Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1212

  • A-t-on le droit de falsifier l’Histoire en niant les faits ?

    Il est courant, dans la sphère de la bien-pensance, de refaire l’Histoire à sa convenance.

    On se souvient que, dans son roman 1984, Orwell décrit une société totalitaire où les archives sont manipulées par le régime en place pour forger la réalité officielle. Le Commissariat aux Archives travaille ainsi en collaboration avec le ministère de la Vérité pour qu’il n’y ait jamais de discordance entre les faits et la pensée de Big Brother.

    Sans aller jusqu’à ces extrémités, c’est une détestable habitude, chez les bien-pensants de notre époque, que de chercher à imposer leur opinion, non par une argumentation rigoureuse, mais au mépris de la vérité, qu’ils déforment ou passent sous silence.

    Je n’ai jamais éprouvé une sympathie immodérée pour Roselyne Bachelot, depuis sa calamiteuse gestion de l’épidémie de grippe H1N1 et sa reconversion comme chroniqueuse sur une chaîne de télévision privée. Mais l’une de ses interventions dans l’émission « C dans l’air » consacrée, vendredi soir, à Simone Veil m’a fait penser à cette tyrannie intellectuelle.
    Cinquante-deux minutes et trente secondes après le début de l’émission, Bruce Toussaint, évoquant les prises de position de l’ancien ministre de la Santé, lance timidement : « La Manif pour tous, par exemple… »

    L’air irrité, Roselyne Bachelot, le coupe :

    « Je ne veux pas en parler. Simone Veil était déjà très, très affectée au moment où elle est descendue sur le bord du trottoir pour la Manif pour tous. Je considère comme nulle et non avenue cette manifestation. »

    Et le journaliste de ne pas insister et de passer à une autre question.

    Ainsi donc, Roselyne Bachelot nie la réalité quand elle ne l’arrange pas. Se sentirait-elle, en prenant de l’âge, quelque attirance pour Big Brother et ses méthodes ? Si Simone Veil est venue saluer la manifestation – elle ne peut le nier puisque des photos ont été publiées –, c’est forcément parce qu’elle était gâteuse ! Et, sans doute, son mari avait-il lui aussi perdu la tête, puisqu’il n’a pas su la raisonner et l’accompagnait, tenant à la main un drapeau de la Manif pour tous ?

    Notre chroniqueuse, que ne dirait-elle pas de Lionel Jospin ou de Sylviane Agacinski, qui ont osé – ces factieux, ces déviants ! – émettre de fortes réserves sur la loi Taubira ? Sont-ce des dégénérés mentaux qu’il faudrait interner dans un établissement psychiatrique ? L’ancien Premier ministre n’a-t-il pas déclaré sur le plateau de Canal+ : « Ce que je pense, c’est que l’idée fondamentale doit rester, pour le mariage, pour les couples et pour la vie en général, que l’humanité est structurée entre hommes et femmes » ? Il ne connaît même pas les théories du genre, ce vieux schnock !

    Rien n’est plus malhonnête intellectuellement que de falsifier ainsi l’Histoire. Ceux qui se livrent à cet exercice ne s’honorent guère. Ils veulent imposer leur vérité au lieu de chercher à comprendre et à expliquer la complexité de chaque être. Le mensonge ou l’omission ont la prétention de définir le bien et le mal.

    Malheureusement, il est courant, dans la sphère de la bien-pensance, d’user de tels procédés pour refaire l’Histoire à sa convenance. Chacun pourra en trouver des exemples dans le passé. Ainsi se forment des légendes qui sont autant une offense à la vérité qu’aux personnes qui en font l’objet.

    D’où la nécessité de toujours aiguiser son esprit critique et de ne pas prendre pour argent comptant tout ce que racontent les médias, voire des historiens qui ont oublié les règles de leur métier et se laissent subjuguer par leurs passions et leur certitude d’avoir raison.

    http://www.bvoltaire.fr/a-t-on-droit-de-falsifier-lhistoire-niant-faits/

  • COMMENT LA GAUCHE DEFORME LA REALITE : LE CAS SIMONE VEIL

  • Les féministes nous emm…, disons : nous ennuient

    Bernard Plouvier

    C’est la dernière stupidité de la presse parisienne mondialo-dévouée : Trump serait sexiste pour avoir dit à une femme qu’elle avait un joli sourire ! Il faut n’avoir jamais mis les pieds dans une salle remplie de femmes à la langue vipérine pour croire en l’unilatéralité des dits propos sexistes.

