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lobby - Page 1604

  • Suède multiculturelle et tolérante : il viole et défigure une enfant, 180 heures de TIG pour le musulman somalien

    « La Suède incarne probablement le laboratoire le plus avancé de la destruction de la race blanche mise en oeuvre au nom du marxisme culturel. Ce que l’on nomme la « démocratie multiculturelle ».

    En Suède, selon les statistiques gouvernementales, 77% des viols commis en Suède sont le fait de musulmans.

    C’est dans ce contexte apocalyptique qu’une nouvelle affaire de viol défraye la chronique en Suède.

    Un jeune somalien musulman, fraîchement arrivé dans le pays, a brutalement violé une enfant de 12 ans à Sundsvall. Le 10 novembre 2014, le musulman avait entraîné Ida, la jeune fille, dans son appartement, affirmant détenir des photos d’elle qu’il voulait lui rendre.

     

    Là, il l’avait sauvagement violée et battue à coups de poing, [répétant des propos à connotation raciale].

    Après le viol, selon le tribunal, l’enfant « saignait abondamment des parties génitales », la laissant traumatisée physiquement et psychologiquement.

    Arrêté récemment, Muhamad, le sauvage musulman impliqué, affirma qu’il ne pensait pas que l’enfant était mineure et ajouta qu’elle était consentante. Ce que la cour considéra comme faux.

    Ces faits, très graves, n’ont cependant entraîné que 180 heures de Travaux d’Intérêt Généraux. Suite à la polémique engendrée, la justice suédoise a maintenu son verdict, expliquant que le musulman somalien « avait des problèmes d’anxiété et de sommeil » et n’avait que 17 ans en novembre dernier. »

    Source

    http://www.contre-info.com/suede-multiculturelle-et-tolerante-il-viole-et-defigure-une-enfant-180-heures-de-tig-pour-le-musulman-somalien#more-38587

  • Quand l’université « pour tous » tente de se rebeller

    Comme chaque année à la même époque, une université téméraire se croyant plus maligne que les autres vient de se faire flinguer à bout portant alors qu’elle s’apprêtait à franchir en douce le mur du nivellement par le bas.

    Cette fois, c’est Rennes I que les Vopos d’une association étudiante ont prise pour cible : dans l’improbable famille « Pourtous », on connaît bien le mariage, l’enfant, la France, mais n’oublions pas, c’est de saison, l’université.

    La faculté de droit vient, en effet, de mettre sur pied un « parcours d’excellence » dont elle entend réserver l’accès à quelques candidats ayant obtenu de bons résultats au bac et passé avec succès un examen créé à cet effet, afin d’en faire un cursus bien visible pour les employeurs.

    Des employeurs ? Après l’université ? Et pourquoi pas aussi un boulot, tant qu’on y est ? L’université française – à l’exception de quelques filières sélectives, se maintenant avec une adresse de funambule, certains évitant soigneusement les mots qui fâchent pour parler « d’orientation active » – est complètement dépréciée. Elle est, le plus souvent, le pis-aller sur APB (admission post-bac), qu’il faut bien cocher parce qu’on y est obligé, parce que si ça se trouve, et on en sera désespéré, toutes les prépas nous auront blackboulés.

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  • Alain de Benoist : « la repentance n’a strictement rien à faire en politique »

    Source : Boulevard Voltaire

    Peu de temps avant son décès, François Mitterrand avait eu ces mots définitifs vis-à-vis d’un Jean-Pierre Elkabbach éberlué : « La France n’a pas à s’excuser. » Il parlait des fameuses « heures les plus sombres de notre histoire ». Aujourd’hui, la mode est à la « repentance ». Qu’est-ce que cela signifie ?
    Réduite à sa plus simple expression, la repentance peut se résumer ainsi : des gens s’excusent de méfaits qu’ils n’ont pas commis pour complaire à d’autres qui ne les ont pas subis.

