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lobby - Page 1239

  • Émigrants – Immigrants : cherchez l’erreur !

    Bernard Plouvier

    On savait déjà que, depuis la fin des années 1980, des Juifs citoyens français quittaient le pays pour vivre en Israël. Cet exode s’est nettement accentué depuis le début des années 2010, ce qui se conçoit fort bien étant données la recrudescence des manifestations judéophobes de nos merveilleux immigrés mahométans et la multiplication des attentats et actes de vandalisme, dont quelques-uns ont visé des cibles juives.

    On sait que de plus en plus de jeunes diplômés ou de très brillants étudiants autochtones quittent un pays envahi et dangereux, où il ne fait plus bon vivre – du moins dans les villes saturées d’allogènes grossiers, vandales, racketteurs, violeurs, voire terroristes au nom d’une divinité moyen-orientale dépourvue d’intérêt pour un Européen de souche.

    On apprend plus confidentiellement qu’il existe une autre fuite : l’émigration des millionnaires en euros. En 2015-2016, ils ont été 22 000 beati possidentes à quitter le territoire national. Parallèlement, les USA se sont enrichis de 10 000 millionnaires étrangers (l’euro et le dollar sont assez proches en matière de pouvoir d’achat).

    Les réformes d’un certain Trump risquent d’accentuer encore le phénomène : la comparaison entre ce Président dynamique, opposé à la démagogie de son prédécesseur, et nos tristes sires plouto-démocrates vautrés devant les financiers cosmopolites n’est guère favorable à une inversion de tendance, bien au contraire.

    On reconnaît volontiers que le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande connaissent également un afflux de millionnaires étrangers, mais la Grande-Bretagne, elle aussi envahie, en est exportatrice. À quand l’émigration des millionnaires des pays scandinaves ? Stockholm vient de connaître une semaine d’émeutes raciales, comme on en rencontre tant dans ce qui fut la Douce France ou au royaume de Sa Gracieuse Majesté Elisabeth II.

    En contrepartie de ces départs, fort gênants pour l’avenir économique, social et scientifique de notre pays et de notre Nation, nous avons la joie, la « chance » d’accueillir des dizaines de milliers d’immigrés-« réfugiés politiques » (réels ou supposés)-envahisseurs, très souvent analphabètes ou dépourvus de la moindre qualification professionnelle, mais nantis d’une foi conquérante : l’islam dans sa forme originelle, strictement conforme au texte coranique, agressif, sectaire, intolérant.    

    Plutôt que de nous casser les pieds et de nous tympaniser avec des histoires d’emplois népotistes, de pseudo-désastres écologiques à venir, d’un soi-disant « péril fasciste » (d’où proviendrait-il en une Europe amollie, aveulie, émasculée ?), les candidats aux élections de ce millésime feraient bien de se prononcer sur les types d’immigration et d’émigration, toutes deux indésirables et grosses de périls à court, moyen et long termes.

    C’est à faire reprendre la natalité autochtone, à rendre vie à l’industrie française qu’il faut s’attacher, de façon parallèle à l’organisation du retour de la dizaine de millions d’immigrés extra-européens dans leurs continents d’origine et du nettoyage des deux milliers de cités de non-droit, qui ne sont probablement pas étrangères à l’émigration autochtone.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Emmanuel Macron dans les pas de Christiane Taubira

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : En matière de « réforme sociétale », comme dit maintenant pour ne pas nommer les choses, Emmanuel Macron a enfilé les bottes de Christiane Taubira. C’est particulièrement clair sur la question de la GPA, la Gestation pour autrui, autrement dit l’ignoble pratique des « mères porteuses ».

    En plein débat sur le mariage homosexuel et ses conséquences en matière de filiation, Christiane Taubira, alors garde des Sceaux, avait envoyé une circulaire aux juridictions en date du 25 janvier 2013 dans laquelle elle leur demandait de délivrer des certificats de nationalité française aux enfants nés de GPA à l’étranger bien que la loi française interdise formellement cette pratique. Pas grave pour le ministre de la Justice de donner pour consigne d’enfreindre la loi !