    Reconnaissons simplement que rares sont les cas où une femme enragée agresse un mâle, alors que les agressions de mâle en rut sur des passantes sont devenues monnaie courante en Europe, et cela ne s'est pas arrangé depuis que l’on y a favorisé une invasion, entre autres, d’Africains, de Turcs et autres Proche-Orientaux… si la presse française n’évoque cette réalité que de loin en loin, à l’occasion de viols en grande série, la presse scandinave, la presse people britannique et, à un moindre degré, l’allemande publient des articles, de façon pluri-mensuelle, sur le sujet.

    Le mouvement féministe a exigé, et obtenu ce qui est plus grave, la parité en politique… et l’on constate quel foutoir fut la France du non-regretté Hollande, quelle ignominie règne en Allemagne chez la toquée de l’immigration-invasion jugée salutaire. Même en Grande-Bretagne, l’on commence à comprendre que Margaret Thatcher représentait un cas unique dans l’histoire contemporaine. Les hommes politiques sont suffisamment irrationnels pour qu’on ne les encourage pas dans cette voie avec la sensiblerie & la mauvaise foi féminines.

    Depuis 1968, nous avons pu constater les ravages du féminisme dans la société occidentale : diminution effarante des mariages stables et de la natalité autochtone, promotions indues des femelles arrivistes dans le milieu du travail.

    La femme occidentale se croit déshonorée si elle se veut mère de famille. Le résultat en est une effrayante baisse de la natalité dans la race blanche. Son corollaire – du fait des exigences des patrons de la grande distribution qui craignent par-dessus tout une baisse de la consommation intérieure – en est l’invasion de l’Occident par les rejetons innombrables des pays pauvres… et pauvres parce que peuplés de sous-doués, de sous-productifs, de sous-inventifs.

    Les couples stables sont devenus minoritaires, par incompatibilité d’ambitions. Madame veut dominer son mâle ! On aimerait savoir dans quelle espèce de mammifère l’on rencontre une telle éventualité. Nos modernes abeilles et mantes-religieuses changent de partenaire pour un oui ou, plus souvent, pour un non, et, se retrouvant solitaires la quarantaine venue, tâtent du mâle exotique… et reçoivent quelques raclées.

    Dans le monde du travail, l’accès des femmes aux postes dits de responsabilité – en gros depuis les années 1980 – s’est traduit par deux phénomènes connexes : la réunionite et la collégialité.

    C’est logique : la femme adore papoter et considère que causer, c’est aussi travailler. En outre, soumise à son irrationnalité, ses doutes et ses problèmes hormonaux, elle déteste assumer les conséquences de ses choix et de ses décisions, d’où la multiplication des « groupes de travail », où l’on peut aisément piquer des idées aux subordonnés et diluer, par la collégialité, la prise de décision… en médecine hospitalière, cette « révolution » a fait des ravages et continue de le faire !

    La femme chef de quelque chose est un animal redoutable. Ses choix personnels sont toujours teintés de favoritisme, de sensiblerie, voire d’une touche de perversité – dans le registre sadique, cela va sans dire. Encline aux manœuvres tortueuses et fort peu sensible au respect du règlement, voire des lois, la femelle-chef est une adepte de la très italienne Combinazzione, ce qui permet de faire une grande carrière dans l’administration, mais n’a jamais résolu le moindre problème.

    Le XXIe siècle globalo-mondialiste, dominé par l’hédonisme et le tout à l’ego, où le fric et son étalage sont les valeurs dominantes, est un fruit pourri de la spéculation, c’est bien connu. Mais c’est également un sous-produit du féminisme. Il n’est pas mauvais de le faire remarquer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Simone Veil ne considérait pas l’avortement comme un droit

    simone_veil_manif_pour_tous.jpg

    Le plus grand hommage qu’on puisse rendre à Simone Veil, c’est de ne pas la réduire, en bien ou en mal, à l’image qu’on veut en donner.

