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lobby - Page 1178

  • Enseignement de l’affaire Pajot, l’élu FN agressé par des antifas

    Le député FN  du Pas-de-Calais Ludovic Pajot, par ailleurs benjamin de l’Assemblée Nationale, a été agressé le 7 octobre par des militants d’extrême gauche alors qu’il se trouvait dans un bar de Béthune, commune dont il est l’élu.  Dans un message diffusé par les réseaux sociaux, il narre sa mésaventure :

    Un seul homme politique hors Front National a daigné adresser un message, à savoir le président de l’Assemblée Nationale (un peu forcé de par sa fonction) François de Rugy, dans le strict minimum syndical : « Je souhaite, au nom de la représentation nationale, complet rétablissement à Ludovic Pajot Je condamne la violence dont il a été victime ». Cela rappelle que, lorsque Jean-Pierre Stirbois est mort dans un mystérieux accident de voiture le 5 novembre 1988, la seule élue de la République qui a envoyé ses condoléances à sa veuve Marie-France Stirbois – alors députée de Dreux – fut la députée de Rambouillet Christine Boutin… qui prônait par ailleurs l’interdiction du FN ! Cela rappelle aussi la mystérieuse affaire Bodein où la ministre israélite Nicole Guedj, qui s’était empressée de se rendre au chevet de la mythomane du RER D, avait snobé les familles d’Hedwige Vallée et de Jeanne-Marie Kegelin à cause de leur engagement patriotique (doublé pour les Kegelin à leur appartenance à la communauté traditionnaliste catholique).

    Notons aussi la clémence de la justice envers sa milice auxiliaire antifa : le mercredi suivant l’agression, l’un des agresseurs – Antoine B., 28 ans –  bénéficia d’un vice de procédure. Ce dernier s’était vanté lors du procès d’avoir agressé Ludovic Pajot « parce qu’il fait partie du FN », et que « ses idées me répugnent ». L’autre – Julien R., 29 ans – n’écopa que de six mois avec sursis, au motif incroyable qu’il « ignorait la qualité de député de Ludovic Pajot au moment où il l’a agressé d’une manchette et d’une balayette à la sortie d’un bar », alors que son complice avait reconnu la chose. Notons également, cerise sur le Mc Do comme dirait l’autre, que la notion de violences en réunion n’a pas été retenue par le parquet, de même que leur appartenance au monde antifa. Or, si on en croit BFM-TV,  vraiment peu suspecte de sympathies pour le FN,  « Le député frontiste a été violemment pris à parti par trois jeunes hommes alors qu’il se trouvait dans un bar du centre-ville de Béthune. L’agression s’est déroulée en deux temps. Ludovic Pajot a d’abord été pris à partie par trois jeunes hommes dans ce bar. L’un d’entre eux porte un tee-shirt floqué « antifas » (pour anti-fachiste, NDR). Ils provoquent et insultent le député FN en raison de sa fonction et de son appartenance politique, le traite de « nazi ». les témoins présents sur place au moment des faits le confirment. Ludovic Pajot qui veut éviter la confrontation quitte alors l’établissement. Les trois suspects lui emboitent le pas et l’agressent physiquement dans la rue. Ils lui assènent au moins un coup de poing au visage et un coup de pied au ventre, avant de prendre la fuite. L’élu frontiste est alors pris en charge par les pompiers puis amené à l’hôpital pour des soins. Légèrement blessé, il a pu ressortir dans la nuit. La police a interpellé l’un des trois suspects dans la nuit. Cet homme de 28 ans défavorablement connu des services de police était toujours en garde à vue dimanche en fin de journée. Il reconnait les injures mais pas les coups et ne veut pas pour le moment révéler l’identité de ses complices. ».

    Notons la discrétion de violette des torchons de propagande du régime, La Voix du Nord en tête, tout dans le conditionnel, visant à protéger les petits flics de la pensée.