    Ceux qui se repentent n’ont commis aucun tort, ceux qui reçoivent la demande de pardon n’en ont subi aucun. Tout cela est donc parfaitement ridicule. La repentance consiste, en fait, à faire un choix sélectif dans notre histoire, et à n’en retenir que certaines périodes, toujours les mêmes (esclavage, colonisation, etc.), considérées comme « sombres » au regard des idées actuelles pour s’en repentir officiellement. Une très imaginaire culpabilité collective héréditaire s’ajoute à cet anachronisme majeur qui consiste à « rétrojecter » dans le passé des jugements de valeurs qui n’appartiennent qu’à notre époque. Le passé étant réduit au « devoir de mémoire », le présent devient flottant, autoréférentiel, existentiellement vide.
    Mais le procédé n’est évidemment pas innocent. D’un côté, il s’agit de convaincre nos compatriotes qu’en se retournant sur leur passé, ils ne découvriront que de l’horreur. Corollaires : l’identité est forcément douteuse, le nouveau est forcément meilleur. De l’autre, à une époque où le statut de victime s’avère extrêmement rentable, il s’agit d’assurer aux descendants de victimes présumées divers avantages, qui vont de la bonne conscience à la supériorité morale en passant par les « lois mémorielles » et les réparations financières.
    L’enjeu de ces invocations du passé se situe donc dans le présent : les « heures sombres » sont alléguées ou instrumentalisées pour légitimer ou délégitimer des opinions actuelles. Mgr Nunzio Galantino, secrétaire général de la Conférence épiscopale, déclarait ainsi récemment qu’« accueillir les immigrés est une sorte de réparation pour les dommages que nous avons accomplis pendant des années […] Nous devons l’hospitalité aux migrants pour ce que nous avons fait dans le passé dans leur pays. » Le problème de l’immigration est ainsi traité sous l’angle de l’expiation. Ce qui permet à des groupes de pression minoritaires d’exciper de leur qualité de victimes par procuration pour s’ériger en justiciers du présent.

    Le pape Jean-Paul II, en son temps, a lui aussi fait repentance pour certains crimes commis par l’Église au cours de son histoire. On peut dire à sa décharge que le catholicisme est une religion qui exige que ses fidèles confessent régulièrement leurs péchés…
    Ce qui est sûr en tout cas, c’est que la dialectique du péché, de la repentance, de l’expiation, de la réparation, de la téchouva et du pardon appartient au langage religieux. Elle n’a donc strictement rien à faire en politique. La collectivisation du repentir ne doit en revanche pas nous faire oublier que la civilisation européenne est la seule à ce jour qui se soit mise en question jusqu’à intérioriser sa propre critique. Comme le disait Jean-François Mattéi, « la raison n’a pas à demander pardon pour répondre à ses critiques car elle comparaît toujours devant son propre tribunal ».

    N’y a-t-il pas un risque, pour ceux qui refusent la repentance, de tomber dans l’excès inverse, c’est-à-dire de nier purement et simplement l’existence de zones d’ombre dans notre histoire ?
    C’est en effet un risque symétrique. Tous les pays du monde ont eu leurs heures sombres et leurs périodes lumineuses. Dans un État normal, on apprend aux jeunes à être fiers de leur pays en leur inculquant le souvenir de ce que celui-ci a fait de plus grand. Cela ne signifie pas que le reste n’a pas d’existence, mais que l’on a conscience que l’estime de soi commence par l’estime de ce dont on a hérité et qui contribue à nous définir. Il n’y a sans doute pas à être fier de l’esclavage, mais il n’y a pas non plus à être fier du sac de Béziers, de la Saint-Barthélemy, des dragonnades, du génocide vendéen ou de la répression de la Commune.
    Toute la question est de savoir si l’on veut ou non inculquer aux Français la fierté d’eux-mêmes plutôt que la honte ou le doute de soi.
    Quant au reste, il est inutile, et même nuisible, d’entretenir ad aeternam les guerres civiles. L’Histoire est un tout, et l’on ne va pas loin en égrenant comme des perles de chapelet l’inusable séquence Clovis-Charles Martel-Jeanne d’Arc en croyant ainsi répliquer ainsi à ceux pour qui l’Histoire de France commence en 1789. Le passé n’est pas un patrimoine « muséifié » ni une essence immuable, mais une substance narrative complexe dont le récit, sans cesse revisité, permet à un peuple de se raconter sa propre histoire.
    Vouloir d’un côté identifier l’« anti-France », s’en tenir de l’autre à « la France, pays des droits de l’homme », c’est pareillement mutiler notre histoire. Marc Bloch disait très justement qu’être vraiment Français, c’est être capable de vibrer au souvenir du sacre de Reims aussi bien qu’à celui de la Fête de la Fédération. C’était aussi l’avis de Charles Péguy – et c’est le mien.

