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lobby - Page 1331

  • Un nouveau scandale à Bruxelles : le rapport In’t Veld

    Le Parlement européen prépare un texte qui permettra d’évaluer le niveau de démocratie des États-membres.

    J’imagine que peu de personnes ont entendu parler du Rapport 2015/2254 (INL) qui sera voté en octobre. Pour tous les lecteurs qui ne sont pas hauts fonctionnaires à la Commission, on peut dire, plus simplement, le rapport In’t Veld. Une députée européenne totalement inconnue, Sophia in ‘t Veld, de l’ALDE (Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe), a rédigé un texte sur « la création d’un mécanisme de l’Union pour la démocratie, l’état de droit et les droits fondamentaux et un tableau de bord européen de la démocratie, de l’état de droit et des droits fondamentaux ». Vous n’avez pas compris de quoi il s’agit : c’est bon signe, vous n’êtes pas des robots européistes !

    Pour ramener le propos à la portée des pauvres citoyens lambda que nous sommes, expliquons-nous. Le Parlement européen prépare un texte qui permettra d’évaluer le niveau de démocratie des États membres. Un groupe d’« experts indépendants » sera chargé de mettre en place cette grille d’évaluation. Bien évidement, les critères de notation ne laissent pas de place au doute concernant les intentions du rapporteur. Ainsi, un bon État démocratique devra faire respecter les « droits » LGBT, promouvoir l’avortement et accueillir le plus de migrants possible, par exemple.

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  • En attendant la sortie du livre "POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES" prévue le 2 octobre*, le nouveau numéro du "Crapouillot" traite le sujet

     

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    Le Crapouillot, magazine non conformiste,

    est en vente dans les kiosques au prix de 7.50 €

    * POURQUOI NOUS SOMMES CONTRE LES EOLIENNES (Alban d'Arguin, Les Bouquins de Synthèse nationale, 200 pages, 20 €) sortira à l'occasion de la Xe Journée de Synthèse nationale le dimanche 2 octobre prochain.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sisco : la famille maghrébine a voulu s’approprier la plage et la privatiser

    Le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessone, a confirmé que l’origine des incidents entre « une famille maghrébine » et des habitants du village de Sisco dans le Cap Corse samedi, incombe « à l’évidence » à « des membres de la famille ». Les premières versions de l'histoire qui décrivaient une opposition autour d'une femme en "burkini" photographiée par des touristes n'est absolument pas prise au sérieux par l'enquête.

    « A l’évidence, à l’origine des incidents se trouvent des membres de la famille maghrébine ». « Ils ont voulu, dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». « Ils ont multiplié (…) des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ».

    La famille d’origine maghrébine avait installé un panneau «interdiction de circuler» au dessus de la crique. Ces gens se croient chez eux. Ils font pareil dans les cités de l'immigration. Sauf qu'à Sisco, les Corses ne se laissent pas faire.

    Michel Janva

  • Brexit : l'effondrement annoncé de l'économie britannique n'a pas lieu

    Eh oui, on nous avait déjà fait le coup du catastrophisme provoqué par des décisions non politiquement correct :

    "Les première statistiques indiquent que, contrairement à ce que craignaient certains économistes, les consommateurs n'ont pas paniqué juste après le référendum. Les ventes au détail ont même progressé de 1,4% en juillet.

    Au Royaume-Uni, depuis le Brexit, on surveille de très près les conséquences sur l'économie. L’immense majorité des économistes prévoit un fort ralentissement de la croissance, voire une légère récession. Mais jusqu’à présent, on n’avait pas de statistiques économiques. Ca vient de changer, avec de premiers chiffres aujourd’hui. Et c’est une surprise, c’est plutôt bon".

    Lahire http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Conséquences de la propagande ukrainienne sur la Crimée

    Il y a une semaine, le gouvernement ukrainien a lancé des opérations de terrorisme sur le sol de la Crimée. Fort heureusement, ces attentats ont été déjoués par les services russes de sécurité.

    Malheureusement, l’attaque de diversion effectuée à la frontière a causé la mort de deux soldats russes. Depuis, le président Porochenko a décidé de renforcer les moyens militaires dans cette région frontalière et les responsables ukrainiens se sont lavé les mains des actions terroristes en arguant qu’il s’agissait d’éléments non contrôlés.