    L’enseignement à tirer de cette affaire est le suivant. Il est capital. Le Front National ou tout autre mouvement identitaire ne sera jamais admis dans le cercle républicain, quelque soit les reniements, les trahisons, les purges. Il est marqué à vie de la marque « impure » apposée tel un kashrut inversé. Donc, se « dédiaboliser » ne sert à rien. Il faut en tirer les conclusions qui s’imposent : puisqu’on est exclu par les « Républicains » alors pratiquons la réciprocité : interdiction des officines républicaines de nos meetings et réunion, embargo sur les information, refus des oukazes et mots d’ordres républicains et même, dans les zones libérées, épuration des symboles du régime (notamment noms de rues). Soyons fiers d’être stigmatisés, comme le Christ qui fut du symbole le plus ignominieux de l’époque, la croix, un symbole de victoire.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/enseignement-de-laffaire-pajot-lelu-fn-agresse-par-des-antifas/81621/

  • Si LR n'a rien de commun avec le FN, il a plein de choses en commun avec le PS

    Lu dans Les 4 Vérités :

    Capture

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Laeticia Pouliquen : On se prépare à mettre les femmes au rebut !

  • #balancetonporc : avec les musulmans ça marche aussi ?

    Pour Yves Daoudal, cette affaire de délation publique est un enfumage :

    "On peut se demander si le très élégant et subtil hashtag « Balance ton porc » est islamophobe. Tout au contraire, il vise à empêcher toute dénonciation de musulman, dont la religion interdit qu’il puisse être traité de porc.

    En réalité, cette hystérie de dénonciation des « harceleurs sexuels » n’est rien d’autre qu’un enfumage (mais celles qui tombent dans le panneau seraient tout étonnées si elles s’en rendaient compte), au moment où le gouvernement et le Parlement concoctent une loi contre le « harcèlement de rue ». Sans jamais le dire, les promoteurs de cette loi savent pertinemment que la quasi totalité des coupables ne sont pas des Français de souche (et que c’est l’immigration qui a fait surgir le phénomène, de façon encore plus criante depuis la vague des « réfugiés »). Ce qu’il faut à tout prix cacher, autant que possible. D’où cette campagne de stigmatisation à destination exclusive de ces immondes gros porcs de Français de souche qui sont légion…"

    Pour mémoire cette chronique d'Eric Zemmour, après les agressions sexuelles à Cologne par des immigrés : Z

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/balancetonporc-avec-les-musulmans-%C3%A7a-marche-aussi-.html

  • 17 octobre 1961 : chronique d'un "massacre" imaginaire - Journal du mardi 17 octobre 2017

  • Les antifas sont-ils le bras armé des médias de gauche ?

    Les trois agresseurs « antifas » du député FN Ludovic Pajot, 23 ans, viennent d’être jugés en comparution immédiate. Sursis, vice de procédure (provisoire) et remise en liberté « faute de preuves »... Le député répond à Caroline Parmentier dans Présent :

    "J’ai été très choqué par la couverture médiatique de mon agression. D’abord : « Il aurait été agressé. » Puis : « Il a été agressé mais ce n’est pas politique. » Et enfin : « C’est politique mais ce ne sont pas des antifas. » C’est bien évidemment parce que je suis un député du Front national. Ils bénéficient d’une grande indulgence et d’une protection médiatique. J’ai reçu beaucoup de messages de soutien au sein du Front national mais très peu des autres élus. A l’exception de François de Rugy, leur silence a été assourdissant."

    Finalement, les antifas pratiquent le lynchage physique comme la presse le lynchage médiatique : le désir de nuisance est le même.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • AFFAIRE WEINSTEIN : LE BAL DES FAUX-CULS !

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    Je suggère, pour en finir avec l’hypocrisie et le féminisme misérabiliste, qu’on lance #Balancetapétasse pour faire pendant à #Balancetonporc.

    Allez-y, Mesdames, c’est le moment ! Vous toutes, starlettes refoulées, actrices en mal d’engagement, vieilles gloires oubliées… Allez-y, balancez vous aussi votre « porc » et peut-être retrouverez-vous un instant de notoriété en racontant au monde cette scène horrible qui, à votre insu, vous hante depuis tant d’années et vient de resurgir grâce à ce gros dégueulasse d’Harvey Weinstein.