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/190034/alain-benoist-repentance-na-strictement-rien-faire-en-politique/#more-190034

  • C’est par la Turquie que transitent armes, djihadistes, pétrole vers Daech

    Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient et vicaire général pour les Orientaux, est interrogé dans La Nef. Extraits :

    "Quels sont les soutiens de Daech ?

    Il faut déjà écarter la thèse complotiste qui a cours dans certaines régions proche-orientales selon laquelle l’Occident serait derrière Daech. C’est évidemment faux. Pour l’Arabie Saoudite et le Qatar, le soutien qu’ils ont pu lui fournir est terminé. Car un homme comme al-Baghdadi qui se proclame calife menace immédiatement tous les pouvoirs sunnites (Arabie, Maroc, Jordanie…). Mais le rôle de la Turquie n’est pas clair. Selon moi, elle joue un triple jeu : avec l’Occident ; avec les Kurdes ; avec les sunnites. C’est par la Turquie que transitent aujourd’hui armes, munitions, djihadistes, pétrole, etc. Personne ne maîtrise non plus les mouvements financiers dont son territoire est la plaque tournante.

    Comment situez-vous l’islamisme de Daech par rapport à l’islam ?

    Il est sûr que Daech se réclame de l’islam, et que le « padamalgame » se révèle insuffisant pour comprendre la situation. Il faut d’abord que se développe une théologie qui montrerait en quoi cette radicalisation n’est pas fondée. Et cela, seuls les musulmans eux-mêmes peuvent le faire. Car on peut manipuler le Coran dans tous les sens et lui faire dire ce que l’on veut. Il ne suffit pas que le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman) fasse une déclaration. La première cause tient à ce qu’il n’y a plus de hiérarchie dans l’islam sunnite depuis 1922 et à la disparition du sultan. Si al-Baghdadi affirme qu’il est le nouveau calife, qui peut lui rétorquer que non ?

    L’autre cause est que la séparation entre le politique et le religieux n’est pas claire en islam : l’Arabie Saoudite et le Qatar, alliés de l’Occident, ne sont pas des champions des droits de l’homme ! Enfin, le laïcisme qui a cours en Occident provoque un retour du religieux sous une forme violente. Ici, on est dans l’athéisme d’État. Et l’islam est un monothéisme à vocation universaliste, mais sans incarnation, sans rédemption. Le Christ a lavé les pieds de ses disciples ; l’islam, lui, ne connaît pas la kénose ni le pardon. Le christianisme a commencé à se répandre par la persécution des chrétiens eux-mêmes ; l’islam s’est propagé par la conquête armée et violente. On voit toute la différence originaire."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Mahomet : prophète ou gourou manipulateur ?

    C’est dans ce contexte que serait né Mahomet, en 570, à La Mecque, petite ville caravanière de cette région, au sein de la tribu des Qoréchites. Orphelin très tôt, il est recueilli par son grand père, puis par son oncle, les chefs de la tribu. Vers l’âge de 9 ans, alors qu’il accompagne son oncle lors d’une expédition caravanière en Syrie, un moine chrétien, Bahira, reconnaît en lui un futur prophète. Mais en attendant qu’il le devienne, Mahomet doit subvenir à ses besoins. Il trouve à s’embaucher comme caravanier et sillonne l’Arabie et le Moyen Orient. Il épouse sa patronne Khadija, une riche veuve. Il aura d’elle quatre filles.

