECONNU ELLES-MÊMES AVOIR CIBLÉ CIVITAS POUR DISCRÉDITER LES OPPOSANTS AU MARIAGE POUR TOUS ! »

    Le 18 novembre 2012, lors d’une manifestation « anti-mariage pour tous » organisée par l’association Civitas, des Femen travesties en religieuses et accompagnées de la très militante Caroline Fourest s’en étaient prises au cortège. Expulsées par le service d’ordre, elles avaient porté plainte pour violences. Vendredi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné sept des huit hommes poursuivis à des peines allant jusqu’à un an de prison avec sursis.

    Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites, la collusion entre le pouvoir de l’époque et Caroline Fourest, et l’incroyable dispositif policier utilisé pour identifier les auteurs.

    Frédéric Pichon, un ultime rebondissement a eu lieu dans l’affaire opposant certains militants de l’association Civitas et les Femens. Le tribunal a rendu sa sentence ces derniers jours. En tant qu’avocat d’une partie des plaignants, que retirez-vous de ces années de procédure ?

    Tout d’abord, je retiens l’incroyable partialité des poursuites.
    Il faut quand même rappeler que nos clients ne sont pas allés chercher les Femens dans leur local de militants. Ce sont elles qui ont délibérément attaqué une manifestation autorisée par la préfecture. Mes clients étaient donc dans le cadre de l’exercice d’un droit de manifester.
    Elles se sont grimées et ont mis des coiffes de religieuses. Elles avaient le torse à l’air avec un slogan manifestement antireligieux et blasphématoire. Je sais que le blasphème n’est pas interdit. En revanche, ils constituaient manifestement un trouble à l’ordre public.
    Elles étaient de surcroît équipées d’extincteurs. On ne pouvait pas présumer à l’époque qu’il s’agissait d’extincteurs anti-incendie. On aurait pu au contraire présumer qu’il s’agissait d’extincteurs lacrymogènes puisqu’ils étaient de couleur blanche avec des slogans dessus dont je vous fais l’économie du contenu.
    On avait donc affaire à un acte d’agression caractérisé et à des violences non pas physiques, mais morales. La jurisprudence est assez claire en la matière.
    La Police n’était pas là. C’est pourquoi il a fallu l’intervention du service d’ordre de Civitas. Dans ce chaos général, alors qu’elles avaient utilisé leurs extincteurs et qu’il y avait de la fumée partout, quelques jeunes énergiques ont effectivement voulu les repousser, et quelques coups ont été échangés.

    Cette séquence est relatée dans le livre intitulé Inna de Caroline Fourest consacré à la patronne des Femens. Qu’avez-vous appris dans ce livre ?

    On a appris de manière absolument hallucinante que madame Fourest reconnaît explicitement les suspicions de l’époque sur la partialité du parquet.
    De mon côté, mon client et son épouse ont porté plainte contre les Femens. Elle a été classée sans suite au motif que les auteurs n’étaient pas identifiables. C’est absolument hallucinant !
    Dans son ouvrage, Caroline Fourest raconte qu’alors qu’elle était mise à l’écart par les policiers, elle a reçu un coup de téléphone de Manuel Valls, du président de la République lui apportant tout son soutien, du cabinet de madame Taubira, ministre de la Justice à l’époque et auteur de la loi contestée, qui lui apportait également tout son soutien, et enfin du préfet de police lui disant qu’il allait mettre à son profit tous les moyens à sa disposition.
    On est donc dans une intervention absolument hallucinante du pouvoir exécutif dans une procédure judiciaire. Cela nous a permis de voir les jours suivants l’incroyable dispositif policier pour identifier les auteurs. Les policiers sont arrivés tels des cow-boys. Ils ont fait des perquisitions avec des pistolets à la main pointés sur nos clients. C’était un véritable délire !
    Tout cela pourquoi ? Parce que madame Fourest a des appuis au plus haut niveau de l’État, ce qu’elle confirme d’ailleurs dans son ouvrage. On est donc dans un dossier d’une partialité incroyable.
    On a appris également dans ce dossier que les Femens avaient délibérément ciblé Civitas parce que La Manif Pour Tous, c’était un peu trop gentil. Elles craignaient qu’il n’y eût pas de réaction. En ciblant Civitas, le but de l’opération était de provoquer une réaction pour discréditer les opposants au mariage pour tous.
    On est donc dans une opération préméditée et politique où des gens en particulier ont été ciblés pour provoquer un esclandre et avec les réactions que l’on sait. Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes, comme le dit un adage du droit civil.

