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lobby - Page 1509

  • Encore un procès contre la liberté d'expression et d'opinion en France

    Décidemment, la police de la pensée unique traque ses proies cette semaine. C'est au tour de Christine Boutin d'être jugée aujourd'hui pour "provocation à la haine ou à la violence envers les homosexuels" en raison de la partie en gras decette déclaration prononcée  en avril 2014 :

    "Je n'ai jamais condamné un homosexuel. L'homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n'est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné. (…) J'ai des amis homosexuels. (…) Ils sont pécheurs comme je le suis, on est tous pêcheurs. Je suis dans le péché, moi aussi, je suis une pécheresse, mais vous ne me verrez jamais faire l'apologie d'un péché

    Christine Boutin est présente à son procès et se défend. Elle répète qu'elle ne condamne pas les personnes mais maintient son opinion que l'homosexualité est une abomination. Elle regrette d'avoir éventuellement blessé des personnes mais explique qu'une personne ne se réduit pas non plus à ses actes :

    "J'ai de l'expérience en politique, mais je suis catholique. Tout péché, pour un catholique, est une abomination. Même le petit péché de gourmandise est une abomination (...) Mon objectif n’était pas de blesser.Je suis une femme directe, monsieur le président. J’essaye d’être en cohérence avec mes convictions profondes. Je n’ai pas changé d’avis. Mais cela ne veut pas du tout dire que je condamne les personnes homosexuelles. Je ne pensais pas pouvoir blesser avec ce mot. Je regrette, je suis absolument désolée."

    De son côté, l'association LGBT Le Refuge l'accuse du péché suprême : "Dans la famille humaine, vos propos blessent les enfants de la république". Le procureur est visiblement opposé à la liberté d'expression puisqu'il considère qu'il s'agit "incontestablement d'un appel à la haine" et requiert 3 000€ d'amende.

    L'avocat de Christine Boutin défend la liberté d'expression et met en garde :

    La décision demandée par le parquet aura des conséquences énormes sur la liberté d'expression. [...] Si vous suivez les réquisitions du procureur, alors il faut faire saisir la Bible !"

    Christine Boutin n'a fait qu'exprimer avec ses mots l'enseignement de l'Eglisecomme le montre cet extrait du Catéchisme de l'Eglise Catholique :

    "S’appuyant sur la Sainte Écriture, qui les présente comme desdépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que " les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés ". Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas." (CEC n°2357

    Verdict le 18 décembre.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le projet mondialiste : « La guerre contre les nations »

    Il y a différentes manières de « pacifier » les nations et les hommes. On peut utiliser le tapis de bombes, ou encore le totalitarisme communiste. Mais l’immigration, le métissage et la société de consommation donnent de biens meilleurs résultats.

    La destruction des nations fait partie de ce programme de « pacification du monde ». Le philosophe Bernard-Henri Lévy déclarait par exemple, dans une interview donnée au quotidien France Soir, le 24 avril 1979 : « Bravo à tout ce qui peut contribuer à casser les mythologies réactionnaires de l’État-nation, du nationalisme cocardier, de la France du terroir, des binious et des folklores (1). »

     

    Trente ans plus tard, ses convictions n’avaient pas changé d’un iota. L’Europe supra-nationale en construction le remplissait d’aise. Voici ce qu’il déclarait dans le Nouvel Observateur du 4 octobre 2007, à l’occasion de la sortie de son dernier livre : « Je suis un cosmopolite résolu. J’aime le métissage et je déteste le nationalisme. Je ne vibre pas à la Marseillaise. J’espère que le cadre national sera un jour dépassé. Et l’un des principaux mérites de l’Europe, à mes yeux, est de fonctionner comme une machine à refroidir cette passion nationale. »

    Alain Minc était un intellectuel juif libéral, lui aussi très influent dans la société française de la fin du XXe siècle. Dans un livre intitulé Épître à nos nouveaux maîtres, paru en 2002, Alain Minc (lire « Elie Minkowski »), lançait des appels fébriles à l’immigration, qui sont l’estampille de l’intellectuel juif. Il présentait très classiquement l’immigration comme une nécessité : « Il nous faudra de nouveaux immigrés, écrivait-il. Ce n’est pas une prophétie à long terme mais une réalité presque immédiate. » En réalité, il s’agissait surtout pour les intellectuels juifs de favoriser au maximum la dissolution des peuples européens, afin de se préserver d’une réaction nationaliste. À la fin de son livre, Alain Minc nous assurait encore, au cas où nous l’aurions oublié, que l’immigration était « économiquement nécessaire. » Puis, il se faisait le chantre de la citoyenneté européenne et mondialisme : « Le jour où nous serons collectivement convaincus d’être un canton à l’échelle du monde, tout deviendra plus simple (2). »

    L’ancien Premier ministre de droite, Jean-Pierre Raffarin, un Poitevin bedonnant, avec une tête de militant turc communiste, tenait le même discours dissolvant : « La France du XXIe siècle porte le métissage en son cœur », avait-il déclaré en octobre 2002. « La France est métisse et elle le restera. » Et il insistait lourdement, le 7 mai 2002, sur la radio France-Inter : « Je souhaite nommer des Français d’origine maghrébine ou africaine à des postes symboliques : recteurs d’académie, préfets, commissaires de police. Je souhaite ouvrir les élections municipales aux étrangers. »

    En 2003, un autre ancien Premier ministre d’origine juive, Laurent Fabius, qui lui était socialiste – et richissime – avait déclaré lui aussi : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République. »

    Nicolas Sarkozy, dont la mère était née Mallah, et qui serait quelques mois plus tard le président de la République, dans son discours d’investiture au congrès du Parti libéral, le 14 janvier 2007 : « Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage. »

