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Bistro Libertés avec Jean-Paul Brighelli / Jean Michel Blanquer : Réformateur ou enfumeur ?
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Crèches interdites, calvaires déboulonnés, croix démontées… Les laïcards en guerre contre l’héritage français
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La chaîne d’information RT France lancée en décembre, les médias du système s’inquiètent
RT sera lancée en France en décembre et les médias du système rivalisent déjà d’injures et de sous-entendus pour tenter d’en contrecarrer les effets qui ajouteraient encore plus de crise dans la situation déjà pas reluisante de la presse française. Avertir les Fraudes, intimider les clients et se lier entre concurrents pour chasser le nouveau venu, ce qui fonctionne dans une guerre des boulangers à Rouillac peut aussi marcher dans les grands médias.
Elle « sent le souffre » pour La Tribune, est un « organe d’influence » pour Macron – alors simple candidat à la présidence – un moyen de « manipuler l’opinion » pour Les Inrocks qui y ont consacré un dossier titré « Poutine vous mate » – « critiquée pour sa couverture pro-russe de l’information » pour Ouest-France ou « outil d’influence russe » pour Le Monde, une chose est sûre, RT en France ne laisse personne indiffèrent. On aura vu la presse française bien plus prudente avec les grandes oreilles de la NSA ou la CIA dont un ancien agent achète à tour de bras des médias dans les Balkans, région toujours stratégique où la Russie conserve de forts appuis dans le peuple et où les médias sont néanmoins très suivis dans la société.
Financée à 100% par l’État russe, « RT est soupçonnée, au même titre que l’agence de presse en ligne Sputnik, d’être un instrument de propagande et une source d’informations mensongères (« fake news ») au service de la politique de Vladimir Poutine », insinue La Tribune. Des accusations qui ont un vieux fond puant qui laisse songeur : le même qui fleure bon l’accusation d’intelligence avec l’étranger, la cinquième colonne, le Maccarthysme.
Xenia Fedorova, qui dirige la chaîne après avoir géré l’agence de presse Ruptly – elle aussi dépendante des médias officiels russes – à Berlin répond aux accusations : « Nous sommes une chaîne russe financée par l’État, mais dans un groupe où les équipes sont internationales et composées de peu de Russes. Notre modèle économique et notre concept ne sont pas tellement différents celui de chaines d’information internationales comme BBC News ou France 24. Notre objectif est de couvrir les actualités locales, régionales et internationales qui touchent la France et le monde francophone, tout en mettant l’accent sur les aspects trop souvent négligés par nos confrères. »
RT, basée à Boulogne va recruter 150 personnes dont 50 journalistes et se centrer, comme les autres médias français, sur Paris. Pas de grands noms à priori, si on exclut des rumeurs sur Zemmour et Elkabbach. Elle veut capitaliser sur l’audience du site d’information, lancé depuis un an, qui a doublé depuis son lancement et qui est maintenant très lu, notamment par les personnes sympathisantes des partis de droite (UMP, FN, DLF, UDI etc…) et beaucoup de jeunes. La chaîne diffusera 24h/24 dont 10 heures de direct par jour et un journal chaque heure. Le budget sera de 20 millions d’euros et la chaîne devrait aussi être disponible sur les satellites Astra 19.2 et Eutelsat 5W.
RT existe déjà en anglais depuis 2005, en arabe depuis 2007, en espagnol depuis 2009 tandis que l’agence Ruptly a été lancée en 2013. Elle revendique 70 millions de téléspectateurs dans 38 pays. Le développement de RT s’est accompagné d’une forte hostilité des médias établis et même de certains gouvernements (Lettonie, Allemagne, Royaume-Uni), de pressions envers les journalistes, les directions, la diffusion de fausses informations dans la presse du système etc. dans un cadre qui relève d’une véritable « guerre froide de l’information ».