    Les membres du gouvernement ukrainien n’ont même pas la reconnaissance du ventre, ils désignent sans vergogne leurs extrémistes. Ils oublient qu’ils doivent leur place à ces mêmes extrémistes soutenus par les Occidentaux.

    Le but de ces attaques était, tout comme en France, de fragiliser l’activité touristique. Pourtant, à entendre les médias occidentaux et ukrainiens, les touristes avaient déserté la région…

    La vérité est que l’afflux de touristes a bien eu lieu et que les activités économiques, dont le tourisme, sont en hausse. La Crimée a renoué avec sa tradition d’accueil de visiteurs, leur offrant de nombreuses activités estivales jusqu’à l’organisation du traditionnel concours de beauté la veille de la Journée de la marine russe.

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  • L’incalculable contribution des syndicats français au chômage [rediffusion]

    H16, chroniqueur, auteur de hashtables (*) ♦ Les causes du chômage français : syndicats, fonctionnaires, socialisme, libre-échange mondialiste ! On le sait : il faut, partout dans le monde, beaucoup de sueur, d’abnégation, de courage et de persévérance pour créer et faire vivre une entreprise. En France, les obstacles administratifs, économiques ou sociaux rendent la tâche encore plus ardue, ce qui explique un taux de chômage structurel élevé.En revanche, partout dans le monde, foirer une entreprise est assez simple et en France, ça l’est encore plus puisqu’il suffit de faire intervenir l’État, les syndicats ou la justice.

    L’affaire qui nous occupe aujourd’hui se déroule au sein de la société Desseilles, qui, bien qu’un des fleurons de la dentelle de Calais, n’en est pas moins en difficulté. Elle est même en liquidation judiciaire avec quelques jours de sursis, suite au jugement du Tribunal administratif de Lille tombé en décembre, qui ordonne la réintégration de cinq syndicalistes licenciés en 2013 : l’entreprise doit à présent payer les deux ans et demi de salaires non versés pour chacun d’entre eux, ainsi que les indemnités prud’homales qu’ils vont demander pour les dommages et intérêts, soit entre 700.000 et un million d’euros, qui ne sont évidemment pas disponibles dans la trésorerie de l’entreprise.

    Le hic, c’est que les syndicalistes licenciés l’ont pourtant été dans un cadre bien spécifique, celui du licenciement économique, validé par l’inspection du travail ainsi que la DIRECCTE (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) et le ministère du Travail, et ce, malgré les recours des licenciés.

    Heureusement, la conjonction d’un syndicalisme utile et bien compris avec une justice taillée au cordeau par le tribunal administratif va donner à l’affaire un tour croustillant en imposant donc la réintégration des salariés, au motif que l’entreprise aurait dû proposer des reclassements en interne à ces salariés. Un reclassement interne dans une entreprise qui calanche, c’est croquignolet, on l’admettra.

    Quant à la réintégration, selon toute vraisemblance, elle fera fermer l’entreprise complètement, entraînant ainsi la transformation d’une poignée de licenciements économiques par une faillite complète avec 74 nouveaux chômeurs à la clé. Réintégration qui, de surcroît, n’est souhaitée par aucun des salariés actuels de l’entreprise, qui comptent pourtant des délégués syndicaux des autres centrales, et ont même monté un collectif pour que les licenciés ne soient pas réintégrés, et qui soutiennent la direction.

    Seul un appel de la décision au tribunal permettra, s’il passe, de sauver les meubles et de permettre à un repreneur chinois de rattraper l’entreprise en difficulté. Mais si l’appel est rejeté, le repreneur a déjà fait savoir qu’il n’irait pas plus loin.

    Belle affaire, ne trouvez-vous pas ?

    En tout cas, tout y est réuni pour déclencher une tempête de facepalms violents.

    Tout d’abord, sur le plan philosophique, on pourra se demander à quoi sert la multiplication des instances validant un licenciement, fût-il économique. En effet, même si l’inspection du travail, la DIRECCTE et le ministère lui-même semblaient d’accord sur le principe, il n’aura suffi que d’une petite décision de justice pour remettre en cause toute leur belle assurance. Les entreprises et, de façon plus générale, la société française y gagneraient si on pouvait se passer de leurs services compte tenu des résultats observés ; autant aller au procès directement, ce qui évitera d’occuper bêtement le temps des directions, inspections et autres encombrants ministères.

