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Emmanuel Ratier: Le Siècle
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Sur France 2, on est "islamiquement ignare"
L'expression, savoureuse, est de Bernard Antony, qui nous propose un petitretour sur l'émission "envoyé spécial" de France 2 :
"Hier au soir, sur France 2, à l’émission « Envoyé Spécial », deux animatrices énamourées se pament d’admiration pour l’iman d’Ivry, développant doctement, le coeur sur la main et citant quelques versets anodins, qu’il n’y a rien dans le Coran pour justifier l’islamisme.
Le Coran à l’en croire n’est qu’un livre de paix et de bonheur et son prophète Mahomet un tendre humaniste, un doux pacifiste. Avec l’iman, pas question pour les animatrices d’être insolentes ou de manifester simplement quelque étonnement, pas question de le questionner sur la réalité historique de l’islam.
L’iman, avec un incroyable culot, évoque la Saint-Barthélémy pour dire que dans la chrétienté il y a eu aussi des guerres de religion et des massacres. Certes !
Aucune des deux ne s’avise de lui rétorquer ce que dit la grande historienne du jihâd et de la dhimmitude, Bat’Ye-Or : « De religion juive, je n’en suis que plus à l’aise pour rappeler que lorsque des chrétiens se livrent à des violences, ce n’est pas selon l’imitation de Jésus-Christ, tandis que lorsque les musulmans égorgent, c’est selon le modèle de Mahomet».
Mais surtout, aucune des deux ne le questionne sur quelques-uns des 700 versets de violence du Coran ou sur ce que contiennent les Hâdiths. À l’évidence, elles sont islamiquement ignares.
Aucune ne lui demande pourquoi aucun non-musulman, sous peine de mort, ne peut se rendre à La Mecque ou à Médine. Pas de question sur la charia appliquée par l’État islamique, certes dans un paroxysme de sauvagerie, mais qui ne l’est pas moins, dans toute son horreur, en Arabie Saoudite, en Iran et dans des dizaines d’autres pays.
Aucune ne lui pose de questions sur le statut des femmes, sur la liberté religieuse, sur l’égalité et la réciprocité : l’iman ravi baigne dans le lait et le miel d’une douceur médiatique toute de complaisance. Et tant pis pour l’information des téléspectateurs. Mais la désinformation est à vrai dire grandiose.
Mais, comme l’aurait conclu Vialatte, « c’est ainsi qu’Allah est grand ! »."
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La justice des juges contre la jurisprudence
Le Syndicat de la Magistrature est né d'une foi dans la justice des juges et d'une partialité revendiquée des magistrats qui parce qu'ils sont de gauche seraient plus justes que toutes les jurisprudences bourgeoises. Retour sur le discours programmatique de Maître Oswald Baudot.
« Soyez partiaux. Pour maintenir la balance entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, qui ne pèsent pas d'un même poids, il faut que vous la fassiez un peu pencher d'un côté. C'est la tradition capétienne. Examinez toujours où sont le fort et le faible, qui ne se confondent pas nécessairement avec le délinquant et sa victime. Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l'enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l'ouvrier contre le patron, pour l'écrasé contre la compagnie d'assurances de l'écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice. »
En 1974, dans un célèbre discours à ses pairs, les magistrats du Syndicat de la Magistrature (SM), Oswald Baudot n'y allait pas par quatre chemins. Il demandait aux membres de ce Syndicat controversé, né sur les Barricades en 1968, de ne pas se tenir dans une illusoire distance tant vis-à-vis de la chose jugée que des justiciables, mais d'être clairement et sans état d'âme du côté du faible contre le fort. Ce texte revendique explicitement une tradition qui est monarchique ; on devine aussi des références chrétiennes. D'ailleurs Oswald Baudot, en guise de péroraison, qualifie, sans fausse humilité, sa propre adresse aux magistrats de Discours sur la Montagne, non pas pour dire : Heureux les doux, comme fit le Christ, mais pour improviser un : Heureux les faibles, car le cœur du Juge membre du SM sera avec eux. Il sera de leur côté.
Les « juges rouges »
Dans l'histoire du Syndicat de la Magistrature, il y eut ainsi plusieurs « juges rouges » qui firent scandale en se mettant délibérément du côté de l'ouvrier contre le patron, du côté de la veuve et de l'orphelin. C'est un Charrette, Patrice, de la famille du célèbre Chef vendéen, au temps où il était juge d'instruction à Béthune, qui fit particulièrement scandale en inculpant le 27 septembre 1975 Jean Chapron, le patron d'une petite entreprise, pour homicide involontaire, suite à un accident de travail qui avait coûté la vie à l'un de ses employés. Il y eut beaucoup d'autres engagements de ce genre des juges rouges, les connus et les inconnus, ceux qui ont fait du bruit et ceux que l'on n'a pas retenus...
