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lobby - Page 1778

  • Le rôle politique secret de Google dénoncé par Julian Assange

    Julian Assange le fondateur de Wikileaks dénonce dans son dernier livre le rôle et l’influence politique de Google dans le monde. La firme US serait de mèche avec son gouvernement et Israël pour notamment déstabiliser les pays arabes autour de l’État hébreux.

    Article vu sur Numerama : « Dans un livre publié en septembre dernier, le fondateur de Wikileaks décrit en profondeur le rôle diplomatique joué très discrètement mais efficacement par Google, en particulier dans les pays arabes. Pour Julian Assange, Google est devenu une officine au service des intérêts américains, notamment grâce à sa filiale Google Ideas dirigée par Jared Cohen.

    « Personne ne veut reconnaître que Google a beaucoup grandi et en mal. Mais c’est le cas ». En septembre dernier est paru chez OR Books le livre When Google Met Wikileaks, écrit par Julian Assange. Le magazine Newsweek en publie cette semaine de très longs extraits, dans lesquels le fondateur de Wikileaks décrit avec minutie le rôle de l’ombre joué par Google dans la politique internationale des Etats-Unis. Le passage est véritablement passionnant, et mérite d’être lu. Il est étayé par des documents, dont beaucoup avaient fuité sur Wikileaks, qui donnent corps à l’analyse.

    En résumé, Julian Assange estime qu’à travers l’action très politique de deux responsables de Google, son président Eric Schmidt et le beaucoup plus discret Jared Cohen, la firme de Mountain View est devenue une officine diplomatique au service des intérêts américains. Elle accomplirait une version modernisée du soutien qu’apportait la CIA aux dictateurs d’Amérique du Sud pendant la guerre froide. Il ne s’agit plus aujourd’hui de soutenir les régimes autoritaires contre les tentations communistes du peuple, mais de soutenir les rebelles contre les régimes autoritaires islamiques du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. Déguisé sous des traits humanitaires, l’objectif fondamental reste toutefois le même : défendre le libéralisme économique et les intérêts stratégiques américains. »

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    http://www.contre-info.com/

  • Islamisme en prison : l’élite médiatico-politique découvre l’eau tiède.

    Après trente ans de "puritanisme" politiquement correct où certain mots ne pouvaient même plus être prononcés dans l’espace médiatico-politique, on s’aperçoit aujourd’hui d’une inversion qui se caractérise notamment par un retour aux sujets interdits.   

    Le glissement du débat public sur les thèmes traditionnels de la droite nationale est révélateur d’un changement de paradigme.

    Après trente ans de « puritanisme » politiquement correct où certain mots ne pouvaient même plus être prononcés dans l’espace médiatico-politique, on s’aperçoit aujourd’hui d’une inversion qui se caractérise notamment par un retour aux sujets interdits. L’analyse de ces faits ne doit pas se limiter aux constats ou aux conséquences, comme bien souvent dans notre espace médiatique, mais s’attacher aux causes.

    Elles peuvent évidement être stratégiques comme en 2007 avec la « droitisation » de la campagne de Nicolas Sarkozy et la célèbre « ligne Buisson » : dans ce cas, nous sommes dans une sorte de marketing électoraliste où le but est de gagner le plus de part de marché électoral sans se préoccuper du fond du sujet, une sorte d’école du “public choice”.

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  • Le Régime Social des Indépendants : « Bienvenue en enfer »

    Enquête Armel Joubert des Ouches

    Matraqués par les taxes et les cotisations, ils sont artisans, commerçants, professions libérales. Ils représentent « la première entreprise de France ». Les TPE, les Très Petites entreprises comme on les appelle également (de 1 et 20 salariés) se disent matraquées par les cotisations sociales qu’un système qui semble « obligatoire » leur impose. Chaque jour, des centaines de milliers de travailleurs non salariés subissent les agissements et dysfonctionnements du RSI. Un régime « inventé » en 2005 pour, disait-on, simplifier la vie des professions libérales. La plupart de ceux que nous avons rencontrés « survivent » en raison des charges qu’ils doivent payer. Régulièrement, ils manifestent leur révolte dans les rues, autour des ronds-points, devant les caisses régionales du RSI et devant les bâtiments de l’URSSaf … dans l’indifférence générale… A qui profite réellement le RSI ?

