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lobby - Page 1228

  • Catalogne et Kosovo : le deux poids deux mesures de l’Union européenne

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est le président serbe Aleksandar Vucic qui pose la question : « Comment se fait‑il que, dans le cas de la Catalogne, le référendum d’indépendance ne soit pas validé par Bruxelles, mais qu’à ses yeux la sécession du Kosovo, pourtant organisée sans référendum, le soit ? » Le Kosovo, berceau et cœur historique du royaume de Serbie, avait été reconnu indépendant par l’Union européenne en 2008 alors qu’il n’avait fait l’objet d’aucun référendum. « C’est le meilleur exemple du deux poids deux mesures et de l’hypocrisie dans le domaine de la politique internationale », ajoute le président serbe Aleksandar Vucic.

    Les pays où des mouvements séparatistes agissent, comme l’Espagne, n’ont pas reconnu cette indépendance du Kosovo. La Grèce, la Tunisie, la Roumanie non plus. C’est également la position adoptée par la Russie, notamment parce qu’elle révèle l’ambivalence de la position occidentale dans le dossier de Crimée. « Nos partenaires occidentaux ont créé le précédent du Kosovo de leurs propres mains », déclarait Vladimir Poutine devant le Parlement russe, en 2014. Poutine avait alors estimé que la situation au Kosovo et en Crimée était « exactement la même », mais que la diplomatie occidentale, dans sa grande majorité, avait choisi de traiter les deux cas de manière différente et incohérente.

    https://fr.novopress.info/

  • Le FN dénonce le démantèlement continu de la politique familiale par Macron

    De Nicolas Bay, Vice-président du Front National, Député français au Parlement européen :

    "Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et la majorité parlementaire LREM ont fait connaître leur volonté de mettre fin à l’universalité des allocations familiales, déjà mise à mal par la précédente modulation durant le quinquennat Hollande, en les supprimant pour une partie des familles.

    On assiste au démantèlement continu de la politique familiale, alors que le concept de l’universalité des allocations familiales a toujours reposé sur le principe de cohésion nationale. Les allocations familiales visent à favoriser la natalité française, et ne doivent pas avoir pour but de combler le fossé entre aisés et moins aisés, d’où la distinction entre les prestations familiales et les prestations sociales.

    Plutôt que de poursuivre dans la voie d’une politique anti-famille, le gouvernement devrait tout faire pour relancer la natalité française, condition indispensable à la prospérité et à l’avenir de notre nation."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • POURQUOI VEULENT-ILS RÉFORMER LA FRANCE ? COMPRENDRE LEUR "PÉDAGOGIE DE LA RÉFORME"

  • Régionalisme ou continentalisme ?

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    Bernard Plouvier

    Lors de l’éclatement de l’Empire romain d’Occident, l’on a observé un retour aux organisations de petites, voire de très petites tailles. D’un immense État longtemps porteur de paix et de prospérité, on en revenait au village, à la cité, au maximum au comté.

    Faute de s’être défendus énergiquement contre l’envahisseur, les hommes d’Occident – qui ignoraient presque tous les réalités géographiques au-delà de l’horizon de leur plat pays, de leurs collines environnantes ou du cirque de montagnes les plus proches – se recroquevillaient en microsociétés, ce qui n’a jamais fourni que des microéconomies et une limitation considérable au progrès technique et social.

    En nos jours de déréliction politico-religieuse, où les clergés semblent aussi peu fiables que les magistrats, où le monde politique est globalement pourri et les media plus menteurs que jamais, où l’Europe est envahie d’allogènes dangereux, on comprend parfaitement que le repli régional paraisse une solution logique, surtout en zones restées fort homogènes quant à la population, telles la Catalogne, les Flandres ou l’Écosse. Ce faisant, l’on sacrifie au politiquement correct !

    En effet, nos maîtres nous interdisent de penser de façon raciale. Une loi de l’État macronien vient même de stipuler qu’il n’existe plus de race… on se demande ce qu’en peuvent penser divers « groupements humains » réputés à tort ou à raison pour leur racisme institutionnel.

    Pour les « bons Français », c’est devenu une obligation de ne plus se référer à la « race européenne ». Dont acte. Pensons donc, raisonnons en « ethnie européenne », dont les traits sont caractéristiques, alors que la couleur de peau n’est guère une référence fiable : le bronzage modifie la blancheur congénitale alors qu’un Africain albinos et de nombreux Chinois sont plus blancs qu’une majorité d’Européens s’exposant au soleil.