    Vers 610, alors qu’il s’était retiré pour méditer dans une grotte à l’écart, une voix se fait entendre, l’ange Gabriel apparaît. Il lui révèle la parole d’Allah, c’est-à-dire quelques versets du Coran qu’il lui enjoint de réciter (les premiers versets de la sourate 96). Gabriel est le messager d’Allah (« le dieu », c’est-à-dire Dieu), le dieu unique, le créateur du monde et du premier homme Adam. Il s’était révélé par la suite à Abraham et à toute une série de prophètes – Noé, Moïse, Jésus pour les principaux… Mais ceux qui avaient écouté ces prophètes prêcher la parole divine, c’est-à-dire les Juifs et les chrétiens, s’étaient égarés. Ils avaient reçu de leurs prophètes des livres sacrés (la Torah et l’Evangile), et auraient dû suivre leurs commandements. Toutefois, ils avaient falsifié leurs écritures et s’étaient dévoyés. D’où la nécessité pour Allah de parachever sa révélation en envoyant un dernier prophète pour rappeler le monde à l’ordre et fonder à nouveau la vraie religion. Celle qui corrige toutes les révélations précédentes dévoyées, judaïsme et christianisme, en donnant aux nouveaux croyants les justes et ultimes commandements pour vivre selon le plan d’Allah. Et dans ce plan figure notamment la mission de convertir la terre entière pour que lui, Allah, soit enfin satisfait de voir toute l’humanité se soumettre et se conformer à sa divine volonté, lui obéir en tout, du lever au coucher, entre époux et entre amis, dans la paix et dans la guerre, dans tous les actes de la vie quotidienne.

    Mahomet s’en ouvre à sa femme. Celle-ci le présentera à son cousin Waraqa, un prêtre présenté comme chrétien, et tous deux conforteront Mahomet dans la validité de sa révélation. Convaincu de la nécessité de la proclamer – illettré comme la plupart de ses contemporains, il ne pouvait pas l’écrire – il devient prédicateur. Il prêche alors le dieu unique aux polythéistes de La Mecque.

    Le Coran céleste lui est révélé mais Mahomet finira par être chassé de La Mecque. Accompagné de ses adeptes, il trouve refuge à Yathrib, une cité prospère établie dans une oasis du désert à 400 km environ au nord de La Mecque, peuplée de tribus juives et arabes. Ainsi prend fin la période mecquoise de la vie de Mahomet. La date de sa fuite est retenue pour le début du calendrier musulman : l’année 622 sera le début de l’ère de l’Hégire (l’exil, l’émigration), la première année des nouveaux temps islamiques.

    Sa nouvelle ville d’accueil sera rebaptisée par la suite Médine. S’y ouvre donc la période médinoise de la vie de Mahomet. Il conclut un pacte avec ses hôtes arabes et juifs (également appelé « Constitution de Médine »), et s’entend bien avec eux, comme le montre leur conduite bienveillante initiale à son égard. Il continue de prêcher en divulguant verset après verset la révélation d’Allah, parole qui l’établit alors comme chef politique. Durant tout ce temps, l’ange Gabriel continue en effet de se manifester régulièrement à lui. Pour subvenir aux besoins de la communauté et face à l’hostilité des Mecquois et des sceptiques, Mahomet, le prophète pacifique devenu maître religieux de Médine, se mue désormais en chef de guerre : malgré ses premières réticences, la révélation de nouvelles sourates lui enjoint d’user de toutes les violences, de prôner la guerre sainte, et de faire mener expédition sur expédition contre les caravanes de La Mecque (des razzias). Il élimine ses adversaires politiques, ses contradicteurs et ses caricaturistes.

    S’étant ainsi renforcé, Mahomet peut s’emparer de La Mecque. Il y entre en 629 à l’occasion de la trêve d’Hudaybayyiah, puis prend définitivement la ville en 630. La Kaaba est nettoyée des idoles païennes et devient ce cube vide orné de cette pierre noire que nous voyons encore aujourd’hui. La Mecque gagne définitivement son statut de ville sainte. Les conquêtes continuent dans le Hedjaz, de nouveaux territoires sont gagnés, des populations se convertissent à cette nouvelle religion, l’islam, Juifs et chrétiens conservant cependant une certaine liberté de culte. L’Arabie s’unifie dans une même langue, une même religion et s’identifie peu à peu à l’oumma, la communauté des croyants musulmans. La conquête et les conversions continuent ainsi de s’étendre jusqu’au Moyen Orient. En 632, Mahomet meurt le 8 juin 632, à Médine, et y sera enterré.

    Le Coran révélé à Mahomet : une supercherie ?