    http://www.contre-info.com/

  • Le gouvernement favorise le divorce pour allocations familiales

    Question de Jacques Bompard à la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la fin de l'universalité des allocations familiales :

    "Alors que la gauche défend une mythique égalité, voilà qu'elle s'attaque à l'universalité de la famille biologique en décidant de moduler les allocations selon les revenus. Une telle mesure aboutit à rompre l'égalité entre les familles et opère un glissement de la politique de natalité vers une politique de redistribution fiscale. Le gouvernement prend ainsi le risque d'une fracture entre les bénéficiaires des prestations et ceux qui la financent.

    La même logique du gouvernement appliquée au domaine du remboursement des frais médicaux mènerait à ce que les cotisants ne soient plus autant remboursés que les autres bénéficiaires du système.

    En privant certaines catégories de familles des aides qui visaient à compenser les charges qu'impliquent l'éducation d'enfants, le gouvernement favorise, après le divorce fiscal, le divorce pour allocations familiales.En effet, si un couple gagne plus de 6 000 euros par mois, il ferait mieux de divorcer - sans se séparer – car alors les allocations seront conservées et l'un des conjoints bénéficiera d'aides nouvelles. Dans de telles conditions, le mariage n'est plus du tout incitatif, et les récents bénéficiaires de la dénaturation du mariage préfèreront somme toute se contenter du PACS.

    Par ailleurs, les familles les plus aisées ne faisaient pas d'enfants pour obtenir des allocations : cette réforme qui vise à priver d'allocations les plus hauts revenus n'aura donc pas d'incidence sur le nombre d'enfants de ces classes sociales. Le crime de l'Etat socialiste est ailleurs : une fois de plus, il rompt le principe d'égalité de tous devant la loi. Crime qui se développe et s'accentue au nom non pas de la justice, mais de la justice sociale, dieu nouveau qui crée des droits sans devoirs. Droit d'avoir des revenus sans travailler, par exemple, ou encore d'entrer illégalement dans un pays et d'y avoir tous les droits. Enfin, pour mettre en place cette nouvelle réforme, il y aura un coût en embauches de fonctionnaires (pour 60 millions d'euros environ), en nouveaux logiciels, en mise en correspondance des différentes administrations impliquées, etc. Ajoutons que pénaliser les familles pour augmenter l'aide médicale d'Etat (AME) afin de payer l'intégralité des soins des clandestins est symptomatique des priorités du gouvernement. Monsieur le député Jacques Bompard demande au gouvernement de mieux évaluer les impacts sociaux et budgétaires de la modulation des allocations familiales en fonction des revenus préalablement à la mise en place d'une telle réforme."

    Michel Janva

  • Une femme élevée par des lesbiennes témoigne de l’enfer LGBT et reçoit des menaces…

    Lu sur Reinformation.tv : Une Américaine, Rivka Edelman, a décidé récemment de publier un livre (NDCI : voir ici en anglais) pour raconter son enfance et contredire tous les activistes qui affirment qu’un enfant adopté par une paire homosexuelle ne manque de rien.

    Les femmes premières victimes de la culture lesbienne et LGBT

    Elevée elle-même par deux lesbiennes elle revient sur les souffrances de son enfance et dénonce la « misogynie impitoyable » répandue dans la culture LGBT. Elle affirme également que cette violence prend impunément pour cibles les femmes et les enfants alors que la lutte de ces milieux est saluée comme étant « courageuse et « héroïque » par les autorités.

    Le témoignage courageux de personnes élevées par des paires homosexuelles

    Avec trois autres enfants élevés par des paires homosexuelles, cette jeune femme a décidé d’écrire une note à l’attention du Texas qui s’apprêtait à légaliser le mariage homosexuel afin de démentir l’idée selon laquelle les enfants confiés à ces personnes n’auraient aucun handicap.