    Quelles peines ont été prononcées à l’encontre de vos clients et de leurs compagnons ?

    Mise à part une relaxe sur huit prévenus, il y a eu des peines allant d’un mois à un an de prison avec sursis.
    Je note que le Tribunal n’a pas tenu compte des arguments que nous avions fait valoir. Nous avons soutenu que les Femens avaient une part de responsabilité dans ce qui est arrivé, y compris leur propre préjudice. Elles ont subi les conséquences de leur propre illégalité. Après tout, l’entrave à une liberté de manifester est une infraction. Elles ont attaqué délibérément un cortège.
    Le Tribunal ne nous a pas suivis sur ce point.
    Par ailleurs, Caroline Fourest n’était pas là en tant que journaliste, mais en tant que militante. Dans la procédure, il est ressorti qu’elle était l’instigatrice et le conseil des Femens tout au long de cette opération. Elle a même recueilli les militantes Femens chez elle, à la suite de ces incidents.
    Le Tribunal ne nous a pas non plus suivis sur ce point.

     Avocat Vice président du SIEL
  • On refuse d’enregistrer un prénom breton. Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le procureur et l’état civil de la mairie de Rennes ont refusé d’enregistrer le prénom Derc’hen (avec une apostrophe entre les lettres c et h) choisi par un couple pour son petit garçon. C’est en tout cas ce que relate le quotidien Ouest-France. Motif : le prénom contenait une apostrophe. Une première selon Charlie Grall, président du Secours Breton, une association qui défend l’identité bretonne. Ce dernier a précisé que « de nombreux prénoms bretons ainsi que des noms de famille s’écrivent avec un c’h et n’ont pas (…) posé de problème ces dernières années. »

    Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

    C’est tout le paradoxe ! Les prénoms français perdent du terrain face aux prénoms à consonance arabe ou noire-africaine, et l’on débat des cultures régionales. Pour rappel, L’Officiel des prénoms 2018 note que Mohamed se situe dans le top 20 des prénoms les plus donnés en France. Il était déjà dans les dix premières places à Paris, suivant en cela une tendance bien établie dans plusieurs capitales européennes, Bruxelles, Londres et Oslo. Au Royaume-Uni, le dernier recensement sur les prénoms a suscité polémique. D’après le Bureau de la statistique nationale, Oliver était le prénom le plus populaire en 2016. Mais en tenant compte des déclinaisons multiples du prénom Mohamed, (Mohammed, Muhammad…), le site Quartz avait conclu qu’en réalité c’était prénom numéro 1 outre-Manche.

    https://fr.novopress.info/

  • ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…

    L’histoire s’est passée en Suède.

    Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
    Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.

    Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.

    Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.

    Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan ! 

    Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.

    On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…

    La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…

    Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/

  • Un grand mérite de l’épopée Trump est d'avoir dévalué la « valeur média »

    6a00d83451619c69e201b7c948fe58970b-250wi.jpgVivien Hoch, docteur en philosophie et fondateur du Comité Trump France, dresse le bilan philosophique de la première année de la présidence de Donald Trump :

    "Il manque une description philosophique du tableau Donald Trump. Donald Trump mérite d’être pensé à sa juste valeur. Son comportement public, sa manière d’inscrire son action dans l’efficacité et de nouer des deals, demandent une analyse rigoureuse qui le prenne au mobilisent des concepts et transforment l’art de faire de la politique. Donald Trump n’est pas un politique. Il pratique la grande politique, qui inscrit ses actions dans le temps long et qui provoque une métamorphose de la société.

