Ils savaient. Ils savent. Ils savent même très bien. Ils ? Les « celles et ceux » qui nous gouvernent. Qui nous gouvernent depuis plus de quarante ans, aux doux accents de la social-démocratie ou de la démocratie libérale, interchangeables qu’ils et qu'elles sont. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit, lorsqu’on lit ceci : « Ils sont français, mais pas un seul n’a un nom à consonance française, confie, après coup, ce ministre, en soupirant. Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… Cette affaire traumatise légitimement nos compatriotes. Il faut remettre des règles et de l’ordre, sinon le pays partira à vau-l’eau. » Cela est tiré du Figaro : des propos rapportés par le journaliste Louis Haushalter.
lobby - Page 171
-
[Point de vue] Crépol : Ils savaient
Lien permanent Catégories : actualité, immigration, insécurité, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
L’Union Européenne est en train de réaliser sous nos yeux un véritable coup d’État
Bernard Germain
C’est terminé, l’Union Européenne vient de franchir le Rubicon en votant la création d’un « État Européen ». Comprenez bien qu’en prenant cette décision, l’UE vient de décider que cet État Européen va se substituer à toutes les nations existantes, membres de l’Union Européenne.
Cette forfaiture vient d’être commise avec les voix de TOUS les macronistes.
Lorsque ces mesures seront mises en place, les pays de l’UE ne seront plus que des « régions » ou des « provinces » mais plus des États à part entière. Les conséquences de cette révolution, car c’en est une, sont incalculables.Ne tournons pas autour du pot. N’ayons pas peur d’utiliser les mots appropriés, nous assistons en direct à un authentique coup d’État.
-
À Sciences Po, des affiches en hommage à Thomas arrachées : “Il n’y a plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement” (MàJ)
«Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées. Il n’y a donc plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement, c’est déplorable», note Quentin Coton, président de l’UNI Sciences Po.
-
Bien que toujours considérée comme une fake news, l’organe consultatif des institutions de l’Union européenne confirme que “80 % des lois nationales sont façonnées par des lois votées au niveau européen”
-
Crépol, réflexion sur la notion de responsabilité
Il est intéressant d’observer les réactions officielles à la tragédie de Crépol. Elles sont de deux ordres : le premier consiste à s’arroger le monopole du commentaire. Etre au pouvoir, viendrait conférer une sorte de droit à commenter sans tabou avec des termes musclés : barbarie, etc. En revanche, les mêmes mots (ou tout aussi forts), venant d’ailleurs, seront qualifiés « de récupération« . C’est une manière d’imposer le silence et de faire taire toute critique par avance en la délégitimant ou en la diabolisant.
-
Comment remédier au gouvernement des juges ? Par Frédéric Rouvillois [IXe Forum de la Dissidence]
Polémia
Introduction
Commençons par un constat : lorsque l’on confie à une juridiction le soin de contrôler la conformité des lois à la constitution, il semble à peu près inévitable qu’apparaisse ce que l’on appelle aujourd’hui le « gouvernement des juges »: c’est-à-dire, l’intervention massive de cette juridiction dans des affaires politiques qui en principe ne relèvent que du souverain ou de ses représentants directs.
-
Attaque de Crépol : Des consignes ont été passées pour imposer “un blackout total” concernant les prénoms des suspects. “S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà”, note un gendarme (MàJ)
@Valeurs. Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.” #Drome
-
Éric Zemmour : « L’islam n’est compatible ni avec la République ni avec la France »
Extrait de la tribune d’Eric Zemmour publiée par le JDD :
“(…) À l’instar des chefs d’État des pays arabes qui craignent la désapprobation de leur « rue » lorsqu’ils normalisent leurs relations avec Israël, Emmanuel Macron a peur, lui aussi, de sa « rue arabe » (…)Macron sait qu’il est à la tête de deux peuples. Deux peuples qui n’arrivent plus à vivre ensemble. Deux peuples, dont l’un doit fuir sans cesse les agressions d’une fraction de plus en plus violente de l’autre, pas seulement les attentats perpétrés aux cris de « Allah Akbar », mais ce véritable djihad du quotidien que subissent les Français : insultes, coups, vols, viols, attaques au couteau, trafic de drogue, meurtres.
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
La justice entre impuissance et militantisme ? Par Michel Geoffroy [IXe Forum de la Dissidence]
1) Si l’on en croit les sondages, mais dans le cas d’espèce ils sont convergents depuis des années, l’image de l’institution judiciaire est fortement dégradée dans notre pays.
La justice serait laxiste pour 70 % à 80 %[1] des personnes interrogées, trop lente pour 93 %, opaque pour 70 % [2].
79 % se déclarent globalement insatisfaits de l’institution judiciaire. Ce que confirme d’ailleurs, dans son rapport de juillet 2022, le comité des États généraux de la justice évoquant « l’état de délabrement avancé dans lequel l’institution judiciaire se trouve ». -
Squattée par des migrants, l’université de Toulouse espère enfin une issue
La France est priée par l'Europe d'accueillir des migrants. Toujours plus de migrants.
Une générosité forcée qui pèse d'un poids très lourd sur le territoire. Cette fois, c'est une université française qui est au pied du mur. Et n'en peut plus d'assumer une mission qui n'est pas la sienne. On prend les mêmes et on recommence ! Ce lundi 21 novembre, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a ainsi ordonné l’expulsion d’une centaine de sans-papiers squattant le bâtiment 4R3 de l'université Paul-Sabatier de la ville rose.