    D’autre part, cette affaire prouve encore une fois la difficulté même de rompre un contrat de travail, notamment pour des syndicalistes, et même dans le cadre pourtant extrêmement balisé d’un licenciement économique. En outre, cette difficulté entraîne assez directement des conséquences néfastes imprévues et catastrophiques. Ici, très concrètement, cette surprotection des salariés va directement aboutir à multiplier par près de 15 les dégâts des 5 licenciements initiaux pour les transformer en 74. Certes, les syndicats ont clairement eu leur rôle à jouer dans cette consternante démonstration de force obtuse, mais à ce point de la réflexion, on en vient à se demander chafouinesquement si ces lois ne sont pas justement écrites pour donner in fine un pouvoir immense à des irresponsables trop heureux de résister encore et toujours contre le méchant patronat, quitte à tuer tout emploi autour d’eux…

    Enfin, on devra noter l’incroyable incohérence de la protection sociale française que le monde nous envierait tant, qui oscille ici entre l’incohérence la plus crasse et l’hypocrisie la plus débridée.

    Car c’est bien d’incohérence et d’hypocrisie qu’il faut parler ici lorsque, d’un côté, on se barbouille bruyamment du collectif et qu’on prétend chercher le bien commun, et que, de l’autre, on bousille consciencieusement le moyen d’existence de salariés qui sont très heureux de leur condition.

    En somme, on détruit le bien commun et ce lien social du travail dont les syndicalistes, les inspecteurs du travail, les juges administratifs, les ministres et tant d’autres acteurs se gargarisent à longueur de journée, sur les plateaux télé et dans les plus palpitants articles de presse, et on le fait au profit de personnes qui ont largement démontré leur toxicité au point de déclencher chez les autres salariés le besoin de vouloir se protéger d’eux (ici, en créant un collectif pour éviter leur réintégration).

    Oh, j’entends bien les arguments dégoulinant de duplicité de ceux qui viendront, droits comme des I et la main sur cœur, prêts à jurer de leur rectitude morale, nous expliquer que le tribunal n’a fait ici que respecter la Loi, toute la Loi, rien que la Loi et qu’elle ne permet pas, aveugle qu’elle est, la moindre interprétation. C’est trop chou.

    Mais voilà : ici, la justice (administrative) est devenue complètement autiste, rejetant l’esprit de la loi, le bon sens et la recherche du moindre mal au profit d’une application stricte, rigide même, de textes impénétrables dont elle entend rester la seule à pouvoir faire l’interprétation. Elle n’est plus que l’expression d’une forme de jusqu’au-boutisme, ne cherchant pas, comme jadis saint Louis sous son chêne, à équilibrer les sentences mais à rendre un verdict qui soit conforme à l’idéologie qu’elle entend promouvoir ainsi, cette idéologie qui commande que le patron est un fourbe, que le travail aliène, et qu’il faut donc lutter, par tous les moyens, pour libérer les travailleurs et asservir les patrons.

    En revanche, cela ne choquera personne que la même justice, aux mains d’autres tribunaux, voire aux mains de nos parangons de moralité, n’aura aucun mal à passer outre les petits écarts des uns ou des autres s’ils sont dans le Camp du Bien, élus ou syndiqués. Cette même justice saura se montrer accommodante ou vraiment très aveugle lorsqu’il faudra oublier certains comportements.

    Et là où chaque article de chaque livre de loi sera épluché pour n’en oublier aucune subtilité s’il s’agit de faire rendre gorge à un salaud-de-patron, la loi deviendra un maquis d’interprétations et de latitudes généreuses lorsqu’il s’agira de juger l’un ou l’autre privilégié de la République, l’enfant sacré du syndicalisme, ou lesocialement proche victime d’une trop méchante société.

    Le sort de cette fabrique de lingerie calaisienne apparaît aussi sombre qu’incertain. Mais une chose est sûre : si elle disparaît définitivement, les syndicats et le tribunal administratif pourront se vanter d’y avoir grandement contribué. Dans un pays où près de 5 millions de personnes se battent pour trouver un travail, c’est toujours bon à savoir.