    L’on apprend que Simone Veil est décédée à l’âge de 89 ans. De sa carrière, on retient surtout la loi du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de grossesse. Les médias et les mouvements féministes rendent hommage à cette femme pour avoir su, malgré tous les obstacles, faire adopter ce qu’on allait désormais appeler la loi Veil.

    Ils omettent, en revanche, de rappeler qu’elle a manifesté son hostilité au mariage pour tous et, notamment, aux bouleversements qu’il introduit dans la filiation. Le 14 janvier 2013, l’ancien ministre de la Santé, accompagné de son époux, est descendue saluer les manifestants qui passaient devant son domicile. BFM TV les montre, tous les deux au milieu du cortège, un drapeau de la Manif pour tous à la main.

    Inutile de préciser que les partisans de la loi Taubira et les lobbies LGBT l’ont accusée de se tromper de combat. Qu’allait-elle faire avec ces réacs et ces fachos ? C’est tout juste s’ils ne lui ont pas appliqué l’excuse de sénilité. Pourtant, à y regarder de près, il n’y a guère de contradiction.

    Il faut relire le discours qu’elle prononça devant l’Assemblée nationale, le 26 novembre 1974, face à une Assemblée presque exclusivement composée d’hommes.

    Elle défend, certes, la dépénalisation de l’avortement, mais souligne, à plusieurs reprises, que cet acte n’est pas ordinaire. 

    Elle insiste sur son caractère exceptionnel : « Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. » Elle souhaite que ce recours soit contrôlé et qu’on puisse, si possible, « en dissuader la femme ».

    Elle demande qu’un « délai de réflexion de huit jours » soit imposé « pour faire prendre conscience à la femme de ce qu’il ne s’agit pas d’un acte normal ou banal, mais d’une décision grave qui ne peut être prise sans en avoir pesé les conséquences et qu’il convient d’éviter à tout prix », ajoutant que « personne n’a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l’avortement soit un échec quand il n’est pas un drame ».

    Quand, le 26 novembre 2014, l’Assemblée nationale vota une « résolution réaffirmant le droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse en France et en Europe », elle oublia que Simone Veil avait précisément déclaré à propos de sa loi : « Si elle n’interdit plus, elle ne crée aucun droit à l’avortement. »

    Ce serait lui faire injure que d’estimer que ces réserves furent de circonstance, qu’elle n’en pensait pas un mot, qu’elles n’avaient pour objectif que d’abuser l’opinion et de faire passer sa loi. Simone Veil ne niait pas les problèmes éthiques posés par l’avortement et dressait des bornes pour qu’il ne soit pas banalisé. Peut-être a-t-elle fait preuve de naïveté en croyant que ses successeurs auraient les mêmes scrupules.

    On sait ce qu’il en advint. Au nom de la liberté et de l’égalité, les gouvernements successifs se sont progressivement écartés de ses intentions. La loi de 1982 a introduit le remboursement, celle de 1993 a créé un délit d’entrave à l’IVG, celle de 2001 a porté le délai légal de 10 à 12 semaines de grossesse… Enfin, la loi égalité hommes/femmes de 2014 a supprimé la notion de « situation de détresse » et, en février 2016, le Parlement a étendu le délit d’entrave à Internet.

    Le plus grand hommage qu’on puisse rendre à Simone Veil, c’est de ne pas la réduire, en bien ou en mal, à l’image qu’on veut en donner, encore moins de la récupérer pour son camp : c’est de la présenter dans toute sa vérité, qui est complexe. Laissons-la être elle-même, tout simplement.

    http://www.bvoltaire.fr/simone-veil-ne-considerait-lavortement-droit/

  • HelloAsso Hellofacho

    HelloAsso a supprimé la collecte de fond des Survivants mais soutient des associations qui organisent des avortements hors délais légaux. Cette vidéo vous propose quelques actions immédiates et faciles pour ne pas rester passif face à cette injustice. Pour les donateurs de la campagne, vous avez été remboursé. Merci d’effectuer à nouveau votre don sur ce lien : https://lessurvivants.com/produit/don/

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Elections 2017 : l’année des dupes, par Michel Geoffroy

    L’horoscope chinois a placé l’année 2017 sous le signe du coq. Mais, politiquement, elle restera surtout dans les mémoires françaises comme l’année des dupes, celle où l’on a dupé les électeurs.