    En revanche, et n’en déplaise aux faiseurs de lois bizarres, un anthropologue reconnaît au premier coup d’œil un crâne d’Européen de celui d’un Asiatique, d’un Africain ou d’un Mélanésien, n’éprouvant de difficulté que devant un produit de ce métissage qui paraît à nos maîtres, financiers et négociants, une promesse d’avenir radieux : One world, one language (le basic english), one distribution… ça simplifie la vie et ça réduit les coûts de production.

    On comprend que confrontés à cette insupportable régression unitaire et uniforme, présentée comme « l’évolution inéluctable de l’humanité une et indivisible », les moins sots et les plus fiers des Européens réagissent de façon communautaire.

    Le problème est de ne pas se tromper sur la taille de la communauté. Il est évident que l’actuelle Europe Unie est une abjection, n’étant de fait qu’une Europe des économies (assez mal) unies… même pas capable d’harmoniser le coût social du travail et encore moins de protéger les citoyens des violences d’une immigration devenue invasion.

    Croit-on que la vie sera plus aisée, moins dangereuse, en se repliant sur une organisation provinciale de 3 à 10 millions d’habitants, alors que les maîtres du jeu planétaire peuvent mobiliser les forces d’un pays de 330 millions de citoyens (USA), d’un milliard (Péninsule indienne), voire d’1,3 ou 1,5 milliard (Chine) ? Certes, ces géants sont fort hétérogènes quant à leur population… et c’est excellent pour nous autres Européens, puisque cette diversité ethnique est un facteur d’implosion (ou d’explosion, comme on voudra), soit une bénédiction pour leurs ennemis.

    L’expérience quotidienne, comme les leçons de l’histoire, prouvent que « l’union fait la force », à condition de n’englober dans l’union que des communautés homogènes et de définir les droits et les devoirs de chacune d’entre elles.

    Après des millénaires de guerres fratricides, de luttes économiques ouvertes ou larvées, il serait souhaitable que les différentes Nations de « l’ethnie européenne » s’unissent en vue de se défendre et de travailler en commun, ne serait-ce que pour exploiter les richesses de notre continent. Il est évident que seuls les Européens de souche doivent prendre part à cette union, de même qu’il est évident que les richesses européennes ne doivent être exploitées que par des Européens.           

    Plutôt que de favoriser le repli régional, qui est un authentique appel à la conquête lancé aux grands prédateurs, il serait intelligent de raisonner enfin de façon continentale et d’envisager la création de l’Empire européen, étendu de l’Islande à Vladivostok. Ceci implique un divorce des Européens d’avec l’économie globale, d’avec la mondialisation de la propagande et de l’obéissance des soi-disant élus des peuples à la finance vagabonde.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

    Elisabeth-Lévy-600x311.jpg

    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT

    Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent“l’influence des réactionnaires” dans le débat public :

    “Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobesracistes qui oppriment et aliènent”.
    “Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.

    Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.

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    Michel Janva

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  • Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »

    04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :

    « Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !

    « On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.

    « Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »

    « Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !

    « Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »

    « Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »

    https://fr.novopress.info/207711/alba-ventura-sur-daniele-obono-on-est-entre-lideologie-la-provocation-et-la-betise/

  • Islamo-terrorisme : LR veut censurer l'information

    6a00d83451619c69e201bb09ca1e53970d-200wi.jpgBrigitte Kuster, député LR, a déposé une proposition de loi visant à interdire la diffusion du nom de famille et des images des terroristes dans les médias.

    Il ne faudrait en effet pas que les Français sachent et comprennent que l'immigration massive, le laxisme envers les immigrés clandestins souvent délinquants multirécidivistes, est aussi à la source de ce terrorisme qui a tué des centaines de personnes innocentes sur notre sol et qui tuera certainement encore... 

    Ce que Brigitte Kuster et ses amis ne savent visiblement pas, c'est que nous continueront à nous informer à l'étranger, non pas chez les autruches, Suisses ou Romains, qui font semblant de croire que ces musulmans immigrés sont aussi violents que quiconque, parce que cibler une population cépabien, mais dans la presse anglo-saxonne.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Domestikator et les islamo-gauchistes, une union contre-nature?