    Les propagandistes judéonazaréens, Juifs de langue syro-araméenne, dont beaucoup connaissent l’hébreu liturgique, ont expliqué leurs textes aux Arabes. Plus encore, ils ont formé des prédicateurs arabes, traduit leurs textes en arabe et les leur ont appris. Pour cela, ils ont réalisé pour eux de petits manuels, des florilèges des principaux textes de leur Torah, de leur évangile, de leurs coutumes, de leurs lois, de leurs rites de pureté, de leur circoncision… Il fallait en effet des aide-mémoires à cette époque où l’enseignement était essentiellement su et transmis par cœur : les aide-mémoires capitaux ont été constitués par des traductions en arabe des lectionnaires utilisés par les judéonazaréens eux-mêmes. Un lectionnaire est un livre liturgique qui présente des lectures et commentaires de textes sacrés, comme en ont toujours les chrétiens. Le lectionnaire judéonazaréen présentait donc des extraits de la Bible, ancien et nouveau testament – du moins ce que les judéonazaréens en acceptaient – en fonction du calendrier (samedi, dimanche, jours de fête). En langue syro-araméenne, les chrétiens appelaient ce lectionnaire « qor’ôno » (ce qui se transpose en arabe par «qur’ân », c’est-à-dire « coran »). S’est donc constitué un ensemble de prédications diverses et de lectures saintes, certaines bénéficiant d’une mise par écrit comme aide-mémoire. Cette propagande visait en particulier la foi chrétienne des Arabes en l’attaquant sous l’accusation d’associationnisme, c’est-à-dire en prétendant que les chrétiens donnent à Dieu des « adjoints » (la trinité).

    Le Coran si compliqué s’éclaire. La compréhension des mécanismes de manipulation du texte par le discours musulman permet effectivement de décrypter la signification alambiquée que la tradition s’efforce de lui donner. Sa lecture « judéonazaréenne » est nettement plus simple et l’on voit ainsi une tout autre histoire apparaître : l’endoctrinement des Arabes par les judéonazaréens, l’explicitation de la religion judéonazaréenne aux néophytes arabes, l’embrigadement dans le projet messianiste, les exhortations pour la conquête de Jérusalem, les aléas des batailles, la reprise en main dans les moments de découragement … Pour qui sait le lire, le Coran reflète encore, partiellement, l’histoire authentique de ses origines. Le grand secret de l’islam est encapsulé dans le Coran. Il faut toutefois relativiser la portée du Coran dans l’islam : bien qu’il soit dit représenter le pivot de la foi musulmane, sa révélation (révélation qui se partage en réalité entre Coran et personne de Mahomet, par l’exemple de sa conduite relatée par les hadiths et la sîra), il faut bien comprendre qu’il n’est qu’un élément contributif de cette foi. La plupart des musulmans au cours de l’Histoire n’ont jamais lu le Coran (et c’est toujours aussi vrai aujourd’hui). Sa diffusion de masse n’est qu’un phénomène récent. D’ailleurs, les premiers conquérants « islamiques » ne le connaissaient pas. Rappelons que les Maures débarqués en Espagne au 8e siècle semblaient ignorer le Coran.

    à suivre

    https://infocomnet.wordpress.com/2015/05/15/islam-deviance-judeo-chretienne-ou-imposture-historique/

  • TVL : Grand Angle - Pierre-Yves Rougeyron: "L'Euro est un rêve mortifère !"

