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lobby - Page 1659

  • Soutien à Nouvelles de France, attaqué en justice par une ex-Femen

    La tribune de Guillaume de Thieulloy, directeur de la publication de Nouvelles de France :

    "L’ex Femen Eloïse Bouton, peu satisfaite de l’article qu’Eric Martin a publié ici, m’a demandé la publication d’un droit de réponse.

    Tenant de façon sourcilleuse à ma liberté d’expression, il me semble que la moindre des choses est de publier les droits de réponse de ceux qui sont en désaccord avec nous. Je ne crois pas que Mademoiselle Bouton ait besoin de Nouvelles de France pour diffuser son point de vue, mais nous avons donc publié bien volontiers ledit droit de réponse ici.

    Cela n’a, semble-t-il, pas eu l’heur de suffire à la demoiselle qui me fait citer à comparaître devant les tribunaux.
    Elle pense sans doute qu’avec l’immense soutien médiatique dont son groupuscule anti-chrétien fait l’objet, elle ne fera qu’une bouchée de notre petit blogue.

    Il est bien certain que les forces ne sont pas vraiment équilibrées, mais je puis tout de même lui annoncer que nous ne laisserons pas censurer sans résistance.

    Je n’oublie certes pas que, lors de la profanation de Notre-Dame, les compagnes de Mademoiselle Bouton ont été relaxées, tandis que les gardiens de la cathédrale, qui n’avaient fait que leur devoir, ont été condamnés. Mais elle peut compter sur moi pour me battre pour notre liberté de parole et pour notre droit d’être chrétiens, dans notre propre pays, sans être insultés par des harpies.

    Et si, comme moi, vous pensez qu’il y a une incroyable inversion à ce qu’une personne qui a participé à plusieurs « happenings » anti-chrétiens, au mépris de la loi française, saisisse la justice pour faire condamner un blogue qui n’a que le tort de dénoncer ces agissements et cette impunité, aidez-moi à résister :

    1) Signez vite – et faites signer largement – notre campagne : « Ras-le-bol de l’impunité des Femens ! »

    2) Et aidez-moi à financer la défense de notre petit blogue. Il est clair que Mademoiselle Bouton veut nous faire taire, soit en nous contraignant à l’auto-censure apeurée (mais, là, c’est mal parti), soit en nous contraignant à engager de lourds frais pour assurer notre défense.

    Mais il y en a marre qu’une minorité tapageuse contraigne ainsi la majorité silencieuse à raser les murs! Non, nous ne nous tairons pas. Et, oui, nous considérons toujours que l’impunité des Femen est un scandale – dont le gouvernement fanatiquement anti-chrétien que nous subissons est le premier responsable."

    Louise Tudy

  • Immigration : entre duplicité et aveuglement gouvernemental

    Tandis que le FN semble mettre la question de l’immigration – pourtant constitutive de son ADN idéologique – en sourdine, au profit de thématiques plus économiques, souverainistes ou laïcistes, le gouvernement s’en empare comme pour montrer qu’il a entendu le verdict des urnes.

    Depuis trente ans, les socialistes et l’immigration, c’est un peu l’histoire tristement comique du pompier pyromane qui participe à l’enquête sur ses propres incendies. Au regard de l’état considérablement avancé de submersion de notre pays par des vagues incessantes de migrants extra-européens, inverser la tendance revient à essayer de vider la mer avec une cuillère.

    Alors que l’Union européenne est confrontée à une augmentation sans précédent du nombre de franchissements clandestins à ses frontières par rapport à la même période en 2014 (180 % contre 250 % aujourd’hui !), le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a exhorté la préfectorale à faire preuve de fermeté dans la lutte contre l’immigration irrégulière. Dans une note confidentielle datée du 26 mars dernier, le ministre affiche son apparente fermeté : « Aucun déséquilibre ou relâchement de l’action de l’État en la matière ne saurait être toléré », les préfets étant même invités à « recourir beaucoup plus fréquemment aux interdictions de retour sur le territoire français ».

