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  • Google annonce un renforcement de la censure sur YouTube

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    Les vidéos sont le média le plus apprécié des moins de 35 ans et constituent le cœur de cible aussi bien de YouTube (propriété de Google) qui les héberge que de Facebook qui rémunère les médias pour en produire et les diffuser via sa plate-forme. Pendant longtemps le principe de la neutralité du net a été respecté : les propriétaires des tuyaux s’interdisaient d’interagir avec les contenus. Ce n’est plus le cas en 2018.

    En Allemagne une loi liberticide punit de très fortes amendes les transmetteurs numériques de contenus « contraires à la Constitution ». Google veut maintenant mettre les bouchées doubles pour préserver le gâteau publicitaire de YouTube. Une « enquête » à charge du Times en 2017 avait dénoncé les vidéos « extrémistes » ou propageant des « discours de haine ». Havas Angleterre avait alors suspendu les publicités de certains de ses clients sur Google.

    YouTube : qui veut faire l’ange fait parfois la bête

    Allant plus loin Susan Wojcicki Présidente de YouTube a annoncé le 5 décembre 2017 la nouvelle politique de YouTube. Dans un post de blog assez étonnant et dans un style moralisant très américain elle loue YouTube « qui a éclairé mes enfants » et permis aux activistes d’encourager « le changement social, de mobiliser les protestations, de documenter les crimes de guerre ». En clair YouTube remplit un rôle social et politique positif. Hélas le malin guette car le réseau a vu « de mauvais acteurs exploiter notre ouverture d’esprit pour égarer (mislead), manipuler, harasser et même blesser ».

    Protection du public mais surtout des annonceurs

    Dans cet esprit de croisade contre les démons la charmante Susan a réagi pour « protéger notre communauté contre les contenus extrémistes ou violents ». De juin à décembre 2017 plus de 150.000 vidéos ont été supprimées, « des centaines de comptes fermés et des milliers de commentaires effacés ». Cette nouvelle politique permettra de « protéger les annonceurs et les créatifs de contenus inappropriés. Nous voulons que nos annonceurs soient assurés que leurs publicités soient voisines de contenus qui reflètent les valeurs de leurs marques (c’est nous qui soulignons) ». Poursuivant cette politique la société investira dans l’intelligence artificielle – qui permet de supprimer les vidéos non youtubement correctes de manière automatique – mais portera également le nombre de ses censeurs professionnels à 10.000 en 2018. On ne sait si le Ministère de la vérité d’Orwell employait autant de personnel mais il y a doute.

    Parmi les dernières victimes des censeurs, le YouTubeur Le Lapin taquin a décidé de quitter YouTube. Un exemple à suivre ?

    Texte repris du site Ojim

    https://fr.novopress.info/209210/google-annonce-un-renforcement-de-la-censure-sur-youtube/

  • Règlement de conte

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    Georges Feltin-Tracol

    A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

    À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

    Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

    Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Désinformation, lutte contre le politiquement incorrect: on arrête pas le progrès?

    C’est paraît il sous nos latitudes occidentales, aux Etats-Unis et  en Europe de l’Ouest principalement, que les citoyens disposeraient de l’information la plus objective et pluraliste. Une affirmation qui fait sourire (grimacer) les plus lucides de nos compatriotes, à commencer par les défenseurs et sympathisants de  la cause nationale. Mais aussi plus largement  tous ceux qui constatent la décalage entre la réalité de leur quotidien et la recension qui en est faite dans les  gros médias…quand ladite réalité n’est pas purement et  simplement censurée! Un qui n’est pas épargné par la propagande visant à le faire passer pour un malade mental, un incapable, un feignant, un menteur compulsif  aux pulsions fascisantes c’est bien l’actuel président des Etats-Unis. On ne compte plus les milliers d’articles d’éditos, d’émissions qui en France  dressent un portrait apocalyptique de Donald Trump.  Les Echos l’assure, et dans ces conditions ce ne serait pas très étonnant,  « l’image des Etats-Unis s’effondre à l’étranger. »  « Un  an après l’arrivée de Trump, la chute de confiance est énorme, notamment en France.», « les Etats-Unis apparaissent plus isolés que jamais sur la scène internationale », «  la confiance dans le leadership de la première économie mondiale est au plus bas, à 30 %, en net recul par rapport à 2016 (48 %) »… « même si « le leadership américain est en progrès dans certains régions.»