    Le dimanche 19 décembre 2007 sur la chaîne de télévision France 2, invité par le présentateur Michel Drucker, il déclarait encore : « La France doit s’ouvrir aux autres. Il ne faut pas avoir peur des gens différents. La consanguinité, c’est la fin d’une civilisation. » Et dans son livre de 2006 intitulé Témoignages, il laissait ce propos, à la page 280 : « Je pense que les Français attendent une France d’après…, une France où l’expression « Français de souche » aura disparu. » Quelques années auparavant, en 2004, il nous avait déjà prévenus : « La France doit rester un pays d’immigration. Je crois au mélange, au métissage, à la rencontre des cultures. »

    Voici encore des extraits du discours de Nicolas Sarkozy prononcé le 29 juillet 2007 à Dakar : « Jeunes d’Afrique, ne cédez pas à la tentation de la pureté parce qu’elle est une maladie, une maladie de l’intelligence, et qui est ce qu’il y a de plus dangereux au monde… Jeunes d’Afrique, ne vous coupez pas de ce qui vous enrichit, ne vous amputez pas d’une part de vous-même. La pureté est un enfermement, la pureté est une intolérance. La pureté est un fantasme qui conduit au fanatisme… Les civilisations sont grandes à mesure de leur participation au grand métissage de l’esprit humain. » Et Sarkozy poursuivait : « La faiblesse de l’Afrique qui a connu sur son sol tant de civilisations brillantes, ce fut longtemps de ne pas participer assez à ce grand métissage. Elle a payé cher, l’Afrique, ce désengagement du monde qui l’a rendue si vulnérable. Mais, de ses malheurs, l’Afrique a tiré une force nouvelle en se métissant à son tour. Ce métissage, quelles que fussent les conditions douloureuses de son avènement, est la vraie force et la vraie chance de l’Afrique au moment où émergent la première civilisation mondiale… Ouvrez les yeux, jeunes d’Afrique, et ne regardez plus, comme l’ont fait trop souvent vos aînés, la civilisation mondiale comme une menace pour votre identité mais la civilisation mondiale comme quelque chose qui vous appartient aussi. »

    Le métissage, on le voit, est véritablement une obsession chez les juifs, mais il faut bien comprendre que, chez eux, c’est un discours exclusivement réservé l’exportation. Nicolas Sarkozy, par exemple, avait épousé des femmes juives : Cécilia Cziganer Albeniz d’abord, qui avait des origines juives roumaines, et Carla Bruni ensuite, une juive italienne.

    Vingt ans auparavant, l’ancien ministre Lionel Stoleru, d’origine roumaine, manifestait lui aussi cette obsession des juifs à dissoudre l’identité nationale. Dans son livre La France à deux vitesses, en 1982, il écrivait ainsi : « Il y a, pour n’en citer que quelques-unes, une culture asiatique encore plus ancestrale et peut-être plus raffinée que la nôtre, il y a une culture sud-américaine où la mort et la violence cohabitent paisiblement avec la tendresse et la fraternité. Il y a une culture africaine où la chaleur solaire et la chaleur humaine se sont fondues dans un même creuset. La France peut être la porte d’entrée grande ouverte de l’Europe à ces courants culturels que nous connaissons encore trop mal. Elle peut être ce « Théâtre des Nations », cette scène où se joue l’histoire sordide et grandiose de l’espèce humaine (3). »

     

    Au début des années 80, l’ancien communiste, Guy Konopnicki, avait été l’un des premiers à comprendre que le modèle libéral américain permettait d’instaurer la société multiculturelle bien plus solidement que ne pouvait le faire le système communiste. Dans le discours de gauche, cet aspect de la question prédominait souvent sur les considérations économiques et la contestation du capitalisme libéral générateur d’inégalités. Le très progressiste Konopnicki faisait ainsi l’apologie du modèle américain et encourageait la société multiethnique : « Une culture nouvelle émerge à La Courneuve et à Meudon-La-Forêt, une manière d’être qui ignore les origines et les frontières… Le mélange est américano-cosmopolite : Vitry, c’est plus près de Harlem que de Castres (4).»

    Mais la plupart des autres intellectuels juifs « progressistes » n’avaient entamé leur virage à droite qu’à partir des incidents avec les jeunes immigrés afro-maghrébins des banlieues françaises qui éclatèrent à la faveur de la deuxième Intifada palestinienne, en septembre 2001. Les intellectuels de gauche se muèrent alors en partisans de la droite « dure » : il s’agissait pour eux, non pas d’expulser les millions d’immigrés qu’ils avaient fait rentrer en France, mais de conforter cette société multiraciale qu’ils avaient tant contribué à mettre sur pied.

    Enrico Macias était un chanteur français d’origine algérienne. Ce juif séfarade, qui chantait la fraternité universelle, avait connu son heure de gloire en France dans les années 70 et 80, mais il était toujours sur les plateaux de télévision en ce début du XXIe siècle. Le chanteur de gauche avait soutenu Nicolas Sarkozy, le candidat libéral pro-sioniste et pro-américain, durant la campagne présidentielle de 2007. Dans un entretien que publiait le quotidien gratuit, 20 Minutes, le journaliste l’interrogeait : « Vous continuez à vous définir comme un homme de gauche ? » Et Macias répondait : « Bien sûr. Je suis de gauche, mais je soutiens Sarkozy parce que c’est un homme hors du commun. Je l’ai d’ailleurs soutenu à un moment où tout le monde m’a critiqué . On disait : « Comment un homme de gauche peut-il soutenir un homme de droite ? » » Macias citait ceux de ses congénères qui avaient changé de costume : « Regardez maintenant : Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang, Bernard Kouchner, tous les éléphants du Parti socialiste qui travaillent avec lui. D’ailleurs, comme eux, s’il me proposait une mission, je l’accepterais. »

    Sur la question de l’immigration, naturellement, la politique de la droite était à peu près similaire à celle de la gauche. On continuait à faire venir les immigrés et à régulariser les clandestins. Enrico Macias était alors allé voir son pote Sarkozy : « Il m’a écouté et a régularisé une centaine de dossiers que je lui ai confiés. »

    Enrico Macias était aussi un richissime homme d’affaires. Il avait placé ces millions dans les casinos Partouche. Peut-être aurait-il pu en faire profiter un peu les Français de souche dans la misère. Mais on l’a bien compris : un juif ne raisonne et n’agit que dans l’intérêt de la communauté juive. Et leur intérêt, manifestement, n’était pas de nous aider mais de nous dissoudre.