  • Quand les Académiciens se paient Hollande et Vallaud-Belkacem

    La remise en cause de la réforme de Najat Vallaud-Belkacem par les Académiciens contraint le président de la République à une réponse politique sur un débat auquel tous les Français s’intéressent.
    À l'Académie française, sous les ors et dorures du quai Conti, les luttes idéologiques et politiques furent bien souvent féroces, et elles le demeurent encore. Il y a un flanc droit (que l'essayiste Marc Fumaroli incarne avec délice), un centre (que l'historien Pierre Nora représente avec finesse) et une aile gauche (par exemple Danielle Sallenave et sa démarche pesante). Les uns et les autres se sont encore étripés au sujet de la récente élection d'Alain Finkielkraut au fauteuil de l'ultra droitier Félicien Marceau. D'aucuns, dans l'illustre compagnie, considéraient en effet le philosophe par trop ... réactionnaire. Ce fut un affrontement violentissime, comme on n'en connut plus depuis l'intronisation du vichyste Paul Morand en 1968. De Gaulle avait refusé de le recevoir à l'Élysée ainsi que le veut le protocole et le poète-résistant Pierre Emmanuel avait sur le champ claqué la porte. L'affaire Finkielkraut s'avéra parfois d'une violence identique- ce qui est, notons-le au passage, d'une rare injustice. Mais au moins l'épisode nous rappelât que l'Académie ne se tient jamais bien éloignée des affaires de la cité.
    D'ailleurs, elle vient de le signifier à nouveau. D'un seul bloc, à l'unanimité, toutes tendances et sensibilités confondues, l'Académie française a massacré sans plus de manières, le projet de loi de la ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, valant réforme du collège et de ses programmes. Pas un mot outré ; pas une phrase spectaculaire ou excédée; rien de tout cela. Une exécution, voilà tout. D'autant plus meurtrière que la manière et les mots, choisis, y sont. En cela, les Académiciens demeurent d'une stricte fidélité à leur rôle tel que le cardinal de Richelieu, le fondateur de la compagnie, l'avait lui-même défini avec la plus grande simplicité :"défendre la langue française". Alors ils s'exécutent, en faisant preuve d'un sens politique particulièrement avisé.
    Une exécution
    Leur attaque en effet n'a rien d'hautaine, encore moins de nombriliste ou de corporatiste. Les Académiciens défendent un bon apprentissage du français, lequel, selon eux serait mis en cause, et gravement, par cette réforme, pour"éviter l'aggravation des inégalités". Et c'est précisément pour cette raison- une volonté de défendre les plus démunis, les défavorisés de la culture et de l'enseignement, que cette mise en cause de "gauche" titrée non sans goût de la provocation "Pour une vraie égalité des chances", touche de plein fouet un gouvernement en principe lui aussi de "gauche". Et ils insistent, les Académiciens, avertissant sans relâche le président Hollande, le premier ministre Valls et la ministre de l'Éducation Nationale Vallaud-Belkacem : "le redressement du système scolaire devra résister à la tentation de la facilité qui n'a jamais eu d'autre résultat que l'aggravation des inégalités. L'exigence constitue le principe fondateur de l'école de la République. Elle doit le rester ou le redevenir". Que les princes du quai Conti délivrent une leçon "d'égalité" aux gouvernants socialistes, voilà qui ne manque pas de piquant.
    Une difficulté très directement politique
    Saluons la précision des mots; ils ont été choisis et chacun a pour fonction de faire mal. C'est d'ailleurs réussi. Florilège académique :
    -"Ce n'est pas une réforme de plus, c'est un coup fatal porté à la langue française". -"Le patrimoine littéraire constitue un élément essentiel de l'enseignement de la langue française. L'Académie regrette vivement la disparition quasi complète, concernant la classe de 6ème, de toute référence à des textes, des œuvres ou des courants littéraires".
    -"Réduire la place des humanités, matrice de notre civilisation, mettre le latin et le grec sur un pied d'égalité avec les langues régionales est aussi un mauvais coup porté à la langue française".
    -"Ces projets posent en fait le principe d'un effacement des disciplines traditionnelles au profit de "thématiques interdisciplinaires dont l'objet est le plus souvent ponctuel, dicté par l'actualité ou directement appelé par l'environnement immédiat des élèves".
    Rincé, le projet de Najat Vallaud-Belkacem - elle s'en moque, paraît-il, puisque le texte a été passé en force, vite fait (mal fait).
    Interpellé, le chef de l'État puisque, de par sa fonction, François Hollande est officiellement le "protecteur de la compagnie". Cette fois, la fameuse "compagnie" lui provoque une difficulté très directement politique. Car la remise en cause des projets de Najat Vallaud-Belkacem n'a rien de réactionnaire ni de conservatrice. A l'inverse, les Académiciens français insistent tant et plus sur la reconstruction d'une école républicaine, fidèle à ses valeurs, à ses principes et qui de la sorte accélère "l'égalité des chances" plutôt que "l'aggravation des inégalités". Le président est piégé puisqu'il ne pourra rester sans réaction ni commentaire. D'autant moins que les Académiciens ne sont pas manchots en ... politique. Les explications de l'un d'entre eux, Marc Fumaroli, mettent en avant une dialectique parfaitement au point: "Tout cela relève d'un esprit au-dessus des partis, ce sont des questions d'ordre national qui intéressent tous les Français, quelle que soit leur couleur politique, quelles que soient leurs préférences idéologiques. L'état de la langue est un point sur lequel les Français sont d'accord et pour lequel tous se passionnent".