    Pourtant, la détestation de Trump par les élites progressistes  californiennes, new-yorkaises, hollywoodiennes, libertaires, mondialistes ne semble pas entamer son crédit auprès de l’Amérique dite profonde. A l’heure ou il est rappelé que huit mois après son entrée en fonction, « Emmanuel Macron a déjà créé huit taxes et impôts »  – l’impôt sur la fortune immobilière (IFI),  deux contributions exceptionnelles sur l’impôt sur les sociétés des très grandes entreprises, une taxe sur l’exploration d’hydrocarbures et sur celle des gîtes géothermiques, une autre sur les plus-values de ventes de logements par les offices HLM, une taxe sur le développement des industries de fabrication de papier e la hausse du tabac. »- , Trump lui tient  ses promesses. Et obtient des résultats tangibles : « L’économie a créé 2 millions d’emplois et généré 8 milliards de dollars de richesses depuis la nouvelle présidence » ;  «  Les Afro-Américains et les Hispaniques se félicitent du plus bas taux de chômage mesuré dans l’histoire » ;   Le président a réalisé la plus grande baisse d’impôts pour les Américains qui travaillent dur depuis le président Reagan », «  L’État islamique est en perdition, écrasé en Irak et en Syrie »… même si dans ce dernier cas le mérite en revient surtout à la Russie.

    Une Russie toujours vilipendée, dénoncée par les bien-pensants au sein du parlement européen. Elle est  accusée de vouloir  détourner les Européens du bon chemin euromondialiste en développant une  propagande éhontée qui menacerait l’hégémonie de nos vertueux et impartiaux médias,   accusation ridicule dont Bruno Gollnisch faisait encore justice la semaine dernière. 

    Sur le site Euractiv, le 18 janvier, un article était consacré à  «  l’influence de Moscou au sein des États membres  (qui) préoccupe les eurodéputés. Si les principaux groupes politiques dénoncent l’ingérence du Kremlin, les eurosceptiques défendent Poutine sans états d’âme » est-il indiqué. Et l’auteur de l’article d’expliquer doctement que « les partis populistes comme l’extrême droite n’ont de fait aucun intérêt à critiquer le régime de Vladimir Poutine puisqu’ils reçoivent son soutien politique, et parfois même financier. Ils partagent en outre avec Moscou des idéologies communes, et surtout un objectif commun : fragmenter l’Europe. Et la guerre hybride de la désinformation est un instrument pour y parvenir (…) Il faut dire que la désinformation russe s’élève au rang de politique d’État. Vladimir Poutine n’hésite pas à y dédier 300 millions d’euros par an et, dans les cercles militaires russes, cette désinformation est une arme légitime. »

    A l’évidence l‘Europe européenne est surtout fragmentée sous les coups de boutoir de l’utra libre-échangisme, de l’inversion des valeurs érigée en dogme et de la submersion migratoire.   Il est à noter, mais est-ce bien étonnant?,  que les eurodéputés dits de droite,  affiliés au très atlantiste groupe PPE n’ont pas été les derniers à pourfendre la présence des médias russes en Europe. C’est le ton général de ces médias qui est parait-il insupportable, à savoir  leur absence d’hostilité vis-à-vis des valeurs traditionnelles, de la souveraineté et de l’identité des nations. « En défendant la Russie, certains ici (les députés nationaux et souverainistes attachés à l’Europe des patries , NDLR)  défendent leur idéologie, qui n’est pas celle d’une démocratie libérale », a fulminé   le député allemand Elmar Brok,  membre de la CDU,  et ex président de la commission des Affaires étrangères du parlement européen.

    Même son de cloche de  son collègue lui aussi membre de la CDU,  le germano-britannique  David Mc Allister,  qui s’est inquiété de ce que  « des eurodéputés ont utilisé des infrastructures techniques ici pour diffuser des informations sur Russia Today. Pouvons-nous critiquer les campagnes de désinformation, mais appuyer les médias qui facilitent la propagande ? » Dans la  même  veine, un autre membre du PPE,  Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular,  lequel n’hésitait   pas dernièrement   à établir un parallèle ignominieux  entre le FN et la nazisme   se veut aussi martial: « Il faut réagir plus sérieusement face au réseau de soldats fantômes russes prêts à diffuser la désinformation. Avec la Task force East Stratcom, - équipe de propagande bruxelloise  anti-russe que M. González Pons juge pas assez étoffée. NDLR)  nous sommes sans défense… »