    Depuis, Rivka Edelman subit une campagne de diabolisation par quelques activistes LGBT se présentant comme des « activistes des Droits de l’Homme ». N’ayant aucun argument à lui opposer ces derniers ont choisi la menace et l’insulte. Des adresses qui n’ont décidemment pas de frontières puisqu’elle est accusée d’être « bigote » et « homophobe »…

    A cela s’ajoute les menaces de mort, la publication de ses coordonnées, de détails sur sa fille. Ils ont même été jusqu’à contacter l’ex-mari de Rivka Edelman a qui ils ont demandé de témoigner pour affirmer qu’elle mentait. Ce qu’il n’a pas fait.

    Maintenant que le Texas a légalisé le « mariage » homosexuel, elle s’apprête à publier cette note, déterminée à ne pas taire la souffrance qui lui a été imposée.

    http://www.contre-info.com/une-femme-elevee-par-des-lesbiennes-temoigne-contre-lgbt-et-recoit-des-menaces

  • Islam radical dans nos prisons : la réalité dépasse la fiction

    Non, il ne s’agit pas d’un énième hoax de la « réacosphère », mais d’un rapport très sérieux du député UMP de l’Yonne, Guillaume Larrivé. Voici ce que déclare ledit député : « Alors qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40.000 détenus, peuvent être considérés comme de culture ou de religion musulmane, la radicalisation islamiste est aujourd’hui susceptible de concerner plusieurs centaines de détenus. »

    Première information, l’islam est, de loin, la religion la plus représentée dans les prisons françaises. Laurent Obertone l’avait avancé dans son ouvrage « La France orange mécanique ». On se souvient qu’à l’époque, Aymeric Caron lui avait demandé quels étaient « ses chiffres », comme il l’a fait récemment face à Éric Zemmour ; en censeur autoproclamé de la pensée « rance », laquelle n’est pourtant que réaliste. La sur-représentation des musulmans dans la population carcérale n’a jamais été qu’un secret de polichinelle, n’en déplaise aux chroniqueurs d’un monde irénique attachés (de bonne foi, peut-être) à leurs idéologies passéistes. Désormais, les faits sont rendus publics.

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  • Echapper au « suicide »: le FN au cœur du débat intellectuel

    Invité lundi  d’Apolline de Malherbe sur BFM TV, Jean-Marie Le Pen interrogé sur  le livre d’Eric Zemmour, notait qu’il n’était pas anodin que celui-ci s’intitule «Le suicide français». Le Président d’honneur du FN notait ainsi que son énorme succès s’explique par l’inquiétude de nos compatriotes justement  quant à leur avenir, et notamment leur capacité à perdurer en tant que peuple menacé de grand remplacement, en conservant son identité et sa souveraineté. Au-delà du cas Zemmour, ce sont plus généralement  ces dernières années  les ouvrages alternatifs à la pensée unique, recoupant peu ou prou des analyses, des avertissements, des constats du FN, qui rencontrent un grand écho, font débat et/ou sont plébiscités par les lecteurs. Bref, même si les intéressés  le réfutent ou s’en émeuvent parfois, même s’ils manifestent de l’hostilité à l’opposition nationale, leurs écrits n’en légitiment pas moins le combat mené par le FN,  jusqu’alors vox clamantis in deserto. Cela est vrai notamment  pour les derniers ouvrages d’auteurs dont nous avons parlé sur ce blogue, aux sensibilités  et aux domaines aussi différents qu’Alain Finkielkraut, Christophe Guilluy, Olivier Pétré-Grenouillot, Alain Soral, Jacques Sapir,  Michéle Tribalat, Renaud Camus, Sylvain Gouguenheim, Hugues Lagrange, Laurent Obertone…