    Depuis huit jours, la liste s’allonge. Ainsi, l’oubliée Florence Darel qui réapparaît ce lundi pour raconter au Parisien avoir éconduit le producteur en 1994, et qui confie : « Je me rends compte que ça m’a beaucoup perturbée et que depuis deux nuits, j’ai plein d’autres souvenirs qui remontent que j’avais soigneusement enterrés. »

    C’est à qui en aura le plus à raconter, preuve qu’on est en plein bal des faux-culs, tout comme on le fut avec notre gloire internationale, le monsieur du FMI : Dominique Strauss-Kahn.

    L’affaire est entendue : les hommes de pouvoirs sont des cochons. Et les hommes de grand pouvoir de grands cochons. Et donc, une fois de plus, une fois encore, les femmes ne sont que d’innocentes victimes contraintes de devoir tout accepter pour pouvoir respirer sur cette basse terre.

    Foutaise.

    Pour autant que je sache, toutes les petites starlettes en herbe qui oscillent du cul sur les plages de Cannes, se précipitent chaque printemps aux partouzes des magnats d’Hollywood, prennent leur ticket dans la file d’attente devant la chambre à coucher des réalisateurs et des acteurs en vue, de même que les grandes dames du cinéma qui acceptent les rôles les plus avilissants ne le font pas avec un flingue dans le dos. 

    Faut-il rappeler ce qui a valu la gloire à la jeune Léa Seydoux, dont la confession dans le Guardian a occupé les médias pendant trois jours ? C’est la Palme d’or, à Cannes, pour cette ode à l’homosexualité féminine (sorte de manuel pratique) qu’est La Vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche. Une fois remportées la Palme d’or et la gloire qui va avec, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos, son amante à l’écran, ont dénoncé les agissements épouvantables du cinéaste : « La plupart des gens n’oseraient même pas demander ce qu’il nous demandait et témoignent davantage de respect. »

    Pourquoi ont-elles accepté ?

    Pourquoi tant de ces jeunes femmes démarrent-elles dans le porno ? Pourquoi celles qui sont déjà « arrivées » acceptent-elles des scènes de sexe cru, de perversions, de sado-masochisme, de mutilations, comme l’a fait Isabelle Huppert dans La Pianiste de Michael Haneke ? Ou pire, Charlotte Gainsbourg dans Nymphomaniac, de Lars von Trier, en 2013. Une Charlotte Gainsbourg qui se complaît dans des rôles malsains et dont le mari Yvan Attal a fait, sur un plateau de télé, cette étrange confidence : « C’est bon, elle m’a fait la totale. » Il ajoute que c’est « un drame », surtout que « c’est parfois terrible », pour leurs trois enfants. Non seulement il accepte – il en fait même l’objet de deux films : Ma femme est une actrice, puis Ma mère est une actrice ! –, mais il dédouane son épouse, en fait en quelque sorte une irresponsable : Charlotte « ne se rend pas compte » de l’impact que cela peut avoir dans une cour de récréation, dit-il, ajoutant « mais je comprends qu’elle aille tourner avec Lars von Trier quand même. Même pour faire ça (sic), c’est quand même un des plus grands metteurs en scène qui soit et, du coup, on ne peut pas reprocher à sa femme d’aller dans ses films. »

    Comment faut-il appeler cela ?

    Voilà donc ce qui justifie 5 h 30 de scènes sado-maso avec une Charlotte Gainsbourg. Allons-y pour le cliché ! Un film raccourci en deux fois deux heures pour « répondre à une problématique de durée tout d’abord mais également à un souci de censure car les scènes de sexe les plus explicites ont été enlevées ». Mais néanmoins montrées intégralement à la Berlinale, qui s’en est fait une gloire.