  • La Grèce a officiellement fait défaut sur sa dette vis-à-vis du FMI

    Alors que le délai de remboursement accordé à la Grèce par le Fonds monétaire international (FMI) prenait fin ce mardi soir à minuit, Athènes a fait défaut sur sa dette. Et devient ainsi le premier pays développé à accumuler des arriérés de paiement vis-à-vis de l'institution de Washington.

    Au terme d'une journée riche en rebondissements, la Grèce a fait défaut sur sa dette vis-à-vis du Fonds monétaire international (FMI), ce mardi. Comme attendu, Athènes n'est pas parvenu à honorer le remboursement de 1,5 Mds€ dû avant minuit (heure de Paris), ce mardi, à l'institution de Washington.

    Dans le courant de la journée, le gouvernement grec s'était avoué incapable de rembourser, demandant soudainement (et in extremis) l'extension pour deux ans de l'aide européenne et la reprise des négociations, mais aussi un report du paiement dû au FMI. Le première requête à donné lieu à une réunion de l'Eurogroupe, qui reprendra ses discussions ce mercredi. La seconde sera examinée par le conseil d'administration du FMI «en temps utile». 

    Athènes demande une extension du plan d'aide européen... Dans le courant de l'après-midi, après avoir reconnu qu'elle ne réglerait pas l'échéance qui échoit ce mardi minuit, la Grèce a soudainement demandé l'extension pour deux ans de l'aide européenne et la reprise des négociations, créant une confusion totale chez ses créanciers. Dans un communiqué intitulé «requête au MES» (mécanisme européen de stabilité), le gouvernement de la gauche radicale d'Alexis Tsipras a affirmé souhaiter «rester à la table des négociations». Plus particulièrement, Athènes demande un accord sur deux ans «pour la couverture complète de ses besoins financiers et la restructuration de la dette». Dans la foulée, l'Eurogroupe s'est réuni en urgence lors d'une téléconférence extraordinaire. Les ministres des Finances de la zone euro, qui ont discuté par téléphone de cette nouvelle demande de la Grèce, reprendront leurs travaux mercredi matin. Mais selon le ministre slovaque des Finances, la zone euro a d'ores et déjà refusé d'étendre le programme d'aide financière à la Grèce.

    ... et fait défaut sur sa dette vis-à-vis du FMI. Lors de cette téléconférence, la Grèce a par ailleurs demandé au FMI un report du remboursement de quelque 1,5 Mds€ dû d'ici minuit ce mardi. «Nous avons déposé au FMI une demande afin qu'il prenne l'initiative de reporter le paiement au mois de novembre», a confirmé le vice-Premier ministre grec Ioannis Dragasakis, au cours d'une intervention télévisée. Athènes utilise ainsi une disposition de la charte du FMI qui permet «à la demande d'un Etat-membre» et sans vote de «reporter» la date d'un remboursement dans la limite de 3 à 5 ans. Le conseil d'administration du Fonds se réunira «en temps utile» pour approuver ou non ce report. En attendant, la Grèce a fait défaut sur sa dette vis-à-vis du Fonds monétaire international, en n'honorant pas le remboursement dans le délai imparti. Athènes devient ainsi le premier pays développé à accumuler des arriérés de paiement vis-à-vis du FMI et n'a désormais plus accès aux ressources financières de l'institution qui, de son côté, essuie le plus grand défaut de son histoire.