     La semaine dernière André Bercoff écrivait dans Le Figaro, avec  un optimisme que nous ne partageons tout de même pas, qu’ «il n’y a plus, heureusement, en douce France, d‘intellectuels maudits. La marge a rejoint la page. Certes, pendant plus de trente ans, ceux qui osaient avancer que l’immigration n’était pas toujours une bénédiction pour notre pays, que le racisme pouvait être, parfois, anti-blanc, que les violences et les incivilités au quotidien ne relevaient pas forcément d’un fantasme lepéniste ou d’une résurgence des factions d’extrême-droite, se voyaient immédiatement interdits d’antenne et de papier. Aujourd’hui, Eric Zemmour peut se répandre dans tous les médias pour porter ses arguments, ainsi que d’autres esprits atypiques (…)». Le fantasme lepéniste  était donc une réalité… merci de cet aveu M. Bercoff!

     Le journaliste le  reconnait aussi, «l’idéologie boboïste du camp du Bien tient en effet table ouverte et richement dotée depuis les années 80, sans que personne ne proteste vraiment. Mais il suffit que, depuis quatre ou cinq ans, des écrivains, des journalistes, des géographes, des démographes sortent des sentiers battus et de la Pravda des idées reçues pour qu’ils soient tout de suite marqués du sceau de l’infamie ». Propos qui viennent contredire sa tirade sur la fin de l’ostracisme frappant les dissidents à la pensée unique.

     Mais cette mise à l’écart est aussi perçue par beaucoup comme un brevet d’honorabilité. La révolution internet, le succès rencontré en terme de fréquentation par des sites d’information de réinformation alternatifs, prouvent que la censure des médias dominants, méprisés par des Français qui ne leur accordent que très peu de crédit si l’on en croit les sondages, n’est plus opérante, ou en tout cas de moins en moins efficace.

     Les journaux grassement subventionnés, détenus par de grands groupes financiers, digérant et recrachant peu ou prou la même bouillie libéral-libertaire, européiste et cosmopolite touchent un lectorat qui se réduit comme peau de chagrin. Bruno Gollnisch n’est pas le seul à le relever, la distorsion entre ce que les Français lisent ou écoutent de la part des faiseurs d’opinions et  la réalité qu’ils perçoivent est décidemment trop grande…

     Il est ainsi piquant de constater qu’un escroc intellectuel comme Bernard-Henry Lévy, bénéficie d’une ultra médiatisation, inverse au nombre de ses lecteurs. Nous évoquions sa dernière pièce « Hôtel Europe » particulièrement mal écrite dans ce style pompier qu’il affectionne,  mélange de grotesque, d’indigence et de grandiloquence. C’est le pauvre Jacques Weber , embarqué dans cette galère, qui doit  s’acquitter de  porter cette pièce sur ses épaules…

     Sur le site du Figaro, l’écrivain Patrick Roegiers expliquait pourtant son éblouissement devant le talent de BHL qui a pondu ici  un « texte (qui ) est un réquisitoire, un plaidoyer perdu d’avance, un cri d’indignation comme il ne s’en pousse plus nulle part » (sic).

     « Ce monologue intérieur poursuivait-il, est un dialogue sans merci avec le triste état du monde. C’est du théâtre de chambre au sens strict. L’acteur dévide sa parole et fait entendre sa voix. L’un des plus beaux moments est celui où il s’affale comme un cheval mort et laisse poindre en toute intimité son désarroi ». On imagine…

     Oui mais voilà rapporte David Doucet sur le site des Inrocks, «initialement prévue à l’affiche jusqu’au début du mois de janvier, Hôtel Europe s’arrêtera brutalement le 16 novembre au lieu du 3 janvier, comme c’était initialement prévu », «faute de public» (…). «Nicolas Sarkozy, François Hollande et Manuel Valls s’étaient pressés pour assister à sa représentation mais cela n’a pas suffi. Bernard-Henri Lévy avait multiplié les apparitions télévisées mais ce battage médiatique n’a pas permis de remplir le Théâtre de l’Atelier et ses 563 places».