    « Êtes-vous si loin du ressenti du peuple pour penser que lorsque les citoyens votent, ils sont influencés par Moscou ? », a  répliqué Mario Borghezio, membre italien du groupe ENL, tandis que  David Coburn (UKIP) a pour sa part souligné que l’UE se livrait également à une guerre de propagande. « Quid des millions dépensé pour la promotion du traité de Lisbonne ? Quid de la campagne de lutte contre le Brexit ? Je suis effaré par cette désinformation européenne, plus que par la version russe! »

    Nous le notions en novembre dernier, et ce détail n’échappe qu’à ceux qui ne veulent  pas voir ou nous prennent pour des imbéciles , à  combien se chiffre en effet  quotidiennement au sein des pays de l’UE  la très hégémonique et massive  propagande cosmopolite, européiste, atlanto-mondialiste,  antinationale, antirusse, déversée par tous les canaux médiatiques et autres émissions ou programmes de divertissements  ? Et qui la paye?

    Euractiv  cite encore l’élue Allemande  écolo-gauchiste Rebecca Harms, qui affirme que « l’UE doit renforcer le journalisme qui est aujourd’hui mis à mal. Si les médias sociaux, comme Facebook et Twitter commencent à supplanter les journalistes, ils doivent respecter les mêmes règles ». Mais quelles  sont les  régles en question? Dans un long texte publié en février dernier, le  patron de Facebook,  Mark Zuckerberg, soutien militant  comme de juste d’Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle américaine,   expliquait son vœu de  « Construire une communauté mondiale »  pour faire triompher  l’idéal des sociétés ouvertes. Sous prétexte de lutter contre les fausses nouvelles  et l’apologie du terrorisme c’est bien la volonté d’éradiquer la diffusion de  pensées politiquement incorrectes dont il s’agit.  Propos en opposition avec  la doxa mondialiste  qu’il propose de reléguer dans l’ombre par l’utilisation algorithmes et le développement de l’intelligence artificielle. Une censure déguisée mais bien réelle, à l’image de celle qui règne dans les conférence de rédaction. On arrête pas le progrès? 

    https://gollnisch.com/2018/01/22/desinformation-lutte-contre-politiquement-incorrect-on-arrete-progres/

  • Retrouvez les discours tenus lors de la Marche pour la vie

    Voici les vidéos des interventions à la Marche pour la vie. D'abord au départ :

    Victoire de Gubernatis, porte parole : « Nous voulons défendre la vie humaine. »

    Marek Jurek, député polonais : « La résistance contre la culture de la mort est toujours actuelle. »

    Tugdual Derville : La majorité des Français souhaite éviter l’avortement

    Jérôme Triomphe : « La vie est un combat de civilisation, c’est notre combat ! »

    Cécile Edel : La loi Veil suscite toujours autant de contestation.

    Frédéric Espieux lance la Marche pour la vie 2018 :

    Puis à l'arrivée :

    Témoignage d’une infirmière en bloc obstétrical sur les conditions des avortements :

    Appel pour courir au semi-marathon de Paris 2018 pour la fondation Jérôme Lejeune

    Jean-Marie Le Méné : Les dangers de la loi sur la bioéthique

    Nicolas Sevillia : La Marche pour la vie c’est la défense de la vérité.

    Frédéric Espieux : « Notre combat est un combat de civilisation ! »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 13e Marche pour la vie en direct ! (actualisez la page)

    17h30 : aux journalistes qui demandent un chiffre il est répondu 220 000... Oui 220 000 avortements en France chaque année! 

    Nous étions environ 40 000 à affronter les éléments climatiques et surtout de nombreux jeunes, qui, 43 ans après l'abominable Loi Veil, marchent pour demander le respect de toute vue humaine et l'abolition de l'avortement. 

    Au Trocadéro :

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    17h10 :

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    Carl Lang et Myriam Baeckeroot :

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  • Marche pour la vie en direct! (actualisez la page)

    14h10 : Madeleine, infirmière,  témoigne de l'avortement devant la presse. C'est traumatisant de voir des cadavres de bébés. Elle évoque aussi le manque de liberté du personnel soignant, obligé de pratiquer des avortements. 

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    14h05 : Frédéric Espieux, coordinateur général de la Marche annonce que près de 1000 bénévoles,  la plupart très jeunes,  se sont engagés sur cet événement. 

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    14h00 : Nicolas Sevillia indique à la presse que la haine n'est pas de notre côté. Ce matin le bus de Rennes a été caillassé par des extrémistes de gauche et un passager à été blessé. 