    Chez Trump, la présidence des Etats-Unis vient couronner un tempérament, une stratégie et, comme le disent les philosophes, une vision du monde qui est gagnante.

    Cet vision du monde, c’est celle du Businessman. Trump mène sa vie, sa famille, son entreprise, sa campagne et son pays comme un homme d’affaires : «Tout est de l’ordre des affaires, que vous le vouliez ou nom». Cette affirmation n’est absolument pas anodine : l’homme contemporain est un être-pour-les-affaires. Cela veut dire que l’homme se définit comme celui pour qui tout est à faire, tout est à construire, tout se négocie dans un seul but : son propre intérêt– en l’occurrence celui du peuple américain. Il ne s’agit pas de s’enfermer dans le monde des affaires, mais faire du monde une affaire.

    Faire des affaires veut également dire : prendre des risques, s’aventurer dans des possibles inattendus, et désamorcer en permanence les certitudes. Ce sont les qualités qui ont propulsé l’Occident en maître du monde. Donald Trump condense dans sa personne et dans son être ce qui a fait la réussite de l’homme occidental. [...]

    Un grand mérite de l’épopée Trump, c’est qu’il a, à lui seul, complètement dévalué la « valeur média » auprès de l’opinion mondiale. Il rappelle que tous les discours sont idéologiquement situés, et que le discours des médias dominants est univoque. Il pousse les médias à avouer clairement leurs présupposés et leur situation d’énonciation, c’est-à-dire le « point de vue » duquel ils parlent, et montre que ce point de vue est souvent profondément le même. Sous couvert d’être «ouverte aux tendances», la dialectique des médias revient en fait toujours au même : mêmes critiques, mêmes conclusions, mêmes idées.

    Donald Trump dénonce cette rigidité hypocrite des médias. Il réintroduit de l’herméneutique là où il n’y avait que de la répétition inlassable du même. Il montre que les médias sont enfermés dans un abject mimétisme. Il réintroduit de l’altérité là où il n’y avait que consanguinité d’intellects. Par là, il sauve la raison d’être du journalisme : en donnant en permanence à commenter des faits, des paroles et des actes qui sont totalement étrangers et répulsifs aux médias, il les réveille de leur sommeil dogmatique. Il permet à la démocratie de revivre, et de réaliser à nouveau son essence : assumer le conflit."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • TRIBUNAL D’EVRY : POLICIERS ET AGENTS DE SÉCURITÉ PILLAIENT LES SACS

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    Paris Vox cliquez ici  Le poste de sécurité à l’accueil du tribunal d’Evry s’est révélé être en réalité un haut lieu de vol. En effet, des policiers et des agents de sécurité y avaient mis en place un système permettant de dérober des objets dans les sacs passés par le scanner.

    A la suite d’une enquête de six mois, cinq personnes ont été interpellées, trois agents de sécurité d’une société privée (S3M) ainsi que deux policiers adjoints de sécurité. Ils ont tous été suspendu de leurs fonctions.

    Les vols, plusieurs dizaines, auraient débuté en septembre 2017 et duré plusieurs mois. Les complices dérobaient essentiellement l’argent liquide présent dans les sacs.

    Un scandale qui secoue tout le tribunal, choqué d’avoir été le théâtre de tels agissements. L’image de la police se trouve elle aussi écornée, au grand dam de Jean-François Papineau, le chef de la police dans le département, attaché à « l’exemplarité » de la fonction.

    Ni la société impliquée ni la présidence du tribunal qui l’a choisie comme prestataire ne se sont exprimées sur cette affaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mise en application depuis le 1er janvier de la loi liberticide sur les réseaux sociaux NetzDG

    ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le président de l’association allemande des journalistes ainsi que le président de la Fédération Européenne des Journalistes, sont unanimes et condamnent la loi en ces termes : « nos craintes déjà présentes pendant le processus législatif ont été confirmées. La loi NetzDG viole la fondamentale liberté d’expression. »
    Une affaire a renforcé le malaise

    L’affaire dite « Titanic » a renforcé le malaise. Rien à voir avec le naufrage du fameux navire. Titanic est un magazine satirique allemand.