    H16, 08/03/2016

    Source : h16free.com

    http://www.polemia.com/lincalculable-contribution-des-syndicats-francais-au-chomage-rediffusion/

  • A CEUX DONT LA MÉMOIRE FLANCHE

    Pieter Kerstens

    Le vote récent des Anglais, qui ont choisi d’abandonner le « bonheur européen » pour un avenir incertain, a donné lieu à un déferlement de mensonges et un tsunami de propagande orchestrés par les eurocrates de Bruxelles. Il faut donc leur rafraîchir la mémoire.

    NON, l’Europe n’a pas connu la paix depuis 60 ans ! Effectivement les Allemands n’ont plus subi les vagues de bombardements nuit et jour sur leurs villes. Nantes, Caen, Le Havre, Boulogne Billancourt, Anvers ou Bruxelles n’ont pas reçu de pluies de bombes américaines. On n’a pas découvert de nouveaux camps d’internement comme ceux du Struthof ou de Breendonk (près d’Anvers), mais la « jungle » de Calais concentre quand même toute la misère du monde…

    Si nos arrières grands-parents ou grands-parents espéraient que la guerre de 14-18 serait la « der des ders », c’est avec stupéfaction qu’ils avaient appris que le 3 septembre 1939, la France et l’Angleterre déclaraient la guerre à l’Allemagne.

    Mais c’est avec joie qu’ils ont accueilli successivement les traités européens de la CECA le 18/4/1951 au traité de Lisbonne le 13/12/2007, un empilage de dizaines de milliers de pages dont le fondement essentiel était « d’éviter une nouvelle guerre ». Les euro-mondialistes nous ont répété en permanence que plus d’Europe, encore plus d’Europe et toujours plus d’Europe aboutirait in fine à un espace « européen » ou à une « Union Européenne » idyllique et quasi comparable au Paradis.

    Une mémoire de choix.

    Les obsédés du totalitarisme mou de la Pensée Unique ont martelé le mythe de la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste, du prêt à penser, de la société multiculturelle et pluriethnique, du métissage à tous les étages et plus récemment du « Padamalgam » et du « Vivr’ensemble ». Tout ce fatras de préjugés dogmatiques était destiné à anesthésier le bon-sens et la réflexion des populations jeunes et moins jeunes.

    Plus grave : en occultant la vérité et en niant la réalité, les gouvernements successifs, de la droite comme de la gôche se sont réfugiés dans le déni et les mensonges, causes essentielles de la fuite des électeurs trompés par les partis traditionnels au Pouvoir depuis 71 ans.

    Si l’Europe n’a plus connu de « grande guerre », elle n’a pas non plus été un havre de paix, contrairement à ce que nous font croire les politiciens et les médias à leurs ordres qui passent sous silence les tueries, les massacres et les attentats depuis mai 1945.

    Février 1948 : « Coup de Prague » qui permet aux communistes de s’emparer de la Tchécoslovaquie.

    Octobre 1956 : Insurrection de Budapest matée par les chars soviétiques.

    Août 1968 : « Printemps de Prague » avorté par les troupes du Pacte de Varsovie.

    En 1974, Bulen Ecevit envoie l’armée turque envahir le nord de Chypre, qu’elle occupe toujours.

    De 1988 à 2000 : guerre dans l’ex-Yougoslavie avec frappes aériennes de l’OTAN en 1999.

    Amnésie, devoir d’oubli ou déficience mentale ?

    A longueur de discours lénifiants, les Chefs d’Etat et de gouvernements en Europe tentent de nous faire croire que depuis 2015, les attentats seraient une « situation  nouvelle » qu’ils assimilent à une « guerre contre les terroristes », éléments perturbateurs de la Pax Europa…Ces dirigeants élus ou nommés à de hautes fonctions seraient bien inspirés à se replonger dans l’histoire contemporaine. Partout en Europe les terroristes ont semé l’effroi et répandu le sang ces dernières décennies, durant lesquelles les civils innocents ont payé lourdement.

    L’IRA (Irish Republican Army) en Irlande du Nord et en Angleterre de 1919 à 2005.