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  • Tandis que Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, va présenter sa loi immigration…

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    Par Marc Rousset, économiste et ancien haut dirigeant d’entreprise 

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an.

    Tandis que Gérard Collomb, en ce début année, va présenter son projet de loi Immigration – qui ne sera peut-être encore que de la poudre de perlimpinpin, pour reprendre l’expression du président – et qu’il nous ressort la vieille rengaine usée de la politique de la ville, coûteuse, ruineuse, inefficace et complètement à côté de la plaque, Trump et Poutine, à la tête de deux hyper puissances, agissent concrètement et nous montrent l’exemple.

    Aux États-Unis, la chute d’admission des réfugiés au quatrième trimestre 2017 a été de 79 % : 5.323 au lieu de 25.671 réfugiés au quatrième trimestre 2016 (dont 13 % seulement de musulmans et 60 % de chrétiens). Les États-Unis, mais aussi Israël, la Hongrie, les pays de l’Europe de l’Est et l’Australie nous montrent donc l’exemple.

    Poutine, lui, en ce début d’année 2018, a décidé de faire un cadeau aux jeunes parents russes. Une allocation supplémentaire de 3.700 euros sera accordée dès le premier enfant sur une période de dix-huit mois. La Russie est donc à l’antipode de la politique du socialiste Hollande et du grand-père par alliance sans enfants Macron qui s’attaque au principe de l’universalité des allocations familiales, sachant très bien qu’en faisant cela, c’est à la classe moyenne française qu’il s’attaque.

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an. Ils devraient être limités et combattus par une loi nouvelle revue et corrigée beaucoup plus stricte qui reviendrait à l’esprit de la loi Veil. De Gaulle, devant l’Assemblée constituante en 1945, n’avait-il pas déclaré que « si le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne pourrait plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint ».

    La France et l’Europe doivent donc à la fois arrêter l’immigration et favoriser la natalité, afin de survivre et de garder leur identité. L’Europe, avec son taux de fécondité de 1,6 enfant par femme, ne fait plus d’enfants et devient le seul endroit au monde qui appartient à tous les immigrés de la terre. Comme a pu le dire Frauke Petry, ancienne responsable de l’AfD en Allemagne : « L’Union européenne ne veut plus des peuples, mais des populations. »

    Le nombre de naissances en France métropolitaine a baissé pour la sixième année consécutive, soit 747.000 naissances seulement en 2016. L’indice de fécondité est passé à 1,89 : en dessous du taux de reproduction minimum des populations à l’identique, qui est de 2,1 enfants par femme et ce, malgré l’apport significatif d’une population immigrée extra-européenne avec un taux de fécondité de 2,6 par femme (selon un ouvrage de l’INSEE publié en 2012) .

    Il faut savoir que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée continuerait d’augmenter en France. La France, selon ses prévisions actuelles, devrait compter 74 millions d’habitants en 2050, dont 30 % de population d’origine immigrée. On n’intègre plus, on assimile encore moins, aujourd’hui dans notre pays. Alors, avec de telles perspectives statistiques, comment ne pas imaginer qu’on pourrait aller droit vers une guerre civile ? 2050, c’est dans 32 ans seulement, soit le temps pour un enfant de devenir un homme !

    L’Allemagne, avec un taux de fécondité toutes origines par femme de 1,39, tout comme l’Italie, perdent 150.000 autochtones par an. L’Allemagne est morte et commence tout juste à le savoir sans avoir encore réagi. Selon Thilo Sarrazin, dans son ouvrage best-seller Deutschland schafft sich ab, si l’Allemagne du 8 mai 1945 avait connu le même taux de natalité que les Palestiniens, il y aurait aujourd’hui 600 millions d’Allemands…

    Marc Rousset 09/01/2018

    Source : Boulevard Voltaire
    https://www.polemia.com/tandis-que-gerard-collomb-ministre-de-linterieur-va-presenter-sa-loi-immigration/

  • Les nombreux bénévoles de la Marche pour la vie se préparent

    Séance studieuse pour plusieurs centaines de jeunes afin de préparer la journée de demain.

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    Nicolas Sevillia, Victoire et Frédéric présentent la Marche pour la vie et le thème de cette année : De l'ombre à la lumière. 

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    Deux évêques sont annoncés pour demain : Mgr Lebrun, archevêque de Rouen et Mgr Aillet, évêque de Bayonne.