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  • Le sénateur-maire UMP de Woippy d’accord pour doubler le nombre de mosquées

    Lu ici :

    "François Grosdidier, sénateur-maire UMP de Woippy en Moselle, a assuré sur BFM-TV lundi qu’il était d’accord pour doubler le nombre de mosquées en France, comme le demande le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Dalil Boubakeur (...)

    La ville de Woippy a été la première en France à financer une moquée. Le concordat d’Alsace-Moselle qui s’applique dans la ville de François Grosdidier ne sépare pas l’Etat et les cultes catholiques, protestants et  israélites. Comme la loi de 1905 ne s’applique pas, les élus peuvent financer les cultes dont le culte musulman. «Quand je suis arrivé à la mairie, en 2001, les musulmans disposaient d’une petite pharmacie d’une capacité de 50 ou 60 places, qu’ils avaient achetée» affirme M. Grosdidier. Une capacité très insuffisante, sachant que les fidèles de l’islam représentent 45% des 14 000 habitants de la commune.

    Le coût pour la commune : 3 millions d’euros (...) Depuis août 2008, 1 200 fidèles peuvent quotidiennement prier dans une salle adaptée située dans un quartier de Woippy. L’élu de Moselle s’est d’ailleurs battu lorsqu’il était député pour faire reconnaître la religion musulmane dans le concordat d’Alsace-Moselle (...)

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Radio France : les scandales relevés par la Cour des comptes

    Cela fait 21 jours que près de 200 techniciens et journalistes sur environ 4300 collaborateurs du groupe Radio France (France Bleu, France Info, France Inter etc…) ont commencé un mouvement de grève « pour défendre l’emploi à Radio France ».  La Cour des comptes révèle pourtant les abus scandaleux et lourds de conséquences sur le budget de cette « institution » financée avec notre argent.

    Extraits :

    Des journalistes à 14 semaines de vacances

    Les enquêteurs de la Cour des Comptes ont pris leur calculette : en plus des 25 jours de congés payés légaux, les journalistes de Radio France bénéficient de 5 jours de repos dus au passage de 40h à 39h, 4 jours dits « de modernisation », 15 jours pour récupération de jours fériés, 16 jours de RTT (si leur travail est planifié en 5/2) et encore 5 jours au-delà de 8 années d’ancienneté. Total selon la Cour : jusqu’à 68 jours ouvrés de congés et de RTT, soit près de 14 semaines de repos. Certains journalistes sont encore plus gâtés : 56 d’entre eux travaillent sur le rythme 4/3 (quatre jours de travail – trois jours de repos), 5/4/5 et même 5/3/3/5.

    > Des programmes à 20.000 euros l’heure

     

    La Cour a évalué le coût horaire de production des différentes antennes du groupe. Celui de France Culture atteint 6.215 euros, soit près du double de celui de France Info, et près de 10 fois celui de France Bleu. Les fictions diffusées par la station culturelle expliquent cet écart : elles coûtent 20.000 euros par heure à produire. Un chiffre élevé pour des audiences assez minimaliste souligne le rapport : diffusé le samedi soir, “Drôle de drames” n’a été écouté que par 39.000 auditeurs en moyenne.

    > Des auditeurs de plus en plus vieux

    La Cour souligne le vieillissement rapide des auditeurs de Radio France. Leur âge moyen est passé de 54 à 57 ans entre 2009 et 2013. Ceux de France Musique culminent à 68 ans, devant ceux de France Bleu, France Inter et France Culture – 59 ans -, France Info – 53 ans-, FIP -49 ans – et Mouv’ 34 ans.

    > Des orchestres qui ne rapportent rien

    Les recettes de billetterie des formations musicales de Radio France couvrent à peine 10% de leurs dépenses (39,1 millions d’euros), un taux deux fois inférieur à celui de la radio danoise ou à celui de l’Orchestre de Paris. Et encore : ce ratio serait encore pire si l’on tenait compte des rémunérations de la direction de la musique de la Maison ronde et les dépenses des fonctions support. Malgré de nombreuses captations de concerts, les produits dérivés (CD et DVD) n’ont rapporté que 24.000 euros en 2013.