Au sein de l’équipe française, Jérôme Bonnet, cofondateur du journal satyrique Zelium, sera le rédacteur en chef adjoint en charge du digital, Nadia de Mourzitch, ancienne directrice adjointe des magazines de TF1, gérera les programmes avec Jean-Maurice Potier, ex-présentateur de JT sur LCI, Vincent Fazekas, consultant, est nommé directeur du marketing. Le comité d’éthique est composé de l’économiste Jacques Sapir et de l’ancien député Thierry Mariani, deux personnalités connues pour leur engagement pro-russe. Hélène Carrère d’Encausse s’est cependant désistée.
La chaîne a obtenu un conventionnement du CSA, bien obligé – rien dans ses règles ne lui permettait de le refuser : « nous ne sommes pas dans la logique d’un appel à candidatures pour l’octroi d’une fréquence hertzienne mais dans le seul champ de la liberté de communication », répondait Olivier Schrameck, son président, au Monde.
RT fait la critique radicale des médias du systèmeLoin de baisser les yeux, RT en France aggrave la jaunisse des médias établis en se livrant à une critique radicale de ceux-là. Dans les Inrocks, Xenia Fedorova répond aux accusations : « “Notre but est de donner aux audiences françaises des infos rapides, crédibles, et qui n’apportent pas un seul point de vue, qui présentent aussi l’autre partie de l’histoire (…) Offrir une perspective différente en somme, et en disant cela je ne parle pas de ce que les médias nomment “le point de vue russe” : c’est totalement faux.” »
Elle dénonce sur son site le parti pris des médias du système envers RT : « depuis quelques mois, je suis le témoin privilégié d’un phénomène que je n’aurais jamais cru possible dans le pays de Voltaire […] la campagne de dénigrement permanent dont est victime RT France dont le lancement n’a même pas encore eu lieu ! ». Pour elle, « ces accusations pourraient aisément être réfutées en à peine quelques minutes de recherche, ce que tout journaliste digne de ce nom devrait faire avant publication. Pourtant, dès lors qu’il est question de RT, il semble que ces élémentaires vérifications soient rarement, voire jamais effectuées, comme si les médias mainstream n’entendaient pas laisser les faits faire obstacle à leurs scénarios alarmistes pré-écrits ».
Elle dénonce le parti-pris des médias du système pour Macron, qui lui a refusé d’accréditer Sputnik et RT au motif que ces médias seraient des « agents d’influence » qui diffuseraient des contre-vérités à son égard… ou qui lui seraient opposés. Curieuse vision de la démocratie. « Durant cette année d’élection présidentielle, cette presse grand public, qui accuse RT de partialité, n’a pour l’essentiel produit qu’une gigantesque et concertée campagne de promotion pour le candidat de son choix, répétant à l’envi les éléments de langage forgés par ses équipes ».
Conclusion logique : « les médias mainstream ont avant tout tourné le dos à leurs responsabilités, cessé de faire leur travail. Ironie du sort : ces médias qui alertaient partout sur la nécessité impérieuse de lutter contre les fake news en sont devenus les principaux propagateurs ». Avec le lancement de RT en décembre, nombre de gens dans les rédactions du système vont pouvoir se faire des cheveux blancs. Le monopole de l’information, déjà ébréché par les médias de réinformation sur internet, est en train de s’effondrer. Comme en 1989, le Mur tombe. Mais plus à Berlin, à Paris.
Texte repris du site de l’Ojim
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Manifestation contre une prière musulmane dans la rue : la presse dénonce... les élus
Entre Le Parisien et Le Lab c'est un festival :
A Clichy aujourd'hui, des élus ont manifesté et chanté la Marseillaise devant la prière de rue organisée par des musulmans. 3 conseillers régionaux d'Ile de France du FN se sont associés à cette manifestation menée notamment par Valérie Pécresse (LR) et Rémy Muzeau Maire de Clichy La Garenne.
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Sébastien Chenu (FN) reconnait l'héritage culturel de l'Eglise en France
Michel Janva
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I-Média#175 : Jeuxvidéo.com méga troll ou catharsis ?
