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  • « On s'indigne de l'injustice qui prive chaque année 220 000 enfants de voir la lumière du jour »

    Ce dimanche 21 janvier, @NSevillia, délégué général de la Marche Pour la Vie, était invité sur @CNEWS : « On s'indigne de l'injustice qui prive chaque année 220 000 enfants de voir la lumière du jour, parce que l'IVG interrompt une vie »

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Et moi, et moi et moi – Concert à la Marche Pour La Vie 2018.

  • Caste énarchique d’intouchables vs parias et çudras: la révolution c’est pour quand?

    delacroix-la-liberte-guidant-le-peuple-gros-plan.jpgChristophe Castaner, le délégué général de La République en marche, a accordé un entretien au très macronien, américanomorphe  (et très creux) magazine Society, dans lequel il prend les habits de la  Pythie pour délivrer ses oracles  politiques. M. Castaner ne se contente pas de se féliciter de ce que Christian Estrosi, qui fut son adversaire aux régionales de 2015,  ait rallié le camp du progrès  en apportant son soutien à Emmanuel Macron. Une évolution qui pourrait s’expliquer, dit-il, par le choc de l’attentat islamiste qui a ensanglanté la promenade des Anglais le 14 juillet 2016  ou la récente paternité du maire de Nice. Nous sommes là dans l’analyse de très haut niveau… Sur le même mode,  l’ex élu socialiste prédit la disparition du FN « durablement affaibli »,   et de Marine : « C’est fini, le FN incarné par elle ne reviendra pas »,  « le calcul de Wauquiez », qui incarne « les mêmes idées » que le Front National, mais « avec une veste rouge », « part de la même analyse ». « (Laurent Wauquiez)  ne cherche pas seulement à piller les idées du FN, il veut faire une OPA sur un mouvement affaibli (…).  Au fond, le seul positionnement qui lui reste, c’est celui du populisme et de la critique systématique.  »

    Populisme le grand mot est lâché !  Et c’est sous ce vocable se voulant infamant, que les adversaires de l’Europe des patries ont englobé les  critiques et propositions formulées hier par Marine, lors de sa conférence de presse à Paris,  pour dénoncer le vote conjoint de l’Assemblée Nationale et du Bundestag sur la proposition de résolution d’un nouveau Traité de l’Élysée dont on fêtait le cinquante-cinquième anniversaire. En présence de Nicolas Bay vice président  de l’ENL , de Bruno Gollnisch,  de plusieurs de nos députés (Dominique Bilde, France Jamet, Christelle Lechevalier, Philippe Loiseau, Dominique Martin, Joëlle Mélin, Bernard Monnot, Myléne Troczinki), la présidente du FN l’a rappelé qu’il  n’y a pas d’intérêt à  «  célébrer ce traité dont la ratification par l’Allemagne fut un mauvais procédé contre la France et une trahison de la vraie idée de l’Europe ! »

    Au moment de sa signature  «  le Traité de l’Élysée était une réponse du chef de la France libre à la volonté de domination américaine sur le Vieux Continent. Le Général De Gaulle savait que les États-Unis utiliseraient la construction européenne pour vassaliser l’Europe.  » Or,  cette vassalisation au nouvel ordre mondial, à l’idéologie hors sol étant aujourd’hui plus que jamais  effective, « face à (cette) Europe carcérale, nous défendons une Europe conforme à l’histoire et aux valeurs de notre continent, soucieuse de la diversité de ses nations, respectueuse de ses peuples et garante de la légitime souveraineté de ses Etats (…). Notre projet reposera sur la défense de la souveraineté française, et non la dictature de la Commission. Il reposera sur le choix des peuples libres et non sur celui des technocrates soumis aux groupes d’intérêts. »

    «  Nous défendons une Europe à la carte, dans laquelle les pays viendront librement s’allier sur telle ou telle politique, tel ou tel projet. Notre Europe est celle des nations et des libertés. Nous l’avons dénommée l’Union des Nations Européennes. Cette vision, comme notre groupe au Parlement européen le démontre, nous la partageons avec de nombreux partis d’Europe, et certains sont même au pouvoir, je pense bien évidemment au FPÖ ou peut-être bientôt aux Italiens ! »

    Une Europe des peuples libres à laquelle Emmanuel Macron a redit hier son opposition à l’occasion de l’accueil hier à Versailles  d’environ 140 dirigeants de multinationales dans le cadre du sommet Choose France (Choisissez la France). Une opération visant à promouvoir l’investissement des groupes étrangers sur notre sol, but on ne peut plus louable, mais qui a offert au chef de‘l’Etat l’opportunité de  réaffirmer son obsession :  ce sont les populismes qui menaceraient la prospérité économique de notre continent.