    Dans les années soixante-dix, le médecin Alexandre Minkowski œuvrait déjà à pacifier les Français en injectant dans le corps national toutes les minorités possibles. À l’hôpital où il exerçait, il donnait ainsi la priorité à l’embauche à tous les étrangers, au détriment des Français : « J’avais déjà un Syrien, une Israélienne, deux Algériens et une Indonésienne musulmane dans mon service, ils travaillaient tous en parfaite intelligence. Alors pourquoi ne pas y ajouter quelques Palestiniens ? Ils arrivèrent à l’hôpital à dix ou vingts, tous médecins, à l’exception d’une assistante sociale palestinienne chrétienne (5). »

    Dans son roman à deux sous publié en 1980, Arnold Mandel faisait l’apologie du métissage pour les goys. Il met ici en scène une Française avec un Arabe. Nous sommes en juin 1940, à Marseille : le ménage européo-arabe, Germaine et Ali « se battait parfois et copulait bruyamment… Germaine et Ali s’éveillèrent et firent l’amour, vocalisant puissamment leur consensus (6). »

    Vingt ans plus tard, les obsessions du judaïsme étaient toujours les mêmes. Le docteur Georges Federmann, un psychiatre de Strasbourg, voyait les Gitans comme des frères, ou au moins, comme des cousins. Militant démocrate et humaniste, membre d’associations « antiracistes », il était très engagé dans un combat en faveur des Roms et des « sans-papiers ». « J’attends la période messianique, mais je me casse le cul pour qu’elle arrive », pouvait-on lire dans Les Dernières Nouvelles d’Alsace, le 21 janvier 2003. C’est lui qui avait servi de modèle pour le personnage principal du film Swing de Tony Gatlif, qui racontait l’histoire d’un docteur qui soigne et gratuitement les Gitans. Le mardi 15 novembre 2005, pourtant, on apprenait dans les journaux que ce psychiatre renommé avait connu quelques déboires avec l’un de ses protégés. Le psychiatre, « connu pour ses prises de position en faveur des plus démunis » avait été grièvement blessé avec son épouse et assistante. Il avait reçu quatre balles dans le corps. L’auteur de l’agression était un homme de 57 ans, qui avait, paraît-il, de grands problèmes psychiatriques. Le docteur Federmann, lui, était sans doute on ne peut plus sain d’esprit.

    Les intellectuels juifs manifestaient aussi régulièrement une certaine inclination à proférer d’énormes contre-vérités. Chez eux, cette disposition à prendre les goys pour des demeurés, ce culot à toute épreuve, s’appelle « chutzpah » – prononcez « Houtzpah (7) ». En mars 2008, la revue Géo Histoire avait publié par exemple un entretien de trois pages avec le démographe Gérard Noiriel, spécialiste de l’histoire de l’immigration et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (une bonne planque). L’entretien avait pour titre : Le fantasme identitaire. Et voici ce que l’on pouvait y lire : « Fort de ses recherches, l’historien peux rappeler que depuis cent cinquante ans, jamais l’immigration n’a été aussi faible en France. En 2007, cela fait plus de trente ans qu’elle n’a pas augmenté de façon significative. Les statistiques produites par l’INED (Institut National des Études Démographiques) le démontrent : il y a moins d’étrangers aujourd’hui il n’y en avait en 1997. Et voici ce qu’en bon juif, Gérard Noiriel concluait : « Il est important de déconstruire cette notion-là : la France (8). »

    Si nombre d’intellectuels et d’hommes politiques de gauche avaient rejoint la droite libérale en ce début du XXIe siècle, inversement, beaucoup de « libéraux » nourrissaient depuis longtemps une sympathie évidente pour les mouvements révolutionnaires d’extrême-gauche. Tout cela était parfaitement naturel, dès lors que l’on comprenait que l’essentiel était, pour ces esprits cosmopolites, d’œuvrer en faveur de la société multiculturelle et dans le sens du projet de gouvernement mondial.

    Paul-Loup Sulitzer, un homme d’affaires et romancier à succès, très libéral, racontait son parcours : « Je participe à la farandole lyrique de Mai 68. Je suis bien loin de me sentir gauchiste ou révolutionnaire. Mais je hais la stagnation. Si j’avais été russe en 1917, j’aurais sans doute eu envie de secouer la chape de plomb tsariste. » Et il poursuivait : « Il faut que l’homme et la société bouge sans cesse ; le mouvement, c’est la vie. Il faut réviser ses positions chaque jour, refuser de s’encroûter et de se figer (9). »

    Le très libéral Alain Minc exaltait lui aussi les événements de Mai 68 : « le choc libérateur de Mai 68 (10) », disait-il. C’est parce que le projet politique du communisme était exactement le même que celui des financiers internationaux : dissoudre les identités nationales, effacer les frontières, supprimer les libertés tribales, favoriser par tous les moyens l’unification du monde et l’instauration d’un gouvernement mondial.