    Dès cette époque, d’éminents juristes avaient dénoncé un premier pas du gouvernement socialiste vers une légalisation de la GPA. Las, si la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France en juin 2014 et si la Cour de cassation a suivi en juillet 2015 en adaptant sa jurisprudence aux consignes de Mme Taubira, le président Hollande et son gouvernement ne sont pas allés plus loin durant tout le reste du quinquennat au grand dam des associations homoparentales décidées à permettre la GPA en France. L’élection présidentielle approchant à grands pas, Emmanuel Macron a remis le débat sur le tapis dans un entretien au magazine homosexuel Têtu paru lundi dernier.

    Le candidat d’En Marche !, qui avait récemment affirmé que la « France opposée au mariage pour tous » avait été humiliée, aurait dû adopter une position ferme contre la gestation pour autrui. Pas du tout !

    Comme à son habitude, le candidat de l’« extrême centre » comme d’aucuns le surnomment avec ironie, s’est montré équivoque sur la question de la GPA.Selon lui en effet, « ce sujet soulève un débat philosophique sur la capacité à disposer de son corps et à le marchandiser, […] un débat impossible à trancher » !

    Même s’il dit ne pas être « favorable à autoriser la GPA en France ». il ajoute aussitôt qu’« en revanche, il faut permettre la reconnaissance née par GPA à l’étranger », car, à ses yeux, « on ne peut pas les laisser sans existence juridique. Ces enfants participent d’un projet d’amour » (sic). C’est pour cette raison qu’il a l’intention de « compléter la circulaire Taubira ».

    La Manif pour tous a immédiatement dénoncé via son compte Twitter un « argument fallacieux » puisque l’existence juridique d’un enfant né à l’étranger ne repose pas sur la nationalité de ce dernier. Macron serait‑il ignorant ou cynique ?

    Aude Mircovic, maître de conférences en droit privé et porte‑parole de l’association Juristes pour l’enfance, penche pour la seconde option. Dans une tribune publiée hier par Figarovox intitulé « Macron et la gestation pour autrui : la grande hypocrisie », elle accuse l’ancien ministre de l’Economie d’« inventer une illusoire injustice à laquelle pourrait seule remédier la reconnaissance de la GPA à l’étranger d’abord et, nul n’est dupe, en France très bientôt pour « arrêter l’hypocrisie » » , ajoutant :

    « Pour mieux promouvoir la GPA, Emmanuel Macron s’engouffre à son tour dans cette voie éculée du mensonge mais qui fonctionne si bien qu’il aurait presque tort de s’en priver. »

    Alors, Macron, Taubira, même combat ? Un autre point commun au moins les relie : l’un et l’autre ont reçu le soutien de Pierre Bergé, ce qui est tout sauf anecdotique.

    http://fr.novopress.info/

  • LES GRAINS DE SABLE DANS LE MONDIALISME

    Décidément, les chastes cerveaux du mondialisme n’en reviennent pas : le 45e président des États-Unis ne respecte pas les us et coutumes du nouvel ordre mondial qu’ils s’appliquent à édifier depuis des décennies. En moins de deux semaines de présidence, cet homme qui a été élu pour l’essentiel sur ses fonds propres contre l’oligarchie en place depuis un siècle et n’est tenu par personne, a multiplié des décrets qui sont autant de grains de sable jetés dans une mécanique bien réglée pour la mise en place d’une gouvernance mondiale aux ordres des forces de l’anti humanité que sont les cercles mondialistes et leur bras armé financier.  