    La direction du Louvre, certainement échaudée par les  récentes (et très justifiées)  réactions contre l’installation du  plug anal (sculpture Tree) de Mc Carthy Place Vendôme et celle du vagin de la reine d’Anish Kapoor dans les jardins du château de Versailles (voir ici et ici ),  a annoncé que « l’œuvre »Domestikator ne sera finalement  pas exposée dans le très familial et fréquenté Jardin des Tuileries à Paris. « Haute de 12 mètres» précise le site de France info, son installation aux tuileries fut proposée « dans le cadre du parcours hors-les-murs de la Foire internationale d’art contemporain (FIAC). »  « Elle est, selon son auteur (le néerlandais Joep Van Lieshout), une sorte d’allégorie du viol de la nature par l’homme, avec une lecture au second degré. En y regardant bien, le spectateur peut en effet deviner, dans cet assemblage géant de cubes, un acte sexuel entre un homme et un animal, dans la position de la levrette.» Les bourgeois progressistes, les gardiens du bon goût, les artistes de cour   et autres défenseurs-prébendiers-businessemen de l’art contemporain  académique, ont fait savoir haut et fort dans les médias éclairés à quel point cette censure de l’art  était choquante. A entendre leurs glapissements on pense à ce qu’écrivait Céline (les céliniens Philippe Sollers et Nicolas Sarkozy  nous pardonnerons  au moins cette référence)  sur le travail de suggestion entrepris sur les individus, via un  conditionnement, un bombardement de stimuli, d’images, d’informations, de slogans aujourd’hui sans commune par son ampleur  avec ce qu’il dénonçait déjà avant-guerre :  « Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l’or et la merde ! Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n’eut jamais dans toutes les pires antiquités…du coup on la gave,  elle en crève… Et plus nulle, plus insignifiante est l’idée choisie au départ, plus elle a de chance de triompher dans le cœur des foules… mieux la publicité à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie…»

    Transformer les citoyens conscients, les peuples, les sociétés  libres, enracinés dans une filiation, une culture, des valeurs   en foule, en masse, en agrégat  de  consommateurs décérébrés pour  mieux faire passer le plug mondialiste est un processus bien  entamé dans les nations occidentales (mais pas que).  Incidemment, il n’est pas étonnant que les artistes contemporains reprennent à leur compte les mêmes mots d’ordre, les mêmes formules que les partis du Système (ou inversement).   La page wikipedia de  l’Atelier Van Lieshout ( AVL) nous apprend ainsi  que « Ses œuvres interrogent le vivre ensemble… »

    Vivre ensemble, vivre avec nous,  c’est ce que souhaite encore apparemment une partie de l’appareil d’Etat de la Turquie qui ne renonce pas à son adhésion à l’Union européenne.  Euractiv relayait un article selon  lequel « Le ministre turc des Affaires européennes, Ömer Çelik, défend bec et ongles l’élargissement de l’UE par l’adhésion de la Turquie en soutenant que le pays discutera de l’avenir de l’UE et de ses valeurs universelles lorsqu’il sera à l’intérieur (de l’Europe).» Des Turc arrivant à la rescousse pour sauver Bruxelles  de la réaction identitaire ? « Ömer Çelik soutient que  l’essor du populisme d’extrême droite  est l’une des plus grandes menaces planant sur l’intégration européenne.  L’islamophobie, la xénophobie et la politique de haine sont en train de se développer en Europe , a-t-il déclaré tout en soulignant que face à ce phénomène,  nous avons besoin de réflexion et de souplesse  (…).  Malgré les plaintes pour persécution et arrestations des membres de l’opposition et le manque de liberté de la presse, il a appelé à ouvrir les chapitres 23 et 24 du processus d’adhésion portant sur le pouvoir judiciaire, les droits fondamentaux, les libertés et la sécurité.  Ouvrons-les et avançons ensemble , a-t-il insisté tout en concluant que « le plus important est de négocier. »

    Négocier au nom du vivre ensemble, l’avocate socialo-trotskyste mélenchoniste Raquel Garrido, sera certainement contrainte de le faire si l’on en croit Le canard enchaîné rapporte  L’Express. - Le magazine détaille plus largement  ses bourdes diverses et variées. L’obligée de Vincent  Bolloré via son poste de chroniqueuse sur C8, « n’aurait pas payé ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats depuis six ans. Pas plus qu’elle n’aurait payé ses cotisations à l‘Ordre des avocats depuis un an (…).  Le montant de l’ardoise auprès de la caisse de retraite des avocats s’élèverait à plus de 32 000 euros. Contactée par l’AFP, l’Insoumise pourtant toujours prompte a dénoncer les cadeaux fiscaux faits aux plus riches, n’a pas souhaité s’exprimer.Ce mercredi, le Barreau de Paris a annoncé que l’intéressée, qui a été convoquée devant la Commission compétente le 20 septembre 2017, a convenu d’un échéancier afin de régler ses cotisations auprès de l’Ordre. »

    Le vivre-ensemble est aussi négociable (pour peu que les Gaulois non repentants descendent des trottoirs et baissent la tête?)  pour une autre insoumise (sic), le député Danièle Obono. Une gauchiste  proche du groupuscule extrémiste et communautariste des Indigènes de la République,  élue qui avait choqué les Français  après sa défense des rappeurs chantant Nique La France… et son refus de dire  Vive la France sur RMC 