    Les Juifs sont littéralement obsédés par la dissolution des nations et l’unification du monde, condition sine qua non à la venue du messie. Voyez encore ce qu’écrivait par exemple Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui fut en 1953 le fondateur de l’hebdomadaire bourgeois L’Express. Dans un petit livre intitulé Le réveil de la France, mai-juin 1968, Servan-Schreiber exaltait lui aussi l’esprit de mai 1968, en trouvant des excuses à des étudiants qui étaient allés cracher sur la tombe du soldat inconnu : « Il est bien évident, écrivait-il, que les étudiants ne crachaient pas sur ce malheureux, qui représente si bien dans son anonymat tous ceux qui, comme lui, se sont fait tuer dans des guerres atroces. Ils s’en prenaient justement, je veux dire à ce titre, à la monstrueuse stupidité du système éternel de souveraineté nationale, érigée en valeur suprême, qui porte en lui la guerre et la haine comme la nuit porte l’orage. » Et il insistait : « C’était peut-être le premier hommage vraiment sérieux rendu à l’inconnu de l’Étoile (11). »

    Dans Les fossoyeurs, paru en 1993, Jean-Jacques Servan-Schreiber exprimait de manière elliptique cette attente fébrile du messie chez les juifs : « Pour parvenir à cette société d’épanouissement individuel, il va falloir s’arracher à l’ordre ancestral… ce sera encore long, j’aurais du mal à endurer ces lenteurs qui nous détruisent (12) !»

    La gauche ou la droite, pour ces esprits cosmopolites, n’étaient que deux moyens un peu différents de parvenir un même but. En septembre 2008, les élections américaines qui se préparaient à opposer un démocrate noir, Barack Obama, à un conservateur blanc, John McCain. Écoutez ce témoignage d’un banquier, que l’on pouvait lire dans le numéro du 4 septembre du Nouvel Observateur, un hebdomadaire de gauche dirigé par Jean-Daniel (Bensaïd). L’article de Claude Weill était intitulé Un Noir à la Maison Blanche ? Claude Weill écrivait, au sujet de Barack Obama : « Il est le rêve américain incarné. L’illustration des valeurs d’ouverture, de métissage qui ont fait la grandeur de l’Amérique. Le pays où tout est possible… Celui qui liquidera les démons de l’Amérique et lui permettra de renouer avec le meilleur de sa tradition. « Bien sûr je vais voter pour Obama, me dit un banquier Conservateur bon teint. Je ne veux pas passer à côté de l’histoire ! » »

    Le clivage, en vérité, n’était plus depuis longtemps entre les partisans de la « gauche » et ceux de la « droite ». Il s’agissait d’une lutte gigantesque entre, d’un côté, les juifs et les partisans de l’Empire global, et, de l’autre, les peuples et tous les défenseurs du monde traditionnel et des libertés locales. La situation s’était d’ailleurs clarifiée depuis la chute du mur de Berlin en 1989 et l’effondrement du soviétisme.

    En 1992, le philosophe de gauche Bernard-Henri Lévy notait ainsi ses convergences de vue avec Alain Minc, l’intellectuel libéral, mais naturellement, sans en expliquer l’origine : « Si souvent les mêmes réflexes. Des sensibilités voisines. Une vision du monde qui, sur la plupart des sujets, nous met sur la même longueur d’onde (13). »

    Cette convergence de vue est encore illustrée, par exemple, par la collusion qu’il y eut entre la finance internationale et le mouvement bolchevique. En 1918, le fameux banquier Max Warburg se trouva confronté aux Spartakistes, dont les chefs étaient tous issus du « peuple élu ». Voici ce que l’on trouve dans le livre de Jacques Attali consacré à la famille Warburg : « Le 5 novembre 1918, un comité révolutionnaire prend le pouvoir à Hambourg. L’aura de Max Warburg est telle que le comité, après l’avoir pris en otage et pressé de dire où se trouve l’argent de la ville, protège sa famille, l’invite à déjeuner au Rathaus et l’entend comme conseiller. »

    Les juifs communistes, on le voit, éprouvaient surtout du respect et de la sympathie pour leur congénère de la banque. Jacques Attali confirmait ici que le judaïsme n’est pas tant une religion qu’un projet politique. Siegmund Warburg, le fils de Max, écrivait-il, « était un agnostique à l’esprit très religieux. Toujours il s’est identifié à la cause du judaïsme comme force morale. » Et il ajoutait : « Siegmund s’affirme comme citoyen du monde (14). »

    En 2008, Bernard Henri-Lévy confirmait que le judaïsme n’était pas seulement une religion : « Ce que la plupart des gens ont, semble-t-il, du mal à entendre, c’est que le judaïsme n’est pas une religion. Le mot »religion » n’existe pas en hébreu… Et si le mot n’existe pas, si on ne l’a trouvé dans aucun livre du Talmud, dans la bouche d’aucun des Sages et des Maîtres qui ont fait la grandeur de la loi orale… c’est parce que la chose elle-même n’existe pas davantage… Savez-vous que « synagogue », par exemple, « Beit Knesset », veut dire maison de réunion et pas de prières ? Savez-vous que la Torah désigne moins je ne sais quel bréviaire ou missel, ou livre de prières, que la constitution (vraiment la constitution, au sens propre, quasi politique, ou en tout cas, civil du mot constitution) donnée par Moïse à son peuple après la réception des Tables ? Savez-vous qu’il y a eu, au XXe siècle encore, au sein même de ce que vous appelleriez le monde de la croyance et de la foi, des maîtres éminent (je pense au Rav Cook) qui tiennent que l’athéisme n’est pas un problème pour le judaïsme (15). »

    Le judaïsme, en effet – répétons-le – est d’abord et avant tout un projet politique.