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Impôts et totalitarisme
D'Anne Merlin-Chazelas :
"S’il est une faute morale qui semble impardonnable au microcosme politico-médiatique c’est bien, pour un contribuable effectivement imposé (C’est-à-dire, en France et par les temps qui courent, une personne qualifiée de « riche » sans l’être suffisamment pour aller établir ses pénates dans un pays moins spoliateur, ou une entreprise qualifiée de « grande » ou de « multinationale »), de souhaiter payer moins d’impôts. Et le plus grand crime possible c’est d’y parvenir en n’employant que des moyens légaux.
Afin de pouvoir poursuivre et condamner ces criminels aujourd’hui intouchables, il convient, évidemment, de modifier les législations pour que ces moyens légaux deviennent illégaux, notamment en transformant les pays qui pratiquent une politique fiscale plus modérée (c’est-à-dire presque tous) en « paradis fiscaux » sanctionnés dès lors qu’ils accueillent de tels criminels.
Aucun des scribouillards et des bredouillants qui peuplent les médias en diffusant cette doxa ne songe que, s’il n’y avait pas d’enfers fiscaux, il n’y aurait pas de paradis fiscaux.
Aucun non plus ne s’interroge sur la nature et la légitimité de l’impôt : à leurs yeux, tout impôt, dès lors qu’il est décidé par le pouvoir en place, est légitime.
Ce n’est pourtant pas ce que pensent la plupart des philosophes et des économistes.
En effet, pour qu’un impôt soit légitime, il faut
- Que les contribuables aient réellement besoin des services qui sont financés par l’impôt et que, en ayant conscience, ils y consentent.
- Que l’impôt soit réparti équitablement, au prorata de l’utilisation qui est faite des services rendus.
Or c’est loin d’être le cas dans la majorité des pays et ce ne l’est certainement pas en France.
Jamais les contribuables ne sont consultés pour s’assurer de leur consentement à l’impôt qui leur est prélevé, pas même par l’intermédiaire de leurs représentants élus : d’une part ceux-ci se voient dans l’obligation de reconduire sans modification les « services votés » précédemment et qui concernent notamment les salaires des fonctionnaires et les frais de fonctionnement de l’État, soit grosso modo 80% du total ; en second lieu, ils ont tout intérêt à créer des dépenses nouvelles (et donc des impôts nouveaux pour les financer) au profit de telle ou telle partie de l’électorat qui assurera leur réélection.
Jamais non plus, depuis longtemps, il n’a été recherché quels étaient les services dont les habitants ont un réel besoin et qu’en conséquence ils consentiront à financer par l’impôt.
Pourtant, il existe – depuis des siècles – un consensus sur un point : ce dont les habitants (citoyens et étrangers domiciliés dans le pays) ont besoin, qu’ils souhaitent avant tout et que seul l’État peut leur assurer : c’est d’une part la sécurité intérieure (par prévention et punition des comportements délinquants et criminels) et extérieure (par l’existence de moyens de défense suffisants contre tout autre État ou organisation qui voudrait s’en emparer), et d’autre part la justice, assurant par un contrôle a posteriori que les forts n’abusent pas des faibles.
Les contribuables qui se déroberaient au paiement de l’impôt destiné à financer les moyens de défense contre l’insécurité intérieure et extérieure et ceux de la justice, ainsi que le fonctionnement des rouages essentiels de l’État, seraient évidemment coupables.
En revanche, les contribuables sont en droit de ne pas accepter que l’État use de l’impôt comme d’un moyen d’imposer l’idéologie régnant au sein de la majorité politique ou l’idée que se fait le pouvoir en place du bien des habitants, qu’il s’agisse de « réduire les inégalités », de favoriser la « diversité » ethnique, linguistique ou religieuse, d’améliorer la santé publique, d’éduquer les enfants, etc. … Ils peuvent consentir à ce que l’État organise et finance, au moyen de leurs impôts, telle ou telle partie d’un programme annoncé par le pouvoir exécutif en place, mais l’État ne peut légitimement l’imposer du seul fait qu’il en a le pouvoir.