    Intervention de Guillaume de Thieulloy sur l'action politique :

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    Puis de Cécile Edel, présidente de Choisir la vie et vice-présidente de la Marche pour la vie :

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    Le Salon Beige

  • OLIVER IVANOVIĆ, HÉROS SERBE DES TEMPS MODERNES, ASSASSINÉ AU KOSOVO

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    Le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs…

    Oliver Ivanović (Оливер Ивановић), un des responsables historiques des Serbes du Kosovo, a été assassiné devant l’entrée de son bureau dans la zone serbe de Kosovska Mitrovica, au nord du Kosovo. Quasiment vingt ans après les terribles bombardements de l’attaque illégale de l’OTAN sur toute la Yougoslavie, le martyre du peuple serbe se poursuit dans une violence inouïe qu’aucun autre peuple européen ne connaît depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

    Malgré les promesses de « démocratie » et de « respect des droits de l’homme » faites par l’OTAN, les Serbes continuent de subir la terreur au quotidien. Il fallait attendre un nouveau meurtre pour que les médias dominants reviennent sur le sujet du Kosovo.

    Quel sarcasme, quand on pense que ce sont ces mêmes médias qui pleurent la mort d’Ivanović aujourd’hui qui, il y a vingt ans, ont travesti la vérité en faisant passer les Serbes pour des bourreaux alors qu’ils ne faisaient que défendre leur foyer et leur héritage national et chrétien. Depuis vingt ans, 250.000 Serbes ont fui le Kosovo et plus de 1.000 ont été assassinés et continuent de l’être aujourd’hui. Rien que depuis le début de cette année, les Povratnici, ces Serbes qui osent revenir au Kosovo depuis l’exode de 1999 de différents villages, sont attaqués, volés et ostracisés.

    À Novake, près de Prizren, l’ancienne capitale impériale serbe, les Serbes ont eu leurs fermes attaquées à l’engin incendiaire. À Đakovica, des pèlerins orthodoxes serbes n’ont pas pu fêter Noël le 7 janvier dernier car des manifestants leur refusèrent l’accès à l’église. Pas une semaine ne passe sans qu’un tel incident ne se produise, et pourtant les Serbes restent. Silencieux, minoritaires, ils n’abandonnent pas leur terre. Ils n’implorent pas notre pitié mais ils méritent notre respect et notre soutien. 

    C’était le combat d’Oliver Ivanović, un homme qui n’a pas hésité à prendre les armes pour défendre son peuple quand des extrémistes albanais ont voulu exterminer tout ce qui restait de serbe au Kosovo et en Métochie à la fin des années 1990. Mais Ivanović était aussi, et avant tout, un homme de paix, un homme capable de faire le consensus et de trouver des solutions. C’était un homme courageux qui ne se cachait pas. C’est un homme qui a été jeté deux ans dans une prison albanaise au Kosovo, accusé injustement de crimes de guerre et qui fut libéré faute de preuves. C’était un homme, père de famille, fier, c’était un homme droit. C’était forcément l’homme à abattre.

    Aujourd’hui, tous les Serbes pleurent un frère et la liberté pleure un fils, mais le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs : « Nous ne partirons jamais. » C’était aussi cela, le message d’Oliver Ivanović, un vrai héros des temps modernes. Que son âme repose en paix.

    http://www.bvoltaire.fr/oliver-ivanovic-heros-serbe-temps-modernes-assassine-kosovo/

  • Selon George Soros, « le nationalisme est maintenant l’idéologie dominante dans le monde »

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    Dans un entretien donné le 15 janvier dernier au Financial Times, George Soros se déclare prêt à se battre contre cette « idéologie dominante dans le monde [qu’est] maintenant le nationalisme ».
    Le milliardaire déclare également :
    Je me sens plus que jamais prêt à me battre et à défendre ce qui est juste (sic).
    Son arme de guerre, les Open Society Foundations (OSF) disséminées un peu partout dans le monde, et notamment en Europe.
    Rappelons qu’en 2015, Vladimir Poutine a chassé l’OSF de Russie, accusant Soros de « mettre en danger le système constitutionnel et la sécurité nationale » du pays. Pour le dirigeant hongrois Viktor Orban, c’est Soros qui se trouve directement derrière les plans de l’UE d’ouvrir les frontières de l’Union à des millions de clandestins du Moyen-Orient et d’Afrique.
    Voir l'image sur Twitter

    Once a symbol of the spread of democracy in Europe, billionaire George Soros’s foundation is now the target of resurgent nationalism http://on.ft.com/2EFM1IA 

    https://fr.novopress.info/