    L’ETA (Euskadi Ta Askatasuna) de 1959 à 2011, en Espagne et en France.

    Le FLN et le MNA en France de 1954 à 1963, suivi de l’OAS entre 1961 et 1963.

    La RAF (Rote Armee Fraktion) de Ulrike Meinhof et Andreas Baader en Allemagne de 1968 à 1985, qui collaboraient avec l’IRA, les palestiniens du FPLP ou Action Directe.

    En Italie, le 12.12.1969 commencent les « années de plomb » avec l’attentat Piazza Fontana à Milan attribué aux Brigades Rouges et Prima Linea.

    Aux Pays-Bas le 11.06.1976 ce sont des immigrés moluquois qui prennent 50 civils en otage (8 morts)

    Le 2.08.1980 en Italie, l’attentat de la gare de Bologne, non revendiqué, tue 85 civils et en blesse 203.

    En France on constate une reprise des attentats dès 1974 avec le terroriste Carlos. Puis du 3.10.1980 (Synagogue de la rue Copernic) au 25.07.1995 avec l’attentat dans la station de métro Saint-Michel (7 morts et 84 blessés) revendiqué par le GIA, c’est une longue liste de massacres revendiqués par le FPLP palestinien, Carlos, Action Directe, le FPL d’Abbou Abbas, les FARL de Georges Ibrahim Abdallah, l’ASALA de Hagop Hagopian (Orly 8 morts et 56 blessés) en encore ceux du FIS et du GIA algériens.

    A Bruxelles le 18.09.1982, un arabe armé d’un pistolet mitrailleur WZ 63 arrose la façade de la synagogue Rue Royale, sans faire de victimes. Pas d’arrestation, la sécurité d’Etat ne bouge pas.

    Ailleurs on pourra se souvenir du 26.2.1993 avec la bombe au WTC de New-York (5 morts et 500 blessés) revendiqué par le Cheikh Omar Abdel Rahmane, prédicateur aveugle de la Djamaa Islamiya égyptienne, ancien recruteur de la CIA pour l’Afghanistan. Et bien sûr l’attentat du 11.09.2001 contre les Tours 1, 2 et 7 du WTC à New York et contre le Pentagone, attribués à Al Qaïda et Ben Laden.

    Le 11.03.2004, c’est à Madrid que le GICM marocain frappe la gare d’Atocha.

    Le 2.11.2004 à Amsterdam, Mohamed Bouyeri, membre du GICM assassine Théo Van Gogh.

    Puis le 7.07.2005, la ville de Londres, équipée de dizaines de milliers de caméras, subit les attentats dans les transports publics, revendiqués par Al-Qaïda.

    Ce ne sont que quelques exemples d’attentats parmi les centaines d’autres commis en Europe et qui ont permis aux divers services de renseignements, aux services secrets, aux tribunaux, à l’administration et aux gouvernements d’être confrontés au terrorisme, à ses causes, à ses conséquences et de prendre les mesures qui devaient s’imposer au fil des ans. Après Nice, ce 14 juillet, on constate que leur nullité le dispute à leur incompétence, par aveuglement idéologique et leur méconnaissance de la « gestion de la barbarie ».

    Tous responsables, tous coupables !

    De Giscard d’Estaing à F.Hollande, de F.Gonzales à M.Rajoy, de Helmut Kohl à Angela Merkel ou de Wilfried Martens à Charles Michel, partout, du Nord au Sud de l’Europe, les gouvernements qui nous dirigent ont vidé les églises pour remplir les mosquées. Ce sont eux les complices de la 5ème colonne dans nos cités.

    Ils n’ont pas voulu s’opposer aux prêcheurs wahhabites et takfiristes, payés par l’Arabie Saoudite ou le Qatar, qui depuis plus de 30 ans recrutent dans nos banlieues pour nous attaquer maintenant au nom du DJIHAD !

    Dès les premiers assassinats et attentats commis et revendiqués par Carlos, le FPLP-OS de Waddi Haddad ou le Fatah-Conseil Révolutionnaire d’Abou Nidal, les différents services secrets européens et les ministres chargés de la Sécurité et de la Justice devraient savoir ce qu’il en est réellement du terrorisme islamiste, de ses réseaux, de ses implications, des donneurs d’ordre et de leurs ramifications. Mais depuis très longtemps, la main droite de la Diplomatie ignore (ou veut ignorer) ce que fait la main gauche des « Services ». Chacun pour soi.