    La duperie des primaires

    Il y a d’abord eu les dupes des primaires, de droite comme de gauche. Des milliers de dupes se sont ainsi passionnés pour cet exercice, pensant sans doute qu’ils se trouvaient aux Etats-Unis pour élire le futur président : ils ont même payé pour cela !

    Résultat : aucun des candidats sélectionnés lors des primaires n’a accédé au second tour de la présidentielle ; ni François Fillon pour « la droite et le centre », ni Benoît Hamon pour le PS.

    Les primaires n’ont donc servi à rien, sinon à faire croire aux dupes qu’ils décideraient du sort des présidentielles, alors que la décision allait appartenir aux médias, aux instituts de sondages, aux banques et au parquet financier.

    Les dupes de droite, toujours cocus mais encore fidèles

    Il y a eu, bien sûr, aussi les dupes de « la droite et du centre ».

    Ceux-là ont en effet l’habitude, depuis 1986, de voter régulièrement pour des candidats qui font le contraire de ce qu’ils promettent et qui s’alignent en tout sur la gauche. Mais cela ne décourage pas ces électeurs, grands lecteurs du Figaro et… fidèlement cocus, en quelque sorte.

    En 2017 ces dupes ont donc voté pour François Fillon qui a réussi la performance de perdre l’élection imperdable. Ils ont aussi voté aux législatives pour des candidats Les Républicains qui, à l’instar de ce même François Fillon, s’empressent ensuite de rallier Emmanuel Macron.

    Des Républicains qui ont donc bien fait marcher, une fois encore, les dupes de droite !

    Les dupes de la France insoumise

    Les dupes de gauche, déçus par le catastrophique François Hollande et par le petit Benoît Hamon, ont décidé de voter pour La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, habile tribun et clone du défunt Parti communiste. Comme le chantait Charles Aznavour, il s’y voyait déjà… le Jean-Luc. Las, lui et son hologramme ont été éliminés au premier tour des présidentielles. Le tribun n’en revenait pas et, depuis, il boude !

    Mais au moins ses électeurs ont eu la consolation de le voir, avec ses députés, lever le poing lors de leur entrée à l’Assemblée. Une odeur de révolution au son de l’Internationale ? Non : une odeur de naphtaline, mais sur fond de rap « nique la France ».

    Il y a eu maldonne : les dupes de Mélenchon entreront dans le XXIe siècle en marche arrière. Exit la gauche : le patronat peut dormir tranquille. Bravo les dupes de Mélenchon !

    Les dupes de Marine

    Plus de 10 millions d’électeurs ont voté pour Marine Le Pen lors de la présidentielle, malgré sa performance catastrophique lors du débat avec Emmanuel Macron le 3 mai. Manifestement, ils n’avaient pas regardé l’émission. 10 millions d’électeurs mus par la perspective exaltante de pouvoir « bientôt acheter leur baguette avec des francs », comme le promettait Florian Philippot ? Ou bien 10 millions de personnes qui voulaient moins d’immigration, moins d’attentats, moins d’islamisation et moins de chômage ? Mais on se demande si Marine avait vraiment ces priorités en tête, pour s’enferrer dans sa promesse anxiogène de sortie de l’euro et dans sa tentative, inutile, de séduire l’électorat de Jean-Luc Mélenchon.

    Résultat : malgré une conjoncture politique exceptionnelle du fait de l’élimination du PS et de l’implosion de la droite, Marine Le Pen, la candidate du « premier parti de France » a perdu la présidentielle en faisant élire Emmanuel Macron, et son rassemblement ne pourra pas constituer de groupe parlementaire à l’Assemblée.

    On peut difficilement présenter, dans ces conditions, le vote FN comme un vote utile !

    Les dupes de Macron

    Mais le grand vainqueur toutes catégories de cette année des dupes reste sans conteste Emmanuel Macron. Son élection et celle de ses partisans reposent sur une triple duperie en effet :

    – une duperie médiatiqued’abord, puisque pour la première fois dans notre histoire politique, l’ensemble des médias se sont faits les zélés propagandistes, sur tous les tons, d’un seul et unique candidat : Emmanuel Macron. Un candidat qui n’avait pourtant pas de programme mais que les médias ont promu par la magie de la communication de masse, comme n’importe quel produit publicitaire. Les Français attendaient un homme d’Etat : dommage, les médias leur ont vendu un communiquant !