    Et ils s’effraient : voilà que Trump interdit l’accès des États-Unis aux ressortissants de sept États, tous musulmans, la plupart étant des territoires en guerre. A entendre nos rosières médiatiques, c’est presque la fin du monde – entendez, de la déesse démocratie. Les Chinois, les Séoudiens peuvent bien filtrer les étrangers, interdire les églises, cela ne les gêne pas. Mais que les États-Unis, autrement dit un État blanc, veuille prendre des mesures protectrices, cela relève du crime de lèse droit de l’hommisme. Il en est de même pour la fermeture de la frontière avec le Mexique. Certes, les murailles sont des signes de faiblesse de ceux qui les construisent ; elles n’ont jamais arrêté les invasions si les peuples ainsi menacés ne savent pas prendre les mesures de redressement moral et spirituel qui s’imposent. Mais, surtout, les actes de Trump sonnent comme un coup d’arrêt à la submersion ethnique, raciale et civilisationnelle que les sicaires de la superclasse mondiale veulent faire subir au Monde Blanc, ainsi que nous le voyons en Europe avec la révolution migratoire dont Merkel s’est faite la cheville ouvrière.

    Ce n’est pas tout : Trump menace la mondialisation libérale, celle visant à créer un marché planétaire unique dans lequel les biens matériels s’échangent sans entrave, de même que les êtres humains, considérés comme des unités marchandes interchangeables et échangeables selon le prix du marché quasi divinisé. Trump a déchiré le traité transpacifique et le traité transatlantique subira le même sort s’il peut mener à bien ses vastes projets. En réalité, ce qui est en cause, c’est le multilatéralisme économique. Trump a compris qu’il était contraire au bien être des peuples, à commencer par celui des États-Unis. Son objectif est d’établir un bilatéralisme économique, la conclusion d’accords d’État à État, comme cela existait auparavant.

    Les économistes patentés et autorisés nous expliquent que Trump menace ainsi le développement de l’humanité, en remettant en cause le libre-échange présenté comme la clef du développement de la planète. Pourtant, ne nous laissons pas leurrer. Le libre-échange, est moins une théorie économique qu’une théorie politique, soutenue d’abord par Adam Smith parce qu’il favorisait l’économie britannique en plein développement. 

    La mondialisation a été soutenue par les Américains parce qu’ils pensaient en être les principaux bénéficiaires. En réalité ce sont des firmes transnationales, des financiers apatrides qui en retirent les plus grands profits tandis que les peuples Blancs en sont les victimes. A partir du moment où cela dessert le peuple états-unien, il est normal, inévitable que cette forme de mondialisation soit remise en cause par un puissant courant populaire. Et, dans le même temps, c’est sans surprise que l’on voit la Chine, État pas vraiment démocratique selon les critères occidentaux, se faire le chantre du libéralisme économique planétaire à Davos car elle doit écouler ses produits. 

    Mais, si la Chine est dans cette situation, c’est justement à cause de cette mondialisation fondée sur la théorie des avantages comparatifs, à savoir qu’il vaut mieux que chaque pays produise ce dont il est le plus capable, le commerce international permettant de procéder alors aux échanges de biens dans des conditions optimales. Or cela n’est valable qu’à la condition que les niveaux de salaires soit comparables, ce qui n’est pas le cas avec l’actuelle mondialisation où les écarts inter salariaux vont de 1 à 10, voire bien plus. Si la Chine doit exporter ce qu’elle produit, c’est que son marché intérieur n’est pas assez solvable, assez développé pour absorber cette production.

    La mondialisation est inévitable, celle des communications étant irréversible à vue d’homme et les caravaniers de la Route de la Soie en étaient les premiers acteurs. Mais elle peut et doit connaître une autre forme : elle doit être au service des peuples et non pas à celui de quelques acteurs privés, notamment financiers et apatrides. Elle consiste à permettre aux peuples de produire chez eux l’essentiel de leurs biens, créant ainsi la demande solvable indispensable à leur écoulement, le commerce international ne servant qu’aux échanges indispensables, ce qui constituera une activité considérable. Cette « mondialisation involutive » peut même être mise en œuvre par les firmes trans nationales elles-mêmes si elles s’aperçoivent que l’allongement des chaînes logistiques, la qualité défectueuse des produits fabriqués dessert leurs intérêts. Pour les peuples européens et assimilés, la robotisation à venir peut leur permettre de retrouver une compétitivité inattendue par la baisse considérable des coûts de production. En outre, les relations économiques doivent être pensées en termes de blocs de civilisation.