    > Des musiciens à moins de 500 heures par an

    Grâce à leur convention collective, les musiciens bénéficient déjà d’un régime avantageux : ils n’ont que 1.110 heures de travail à effectuer par an, bien moins que la durée légale annuelle de 1607 heures. Mais grâce aux combats successifs de leurs représentants syndicaux, ceux de Radio France ont obtenu encore mieux : 739 heures pour les musiciens de l’orchestre philarmonique et 703 heures pour ceux de l’orchestre national de France. Quatorze musiciens ont même travaillé moins de 500 heures !

    > 134 emplois pour les syndicats

    Radio France compte pas moins de 388 élus ou délégués syndicaux, soit 8% de ses effectifs. Le crédit d’heures syndicales dont ils disposent représente l’équivalent annuel de 134 ETP. Des chiffres « supérieurs à ceux qui découlent du code du travail », note le rapport. De plus, la direction met à disposition des syndicats 8,5 permanents syndicats et six secrétaires.

    > Un orgue à 5 millions d’euros

    En avril 2006, le ministère de la Culture, a jugé que la Maison de la Radio n’avait plus besoin des deux orgues qui équipaient les studios 103 et 104. Ils ont donc été cédés pour 1 euro symbolique. Changement de pied en mars 2008 : la tutelle exige un orgue pour le nouvel auditorium en construction. Son achat et les travaux à entreprendre pour l’installer ont coûté près de 5 millions d’euros, selon la Cour. Au total, le chantier de rénovation de la Maison de la Radio pourrait coûter 575,5 millions d’euros, contre 261,9 millions prévus initialement.

    > 103 salariés chargés de la communication

    Radio France ne lésine pas pour faire parler d’elle. Selon le rapport, l’entreprise emploie plus de 100 personnes dans ses différents départements communication : 70 équivalent temps plein (ETP) au sein des différentes antennes et 33,5 ETP directement rattachés à la direction du groupe.

    http://www.contre-info.com/radio-france-les-scandales-relevees-par-la-cour-des-comptes#more-37469

  • IVG : Jacques Bompard propose de faire écouter le cœur de l’enfant à la mère

    Dans le cadre du débat sur le projet de loi santé, les députés de l’opposition veulent tenter de réinstaurer le délai de réflexion prévu avant un avortement volontaire (IVG). Un délai supprimé en commission par un amendement de la députée PS, Catherine Coutelle.

    Si ces députés souhaitent revenir à délai de sept jours, Jacques Bompard propose – quant à lui – de l’allonger à deux semaines. Dans un autre amendement, le député du Vaucluse souhaite aussi :

    Faire prendre conscience à la mère de la réalité de ce qu’elle porte en lui faisant écouter le cœur de l’enfant.

    http://fr.novopress.info/

  • GPA : elle refuse de toucher le bébé qu'elle a porté, pour ne pas s'y attacher

    Refuser de toucher l'enfant qu'on a pourtant senti dans ses entrailles pendant 9 mois, faire entrer la commanditaire dans son intimité le jour de l'accouchement pour qu'elle s'approprie tout de suite l'enfant... bienvenue dans le monde merveilleux de la gestation pour abandon :


    GPA: "Je ne pouvais pas directement toucher le... par LEXPRESS 

    Louise Tudy

  • La tripartition n'est pas le tripartisme...

    Depuis le premier tour des élections départementales, un terme nouveau a fait sa percée dans le vocabulaire politique et journalistique : le tripartisme, selon lequel le paysage électoral serait divisé en trois partis se partageant les électeurs et, donc, qui aurait tous la possibilité d'exercer le Pouvoir d’État, selon une cadence plus ou moins bien réglée. En fait, cela me fait sourire (tristement...) et m'apparaît comme un simple miroir aux alouettes destiné à brouiller un jeu déjà passablement ennuyeux, tout démocratique qu'il soit : le tripartisme n'existe pas, et je ne sais pas s'il faut s'en féliciter, ou non.