    – une duperie institutionnelle ensuite, puisqu’En Marche et son candidat ne tiennent leur élection que de l’abstention massive et du système électoral majoritaire : lors de la présidentielle, Emmanuel Macron n’a rassemblé que 47% des inscrits et lors des législatives le taux d’abstention a dépassé les 50% (1). Or dans l’esprit des institutions de 1958, le système électoral vise à permettre à une majorité de gouverner : il ne vise pas à constituer de toute pièce une majorité artificielle coupée du corps électoral ;

    – une duperie politique enfin, puisqu’Emmanuel Macron incarnait le candidat de la France d’en haut – celle des winners comme Pierre Bergé et Bernard Arnault (2) – contre la France d’en bas, et non pas celui du renouveau national.

    « Ni de gauche ni de droite », Macron ? Les dupes n’ont pas compris qu’avec lui ils auraient à la fois (3) les travers de la gauche et de la droite et les politiciens qui vont avec. Car Emmanuel Macron représentait l’anticorps sécrété par le Système pour empêcher qu’on ne change le Système.

    Les dupes qui ont voté pour le candidat d’En Marche et ses députés-chèvres (4) ont suivi le Joueur de flûte de Hamelin. Ils vont bientôt déchanter d’autant que le communiquant présidentiel cache une personnalité autoritaire sous un sourire… médiatique. Bien fait pour eux, mais dommage que les abstentionnistes lui aient donné tous les pouvoirs !

    Question pour conclure : Quand nos concitoyens cesseront-ils de se montrer médiatiquement et électoralement dupes ?

    Michel Geoffroy

    Texte repris du site de Polémia

    Notes :

    1. 81 % chez les Français de l’étranger.
    2. Lire notamment sa tribune dans Les Echos du 5 mai 2017.
    3. Emmanuel Macron aime dire en même temps.
    4. « Aujourd’hui, une chèvre avec une étiquette Macron a de bonnes chances d’être élue », BFMTV.fr du 6/6/2017.

    https://fr.novopress.info/

     
  • Après le Mariage pour tous, voici l’Enfant pour tous

    De Ivan Rioufol :

    "L’avis du Comité consultatif national d’éthique, favorable à l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes et non plus aux seuls couples hétérosexuels stériles, a été annoncé mardi. Dimanche dernier, la Gay Pride parisienne avait fait de cette reconnaissance son mot d’ordre politique, au nom de l’égalitarisme et de la non-discrimination. S’inclinant devant cette procession foutraque et vulgaire désormais institutionnalisée, Emmanuel Macron avait salué par tweet "la France arc-en-ciel. Nous sommes riches de nos diversités, soyons-en fiers ! #MarcheDesFiertes #LoveisLove". Peu auparavant, la mairie de Paris avait fait savoir qu’elle entendait être "la ville phare de l’inclusion et de la diversité". L’élu parisien Jean-Luc Romero, à la pointe du militantisme homosexuel, avait rappelé que "Paris, ville des droits de l’Homme", était déjà "LGBTIQ-friendly", c’est-à-dire copine avec les homos, les lesbiennes, les transsexuels et autres. La capitale recevra d’ailleurs les Gay Games en 2018. Elle compte aussi développer le tourisme homosexuel. Ce vendredi, le Bundestag allemand devrait pour sa part légaliser à son tour le mariage homosexuel, accusant un net retard dans la "modernité" revendiquée par les minorités sexuelles. Elles sont prêtes à brandir l’homophobie en riposte à la moindre critique, comme les exaltés islamistes le font en utilisant l’islamophobie pour clouer le bec.