    Bien sûr, ce détricotage de l’actuelle mondialisation n’ira pas sans heurts, sans à coup sociaux. Mais le choix est simple : assurer l’avenir des peuples et des nations, à commencer par les peuples Blancs ou les laisser périr, asphyxiés, envahis, suicidés par l’avortement subventionné. Évidemment, un sursaut spirituel doit aller de pair.

    Nous n’attendons rien de Trump mais son élection est une bonne chose. Elle peut aider au démantèlement de l’U.E., amorcé avec le Brexit et offrir la possibilité d’abattre les obstacles que les mondialistes installent entre les Europes carolingienne et centrale et la Russie. Au sein de l’Europe, les relations économiques bilatérales sont depuis toujours préconisées par les nationalistes, avec des ententes industrielles dirigées par les États qui, dans un secteur donné, ont le savoir-faire qui les place comme des chefs de file naturels et efficaces. Dans le même temps, la France, aujourd’hui enchaînée par l’U.E. et par l’euro qui est de fait la monnaie de l’Allemagne et donc au service de cette dernière, retrouvera une féconde liberté d’action, pour peu que les Français révoquent la classe politique actuelle, faillie, inculte, nuisible et engluée en permanence dans ses affaires sordides.

    Nous ne pouvons préjuger de ce que va faire et pourra faire Trump, étant donné les résistances qu’il va rencontrer. Néanmoins, une faille s’est ouverte dans le glacis du mondialisme. D’autres suivront tant celui-ci est fragile, parce que fondé sur de fausses abstractions philosophiques, parce contraire à l’ordre naturel, parce que fondé sur l’amoralité, la spéculation, la spoliation des peuples. Le travail des nationalistes consiste à se préparer pour l’échéance décisive qui ne manquera pas de se produire, peut-être plus vite que nous le pensons.

    MILITANT

    5€ le n°  à : Militant –  BP  154  –  75463 Paris cedex 10

    ou bien abonnement en ligne ici

    http://www.jeune-nation.com/natio-france/les-grains-de-sable-dans-le-mondialisme.html

  • Près de 40 000 immigrés dorment toutes les nuits à l’hôtel

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d2658676970c-800wi.jpgDans le gros millefeuille que représente le rapport annuel de la Cour des comptes, rendu public le 17 février dernier, il y a, au chapitre concernant « l’hébergement des personnes sans domicile », une facture salée et difficile à avaler : une note d’hôtel présentée comme celle des « sans domicile fixe », les SDF, nos bons vieux clochards d’autrefois. En 2015, elle s’est élevée à 234 millions d’euros, alors que, dans le même temps, on nous expliquait qu’il n’y avait jamais eu tant de SDF à la rue – et tant de morts parmi les SDF. Le collectif « Morts de la rue » assure par exemple que, en 2015, 498 « sans domicile fixe », d’une moyenne d’âge de 49 ans, sont décédés faute d’avoir eu un toit. […] 

    En 2014, on recensait quotidiennement au plan national 32 300 nuitées d’hôtel affectées à des personnes sans domicile fixe. En 2015, ce chiffre est passé à 37 950, soit 16,5 % de plus ! Au prix moyen de 16,9 euros la nuitée, la facture annuelle a donc atteint, pour la seule année 2015, 234 millions d’euros (16,9 euros x 37 950 nuitées x par les 365 jours de l’année). […]

    La Cour des comptes écrit qu’en janvier 2016, 40 % des demandeurs d’asile étaient hébergés en dehors des structures pérennes du ministère de l’Intérieur, soit par leurs propres moyens, soit dans les dispositifs d’urgence généralistes, dont les hôtels représentent près de 40 % de l’offre ! Dans sa circulaire de février 2015, Bernard Cazeneuve ne cachait d’ailleurs pas que les migrants représentaient une importante partie de cette nouvelle et abondante clientèle. […]