    C’est en tout cas ce que rapportait  ce matin  au micro de Radio classique Nicolas Dufourcq, à la tête de la BPI, la  Banque publique d’investissement  (la banque de l’État) depuis sa création parFrançois Hollande en janvier 2013. Un jugement qui ne brille pas par sa finesse, un empressement a relayer les mantras d’une caste eurolibérale qui a pourtant particulièrement abîmé la France et paupérisé les Français depuis qu’elle règne au sommet de l’Etat,  qui n’est pas pour nous surprendre. Il est vrai en effet que la vision du destin de la France qui est celle de M. Dufourcq est singulièrement  pauvrette et désincarnée; une nation réduite  à sa dimension horizontale et marchande dont il enthousiasmait  il y a quelques mois :  « La France est en train de devenir une start-up nation »  

    Les macronistes nous taxerons encore de populisme mais le peuple est aussi en droit de manifester sa colère à la lecture des articles consacrés  au train de vie de la Banque publique d’investissement dont Marianne se faisait l’écho reprenant un article du Point.  « (Elle fut)  sévèrement mis en cause dans un rapport de la Cour des Comptes, pour ses frais de taxi (64.000 euros en 2015), ses voitures de fonction  (6,6 millions d’euros rien qu’en 2015),  ses hausses de salaires…

    « Le train de vie de la direction est en effet sévèrement remis en cause (…). Les augmentations des rémunérations de certains cadres dirigeants paraissent tout particulièrement contestables dans leur principe lit-on de fait dans le rapport (…) Parmi les mieux lotis, 7 des 8 directeurs exécutifs, qui ont vu leur salaire augmenter de 40% entre 2012 et 2015. D’autres, 28 cadres de la BPI-Investissement, l’une des entités de la banque, ont été augmentés de 23% pour la seule année 2015, après une hausse de 15 % en 2014. Leurs rémunérations étant par conséquent passées de 201.000 euros en moyenne en 2012 à 245.000 en 2015. D’autres encore, dans l’entité financement de la BPI, ont pu apprécier le bond fait par leur rémunération annuelle : 149.000 euros aujourd’hui pour 42 d’entre eux contre 107.000 en 2012 (…). Mon comité exécutif est en moyenne moins rémunéré que celui de la SNCF, La Poste et EDF, se défend  (…)  Nicolas Dufourcq. Sauf que, précise le Point, certaines de ces hausses de rémunération visent à compenser “la perte” d’avantages de plusieurs ex-cadres de la Caisse des dépôts, alors même que ceux-ci, (l’attribution d’action gratuites), ont à l’époque été dénoncés par la Cour des Comptes car la Caisse est une entité publique.»

    Populistes qui ont aussi le mauvais gout de contester les huit  nouveaux impôts et taxes mis en place par le gouvernement du républicain en marche Edouard Philippe avec le soutien des  députés godillots de la majorité présidentielle et autres constructifs. Populistes qui ne seront peut-être  pas surpris par la lecture du livre du journaliste de l’ObsVincent Jauvert, sur « Les Intouchables d’Etat ». Le Parisien évoque un livre choc   « les salaires mirobolants des cadres de Bercy, les petits services entre amis au sein de cette élite administrative, les conflits d’intérêt multiples et croissants entre public et privé », la présence de lobbystes au sommet de l’Etat.  Cette  enquête  « n’est pas la première à lever le voile sur des pratiques choquantes, voire scandaleuses. » Oui,  « mais voilà, à l’heure où l’on annonce un Nouveau Monde qui a déjà emporté la vieille politique, on aurait pu attendre que cela change. »