D’autre part, la répartition de l’impôt doit être équitable et correspondre, peu ou prou, aux services rendus par l’État. Rien, si ce n’est la volonté d’imposer la volonté du pouvoir en place de « réduire les inégalités », ne peut justifier qu’il soit progressif, même si l’équité exige que les plus pauvres (Mais rien ne justifie non plus que ceux-ci représentent plus de la moitié des habitants, faisant reposer l’impôt sur une minorité de contribuables. Les plus pauvres, ce sont évidemment ceux qui, trop âgés ou trop jeunes, personnes seules ayant la charge de petits enfants, malades, infirmes, etc. ne peuvent subvenir à leurs besoins par leur travail et aussi ceux qui en tirent des ressources insuffisantes, et non les bénéficiaires d’une assistance aveugle) soient exemptés de verser leur quote-part et que celle-ci, par le fait même, soit répartie sur les plus aisés. Inutile de rappeler que cette règle n’est plus respectée depuis un bon siècle par les gouvernements successifs.
Le « politiquement correct » de la classe politico-médiatique conduit, de fait, à un totalitarisme où ceux qui ont réussi à obtenir le pouvoir imposent leur idéologie à une population à qui ils contestent même le droit de protester."
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LE RETOUR DES DJIHADISTES EST UNE HÉRÉSIE QUI POURRAIT NOUS COÛTER CHER
Sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles.
Imaginons un instant que Salah Abdeslam soit jugé en Arabie saoudite ou en Afghanistan. Admettrions-nous cette aberration sans broncher ? Sans doute pas. Aussi, cette question de plus en plus prégnante du retour des djihadistes sur le sol national n’a pas lieu d’être : ils doivent être jugés dans les pays où ils ont commis leurs atrocités, à savoir la Syrie et l’Irak ; peu importe le sort qui leur sera réservé.
« Interrogé à ce sujet par France 2 mercredi 8 novembre, puis par des journalistes lors d’une conférence de presse ce jeudi 9 novembre à Dubaï (Émirats arabes unis) sur [leur] sort » (Valeurs actuelles), Emmanuel Macron a eu une réponse pour le moins laconique : « Il y en a qui peuvent revenir sans qu’ils soient rapatriés, il y en a qui peuvent être rapatriés, et il y en a qui seront jugés avec leurs familles, dans certaines circonstances, dans les pays où ils sont, en particulier l’Irak. »
Quant aux femmes – nombre d’entre elles ayant volontairement rejoint les rangs de Daech – et leur progéniture, chaque situation sera examinée « au cas par cas en fonction de la situation », a encore déclaré le Président français, ajoutant que « tout ce qui a été commis fera l’objet d’un jugement », nettement plus clément chez nous, où la peine de mort est abolie.
L’autre avantage, pour les djihadistes combattants qui ont – et auront, d’ici là – réussi à rentrer en France, c’est que notre pays n’extrade pas ses ressortissants. D’où, certainement, le vœu de ces fanatiques – entraînés à se battre et à haïr notre mode de vie occidental – d’être jugés par des tribunaux français car, au bout du chemin, ce sera la perpétuité toute relative, dans le pire des cas, et l’assurance d’être traités avec humanité dans les prisons françaises.
Mais ça, c’est en théorie puisque, « selon les chiffres du gouvernement datant de fin octobre, tous les djihadistes revenus en France n’auraient pas été mis en prison » (op. cit.). Pire : sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles. Et là, on ne parle pas de ceux qui pourraient être rapatriés ou qui seraient passés en dessous des radars des services concernés.
Ces « citoyens » ne vont certainement pas abandonner leurs convictions par magie et l’on peut craindre qu’ils exporteront le djihad ici-même, sans compter les disciples qu’ils rallieront à leur cause.
Dans ce cas précis, ne pourrait-on pas nous asseoir sur notre bienveillance niaise, remettre ces assassins de masse aux autorités irakiennes et syriennes et les abandonner à leur sort ?