    Après la tuerie de Charlie Hebdo en janvier 2015, les massacres parisiens du vendredi « noir » 13.11.2015 et les attentats à Bruxelles du 22.03.2016, que l’on ne vienne pas nous raconter de niaiseries et de contes pour enfants, avec des « c’est imprévisible », « nous sommes surpris », « on ne savait pas » et « Padamalgam ».

    Il est répugnant que les autorités organisent des marches grotesques, des tapis de fleurs, des « doudous » et des dépôts de bougies pour des communions macabres à l’attention de peuples émasculés, alors que l’unique réponse est de venger nos morts et d’ordonner aux services de contre-terrorisme d’éliminer les assassins chez nous et non pas d’aller bombarder les musulmans, chez eux en terre d’Islam !

    Bibliographie : « Histoire secrète du terrorisme » de Ch.Villeneuve et J.P Péret.  Plon 1987

    « Au nom d’Oussama Ben Laden » de Roland Jacquard.   Jean Picollec 2001

    « Histoire du terrorisme » de Dominique Venner.  Pygmalion 2002

    « Djihad et Islamisme en Belgique » de Claude Moniquet.  Ed. Jourdan Le Clercq 2005.

     
  • Sisco : la vérité éclate enfin !

    Si la France est un pays où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont libres de rejoindre l’Arabie saoudite ou l’État islamique.

    "Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines.

    C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédé pour que les Français ne connaissent pas la vérité.

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  • Syrie-Irak : Daech recule sur tous les fronts

    Des spécialistes du renseignement prédisent un retour massif des djihadistes français dans l’Hexagone. Sur le terrain, le groupe islamique recule.

    Les semaines se suivent et se ressemblent pour le groupe Etat islamique, qui continue à perdre du terrain en Irak et en Syrie. Les stratèges de la coalition dirigée par les Etats-Unis s’avouent même surpris par l’effondrement plus rapide que prévu du « califat » autoproclamé.

    En Irak, après avoir abandonné le contrôle de Fallouja il y a quelques semaines, les djihadistes de l’EI sont en grande difficulté dans la région de Mossoul (2 millions d’habitants) où les forces kurdes, l’armée irakienne et les avions de la coalition mènent une triple offensive au nord, à l’est et à l’ouest. Plusieurs villages ont été repris cette semaine. Le sanctuaire chrétien de Qaraqosh, toujours aux mains de Daech, ne se trouve plus qu’à une dizaine de kilomètres. La bataille de Mossoul proprement dite pourrait démarrer d’ici la fin de l’année et durer « entre six et huit semaines », selon le général kurde Sirwan Barzani. Pressés d’en finir, les Etats-Unis ne cessent de muscler leur dispositif sur le terrain tandis que la France enverra des batteries d’artillerie et le porte-avions « Charles-de-Gaulle », en septembre, dans la région.
    «Les combats ne durent plus aussi longtemps qu’avant»

    En Syrie, les miliciens kurdes YPG, épaulés par l’aviation américaine, viennent de s’emparer de la localité de Manbidj, 100 000 habitants, un carrefour stratégique sur la route de Raqqa. Ils se dirigent désormais vers la ville d’Al-Bab, plus à l’ouest, pour couper complètement les djihadistes de la frontière turque, point de passage de tous les trafics.

    Parfois, les hommes de Daech opposent une résistance farouche. Leurs snipeurs ralentissent considérablement les opérations. Parfois, ils abandonnent le terrain rapidement. « Les combats ne durent plus aussi longtemps qu’avant. Ils sont affaiblis », assure le colonel américain Chris Garver, porte-parole de la coalition.

    Mais, attention. Même chassé de ses fiefs, l’EI ne disparaîtra pas du jour au lendemain. Et conservera probablement la capacité de mener (ou d’inspirer) des actes terroristes à l’étranger pendant encore de longues années.

    Le Parisien

    http://www.voxnr.com/737/syrie-irak-daech-recule-fronts