    Vers une suspension du référendum ? Selon le Premier ministre de Malte, Jospeh Muscat, Athènes a proposé de suspendre son référendum si les négociations reprenaient avec l'Union européenne. Le quotidien Die Welt, qui ne cite pas ses sources, affirme pour sa part que le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis a indiqué à ses partenaires de l'Eurogroupe, lors de la téléconférence de ce mardi soir, que la Grèce était prête à suspendre son référendum «si ses collègues des finances s'entend(aient) rapidement avec lui». Une source européenne proche des discussions a par ailleurs indiqué qu'Athènes n'excluait pas une telle suspension. «Le gouvernement grec cherchera jusqu'au bout à obtenir une solution viable à l'intérieur de l'euro», précisait le communiqué des services du Premier ministre grec diffusé dans l'après-midi. Dans la journée, la chancelière Angela Merkel avait fait savoir que l'Allemagne n'était pas prête à discuter d'une nouvelle demande d'aide d'Athènes avant la tenue d'un référendum en Grèce dimanche.

    Manifestation à Athènes en faveur du «oui». Alors que se tenait la téléconférence de l'Eurogroupe, au moins 20 000 personnes, selon la police, étaient rassemblées à Athènes pour soutenir le «Oui» au référendum. Ces manifestants, la plupart hostiles au gouvernement de gauche radicale du parti Syriza, se sont réunis sur la place du Parlement à l'appel d'une initiative baptisée «Nous restons en Europe». Ils ont également exprimé également leur crainte d'une sortie de la Grèce de la zone euro en cas d'échec du gouvernement à s'accorder avec ses créanciers UE et FMI.

    Les marchés européens restent très méfiants. Les Bourses européennes ont clos la séance de ce mardi en baisse, toujours méfiantes sur la situation en Grèce malgré de possibles tractations de dernière minute. Au lendemain d'une séance de très nette baisse, la Bourse de Paris a de nouveau perdu du terrain. L'indice CAC 40 a perdu 79,62 points à 4790,20 points (-1,63%). La veille, il avait chuté de 3,74%, déjà plombé par les incertitudes grecques. Parmi les autres marchés européens, Francfort a lâché 1,25% et Londres 1,50%. L'euro aussi s'affichait lui aussi en recul, ce mardi. Aux environs de 23 heures (heure de Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1139$, contre 1,1247$ lundi à la même heure.

     

    source : Le Parisien ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFVZEAVkZbavdkoSC.shtml

  • Nouveaux droits pour les étrangers qui entrent en France

    Le projet de loi relatif au «droit des étrangers en France» arrive en commission des lois à l'Assemblée ce mercredi. Il accorde de nouveaux droits aux étrangersqui entrent en France, que ce soit de manière légale ou illégale.

    Sous Nicolas Sarkozy, un «contrat d'accueil et d'intégration» d'une durée d'un an avait été instauré. Le ministre de l'Intérieur veut aujourd'hui le remplacer par un «parcours d'accueil et d'intégration» pouvant aller jusqu'à cinq ans. La carte de séjour sera valable jusqu'à quatre ans (après douze mois de séjour), elle doit remplacer la carte d'un an, renouvelable chaque année. À l'issue de cette carte, l'étranger aura accès à une carte de résident de dix ans...

    Michel Janva

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  • Bon sang, mais c’est bien sûr ! Le véritable danger, c’est l’islamophobie !

    L'agression militaire musulmane eut lieu trois siècles avant la première croisade, point de départ considéré habituellement, implicitement, par un stupéfiant tour de passe-passe historico-chronologie, du conflit entre le christianisme et l'islam.

    « Le véritable danger n’est pas le djihadisme, mais l’islamophobie. » À l’heure des comptes, il se trouvera bien une officine « anti-phobique » pour asséner quelque obscénité que ne renierait pas le premier petit malfrat venu, confronté aux images de vidéo-surveillance de son méfait au commissariat du coin. « Vous reconnaissez-vous sur les images ? », lui demande le préposé à l’ordre public chargé de prendre la déposition. « Non », lui répond le petit malfrat avec un aplomb que ne renierait pas l’officine en question, ici, le Collectif contre l’islamophobie en France.

    L’auteur musulman de la première décapitation référencée en France vient en effet d’adopter ce système de défense au bénéfice de sa religion. S’étant de notoriété publique « radicalisé » au contact de milieux « salafistes », précédemment dans le collimateur, à cet effet, des instances de renseignement français, affichant la tête de sa victime entre deux drapeaux de type « État islamique », notre psychotique perturbé vient ainsi de nier toute motivation religieuse à son acte.

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