    Et de rappeler que « dans son livre-programme «Révolution, le candidat Emmanuel Macron fustigeait les hauts fonctionnaires qui se sont constitués en caste . Il promettait même d’en finir avec leurs  protections hors du temps . Or rien de tel ne s’est passé, pour l’heure, sous sa présidence. Et pour cause, lui-même et son Premier ministre sont issus de ce moule (ENA, inspection des finances pour le premier, Conseil d’Etat pour le second) et promeuvent une certaine technocratie. Le livre de Jauvert est d’ailleurs sous-titré  Bienvenue en Macronie. » Tout change mais rien ne change :  Une technocratie sûre d’elle même et dominatrice, une énarchie largement  acquise au mondialisme , une caste d’intouchables privilégiés qui se gave sur la bête, dont les membres  se voient comme des brahmanes détenteurs du savoir, légitimes pour  dicter leurs ordres  aux parias de la France périphérique et invitant les  çudras patriotes  à rentrer sous terre et à la fermer. Franchement, combien  de temps  cela peut-il  encore durer avant que ça pète?

    https://gollnisch.com/2018/01/23/caste-enarchique-dintouchables-vs-parias-cudras-revolution-cest/

  • Reportage : Une Marche pour la Vie revendicative, par Marie de L’Isle

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    9034-20180123.jpgDès 14 heures, sous une pluie qui n’a pas faibli durant tout l’après-midi, plusieurs milliers de personnes se sont réunies porte Dauphine, dans le XVIe arrondissement, à l’occasion de la 12e Marche pour la Vie. Le service communication, cette année, avait choisi des couleurs fluo pour faire passer plusieurs messages, inscrits sur des pancartes comme « Vivre est un droit, pas un choix », « Sédation définitive = euthanasie active », « Protéger le faible, ça c’est fort » ou encore « L’avortement est un poids, pas un choix ». Tout au long du cortège, plusieurs chars rappelant la Manif pour tous diffusaient de la musique, Le diable s’habille en prada de Soprano, mais aussi Résiste de France Gall, Allumer le feu et L’envie de Johnny Hallyday. On était frappé par la présence significative de 16-25 ans (notamment parmi les nombreux bénévoles en K-way jaune), sans doute la catégorie d’âge la plus représentée dans le cortège.

    Alors que la loi punissant le délit d’entrave à l’avortement a été votée l’an dernier, l’organisation qui en réclame la suppression revendique d’avoir un discours factuel et cohérent sur plusieurs plans : scientifique, moral, social et philosophique.

    La révision de la loi bioéthique

    L’année 2018 sera marquée par la révision de la loi bioéthique, qui s’ouvre lors de ce mois de janvier avec les Etats généraux de la bioéthique. Ceux-ci mettent en place une consultation citoyenne qui se manifestera par l’organisation d’espaces de réflexion éthique dans chaque région. Or les participants de la Marche pour la Vie entendent bien peser dans ces débats. Et le message est bien passé auprès des militants, qui justifient l’importance de leur venue par ces enjeux d’actualité. C’est le cas de Julien et Albéric, 21 ans, étudiants en économie et en histoire. « Nous sommes venus défendre la vie afin que le gouvernement et l’opinion publique prennent conscience du fait qu’une partie de la population tient fermement cette ligne. Notre présence prend particulièrement sens en cette année, alors que sera révisée la loi de bioéthique, ce qui aura une incidence sur l’extension de la PMA et sur la légalisation de la GPA », expliquent-ils.

    Outre les familles, sont présents quelques religieux – des abbés en soutane, quelques religieuses en habit mais aussi des orthodoxes. Et des élus ceints d’une écharpe tricolore, comme Jean-Yves Denis, conseiller municipal de Vernouillet (Yvelines), adjoint au maire chargé des finances. « Mes revendications sont ni plus ni moins celles de toutes les autres personnes présentes dans cette manifestation. Mais je suis venu avec l’écharpe tricolore pour témoigner du soutien de certains élus à cette cause de défense de la vie. Je suis engagé depuis longtemps dans ce combat et subis les critiques régulières d’opposants, mais j’en fais mon affaire, » témoigne-t-il.