    Voici l’histoire : la police de Cologne a twitté en arabe au moment des fêtes de fin d’année ses bons vœux et quelques recommandations sur la manière de se comporter.

    Une parlementaire de la droite conservatrice Beatrix von Storch a alors répondu au tweet de la police, je cite « Pourquoi un site officiel de la police tweete-t-il en arabe ? Pensez vous que ce soit pour apaiser les hordes barbares et violeuses des hommes musulmans ». Son compte fût supprimé sans aucune forme de procès par Twitter.

    Malicieux, le magazine Titanic reprit sous forme humoristique et parodique un faux compte de la parlementaire en écrivant sous son nom cette phrase badine : « Lors du dernier tournoi de fléchettes les hommes blancs boivent et poussent la boule, une de nos dernières traditions allemandes ? ». Twitter non seulement a supprimé ce tweet mais aussi le compte du journal, compte rétabli deux jours plus tard après de fortes pressions médiatiques.

    De lourdes amendes sont prévues par la loi

    La loi incite par la contrainte financière les sociétés qui ne censureraient pas tout ou partie des écrits, post ou vidéos diffusés numériquement et enfreignant 24 articles du code criminel allemand tels « la diffamation de l’État et de ses symboles », « la diffamation des religions » et « l’apologie de la violence ». Une très large part d’incertitude et de nombreuses possibilités d’interprétation donc.

    Ainsi, entre cette censure déjà à l’œuvre et celle attendue en France la liberté d’expression a des soucis à se faire.

    https://fr.novopress.info/

  • LES MIGRANTS DE CALAIS RACONTÉS FAÇON « PLUS BELLE LA VIE » PAR YANN MOIX

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    Au micro de France Inter, Yann Moix s’est livré à un numéro d’indignation sélective de toute beauté. Calais, terre d’infamie ! On y frappe des migrants, on en gaze… C’est horrible. Il le sait, il y est allé. Il a vu de ses yeux les victimes des CRS qui – il le précise – ne sont pas à blâmer puisqu’ils ne font qu’obéir à des ordres. Il est lucide, Yann Moix. Enfin, presque… Juste d’un œil. L’autre est fermé. Si, un jour, il parvient à l’ouvrir, il reviendra dans le studio de France Inter pour dénoncer les agressions dont sont victimes les routiers de Calais, il pleurera les trente jeunes de moins de 25 ans tués à l’arme blanche à Londres entre janvier et juillet 2017, il s’indignera des sévices sexuels dont les femmes font les frais un peu partout en Europe, de l’augmentation de 400 % des viols en vingt ans d’immigration en Suède… Mais chaque chose en son temps. Pour l’instant, l’ami Moix en est à dénoncer avec force lyrisme les violences subies par ceux régulièrement mis en cause dans les délits précités. Violences que – soit dit en passant – personne ne songerait à approuver, à la différence près que le chroniqueur de Ruquier voit dans cette forme de répression policière, hélas très fréquente à l’égard de manifestants, une atteinte à la dignité humaine sans précédent.

    Pour défendre cette noble cause (qui n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres), Yann Moix se sent pousser des ailes de résistant… 

    Quand un enfant de 16 ans vous regarde les yeux rougis par des gaz lacrymogènes… Dans le dialecte romantico-gnangnan, l’adolescent devient un enfant… Un enfant est un bébé et un vieillard de 92 ans un galopin. L’auditeur sort un premier mouchoir. Il n’est pas au bout de ses peines. Du lourd se profile : il y a, parmi les Afghans, des gens qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts (0,002 %) et qui sont venus en France pour ça. Ils arrivent et on les frappe… Et même pas avec un dictionnaire ou une encyclopédie – ce qui serait un moindre mal pour ces assoiffés de culture… 