    Nous assistons plutôt à une tripartition du paysage politique entre trois forces principales, mais pas dominantes de la même manière : la Droite dite républicaine, la Gauche social-démocrate et le Front national. Les résultats des dernières élections infirment la thèse du tripartisme pour la simple raison que, dans une démocratie représentative (en particulier dans le système français de la Cinquième République, « majoritaire » plutôt que « proportionnel »), ce qui compte, ce n'est pas tant le nombre de suffrages exprimés pour tel ou tel parti, mais le nombre de sièges obtenus par chacun d'entre eux. Le constat est clair : la tripartition électorale ne se confirme pas en tripartisme départemental : les 25 % de suffrages exprimés pour le mouvement lepéniste n'aboutissent qu'à un maigre lot d'élus (une trentaine de binômes sur plus de deux mille cantons, soit moins de 2 % de sièges obtenus), et le bipartisme n'est nullement remis en cause, qu'on le regrette ou non. Maurras disait qu'une politique se jugeait à ses résultats, et l'on pourrait en dire de même en arithmétique électorale, évidemment avec une certaine ironie...

    Dans un système électoral fondé sur le scrutin majoritaire à deux tours, seul le résultat en terme de sièges compte, et un parti isolé n'a que peu de chances d'emporter la mise, au contraire d'un système proportionnel, sans doute plus juste quant à la représentation politique et démocratique, mais périlleux pour les capacités de décision et d'action de l’État. Certains y verront un moyen pour le « pays légal » de pérenniser son pouvoir sur les institutions et les rouages du Pouvoir, et ils n'auront pas tort, mais, en politique, il ne suffit pas d'avoir raison pour être efficace. Les élections régionales pourraient bien confirmer cette formule, une fois de plus, même si un scrutin proportionnel de liste peut favoriser une plus grande représentation des partis politiques et présenter une certaine dispersion de celle-ci dans les exécutifs locaux.

    Dans l'un ou l'autre des cas, au scrutin majoritaire ou au scrutin proportionnel, les Français se sentent de moins en moins concernés par une démocratie qui semble « faire sans eux », et le divorce entre le « pays légal » et le « pays réel » est bien consommé, même si ni l'un ni l'autre ne s'y résout complètement : se contenter de ce constat n'a d'ailleurs guère de sens ni d'intérêt au regard des défis de demain, et il s'agit bien plutôt de repenser de nouveaux modes d'accord entre les citoyens et leurs représentants, y compris au-delà de la simple représentation. La « nouvelle citoyenneté » que les monarchistes des années 1970-80 voulaient promouvoir passe aussi par le moyen institutionnel : la Monarchie, conçue comme fédérative , en renforçant la magistrature suprême de l’État et l’État tout entier (sans que celui-ci soit invasif et jacobin), permettrait de rendre de nombreux pouvoirs concrets aux familles, aux communes, aux professions, aux régions (voire aux départements, puisqu'ils existent encore...) sans, pour autant, attenter à l'unité française et à l'équilibre national, et limiterait l'influence des partis qui, aujourd'hui, résument la démocratie à une foire d'empoigne sans gloire...

    Pour en finir avec la « fatigue civique » dont l'abstention et le ressentiment électoral sont les signes tangibles, cette révolution royaliste de l’État et des pouvoirs est plus que jamais nécessaire : comme le disait Arnaud Dandieu et Robert Aron dans les revues non-conformistes des années 1930, « quand l'ordre n'est plus dans l'ordre, il est dans la révolution »...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1210:la-tripartition-nest-pas-le-tripartisme&catid=49:2015&Itemid=60

  • Déchristianisation des jours fériés : 90 % des Français y sont opposés !

    La maison France n’est pas un hôtel low cost préfabriqué dont la laïcité serait le vigile obtus.