    Prises de parole

    Arrivés au Trocadéro vers 17 heures, les manifestants se sont rassemblés vers l’estrade pour entendre plusieurs témoignages dont celui de Madeleine, infirmière. Celle-ci a fait part à l’assemblée de deux expériences en tant que stagiaire puis professionnelle dans un bloc opératoire en maternité-gynécologie, partageant « l’horreur » ressentie à la vue d’un « enfant mort dans un grand seau blanc ». « Je n’ai jamais fait d’IVG mais mes collègues qui en ont fait souffrent mais ne le disent pas », a-t-elle assuré. « Il faut libérer la parole, dire que ça ne fait pas souffrir que les mamans », a-t-elle dit.

    « La génération des rescapés de l’avortement est en train de grandir et de se lever. Notre corps ne nous appartient pas. Nous sommes notre corps, et ce corps peut accueillir un autre corps, une autre vie. Nous sommes nés après l’avortement, et nous avons compris qu’il n’est pas un droit, qu’il n’est pas une liberté mais une pression, une contrainte qui s’abat désormais sur les futurs parents, » a déclaré Victoire De Jaeghere, porte-parole de la manifestation, pour qui « chaque enfant rescapé de l’avortement est une victoire du combat pro-vie ».

    Nicolas Sévillia, quant à lui, a proclamé avec force à la tribune : « Vous n’êtes pas venus défendre une opinion ou une conviction. Vous êtes venus défendre la vérité : un enfant n’est pas un amas de cellules, il est le petit de l’homme, il est un homme petit. Le mensonge, l’obscurantisme, le fascisme c’est eux. La vérité, la lumière, l’amour, c’est nous », ciblant l’enfant, la mère, la famille et la société comme étant les victimes de l’avortement. Pour Jean-Marie Le Méné, l’année 2018 est celle de « tous les dangers » puisque, tous les cinq ans, la révision de la loi de bioéthique, au prétexte de tenir compte des avancées de la technoscience, régularise les transgressions. « La loi est censée poser un cadre autour des dérives. En réalité, elle met un cadre autour des dérives et ensuite dérive avec le cadre, » a dénoncé celui qui a également dénoncé une « conspiration contre la vie ».

    Discrétion médiatique

    Le traitement médiatique de cet événement a été particulièrement discret – hormis sur l’épiphénomène concernant les perturbations organisées par une demi-douzaine de Femen. Le quotidien La Croix a pris de gros risques en matière de chiffres en écrivant qu’il y avait « plus d’un millier d’opposants ». Le chiffre de la police, qui me paraissent sous-évalués au vu de ce que j’ai pu voir en remontant tout le cortège, est de 8 500. Les organisateurs avancent celui de 40 000. Sans prétendre à l’objectivité pure, il me semble qu’il y avait au moins de 15 000 à 20 000 personnes. Patrick Cohen, dans sa matinale du 22 janvier sur Europe 1, a également évoqué le chiffre parfaitement malhonnête du millier de manifestants.

    Marie de L’Isle

    Article paru dans Présent daté du 23 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/

  • La loi sur les "Fakes news" est une loi de censure au profit de la grosse presse

    6a00d83451619c69e201b8d2d28b23970c-250wi.pngC'est l'aveu de Florian Bachelier, Député LREM de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, Premier Questeur de l'Assemblée Nationale, dans cette tribune publiée dans Ouest France et intitulée "Les Fake News portent atteinte à la souveraineté de l'Etat" (rien que ça) :

    "Les fake news constituent une menace sérieuse pour nos sociétés démocratiques en faussant pernicieusement la discussion publique. Qu’il n’y ait aucune ambiguïté : les fake news ne sont pas des opinions dissonantes, telles qu’elles ont toute leur place en démocratie. Elles procèdent de la seule volonté de tromper insidieusement. Nous le constatons aujourd’hui avec la concomitance du succès croissant des théories complotistes et de la défiance envers les médias traditionnels. À l’extrême droite allemande, l’AfD joue de ce trouble et fait circuler ses propres « réinformations » pour corriger cette Lügenpresse - la presse menteuse - un terme employé par les nazis pour les journaux d’opposition.

    À l’heure où l’Otan reconnaît le cyberespace comme un domaine d’intervention militaire au même titre que la mer et la terre, il faut saisir l’ampleur du danger. La fake news est aussi loin du canular que la Gerboise bleue, le premier essai nucléaire français, d’un pistolet en plastique : c’est une arme de déstabilisation massive. Elle est à même de porter atteinte à la souveraineté de l’État. C’est pour cela que le président de la République a souhaité une nouvelle loi et des mesures fortes pour combattre les fake news

    Les médias ont certes déjà proposé des initiatives de décodage qui aident le lecteur à séparer le bon grain de l’ivraie. Honorable, légitime, cette entreprise seule semble toutefois impuissante à enrayer la propagation.