    Notes

    1) Bernard-Henry Lévy, dans Yann Moncomble, Les professionnels de l’antiracisme, Faits et Documents, 1987, p140. Un peu plus haut dans ce même article, Lévy avait déclaré qu’il était « prêt à risquer sa vie pour Israël ».

    2) Alain Minc, Épître à nos nouveaux maîtres, Grasset, 2002, pp. 98, 245, 260

    3) Lionel Stoléru, La France à deux vitesses, Flammarion, 1982, p. 246.

    4) Guy Konopnicki, La place de la nation, Olivier Orban, 1983, p. 175.

    5) AlexandreMinkowski, Un juif pas très catholique, Ramsay, 1980, p. 163.

    6) Arnold Mandel, Tikoun, Mazarine, 1980, pp. 60, 64.

    7) « Chutzpah », avec la graphie allemande.

    8) Alain Minc, Guy Sorman, Jack Lang, etc, ont tenu des propos similaires. Cf. nos livres précédents.

    9) Paul-Loup Sulitzer, Laissez-nous réussir, Stock, Poche, 1994, pp.37,38.

    10) Alain Minc, Épître à nos nouveaux maîtres, Grasset, 2002, pp. 67.

    11) Jean-Jacques Servan-Schreiber, Le réveil de la France, mais-juin 1968,Denoël, 1968, p. 88.

    12) Jean-Jacques Servan-Schreiber, Les Fossoyeurs, Fixot, 1993, P. 59.

    13) Bernard-Henry Lévy, Le Lys et la cendre, Grasset, 1996, pp. 16, 233, 470.

    14) Jacques Attali, Sir Sigmund G. Warburg, Un Homme d’influence, Fayard, 1985,Poche, pp. 131, 329.

    15) Michel Houellebecq, Bernard-Henry Lévy, Ennemis publics, Flammarion, Grasset, 2008, pp. 167, 168.

    Hervé Ryssen,

    Extraits de « Le Miroir du judaïsme », éditions Baskerville, 2009 (Pages 60 à 68)

    http://la-dissidence.org/2015/10/19/le-projet-mondialiste-la-guerre-contre-les-nations/

  • Les collabos de l’immigration jettent le masque

    Sur l’affaire des “migrants”, en fait celle concernant les vagues d’immigrés illégaux à l’assaut de3203.jpgl’Europe, la grosse presse, largement subventionnée, gorgée d’argent public et de recettes publicitaires, nous sert jusqu’à la nausée son brouet libéral-libertaire, européiste, mondialiste et cosmopolite, celui que refusent un nombre croissant de lecteurs à mesure que croît le décalage entre ce que les Français y voient ou lisent et la réalité qu’ils perçoivent et vivent au quotidien. Il s’agit, bien entendu, selon nos grandes âmes par procuration, d’accueillir avec enthousiasme l’Autre, celui venu d’ailleurs, nimbé de toutes les vertus et paré de toutes les supériorités dont pourraient et même devraient se réjouir des peuples vieillissants et fatigués qu’ils auraient pour mission de régénérer. Heureusement, pour faire pièce à ce déferlement totalitaire d’un conte mièvre destiné aux esprits les plus fragiles, nombreuses sont les sources d’information alternative, sites internet, blogues et quelques courageux journaux résistants à opposer un autre son de cloche.

    L’épisode migratoire intensif subi par la France et un certain nombre de nations européennes et son aggravation subite depuis le mois d’août dernier ne doivent évidemment rien au hasard, pas plus que l’imposition foudroyante, y compris, hélas, dans les milieux hostiles à cette immigration illégale et qui devraient se garder de dangereuses dérives sémantiques, du terme “migrants” qui n’a rien à voir avec les tics langagiers que nous imposent régulièrement les media.

    Les milieux libéraux entonnent en chœur, avec la gauche, les refrains connus du déficit démographique qu’il convient de combler au plus vite, d’un système social qu’il nous faudrait consolider en accueillant la misère du monde — cherchez l’erreur —, de la nécessaire solidarité à mettre en œuvre et du grand cœur qu’il convient de porter en bandoulière tout en affichant une exaltation bienveillante devant un fléau de grande ampleur qu’il faudrait feindre de prendre pour une inégalable opportunité. C’est un véritable festival dans lequel il n’est pas toujours aisé au néophyte de distinguer les authentiques collabos des véritables tartufes. La télévision et la presse libérale comme de gauche, fidèles et dociles à leurs commanditaires aura une fois de plus joué son rôle, pilonnant sans répit, sans le moindre sens de la nuance.

    LA GROSSE PRESSE MOBILISÉE POUR UN VÉRITABLE LAVAGE DE CERVEAU

    Paris-Match, magazine à grand tirage reste l’un des titres-phare de l’empire de presse Hachette Filipacchi Media (HFM), filiale de Lagardère Active possédant des filiales aux États-Unis, au Japon, en Espagne et en Italie, éditant et commercialisant 260 titres dans 34 pays. Ce magazine grand public affichait en couverture de son numéro du 10 septembre une fillette au regard triste, tenant à la main un chapelet, islamique bien entendu, et juchée sur les épaules d’un père visiblement fourbu et le regard baissé, avec pour titre « Accueillez-nous . Le grand défi de l’Europe ». Pas moins de 24 pages étaient consacrées au problème des “migrants”, accompagnées de photos suggestives destinées à attendrir le chaland.

