Suite du procès de Florian Dahuron, militant d’ultra-gauche et combattant revenu du Kurdistan, poursuivi avec six de ses camarades par le Parquet national anti-terroriste pour association de malfaiteurs terroriste. Une affaire sur laquelle pointent l’ombre du réseau kurde et une défense politique menée par des avocats engagés.
Le procès pour terrorisme de Florian Dahuron alias « Libre Flot », combattant revenu du Kurdistan, et de ses amis militants d’ultra-gauche s’est poursuivi ces deux dernières semaines, les débats laissant une grande place à l’examen minutieux du contenu du dossier, celui d’une enquête très contestée dont la légitimité même est remise en cause par les avocats.