    Lundi, ce n’était pas férié pour tout le monde. Le « politologue » Thomas Guénolé a travaillé d’arrache-pied. Et pour cause : son dada, sa marotte, son créneau, c’est la déchristianisation des jours fériés. Il l’a défendue sur RMC au micro de Jean-Jacques Bourdin, avant d’enfoncer le clou sur « Le Plus » du Nouvel Observateur.

    La théorie de ce maître de conf’ à Sciences Po, ancien consultant de Jean-Louis Borloo, est simple : « Alors que les Français de confession chrétienne profitent des jours fériés […], les citoyens d’autres confessions doivent encore demander des jours de congés pour vivre pleinement leur religion. Une inégalité qui prouve que le principe de laïcité est à géométrie variable. » Selon lui, ces six jours fériés devraient pouvoir être pris à des dates variables, pour satisfaire « musulmans », « juifs », « athées », « francs-maçons », etc.

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  • Il y avait ceux qui triaient les juifs et maintenant ceux qui trient les chrétiens

    Lors de son déplacement à la Maison d'Izieu, mémorial d'enfants juifs, François Hollande a évoqué les massacres en cours sans prononcer une seule fois le terme "chrétien", comme le rapporte Minute :

    "[...] Comme il sentait bien qu’on ne lui pardonnerait pas de ne pas faire d’allusion à ce qui venait de se passer au Kenya, il tentât sans aller jusqu’à la profanation, c’est-à-dire sans aller jusqu’à dire que les 44 d’Izieu s’étaient faits 148 en arrivant à Garissa, de prononcer le discours moral, celui du « vivre ensemble » comme on disait alors dans un pays tout entier engagé – du moins à son sommet – dans un combat sans merci contre l’« exclusion »: « La barbarie n’a pas d’âge, pas de couleur. » Ou encore: « Au Kenya, il y a quelques jours, 150 étudiants ont été massacrés par des fanatiques. » Puis, élargissant le propos car il était chef d’Etat et se devait d’avoir une vision globale: « En Syrie, en Irak, des hommes, des femmes, des enfants sont pourchassés pour leur religion, leurs traditions. » Ne jamais nommer l’ennemi, ne jamais désigner le bourreau, c’est ce à quoi il s’était efforcé et il y avait parfaitement réussi. Pas une seule fois il n’avait prononcé le mot chrétien, pas une seule fois non plus le mot musulman. On avait compris que des hommes en avaient maltraité d’autres mais c’est tout. Qu’il y avait des fanatiques, mais des fanatiques de rien, ce qui devait être quelque chose comme des nihilistes. Quelques jours plus tôt, le 2 avril, après que le monde entier avait appris que 148 étudiants chrétiens avaient été massacrés par des musulmans sur le campus de l’université de Garissa, au Kenya, il avait fait rédiger un communiqué qui était un modèle de nuance, on veut dire de lâcheté: « Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. » Il y avait presque un mensonge par mot. Par omission délibérée. Le « terrorisme le plus abject » cachait le terrorisme islamique – puisqu’on ne pouvait plus parler de terrorisme musulman sans encourir les foudres judiciaires – et les cibles n’étaient ni la jeunesse, ni le savoir ni l’éducation mais les chrétiens. Islamistes 148 – Chrétiens 0. Dit comme ça, ça aurait eu un autre effet [...].

    Et de toute façon, l’ennemi, s’il fallait en désigner un durablement de génération en génération, c’était l’idéologie qui avait tué à Izieu, qui avait tué à Auschwitz où il s’était rendu un peu plus tôt pour le 70e anniversaire de la libération du camp – au moins là le compte était-il rond – et qui tuerait encore demain, jusqu’en France, si… suivez mon regard. « Dans notre civilisation de l’image et de l’information continue, poursuivit-il pour justifier un peu plus son déplacement, les lieux de mémoire et les outils qu’ils proposent sont aussi une indispensable école du discernement et du rappel aux faits historiques face à toutes les falsifications. » [...]