    La couverture du magazine Le Point ne faisait pas non plus vraiment dans la dentelle avec son gros plan sur le visage souriant d’Angela Merkel barré du titre « L’incroyable Madame Merkel. Si seulement elle était française… ». Il s’agissait alors de la Merkel 1, celle de l’ouverture inconditionnelle des frontières de l’Allemagne. On sait que l’hommasse teutonne, Merkel 2, se ravisa bien vite, quelques jours après, non en raison d’une quelconque velléité de bon sens ou d’intérêt national mais plus prosaïquement sous la pression de la partie la moins avachie de la population. Ses premières déclarations en faveur d’un accueil inconditionnel des immigrés illégaux avaient pourtant rencontré un large écho positif dans la population mais les nuées ne mirent pas longtemps à se dissiper et la réalité tangible de la submersion lui fit, en quelques jours, rétablir le contrôle aux frontières, nonobstant les laxistes accords de Schengen qui, depuis 1985, les suppriment au sein de la Communauté européenne.

    Quant à l’Obs, sa couverture du 3 septembre affiche sur fond noir le visage de Miran, présumé kurde iranien et restaurateur en France, barré d’une énorme titre manuscrit « J’ai été migrant ». Le dossier consacré au sujet constitue une véritable anthologie de témoignages d’immigrés à l’intégration irréprochable. Rien, ni personne n’y manque, de Zukhra, hôtesse d’accueil et étudiante en art, aux Maliens Cissé Seydou et Galadio Cissé, réciproquement épicier et restaurateur, en passant par Madina, tchétchène et traductrice et enfin Haytam, inscrit dans une classe préparatoire scientifique à Orsay, ce dernier ayant l’outrecuidance de déclarer : « c’est en France que j’ai découvert la pauvreté ». Il y a vraiment des ordres d’expulsion qui se perdent.

    Dans le journal économique Les Échos, propriété du milliardaire Bernard Arnault — première fortune de France et quatrième fortune mondiale —, dont le patrimoine professionnel seul est estimé à 35 milliards d’euros, le chroniqueur Éric Le Boucher s’en donne à cœur joie dans un article au titre prometteur : « L’immigration sera la chance de nos économies. » En bon laquais déférent de la ploutocratie, Éric Le Boucher nous assène ses vérités et surtout celles de ses maîtres. De but en blanc, il commence son article par un péremptoire « Les économistes ne sont jamais d’accord entre eux, sauf sur un sujet : les bienfaits de l’immigration. » Cette première phrase résume et donne le ton de l’article. Reprenant l’antienne des immigrationnistes, il relativise les chiffres, tempère les analyses et se veut rassurant en affirmant que « l’immigration apparaît “massive”, mais ne l’est pas tant que ça. On compte 230 millions d’immigrés dans une population mondiale de 7,2 milliards, soit 3,2 %. C’est peu ». Ce collabo de choc feint d’ignorer qu’une bonne partie de cette population mondiale n’accueille aucun immigré et que l’immigration de prédation converge essentiellement vers les économies les moins atones. Après avoir plaqué méthodiquement dans son billet l’essentiel des poncifs immigrationnistes, notre plume servile conclut que « tout cela devrait conduire à beaucoup relativiser l’angoisse d’invasion et, puisque l’immigration reste, somme toute gérable, à mener des actions de long terme pour profiter de ses bienfaits et éloigner ses inconvénients ». Il n’omet évidemment pas le mensonge éculé des vieux pays dont le système social a besoin d’être conforté par les immigrés. Gageons que ce rampant ne doit guère fréquenter les guichets des C.A.F., de la Sécurité sociale, ni du Pôle Emploi. Pas plus d’ailleurs que les mairies, les centres sociaux, les transports en commun, les hôpitaux et autres lieux où cet individu serait amené à réviser en accéléré ses belles certitudes remplacistes. Gloser sur l’immigration à Saint-Germain-des-Prés ou dans le seizième s’avère nettement plus plaisant et moins risqué.

    Réaliser un tour d’horizon complet de la grosse presse serait fastidieux et répétitif puisque une quasi-unanimité de celle-ci met en demeure nos contemporains d’ouvrir grandes les frontières et de profiter de cet horizon indépassable de félicité que représentent la submersion migratoire et la disparition de nos peuples autochtones. Les apôtres du suicide collectif semblent tout émoustillés et ragaillardis par le déferlement massif de la misère du monde aux quatre coins de l’Europe. […]

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    http://lacollaborationaujourdhuienfrance.hautetfort.com/archive/2015/09/28/les-collabos-de-l-immigration-jettent-le-masque-5691317.html

  • Migrants : pas de risques sanitaires ?

    Un ami ayant beaucoup voyagé me l’a fait remarquer : « Pour toute destination au soleil, il faut x vaccins… Sait-on si des migrants ne sont pas malades ? »

    Des vaccins conseillés pour un européen allant au Proche-Orient. Mais y a-t-il un contrôle médical de tous les migrants ? Soyons toutefois rassurés puisque ce n’est même pas une priorité pour MSF.

    Un ami, technicien de l’audiovisuel ayant beaucoup voyagé, me l’a fait remarquer : « Pour toute destination au soleil, il faut x vaccins… Sait-on si des migrants ne sont pas malades ? »

    Doctissimo.fr dresse la liste, pays par pays, des « vaccinations recommandées avant le départ » pour tout Européen : exemple, pour la Syrie, les risques vont de la méningite à méningocoque —mortelle à 50%— aux hépatites A et B, en passant par la diphtérie, la polio, la typhoïde, l’ankylostomiase —par vers souvent sur des « porteurs sains »—…

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  • La chasse au FN est ouverte au PS

    La volonté d’épuration de toute pensée dissidente a encore frappé. Cette fois, c’est le patron des députés PS, Bruno Le Roux, qui sonne le tocsin : il faut sanctionner le député de Vaucluse Jacques Bompard, président de la Ligue du Sud, pour ses propos tenus, ce mercredi, à l’Assemblée nationale.

    Et de vouloir saisir, au nom du groupe SRC, le président de l’Assemblée, Claude Bartolone, au motif que le député-maire d’Orange aurait proféré « des propos insultant l’Etat et nos citoyens, notamment de religion musulmane ». Diantre, quels sont-ils, ces propos qui clouent ipso facto son auteur au pilori ?