    Bref, tout ce beau monde du cinéma et des médias dansant aujourd’hui au bal des faux-culs, je suggère, pour en finir avec l’hypocrisie et le féminisme misérabiliste, qu’on lance #Balancetapétasse pour faire pendant à #Balancetonporc. Il me semble que l’égalité des sexes y gagnerait.

    http://www.bvoltaire.fr/affaire-weinstein-bal-faux-culs/

  • Entrer illégalement en France, ce ne serait plus un délit

    Hier, dans son entretien, Emmanuel Macron a promis que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés », promettant d’être « intraitable sur ce sujet ». 

  • Le flop de la division Jupiter - Journal du lundi 16 octobre 2017

  • UNION EUROPÉENNE : L’AVEU DE JEAN-CLAUDE JUNCKER

    Les dirigeants de l’UE ont cru qu’il fallait manipuler les régions pour affaiblir les États ; ils ont fini par comprendre que cette politique menait au chaos.

    Au moment où paraissait mon précédent article, dans lequel je me demandais ce qui avait amené les dirigeants de l’Union européenne à changer totalement d’attitude à l’égard des régions séparatistes, Jean-Claude Juncker faisait une déclaration qui confirmait l’hypothèse que j’avais avancée : « Je ne veux pas d’une Union européenne qui comprendrait 98 États dans quinze ans. C’est déjà relativement difficile à 28, pas plus facile à 27, mais à 98, ça me semble impossible. »

    En disant cela, après avoir confirmé qu’il fallait empêcher les velléités sécessionnistes en Catalogne et ailleurs, Juncker avoue que faire cohabiter 28 peuples dans une même structure politique est très difficile. Les fédéralistes européens ont toujours eu pour modèles les États fédéraux états-uniens et allemand et ils n’ont pas pris en compte le fait que les États-Unis, tout comme l’Allemagne fédérale, ont été bâtis par des peuples culturellement homogènes ; ce qui n’est évidemment pas le cas en Europe, où les différences culturelles sont très grandes, les histoires et les intérêts des peuples très divers, malgré les lointaines origines communes de ces peuples et les nombreuses influences croisées qu’ils eurent les uns sur les autres.

    Les théoriciens du fédéralisme, comme Alexandre Marc, qui imagina un fédéralisme intégral qui serait étendu à l’ensemble de l’humanité, ont cru que le système fédéral permettrait la cohabitation de peuples d’origines diverses dans une même organisation démocratique et pacifiée. Le cas de l’Inde est instructif à ce sujet. Cet État fédéral, qui fut fondé en 1947 sur les ruines de l’Inde coloniale britannique, laquelle avait rassemblé, de force, des États princiers ayant des cultures et des traditions très diverses, est secoué, depuis sa création, par des convulsions ethnoculturelles et religieuses dont certains pensent qu’elles finiront par emporter cette construction baroque. L’État fédéral n’a, du reste, jamais réussi à mettre un terme aux conflits qui opposent les hindouistes aux musulmans, aux sikhs et aux chrétiens.

    Les dirigeants de l’Union européenne ont cru, pendant des décennies, qu’il fallait manipuler les régions pour affaiblir les États historiques ; ils ont fini par comprendre que cette politique menait au chaos et que « l’Europe aux cent drapeaux » imaginée par le Breton Yann Fouéré, est tout simplement irréalisable. Ayant fait le constat des difficultés générées par la multiplication des membres de l’Union européenne, les dirigeants de cette dernière et leurs alliés, qui gouvernent la plupart des États membres, sont fort gênés par la crise catalane. Ainsi, Emmanuel Macron a insisté ces derniers jours sur la souveraineté de l’Espagne et des autres États, ce qui est assez surprenant parce que le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’attache que peu d’importance à leur indépendance. Presque simultanément, il a annoncé, en réponse à Mélenchon, qu’il allait reconnaître le statut officiel du drapeau et de l’hymne européens.

    Les fédéralistes masqués qui nous gouvernent (voir, à ce sujet, l’ouvrage de Christopher Booker et Richard North intitulé La Grande Dissimulation) ne craignent pas de faire le grand écart quand il s’agit de faire avancer leur projet fédéral.

    http://www.bvoltaire.fr/union-europeenne-laveu-de-jean-claude-juncker/