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • 8 mars, journée de la femme : grande veillée des Sentinelles à Paris

    Le 8 mars, les Sentinelles vous invitent à une grande veillée place Vendôme, à l’occasion de la journée internationale de la femme.  (Evènement Facebook) ! 
    Dans notre monde, l’altérité des sexes est contestée avec par exemple la théorie du genre qui n’existe pas, mais qui fait l’objet d’un enseignement sournois. L’indifférenciation est promue comme un style de vie à la mode. Ce refus des déterminismes naturels est une des sapes qui vise à faire s’effondrer le socle anthropologique de notre société. Sentinelles_20170308

    Dans notre monde, des femmes sont réduites en esclavage. Il n’est pas comparable aux traites arabo-musulmane ou transatlantique. Cet asservissement revêt de multiples formes. Combien de jeunes filles issues de familles d’immigration récente sont mariées de force dans leurs pays d’origine ? Combien de femmes subissent un asservissement domestique dont elles ne peuvent échapper, parfois maintenue dans ce carcan par une violence physique et psychique continue ? Combien de prostituées remettent les fruits de leur travail sordide à des proxénètes ?

    Dans notre monde, certes pas à l’intérieur de nos frontières, mais pas si loin que ça, des femmes vendent d’autres services pudiquement désignés comme « reproductifs ». Certaines vendent leurs ovules, d’autres portent l’enfant qu’elle céderont à sa naissance. La marchandisation du corps humain qu’implique la gestation pour autrui est bien là. L’hypocrisie des élites qui nous gouvernent atteint ici son summum : elles maintiennent une interdiction sur le territoire mais facilitent la transgression dans des pays où le prolétariat des gestatrices n’est pas protégé, et elles organisent la promotion de cette pratique à grand coup de sentimentalisme médiatique, afin de la rendre socialement plus acceptable.

    Pour certains, rien ne doit s’intercaler entre l’individu démuni et l’ogre du marché triomphant. Parce que les femmes sont plus fragiles dans notre monde brutal et violent, des Sentinelles choisissent de veiller à cette occasion de la Journée de la Femme. Cette veille des Sentinelles ne sera pas genrée : tous les sexes sans exception sont les bienvenus, avec toujours les mêmes recommandations : respecter le silence, les distances entre chacun de nous, l’absence de signes distinctifs et la bienveillance.

    A bientôt.

    Des Sentinelles

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Un député européen ne peut pas dénoncer des horreurs commises par des islamistes

    Le Parlement européen a approuvé jeudi la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, réclamée par la justice française qui lui reproche d'avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur son compte Twitter.

    Cette levée, à effet immédiat, ne concerne que cette enquête. Cette levée était demandée par le parquet de Nanterre, qui a ouvert une information judiciaire à l'encontre de Marine Le Pen pour "diffusion d'images violentes". En décembre 2015, la présidente du FN avait diffusé trois photos sur Twitter avec le texte "Daesh c'est ça!": un homme vêtu d'une combinaison orange sous les chenilles d'un char, un homme vêtu de la même manière enflammé dans une cage et un corps d'homme décapité avec la tête posée sur le dos. Elle protestait contre le "parallèle ignoble" effectué par le journaliste de RMC, Jean-Jacques Bourdin, entre Daesh et le Front national.

    "Je suis députée, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daesh", a-t-elle estimé. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Viktor Orban dénonce la complaisance de l'UE envers les crimes du communisme

    Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré lors de la journée de commémoration des victimes du communisme qu’ils sont nombreux, ceux qui en Occident « trouvent encore des excuses aux crimes du communisme ».

    6a00d83451619c69e201bb097ed667970d-800wi.jpg« L’Union européenne elle-même hésite à les condamner sans équivoque ».

    « Tout cela s’explique par le fait qu’alors qu’un tribunal militaire international a jugé les crimes du nazisme, les représentants du monde libre ne sont pas parvenus à un verdict aussi sévère après l’effondrement du communisme, en réponse à ses crimes ».