    Monsieur Bompard a osé parler de Grand Remplacement. M. Bompard a évoqué ce que que de plus en plus de Français expriment dans divers sondages, à savoir que « Ce qui (leur) est insupportable, c’est que l’Etat encourage l’islamisation de notre société ». Et d’ajouter qu' »en France, des préfets font pression pour la construction de mosquées. En France, des membres du Conseil d’Etat sont commissionnés à la Fondation pour les œuvres de l’islam. En France, les Frères musulmans sont des interlocuteurs du ministère de l’Intérieur ». Prêt à prouver le contraire, Bruno Le Roux ?

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  • Millions alloués par la mairie de Paris aux associations : Droite et les Verts soupçonnent de petits arrangements entre amis

    L’ambiance est électrique dans l’hémicycle de l’hôtel de ville de Paris en cette rentrée de septembre. Les élus doivent délibérer d’une subvention de 150 000 euros que la municipalité veut allouer à l’association Yes We Camp pour la réhabilitation de l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul. Jean-Baptiste de Froment, membre de l’opposition, s’apprête à la contester lors d’une prise de parole. L’élu a pressenti que quelque chose ne tournait pas rond. Mais les équipes d’Anne Hidalgo lui ont coupé l’herbe sous le pied : la délibération a été retirée à la dernière minute de l’ordre du jour. Ce que Jean-Baptiste de Froment n’a pas eu le temps de dire, c’est que le président de Yes We Camp, un certain Jean-Michel Guénod, est un compagnon de longue date du Parti socialiste.

    (…) Le Point

    http://www.fdesouche.com/660737-millions-alloues-par-la-mairie-de-paris-aux-associations-droite-et-les-verts-soupconnent-de-petits-arrangements-entre-amis

  • Leur fureur, notre résistance

    Les médias ne parlent que de cela ce matin,  Marine Le Pen a finalement été contrainte d’annuler hier sa participation à l’émission  Des paroles et des actes sur France 2, dont elle était l’invitée principale, pour des raisons de  forme et de fond a-t-elle expliqué. «La méthode (de France 2) est inadmissible. Cette émission était une véritable mascarade. M. Pujadas et son équipe sont venus me supplier dans mon bureau, il y a quelques semaines, de participer à leur émission. Ils se sont ensuite soumis aux injonctions de M. Cambadélis et M. Sarkozy d’organiser un débat de 45 minutes sur les régionales. Je suis la représentante de millions d’électeurs français qui n’entendent pas se faire traiter avec mépris.» Électeurs qui selon la dernière enquête BVA entendent en effet mettre un coup de pied dans la fourmilière avec douze triangulaires qui se disputeraient au second tour…dans douze régions, le même nombre qu’en 2010 mais  alors dans  vingt-et-une régions…

    Ainsi, en cas de triangulaire au second tour, la liste FN conduite par Marine Le Pen l’emporterait largement en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, avec 46% d’intentions de vote;  la liste  FN de Marion Maréchal-Le Pen pourrait également arracher la victoire  en PACA, avec  37% des suffrages, au coude à coude avec la liste LR-Modem-UDI . De manière plus générale, dans les autres régions,  les listes frontistes dépasseraient ou frôleraient  la barre des 30% au premier tour ; Louis Aliot est même annoncé en tête le 6 décembre au soir en Languedoc-Roussillon.

    Devant cette révolte populaire qui monte et dont le baromètre des urnes devrait préciser l’étiage dans six semaines, l’attelage RPS  est désarçonné et se voit contraint  de changer de tactique. Celle du front ripoublicain,  déjà déclinante,  semble plus que jamais au PS aussi contre-productive qu’obsolète.

     D’autant que dans la conjoncture actuelle,  elle priverait les socialistes de toute présence dans de nombreuses  assemblées régionales… Bref, le «désistement républicain» (sic) pour faire barrage au FN n’est plus guère défendu que par Anne Hidalgo et la porte-parole du PS Juliette Méadel.

    Mais d’ores et déjà en Nord-Pas-de-Calais-Picardie,  Xavier Bertrand et Pierre de Saintignon ont juré qu’ils ne se désisteraient pas l’un pour l’autre au second tour  face à Marine. Et cet enterrement du front ripoublicain, de cette collusion tellement visible  entre gauche et droite euromondialistes, a été préconisé sous couvert de diverses arguties, par Benoit Hamon,  Jean-Christophe Cambadélis, Christophe Castaner en PACA, le sénateur Luc Carvounas, directeur de campagne de Claude Bartolone en Ile-de-France…

    Bref la suggestion peu finaude  de ce«ministre anonyme», recueillie par France Info et dont nous  faisons l’écho à la rentrée,  d’une alliance gauche-droite avant le second tour n’est pas pour l’instant à l’ordre du jour. Certesn le député PS de Paris Christophe Caresche a estimé que si a premier tour  «on constate qu’il y a dans un certain nombre de régions un risque sérieux que le Front National l’emporte, il faut envisager cette hypothèse» ;  «Je répondrai à cette question au soir du premier tour» a éludé Claude Bartolone.

    Face aux défenseurs des identités nationales, il faut une alliance « entre les deux blocs » de Français qui ne votent pas (encore) FN, afin d’aller vers  la « modernisation » préconisait de son côté ce matin sur Europe 1 , Henrik Enderlein, directeur du Jacques Delors Institut of Berlin et professeur d’économie politique à la Hertie School of Governance de Berlin, interrogé par Jean-Pierre Elkabbach.