    Observer le Comité d’éthique emboiter le pas de la Gay Pride en lui offrant ce qu’elle réclamait deux jours auparavant dans les rues de Paris n’est peut-être qu’un hasard de calendrier. Cette concordance des temps souligne néanmoins la puissance acquise par le militantisme gay, capable d’embrigader de fins esprits au nom d’idéologies saugrenues. L’obsession de la non-discrimination, qui est à la base des exigences des minorités sexuelles ou religieuses, est une instrumentalisation des droits de l’Homme qui les dénature. Elle en vient, ici, à ignorer les droits de l’Enfant. La Croix de ce mercredi rappelle que la Convention internationale des droits de l’Enfant, ratifiée par la France, prévoit (article 7) que l’enfant a "dans la mesure du possible le droit de connaître ses parents". Ce droit lui est enlevé dans le cas de PMA sans père puisque le donneur reste anonyme. A cette première possible violence existentielle imposé par des femmes ou couples de femmes n’écoutant que leurs désirs s’ajoute cette autre violence consistant à supprimer la place du père dans la conception et l’éducation de l’enfant. Ce droit à l’enfant, vers quoi ouvre en fait l’avis du Comité d‘éthique, est une porte ouverte à la marchandisation des fœtus, des grossesses, des naissances. Au nom d’une non-discrimination absurde (la femme et l’homme sont dissemblables par nature), le pouvoir gay se montre dans sa dangereuse tyrannie. Macron, qui dit vouloir une société apaisée, osera-t-il y résister ?"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/06/apr%C3%A8s-le-mariage-pour-tous-voici-lenfant-pour-tous.html

  • Le joueur de flûte Macron n’évitera pas les faillites en chaîne des banques italiennes !

    Marc Rousset

    Selon la BRI (Banque des règlements internationaux), en 2016, les banques internationales, et plus particulièrement allemandes, ont réduit leur exposition à l’Italie de 15 %, soit pour plus de 100 milliards de dollars. De son côté, la BCE (Banque centrale européenne) a réduit ses achats de dette européenne, passant de 80 à 60 milliards d’euros par mois. Si l’appétit pour la dette italienne tombe, les taux obligataires italiens vont grimper. Les seuls acteurs du marché semblant vouloir encore acheter sont les banques italiennes. Il en est de même, à un moindre degré, de la dette française qui a été vendue ces derniers temps par les banques asiatiques et rachetée essentiellement par la BCE.

    La détention d’obligations italiennes par les banques locales s’élève désormais à 235 milliards d’euros. Lorsque les taux d’intérêt de ces actifs commenceront à monter, ces banques, qui dans leur grande majorité sont déjà au bord de l’insolvabilité, devront encaisser de nouvelles pertes.

    Le sauvetage de la banque la plus insolvable d’Italie, Monte dei Paschi di Siena, qui avait annoncé des pertes trimestrielles de 169 millions d’euros, continue avec des fonds publics italiens.

    Le sauvetage de Banca Popolare di Vicenza et de Veneto Banca vient juste de commencer. Le gouvernement italien s’apprête à les sauver grâce à l’aide du groupe Intesa Sanpaolo et d’un autre investissement public d’environ 10 milliards d’euros. Lorsque l’on sait que les créances douteuses, soit 16 % des actifs des banques italiennes, s’élèvent à plus de 360 milliards d’euros, il y a de quoi s’inquiéter.

    Après des discussions avec les autorités européennes il a été décidé que la liquidation des deux banques serait menée en Italie sans respecter le mécanisme européen, afin de permettre l’intervention du gouvernement italien. Ce dernier devrait prendre à sa charge non seulement les crédits détériorés, mais aussi le départ de 4.000 personnes, dont certaines au sein de la banque acheteuse Intesa Sanpaolo pour un euro symbolique. La recapitalisation par l’État italien s’élèvera à 6,6 milliards d’euros.

    Ce sauvetage italien n’est pas sans nous rappeler le rachat beaucoup moins avantageux en Espagne de Banco Popular par la banque cantabrique Santander, qui avait dû provisionner en plus 7,9 milliards d’euros afin de couvrir le passif irrécouvrable de Popular et trouver 7 milliards d’euros pour apurer son bilan.

    Les Français ont donc du souci à se faire, d’autant plus que, selon Goldman Sachs, sur les 54.000 milliards de dollars d’obligations (souveraines et privées) échangeables dans le monde, les banques centrales en détiennent 18 000 milliards, soit exactement un tiers. Elles sont donc même passées devant les « hedge funds », incarnation médiatique du capitalisme sans foi ni loi.