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout fout le camp!

    La mort d’un homme est toujours triste et la classe politique a été unanime à faire part de son émotion après le suicide de Jean Germain, sénateur PS et ancien maire de Tours (battu aux dernières municipales), qui n’a pas supporté la rumeur mettant en doute sa probité. Ce proche de François Hollande devait être traduit devant la justice sous le chef, bien exagéré  au regard de son implication réelle disent ses amis, de «complicité de prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics». Il devait comparaître devant le tribunal correctionnel pour avoir organisé de faux mariages de couples chinois.  Ex membre du cabinet du maire de Tours, Lise Han, a été mise en examen pour escroquerie dans cette affaire, soupçonnée d’avoir été la gérante de fait de la société organisant ces unions.

     Manuel Valls a dit qu’il  perdait avec M. Germain «un ami», «un élu extraordinaire.», « un républicain, un laïque engagé (M. Germain était franc-maçon, NDLR), un enseignant». «Elu extraordinaire »? Le dithyrambe est de mise pour saluer le camarade qui s’en va mais  c’est surtout la médiocrité et la bêtise  des attaques du PS contre le FN qui apparaissent  ces dernières  heures.

     La priorité ne serait-elle pas d’endiguer les effets ravageurs de l’idéologie bruxelloise ultra libre échangiste?  D’oeuvrer pour éviter  multiplication des plans de licenciement, les liquidations  d’entreprises  laissant de nouveau sur le carreau ces derniers jours des milliers d’employés Français?

     Non, le groupe socialiste à l’Assemblée nationale vient d’annoncer la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le « financement du Front National ». Socialistes qui contestent  l’emprunt de 9 millions d’euros obtenu par le FN  auprès de la First Cezch Russian Bank (FCRB), faute pour l’opposition patriotique d’avoir trouvée une banque française désireuse de lui prêter de l’argent.

     Ce sont les députés Razzy Hammadi et Sébastien Denaja qui  présenteront ce mercredi midi, lors d’une conférence de presse, la proposition de résolution du groupe socialiste. Députés PS  qui veulent que  « cette commission analyse les pratiques de financement du Front National par le biais de prêts d’origine russe et en tire, le cas échéance, des adaptations législatives sur le financement de la vie politique ».

     Il est aussi amusant que symptomatique que le PS ait choisi pour mener cette charge, ce petit coup médiatique,  les deux députés en question, peu réputés pour leur «savoir-faire ». Sébastien Denaja, dans le rôle du petit Fouquier-Tinville de troisième zone, n’a guère brillé par la qualité, la pertinence de son  travail parlementaire (et c’est un  euphémisme). Il a  comme rare titre de « gloire » (c’est tout dire) le fait d’avoir apposé son nom en novembre  2012 sur un courrier adressé au ministre de l’Intérieur pour demander «la dissolution immédiate » de l’Institut Civitas. Une association  coupable à ses yeux  d’avoir évacué  lors d’une manifestation en faveur de la défense de la famille traditionnelle, quelques  femens hystériques,  éructant des slogans haineux.

     Quant à M. Hammadi, ci-devant donneur des leçons de morale et de bon goût républicain,  c’est ce même homme qui a été filmé dans les rues de Montreuil hurlant à l’adresse de ses contradicteurs: « L’affaire elle est terminée, enculé de ta race ! », ou encore «Je vais faire descendre toutes les cités de Montreuil ! ».

     En novembre dernier, ce délicat personnage, nous le notions sur ce blogue, jugeait l’emprunt contracté par le FN «choquant, inacceptable ». «L’article L52-8 du code électoral stipule qu’aucun candidat ne peut recevoir, directement ou indirectement, pour quelque dépense que ce soit, des contributions ou aides matérielles d’un Etat étranger ou d’une personne morale de droit étranger. L’enjeu ici est celui de la souveraineté nationale car, comment un parti représenté à l’Assemblée Nationale peut-il aborder, à titre d’exemple, des enjeux d’ordre stratégique et de politique internationale lorsque son financement tient de banques étrangères dont la dépendance politique vis-à-vis du pouvoir de son Etat est avérée ? ».