     « La pièce racontait avec le lyrisme et la modestie que l’on connaît au philosophe et écrivain, l’histoire d’un homme qu’on devine être BHL, enfermé dans une chambre de l’Hôtel Europe, à Sarajevo (…). Jacques Weber avait confié au Figaro qu’il avait perdu 30 kilos pour interpréter ce rôle. Ce régime de spartiate n’aura donc servi à rien. BHL ne fait plus recette ».

     A dire vrai,  cela fait très  longtemps que BHL ne fait plus recette et sa venue la  fin de semaine dertnière à l’université de la Licra n’a même pas réussi à réveiller les quelques dizaines de personnes présentes sur place…

     En terme de vente, malgré une promotion délirante, systématique, dans la presse écrite et audiovisuelle, les livres de BHL se vendent aussi mal que  ceux  de sa protégée, la toute aussi impopulaire et médiatiquement omniprésente Caroline Fourest dont le « roman » récent  « Inna »  a fait un gros flop. Les deux derniers livres du philosophe pipo(le), « De la guerre en philosophie » et « Pièces d’identité » ne se sont vendus respectivement qu’à 5500 et 3500 exemplaires. Quant à son film de propagande sur la destruction de la Libye, «Le serment de Tobrouk», navet révisionniste égotiste, pathétique pladoyer pro domo,   il a été vu par moins de 2500 spectateurs…

     A titre de comparaison, Jérôme Béglé indique sur le site du Point  que «les 533 pages (du Suicide Français de Zemmour) sont en passe de devenir un phénomène : la semaine dernière, Albin Michel enregistrait entre 15 000 et 20 000 sorties par jour (…) ».

     «Le premier tirage de 120 000 exemplaires a été écoulé en une semaine. Ce sont désormais près de 300 000 Suicide français qui ont été fabriqués ! Et ce n’est pas terminé : les chiffres ne faiblissent pas, incitant les plus optimistes à parier sur un total de 500 000 livres achetés. Ces chiffres ne comprennent pas les ventes numériques, soit environ 15 % supplémentaires… (…). Derrière le phénomène éditorial, reste à comprendre ce que ce triomphe signifie. Éric Zemmour est-il devenu le porte-voix de cette France qui ne se sent représentée ni par les médias traditionnels, ni par les discours politiques, ni par les intellectuels qui tenaient jusqu’ici le haut du pavé ?» .

     Quelque chose nous dit que M. Béglé  connaît  la réponse à cette question. Quant aux  Français, ils  savent aussi ce qui leur convient de faire   pour échapper à se suicide programmé par la caste au pouvoir.

    http://gollnisch.com/2014/10/24/echapper-au-suicide-fn-au-coeur-du-debat-intellectuel/

  • Immigration : droite et gauche, même combat !

    Oyez braves gens, réjouissez-vous ; de jeunes hommes venus de pays lointains pourront bénéficier de vos aides.   

    Vous connaissez tous le film de Charlie Chaplin « Les Temps modernes », satire en 1936 du travail à la chaîne. Vous vous souvenez certainement de cette scène où Charlot visse un boulon sur un tapis roulant. Chaque fois qu’il en a fixé un, un autre apparaît et avec le même geste mécanique, il revisse indéfiniment les multiples boulons qui se présentent à lui. Eh bien, Anne Hidalgo et sa majorité se sont inspirées de ces chaînes de montage pour adopter des subventions allouées aux jeunes migrants qui chaque année se succèdent. Seule différence avec le temps : le boulon augmente de taille.

    En effet, la mairie de Paris a cassé sa tirelire – je devrais dire « notre » tirelire – pour attribuer 95 millions d’euros en 2014 à la prise en charge de 2.000 jeunes, dont 700 majeurs bénéficiant d’un contrat « jeune majeur ». Inconsciente de la crise et de la lourdeur des taxes locales, elle a pratiquement triplé les sommes accordées en 2008. Des jeunes venus du Sénégal, du Cameroun et du Mali à peine débarqués en France peuvent ainsi se précipiter à la permanence de France terre d’asile, pour expliquer qu’ils doivent être pris en compte comme mineurs isolés.

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