    « Les Hongrois ont compris qu’ils ne peuvent être libres que s’ils ne renoncent plus jamais à la souveraineté : nous n’aurons d’avenir que s’il est à la fois libre et hongrois – seul un pays de Hongrois libres a un avenir. Pour cette raison, nous devons toujours et tout de suite écraser les œufs de vipère du communisme et du fascisme ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Émeutes ethniques : Du racisme anti-blanc à la guerre de colonisation raciale

    Drancy, Trappes, Argenteuil, Clichy-sous-Bois, Mantes-le-Jolie, Corbeil-Essonnes, Dammarie-Les-Lys, les Ulis, Chantilly, Nantes, Sartrouville, Torcy, la liste des villes où des enclaves ethniques se trouvent en état d’insurrection ouverte s’allonge depuis plusieurs jours. Traduction évidente – et soigneusement occultée – d’une solidarité entre des populations qui, pourtant, ne se connaissent pas.

    Solidarité raciale

    Cette solidarité n’est pas “sociale” comme les ahuris du gauchisme en fin de parcours tentent de le faire croire. Elle est exclusivement raciale. C’est la formation d’une entité de plus en plus “homogène” quant à ses réactions et ses représentations : celle de l’immigration afro-orientale qui s’agglutine inexorablement dans les métropoles et villes de France.

    Les réseaux sociaux sont les moyens de mobilisation privilégiés par ces masses essentiellement régies par des réflexes grégaires. Le point de déclenchement de cette vague d’émeutes raciales – voire religieuses au vu des slogans lancés aux policiers tel que “allahou akbar” – est le faux viol monté de toutes pièces par un subsaharien de Bobigny, Théo Luhaka.

    La population française, psychologiquement neutralisée par un incessant travail de rééducation médiatique et politique, reste passive. Elle vit dans un état de déni permanent, oubliant ou feignant d’oublier que la France est dans un état chronique de guerre interethnique de basse intensité, avec près de 40 000 véhicules détruits chaque année par les allogènes. Dont près de mille pour la seule Saint Sylvestre (voir ici). Ceci pour ne rappeler que le volet des destructions matérielles générées par les attaques systématiques de l’envahisseur.

    La presse d’état, qui a dressé le bûcher des quatre policiers de Bobigny, se fait désormais silencieuse. L’artifice conçu pour mobiliser l’électorat immigré – avec l’aval d’un François Hollande posant au pied de la “victime” imaginaire – a dépassé de beaucoup les attentes des tacticiens de l’Élysée et de la gauche socialiste. Les masses afro-musulmanes réclament “justice”, c’est-à-dire des représailles aveugles, guidées par une haine raciale inextinguible envers les Français de souche et tout ce qui représente leur pays et son ordre social.

    Quand la racaille use de l’excuse morale pour mener sa guerre de colonisation raciale

    Les bandes afro-musulmanes de Bobigny, pourtant coutumières des viols collectifs, prétendent se découvrir une nouvelle moralité et s’insurgent au sujet du faux “viol” de Luhaka. En réalité, les masses maghrébines et africaines n’ont cure des faits.

    La question n’est pas morale mais purement politique : il s’agit de contester la domination et la légitimité des Blancs sur leur terre et de tout ce qui peut l’incarner ou la défendre. La culpabilité de l’homme blanc repose, à leurs yeux, sur sa seule existence. La police française constitue, depuis des décennies, le “phallus symbolique” de l’autorité blanche en France. Elle incarne une domination autochtone de plus en plus intolérable aux yeux d’extra-européens qui s’estiment “chez eux”.

    Rappelons le fameux “Sacrifice de poulets” de “Minister AMER” :

    Cette populace allogène, travaillée par un puissance complexe d’infériorité, recherche en permanence des boucs émissaires dont elle entend soutirer un tribut. Et ces victimes expiatoires sont désignées sur la seule base de leur appartenance raciale : ce sont les Blancs.

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