    La présidence du joueur de flûte Macron échouera donc et se finira très mal sans doute, même avant terme, pour au moins l’une des deux raisons suivantes : la crise économique et le krach financier à venir en France, en Europe et dans le monde, une soudaine et imprévisible explosion thymotique populaire possible, si l’on s’en tient aux prédictions et à la mise en garde de Peter Sloterdijk. Explosion populaire en réaction à l’insécurité de plus en plus inacceptable des populations européennes, du fait du terrorisme islamiste, la cause première étant la folle politique tous azimuts de fuite en avant européenne aussi irréaliste qu’irresponsable, qui se refuse à faire face à l’invasion migratoire…

    Source Boulevard Voltaire cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Bouches d’incendie : la racaille inonde les rues, par Caroline Parmentier

    Racaille-inonde.jpg

    Un millier « d’ouvertures sauvages » de bouches d’incendie en région parisienne le week-end dernier dont 500 rien qu’en Seine-Saint-Denis. La lâcheté médiatique et politique quant à la dénonciation et la répression de ces mœurs de cité atteint des sommets.

    Racaille-inonde-2-264x350.jpgY aurait-il une religion plus forte que la nouvelle religion ? A longueur de journée on nous serine qu’il est criminel de prendre des bains plutôt que des douches, que laisser couler l’eau quand vous vous lavez les dents fait de vous une ordure, que les agriculteurs qui ne se rationnent pas sont des fumiers, que bientôt la planète va manquer d’eau et qu’il ne faudra pas s’étonner de la migration climatique de millions de crève-la-soif et là, curieusement, moderato. Pas d’anathème, pas de blâme et surtout pas d’amalgame, on marche sur des œufs. C’est vrai qu’à bien regarder les photos comme celles que publient les sites alternatifs et les réseaux sociaux, on distingue très nettement des adultes en tenue islamique et mode pudique aux côtés de « jeunes » en short Nike qui font trempette dans les rues après avoir vandalisé les bouches d’incendie.

    Ça coûte des millions (800 000 euros pour une seule journée, l’équivalent de 60 piscines olympiques jetées dans le caniveau, des dizaines de caves et de parkings inondés) et c’est dangereux : risques d’électrocutions, de blessures dues à la pression de l’eau, d’accidents de voitures ou de tramway mais également de pénuries d’eau pour les pompiers évidemment, qui se trouveront dans l’impossibilité d’éteindre un incendie s’il se présente. Mais bon c’est comme ça. Il fait chaud et c’est le ramadan. C’est devenu une fatalité de plus dans nos rues envahies.

    A Asnières-sur-Seine jeudi, les policiers débordés ont été caillassés après qu’une énième bouche d’incendie a été forcée. Lorsqu’ils sont intervenus pour sécuriser le geyser afin que les techniciens de Veolia puissent fermer la bouche, une cinquantaine de jeunes les ont bombardés de projectiles. Les forces de l’ordre ont dû utiliser des grenades lacrymogènes et un Flash-ball pour se dégager. L’un des employés Veolia est à l’hôpital.

    « Hier, un enfant était allongé au milieu de la route, en train de patauger », décrit le chef de cabinet de la mairie d’Aubervilliers. « Si une voiture passe et est aveuglée par le geyser, elle roule dessus. On va finir par avoir un mort, on est tous fébriles ici. »

    Les maires d’Aubervilliers, Saint-Denis, Stains, l’Ile Saint-Denis, La Courneuve et Pantin (93) en appellent à l’Etat. « L’Etat doit prendre ses responsabilités et nous déclarer en situation de catastrophe naturelle », exige Meriem Derkaoui, maire de Stains.

    Qu’ils adressent donc directement la facture d’eau aux parents des racailles en question.

    Et à Emmanuel Macron qui nous avait fait la leçon à Sarcelles entre les deux tours :

    « Sarcelles, c’est une formidable leçon de ce qu’est la France ! Il y a des Français de toutes les couleurs, de toutes les religions, qui viennent de tous les pays du monde, et ils y vivent bien. Il y a des problèmes de sécurité, mais il y a des moments de convivialité. »

    On est en plein dedans !

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 24 juin 2017

    https://fr.novopress.info/page/3/