    « La France que j’aime est une France ouverte, qui se tourne vers l’Europe et ouvre ses frontières. La France doit se moderniser et ne pas laisser place au déclinisme. Pleurnicher, le déclinisime, arrêtons. Ce n’est plus la France qui se modernise...»

    Et ce fameux modernisme c’est quoi ? M. Enderlein le confesse, c’est la politique  de Mme Merkel et des élites mondialisées : « L’Allemagne accueille 10.000 migrants par jour, et peut-être deux millions en 2015. Va-t-elle être dépassée ? On a pas le choix. Le droit d’asile est un droit constitutionnel. Pour arrêter, il faudrait changer la constitution ! (…). L’Allemagne doit opérer un changement culturel. C’est un défi mais l’Allemagne est prête. C’est un pays ouvert et qui va s’ouvrir d’avantage. »

    S’ouvrir davantage pour accélérer la disparation des nations conservant   leur identité européenne, helléno-chrétienne…au nom de « l’idéal européen » ( !)  et criminaliser les lanceurs d’alerte, telle est la voie sur laquelle nous sommes engagés constate Bruno Gollnisch.

    Caroline Artus  soulignait de son côté sur boulevard voltaire la fureur d’une gauche toute à sa « volonté d’épuration de toute pensée dissidente».  « Le patron des députés PS, Bruno Le Roux, veut ainsi  sanctionner le député de Vaucluse Jacques Bompard (…)  pour ses propos tenus, ce mercredi, à l’Assemblée nationale, au motif que ce dernier  a osé parler de Grand Remplacement », « évoqué ce que de plus en plus de Français expriment dans divers sondages, à savoir que  Ce qui (leur) est insupportable, c’est que l’Etat encourage l’islamisation de notre société.  En France, des préfets font pression pour la construction de mosquées. En France, des membres du Conseil d’Etat sont commissionnés à la Fondation pour les œuvres de l’islam. En France, les Frères musulmans sont des interlocuteurs du ministère de l’Intérieur ».

    Ce même  article  relève « les invectives », il y a deux jours au Sénat,  de Christiane Taubira, au style oratoire décidément toujours aussi fat et ampoulé, à l’encontre du sénateur frontiste David Rachline. «On prend note», a déclamé ce catastrophique ministre de la justice,   « de vos réflexes, de votre culture et de vos pratiques, et on imagine ce que ça donnerait si vous arriviez au pouvoir, mais nous allons nous battre pour que cela soit absolument impossible.»

    Pour ne rien  dire de la page facebook de  Stéphane Martinet, élu PS, sur à propos du FN : « Nous lutterons contre ces chiens, ces rats qui chassent en meute, ces gens qui font honte à la race humaine.» L’esprit de la Terreur  révolutionnaire n’est pas mort…

    Nous l’avons dit, Manuel Valls a  réitéré dernièrement la promesse faite à ses amis et à ses soutiens que «tout sera fait»pour empêcher la victoire du FN. Après tout, au nom du progrès, des droits de l’homme,  de la république universelle et sans frontières, changer le peuple français  pour le punir  de mal penser, de mal voter, de vouloir rester  lui même, voilà une solution finale, un  populicide,  qui a le mérite aux yeux des gardiens des lumières mondialistes d’être imparable.

    http://gollnisch.com/2015/10/23/leur-fureur-notre-resistance/

  • Vers l'abrogation du "mariage" LGBT en Slovénie

    SLa cour constitutionnelle de Slovénie a donné aujourd’hui son feu vert à un référendum demandant à annuler la loi sur le mariage homosexueadopté par le parlement Slovène en mars 2015.

    Un groupe conservateur proche du parti d’opposition de centre-droit, le Slovenian Democratic Party (SDS), soutenu par l’Eglise catholique avait réuni les 40 000 signatures nécessaires pour provoquer un référendum sur la question.

    Le parlement slovène (composé de grands démocrates, probablement) avait bloqué l’initiative de ce groupe au motif que ce référendum était inconstitutionnel au motif que « le mariage hétérosexuel ou homosexuel est un droit fondamental ». 

    Cette décision a été invalidée par la cour constitutionnelle.

    Selon la loi Slovène, un groupe qui rassemble 40 000 signatures en un mois peut demander un référendum. La population slovène s’élève à 2 millions d’habitants.

    Si plus de 20 pour cent des inscrits s’exprime, et que le non à la loi sur le mariage homosexuel l’emporte, cette loi sera annulée.

    Michel Janva

  • Ce que vous ne verrez pas au JT : les immigrés prennent des selfies pendant qu’ils incendient leur campement de réfugiés

    Les journaux télévisés et les quotidiens de la presse mainstream vous ont montré des images du camp de réfugiés de la Brezice slovène en feu.

    Mais les médias aux ordres se gardent bien de vous expliquer que ce sont les immigrés illégaux, pardon les « réfugiés », qui ont eux-mêmes mis le feu à leur campement.

    Des photographies de la scène montrent bien des groupes de jeunes hommes portant des sweat et incendiant le campement. Plusieurs de ces immigrés ont même immortalisé la scène par un selfie ! La photo ci-dessus montre l’un de ces immigrés faisant un ‘V de la victoire’ en se photographiant devant une tente en flammes. La police slovène a déclaré que les immigrés illégaux ont utilisé des couvertures offertes par l’ONU pour mettre le feu aux tentes.

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  • Pierre Hillard nous parle de la famille royale d’Angleterre et de son rôle dans le mondialisme

    Pierre Hillard, essayiste et spécialiste du mondialisme, nous parle des liens entre la famille royale d’Angleterre et l’oligarchie, sans oublier l’influence de la maçonnerie et du judaïsme.

    http://www.medias-presse.info/pierre-hillard-nous-parle-de-la-famille-royale-dangleterre-et-de-son-role-dans-le-mondialisme/41122