En ce qui concerne les enfants (une fois n’est pas coutume), j’abonde dans le sens d’Emmanuel Macron : « Ils font l’objet, d’ores et déjà pour ceux qui sont revenus et ceux qui reviendront, d’une procédure toute particulière et d’un suivi très particulier, en particulier sur le plan médical et psychiatrique. » À condition que leur garde soit définitivement retirée à des parents aussi mortifères.
http://www.bvoltaire.fr/retour-djihadistes-heresie-pourrait-couter-cher/
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« STOP AUX PRIÈRES DE RUE » À CLICHY : UNE CENTAINE D’ÉLUS D’ÎLE-DE-FRANCE VENT DEBOUT !
Cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations.
Vendredi, pour les musulmans, est jour de prière à la mosquée ou à la maison.
Et parfois dans la rue, à même le macadam ou le pavé, comme c’est le cas depuis mars à Clichy-la-Garenne, banlieue parisienne qui jouxte la capitale. Bien qu’ayant à leur disposition une grande mosquée, rue des Pavillons pour être précis, quelques centaines de musulmans font de la résistance, refusant la mosquée de Clichy, pour occuper une rue face à la mairie de Clichy et y proclamer leur foi par haut-parleurs interposés.
Nuisance sonore, difficultés pour circuler… On peut comprendre l’exaspération des habitants. Comment ne pas voir une laïcité à sens unique ? Le Conseil d’État oblige la mairie de Ploërmel à abattre la croix qui domine la statue de saint Jean-Paul II, vient de refuser à Robert Ménard l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie de Béziers et reste silencieux aux appels du maire de Clichy outré de cette entorse sonore, visible et bien peu respectueuse de la laïcité.
Le préfet du 92 est même allé plus loin, en encadrant de policiers – et donc en officialisant tacitement – cette prière dite de rue, qui n’est d’ailleurs pas unique sur le sol français. Cette pratique a déjà été vue dans nombre de grandes villes.
Mais, au fait, pourquoi le maire avait-il fait fermer la mosquée An-Nour ? Pour cause d’insalubrité et parce que la mairie voulait récupérer ce local pour en faire une médiathèque pour le bien commun de tous les citoyens. Le maire Rémi Muzeau avait hérité de la précédente municipalité socialiste cette « grande mosquée de Clichy » avec qui avait été signé, par l’intermédiaire de l’association musulmane UAMC, un bail précaire auquel il a mis fin à l’échéance.
L’UAMC avait protesté en affirmant que le maire leur avait promis la construction d’une mosquée ; promesse tenue, puisqu’il a inauguré la mosquée des Trois-Pavillons tenue par une autre association cultuelle musulmane. Querelle de minaret ? Peut-être, mais parce que les habitués de la mosquée évacuée en mars dernier trouvent la mosquée trop éloignée du centre-ville, ils se rebellent donc à coups de prières de rue. C’est pour protester contre cette bataille de rue qu’une centaine d’élus de la région parisienne avec, à leur tête, Valérie Pécresse sont venus défier les prieurs en chantant quelques « Marseillaise » pour couvrir les haut-parleurs musulmans et de nombreux Allaouh Akbar qui leur étaient adressés.
Derrière la banderole « Stop aux prières de rue », ces élus conduits par Valérie Pécresse, auxquels s’étaient joints quelques centaines de protestataires, n’ont pas réussi à faire stopper l’iman prêcheur. Mais cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations qui, au travers de la religion, n’ont qu’une idée en tête : s’imposer dans la rue. Il semblerait que le succès de cette protestation improvisée soit un premier pas visant à forcer le timide ministre de l’Intérieur à réagir. Mais les journalistes de BFM TV – qui s’en étonnera ? – avaient une tout autre version de cette manifestation.
http://www.bvoltaire.fr/stop-aux-prieres-de-rue-a-clichy-centaine-delus-dile-de-france-vent-debout/
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Bistro Libertés avec Jean-Paul Brighelli / Jean Michel Blanquer : Réformateur ou enfumeur ?