    En 2018, la loi sur la presse datant de 1881 n’est plus adaptée à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, où les flux d’informations sont constants, sans frontière ni intermédiaire. C’est précisément parce que la liberté de la presse demeure un des droits les plus précieux que la loi doit évoluer.

    La nouvelle loi devra donc tout d’abord permettre d’agir en temps réel. La réponse doit être plus véloce que la menace en agissant directement sur les hébergeurs de fake news : 24 heures de partages sur les réseaux sociaux peuvent déjà être désastreuses. Il faut en outre pouvoir demander des comptes à ces plateformes et rendre transparents leurs financements. Il faut enfin mettre un terme au lâche anonymat de ceux qui sapent derrière un écran l’exercice de la citoyenneté. Le temps est en somme de nouveau venu de rejeter l’obscurantisme par plus de lumière.

    J’entends la crainte d’un retour sournois de la censure et je comprends ceux qui redoutent que la liberté de la presse et la liberté d’opinion n’en ressortent meurtries. Il n’en est rien. Tout d’abord, parce qu’il ne s’agit pas d’une vérité officielle mais d’une lutte contre la diffusion volontaire de fausses informations, au même titre que la répréhension de la diffamation et l’escroquerie.

    Bien plus, parce que les premiers concernés par ce fléau sont avant tout les journalistes dont la rigueur et le long labeur peuvent être fatalement balayés par l’émission et la transmission industrielles de ces rumeurs trompeuses. C’est pour cela qu’ils seront très largement associés à la réflexion et à la construction de cette nouvelle loi, dans un débat transparent, entre citoyens."

    Il s'agit bien de garantir le monopole de la presse étatique, celle qui est largement subventionnée par l'argent public et qui passe son temps à manipuler l'opinion et à pratiquer la désinformation, selon diverses méthodes dénoncées notamment par Jean-Yves Le Gallou.

    Michel Janva

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  • Bonne nouvelle : Les parodies de mariage en forte baisse en France

    6a00d83451619c69e201bb09eb4184970d-320wi.pngLes chiffres parlent d'eux-mêmes. François Hollande a fait voter une loi pour satisfaire une frange ultra-minoritaire de la population française mais dont les conséquences dramatiques sur la déconstruction de la famille et de la société ne seront reconnues que dans plusieurs années :

    "Selon le bilan démographique 2017 publié par l’Insee, le nombre de mariage entre personnes de même sexe ne cesse de baisser depuis l’année 2014. Sur les 228 000 mariages célébrés en France l’année dernière, 7000 sont des mariages entre personnes de même sexe. On en comptait plus de 10 000 trois ans plus tôt.

    Depuis 2014, le nombre de mariages entre personnes de sexe différent a baissé de 4% alors que le nombre de mariages entre personnes de même sexe a baissé de 33%. On constate par ailleurs une augmentation de 13% du nombres de PACS conclu sur la même période."

    Philippe Carhon

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  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/

  • ET SI ON PARLAIT DU BUS RENNAIS DE LA MARCHE POUR LA VIE QUE LES ANTIFAS ONT ATTAQUÉ, BLOQUÉ ET MANQUÉ D’INCENDIER ?

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    Puisque les « fake news » sont un sujet à la mode, on pourrait décider d’en faire la typologie, non ? Il en est une catégorie extrêmement finaude et efficace, qui prolifère totalement incognito et sans qu’on la voie – et pour cause – dans la grande presse. On pourrait aussi l’appeler la « no news », la « circulez-y-a-rien-à voir » : la « fake news » par omission. Et par tri partial de l’information. Si chaque « fake news » s’apparente à une thèse complotiste, elle procède, elle, d’une conspiration bien connue : celle du silence.

    Un cas d’école ? L’attaque, dimanche matin, du car affrété par les Associations familiales catholiques de Vannes et de Rennes, pour rejoindre la Marche pour la vie, tout juste laconiquement relayée par la presse locale.