     Bruno Gollnisch le soulignait, au-delà des mauvais fantasmes et approximations juridiques de cet élu socialiste, sa tentative de  convaincre implicitement les Français que le PS, serait le plus apte à défendre notre souveraineté nationale prêterait à rire si la situation n’était pas aussi grave.

      Un PS qui a tout lâché, trahi le peuple français, et notamment les catégories populaires, le parti des scandales et des magouilles financières à répétition, le parti qui a mis ses pas dans ceux de la droite sarkozyste pour inféoder toujours plus avant la France aux lobbies mondialistes, au Nouvel ordre mondial, à la technocratie Bruxelloise, à l’Otan. Un PS parti de l’étranger qui ose mettre en  doute l’honnêteté et le patriotisme  du FN, on croit rêver !

     Mais il est vrai que contre les nationaux, tous les coups sont permis et que le Mouvement national  reste l’objet d’une haine vigilante, proportionnelle à la frousse obsessionnelle  qu’il  génère chez ses adversaires.

     Ainsi, le couple  bobo-bolcho Alexis Corbière et Raquel Garrido, du Parti de Gauche, une  petite structure mélenchoniste  rattachée au Front de Gauche, a hurlé de nouveau  au complot pro bête immonde. Une fureur relayée par certains médias et notamment slate.fr, le site deMM. Attali et Colombani, laquelle a pour objet  journal pour adolescents  L’Actu. Celui-ci a en effet osé  évoquer le FN dans un récent  numéro (1er avril) , de manière trop factuelle et objective.

     Mme Garrido a annoncé qu’elle allait «désabonner ses enfants de L’Actu» (mais était-elle vraiment abonnée ?). « Alexis Corbière, son conjoint et secrétaire national du Parti de gauche chargé notamment de la lutte contre l’extrême droite lui a emboité le pas en dénonçant, toujours sur Twitter, la une du quotidien sur laquelle on voit Marine Le Pen souriante au milieu d’enfants».

     Prenez ici la mesure  citoyens, du machiavélisme fascisant de ce journal  insiste encore  slate.fr : « A priori, illustrer un numéro qui traite du vote FN chez les jeunes par une photo de Marine Le Pen et de jeunes n’a rien de choquant. A priori seulement (sic). Parce que cette photo reflète parfaitement l’angle premier degré choisi pour traiter cette question certes essentielle de l’attrait croissant des jeunes pour ce parti. Ce que cette photo renvoie aux jeunes lecteurs de L’Actu, c’est l’image d’une femme qui est capable de faire exulter des gamins de leur âge. Et rien d’autre ».

    Il est certain qu’en ajoutant à la photo de Marine une moustache et une  mèche, comme le font depuis  quarante ans les militants d’extrême gauche sur les affiches des candidats frontistes, on est dans le connu, la routine rassurante et confortable…oui mais voilà ça ne fonctionne plus.

     Mais ce n’est pas  tout, nos épurateurs ex lecteurs de Pif gadget contestent aussi  « le dessin de Bridoulot que l’on trouve en tête de la double page Un dessin (…) franchement raciste. Qu’y voit-on? Raquel Garrido, elle, y voit un petit Blanc affirmant qu’il adhère au FN pour lutter contre l’insécurité dans son collège et qui du coup se fait agresser par trois petits basanés qui le traitent de facho et de nazi».

     Ou Bridoulot va-t-il chercher tout ça ? Qu’attend-on pour le priver de ses droits civiques ? Interdire L’Actu? Fusiller sa  rédaction? Déporter ses lecteurs dans un centre de rééducation ?  Liquider  les dirigeants du FN, l’opposition nationale? Décidemment tout fout le camp !

    http://gollnisch.com/2015/04/08/tout-fout-le-camp-2/