    L’auditeur file chez « Carrefour Drive » récupérer sa commande de quinze paquets de Kleenex® grand format. Cette fois-ci, c’en est trop. Des migrants culturels frappés par des CRS, mais dans quelle France vivons-nous ? Mais il y a pire encore : on nous fait accroire que c’est au moment où les migrants entrent dans les camions qu’on les gaze. C’est faux. Et quand même ce serait vrai, ce serait détestable et illégal. Comme chacun le sait, la mission des forces de sécurité est, au contraire, d’aider les clandestins de Calais à monter dans les camions. De leur aménager des nids douillets parmi les palettes de pudding que la France exporte vers l’Angleterre… Au point où nous en sommes, il n’est pas interdit d’apporter sa petite touche personnelle à la fiction que nous raconte Yann Moix… Et ensuite ? Que se passe-t-il ? L’auditeur est à cran. France Inter tient son Plus belle la vie à la sauce bobo. Monsieur Moix, voici votre contrat. Signez là. Demain, vous nous raconterez l’attentat du Bataclan, dont tout le monde est sorti indemne… Si vous le voulez bien !

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-de-calais-racontes-facon-plus-belle-vie-yann-moix/

  • Notre-Dame des Landes

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    Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

    L'affaire de Notre-Dame des Landes présente un grand intérêt à plusieurs titres car elle est révélatrice d'une situation prometteuse pour ceux qui luttent contre le SATLP (Système à tuer les peuples)  :

    1) En baissant son froc devant une bande de pouilleux (je mets à part les paysans qui voulaient légitimement garder leur terre) l'Etat-Macron a avoué son impuissance à faire face aux défis de la racaille : c'est le cas à Notre-Dame des Landes comme c'est le cas à l'intérieur des prisons (où, de l'aveu même des matons la racaille fait la loi) ou dans les "quartiers" dits pudiquement "de non droit", c'est à dire, en clair, des territoires où "l'autorité de la République", comme disent les larbins du Système, ne s'exerce plus (policiers, pompiers, professionnels des métiers de santé en savent quelque chose, qui savent ne pouvoir attendre aucune aide d' "autorités" (?) démissionnaires et lâches). Leçon édifiante et bien enregistrée pour ceux qui, un jour plus ou moins proche, voudront étendre leur domination à de nouveaux pans de territoire, où les Blancs auront le choix entre se soumettre, partir ou... mourir. J'exagère ? Prenez donc la peine d'écouter les messages diffusés  par ceux qui prêchent la guerre sainte. Tout est dit. Clairement. Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. 

    2) Macron et son porte-serviette censé être Premier ministre se préparent des jours difficiles. Les Zadistes, pour qui Notre-Dame des Landes était un test, ont annoncé la  couleur :  Notre-Dame des Landes ? Ce n'est qu'un début, continuons le combat. L'objectif ? Avoir dix, cent Notre-Dames des Landes. Qui les en empêchera ? Malgré les rodomontades  élyséennes, ceux qui seraient tentés de le faire (par exemple les élus locaux) auront contre eux, comme cela vient d'être démontré, l'Etat (ce qu'il en reste...) qui est prêt à tout accepter pour ne pas prendre le risque d'être accusé de "fascisme" (le péché mortel). Avec l'appui des bobos et des braves connards qui n'ont pas conscience de creuser leur tombe (mais ça, c'est plutôt rigolo) en votant pour des gredins que le sort des petites gens laisse profondément indifférents car, eux, ils sont hors d'atteinte grâce aux privilèges qu'ils se sont accordés. Du moins le croient-ils... Car un jour, peut-être, le réveil sera difficile pour eux aussi. Ce jour-là nous boirons un dernier verre de chablis car nous risquons d'être nous aussi entraînés dans l'apocalypse. Mais il faut bien mourir un jour, n'est-ce pas ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/