    Un témoin raconte à Boulevard Voltaire : il est 8 heures, sur le parking derrière l’université de chimie du campus de Rennes. Des familles ont pris place dans le car quand, dans l’obscurité, surgissent des antifas, des militants LGBT, des « jeunes communistes » (mais si, ça existe encore…). Ils constelleront le bus d’autocollants comme autant de signatures !

    Le visage masqué par une cagoule ou un foulard, ils tentent, hurlant des injures et des obscénités, de monter dans le bus. L’un d’entre eux jette, par le marchepied, un fumigène incandescent… qu’un passager a heureusement la présence d’esprit de relancer à l’extérieur. Mais le fumigène a eu le temps de brûler son vêtement et le pull d’une jeune fille, ainsi qu’un siège. L’un des occupants du bus – certains ont 75 ans -, incommodé par les fumées, fait un malaise. Un petit garçon de 9 ans et une fillette de 12 ans sont terrifiés. Des hommes, à l’avant, parviennent à repousser les assaillants vers les barrières que ceux-ci ont dressées tout autour du bus pour le bloquer. Mais ils constatent avec inquiétude qu’une liste avec les noms des passagers a été arrachée et emportée au passage…

    Quatre policiers présents sur les lieux tentent de parlementer sans succès : ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir, disent-ils, et doivent attendre les renforts. Il va ainsi s’écouler trois heures, trois heures durant lesquelles une cinquantaine de « marcheurs pour la vie », interdits de manifester, resteront confinés dans le bus, sous les quolibets et les insultes… pris en photo malgré eux, comme dans un zoo. Ils ne pourront reprendre la route qu’à 11 h 30, sous escorte policière jusqu’à la rocade.

    On imagine le tollé, la déflagration, la bombe atomique dans la presse si un bus rempli de familles musulmanes, de vieillards, d’enfants, en partance pour une marche pacifique et autorisée vers la capitale, avait fait l’objet d’une telle attaque de la part d’identitaires cagoulés et surexcités. Si les vêtements de certains avaient été brûlés. Si l’un d’eux, pris d’un malaise, avait dû être sorti du bus. S’ils avaient dû rester parqués comme des bestiaux durant trois heures, la police se révélant incapable de disperser les trublions. Si les agresseurs étaient repartis tranquillement, sans être inquiétés… Et cette vague d’indignation unanime serait, bien sûr, infiniment légitime.

    Mais le traitement de l’information, en France, n’est pas fonction de la nature des faits mais de celle des victimes. Et il se trouve que les catholiques n’ont, en soi, aucune importance, les informations les concernant aucun caractère de gravité. Sauf, bien sûr, si on peut y trouver matière à les charger, d’une pelletée supplémentaire, de tous les malheurs du monde.

    Et ce sentiment d’impunité est si vrai que les Jeunes communistes 35 ont revendiqué benoîtement leur « action » sur Twitter, se permettant même de corriger au fluo jaune réprobateur, comme une maîtresse d’école, un article du Télégramme de Brestévoquant l’embuscade.

    Pour Marlène Schiappa, les marcheurs pour la vie sont « moyenâgeux et obscurantistes ». Ce ne sont pas eux, pourtant, pour filer le poncif, qui tentent de brûler les sorcières des temps postmodernes.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • Aide aux migrants : que dit la loi et qui sont ceux qui favorisent l’invasion migratoire en France ?

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    En 2017, la France a reçu un nombre record de demandes d’asile. En France, des initiatives se mettent en place multiplient pour aider les migrants, notamment l’hébergement de ces derniers par des particuliers. Mais qu’en dit la loi ?

    Dans ce reportage, France 24 met en avant des militants pro-immigrationnistes tels que Cédric Herrou et présente également le site Infomigrants.net, qui vise à mieux favoriser l’installation de populations immigrées sur notre sol.

  • Douter de la vérité officielle n’est pas du complotisme

    Un flou terminologique dangereux.

    C’est Emmanuel Macron qui, par son discours lors de ses vœux à la presse, a mis la notion de fake news à la une de cette rentrée 2018 :

    On notera qu’il parle de « fausses nouvelles », une expression censée traduire fake news mais qui en conserve le caractère vague, imprécis et attrape-tout.

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