    Dernière saillie en date de cette brillante dialecticienne et analyste de notre société contemporaine, invitée sur l’antenne de  BFMTV le 1er octobre,   Mme Obono avait  été interrogée sur ce chauffeur de bus de la RATP qui avait refusé dernièrement  de prendre le volant après une femme. « Est-ce que ça veut dire que (cette homme) est radicalisé ? »  lui avait-on demandé.  « ça veut dire qu’il a des préjudices (sic) sur des femmes »  avait répondu cette  mélenchoniste.  « Quelqu’un qui refuse ce que vous dites là, est-ce que c’est le signe d’une radicalisation? (…) je ne sais pas (…) on peut être sexiste et religieux, ou pas croyant » a t-elle ajouté. Ben voyons ! Marine a dénoncé « (les) propos irresponsables (de Danièle Obono qui)  contribuent à minimiser la montée de l’islam radical dans notre pays. Les Français méritent la vérité ! »

    Une vérité qui passe mal à l’extrême gauche comme on le constate aussi avec cette déclaration sur les réseaux sociaux d’une féministe du calibre de Mme Obono, Sonia Nour, membre du cabinet du maire communiste  de La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Commentant l’assassinat dimanche  de deux jeunes filles gare Saint-Charles à Marseille par un soldat-terroriste  du califat,  l’immigré clandestin tunisien  Ahmed Hanachi,  elle s’est livrée à ces réflexions  :  « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation Bla Bla Bla... ».  « Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule.  »   Martyr, Bla Bla Bla, Grande gueule, terrorisme patriarcal…  Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites et comme ils sont révélateurs des pensées et des arrières pensées d’une certaine nébuleuse multiculturaliste et immigrationniste constate Bruno Gollnisch.

    Sur le site du Figaro, le 2 octobre,  l’avocat Gilles-William Goldnagel s’offusquait de ce que  « des islamistes radicaux avaient été autorisés par l’université Lyon 2 à organiser une conférence à l’intérieur de son enceinte. Le pire était d’apprendre que Jean-Louis Bianco, es qualité de président de l’Observatoire de la laïcité, avait accepté d’envoyer un message aux participants, donnant ainsi son onction à la manifestation », en présence du parti des Indigènes de la République.  Il rappelait à cette occasion certaines déclarations d’un de ses membres les plus emblématiques,  Houria Bouteldja:  « Il faut dénationaliser l’histoire de France. Je crois qu’il faut faire exploser cette identité française … ».  «Joli succès de l’antiracisme d’extrême-gauche »  notait avec à propos Me Goldnagel: « le parti mélancholique est en passe d’ajouter la guerre des races à la guerre des classes.»

    Sur son blogue  le  ci-devant député du 9-3 de  La France InsoumiseAlexis Corbière,  a pondu un long article, références  historico-politiques  à l’appui,  pour dénoncer l’absurdité de l’accusation d’islamo-gauchisme faite au très laïciste  parti mélenchoniste. Tout n’est pas faux factuellement  dans les arguments avancés par M. Corbière pour se défendre de procès là. Mais la vérité et le fond du problème sont ailleurs. Dans les faits,   le parti de Mélenchon préfère détourner les yeux sur la réalité desbmenaces d’implosion  de la France sous les coups de boutoir du développement du communautarisme dans les banlieues, tout à sa tâche  visant à récupérer, agréger un certain électorat issu de l’immigration, chacune des parties concernées pensant instrumentaliser l’autre et l’utiliser comme marche-pied.

    Au-delà du bla bla comme dirait l’autre, des Corbière et consorts, les humanistes et autres propagandistes de la République universelle, hors-sol,  qui forment le socle du premier cercle mélenchoniste, suivent toujours la même vieille stratégie révolutionnaire. Elle a été  théorisée dans les cénacles trotskystes il y a déjà longtemps : s’appuyer sur l’immigration de masse pour faire disparaître notre  cadre national, civilisationnel,  altermondialistes mélenchonistes  et mondialistes macroniens  poursuivant ici un objectif  commun. Ce qui explique aussi en partie que la direction  de la  La France Insoumise  ait été choisie comme sparring partner,  opposant privilégié au gouvernement par Emmanuel Macron, ses communicants  et les médias dominants. Une opposition maîtrisée,  domestiquée… Domestikator diraient même certains.

    https://gollnisch.com/2017/10/05/domestikator-islamo-gauchistes-union-contre-nature/