Oswald Baudot avait-il raison de vouloir rétablir l'équilibre entre le fort et le faible en avantageant le faible? C'est ce que dit Aristote, au Livre V de son Ethique à Nicomaque : le juge doit être capable, à l'intime de lui-même, de réaliser l'égalité (une égalité de condition qui n'existe pratiquement jamais) entre les deux plaignants, pour pouvoir rendre la justice sans faire acception de personne. Mais le philosophe grec note que ce travail intérieur d'égalisation des deux partis est « presque divin » et qu'il est très difficile à un homme d'y parvenir.
Au-dessus de la loi
Dans un autre extrait de son fameux discours, Oswald Baudot vend la mèche : non seulement il faut s'exercer à ne pas faire acception de personnes en avantageant le faible par rapport au fort, mais il faut aussi se passer de la loi elle-même : « Dans vos fonctions, ne faites pas un cas exagéré de la loi, ose dire Baudot, juge d'instruction, et méprisez généralement les coutumes, les circulaires, les décrets et la jurisprudence. Il vous appartient d'être plus sages que la Cour de cassation, si l'occasion s'en présente. La justice n'est pas une vérité arrêtée en 1810. C'est une création perpétuelle. Elle sera ce que vous la ferez. N'attendez pas le feu vert du ministre ou du législateur ou des réformes, toujours envisagées. Réformez vous-mêmes. » Cette fois, ce ne sont pas les références chrétiennes qui prennent le dessus, mais la contestation de l'ordre établi, qui a fleuri au joli mois de Mai, l'an de grâce 1968. Certes il ajoutera, de façon classique : « Consultez le bon sens, l'équité, l'amour du prochain plutôt que l'autorité ou la tradition. » Mais son appel à la désobéissance est bel et bien lancé.
Révolution et impunité
Il aurait dû lui coûter cher. Simple substitut du Procureur de Marseille, il subit les foudres du garde des Sceaux de l'époque, Jean Lecanuet. Le Parquet avait demandé une réprimande avec inscription au dossier. Face à la mobilisation du Syndicat de la Magistrature, le garde des Sceaux renonça à sanctionner l'impertinent. Une impunité que ressent aujourd'hui encore le SM, qui est passé à travers le scandale du Mur des cons, sans même faire la moindre excuse aux individus stigmatisés. C'est Clément Weill-Raynal, le journaliste qui a découvert l'affaire et a fait publier des photos sur le site Atlantico qui fut sanctionné par France 3 pour avoir révélé des choses qui n'auraient pas dû être médiatisées.
Le projet du Syndicat de la Magistrature, quiappelle à une autre société et à d'autres lois, estune survivance du grand élan soixante-huitard.Il peut paraître aujourd'hui passé de mode. Defait, les principaux responsables n'ont pas changé. Ils continuent, presque seuls dans la sociétéfrançaise d'aujourd'hui, à vouloir faire la révolution. Ils croient à un dépassement de l'institution judiciaire et le livre qu'ils viennent de publier pour les quarante ans du SM s'intitule,conformément à l'espérance révolutionnaire quiest la leur : Les mauvais jours finiront. Ce messianisme sans Dieu a démontré partout non seulement son inefficacité mais son pouvoir de nuisance. Les magistrats du Syndicat de la magistrature, nés de cet élan en Mai 68, continuent à le cultiver et s'apprêtent à réformer notre Justice comme si vraiment les mauvais jours allaient finir.Leur partialité affichée et revendiquée devient uninstrument de leur lutte révolutionnaire.
Joël Prieur monde & vie 9 septembre 2014
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Le CSA confirme le tabou médiatique du QI des différentes races
Le 21 mai 2012, lors de l’émission Le libre journal d’Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie, l’animateur avait abordé le quotient intellectuel de différentes races.
Précisément, il avait déclaré : « quand [Jules Ferry] affirme qu’il y a des ‘races inférieures’ et des ‘races supérieures’, tout est une question d’appréciation. Mais il faut tout de même savoir, ça c’est un fait, que, pour ce qui est des examens et analyses de quotient intellectuel (…), il y a aux Etats-Unis entre les noirs africains et le reste de la population un écart de 15 points. Et la dernière étude publiée dans une revue scientifique anglaise par Jensen nous révèle qu’entre les noirs d’Afrique et les blancs d’Europe ou des Etats-Unis l’écart est de 30 points. Alors, c’est une valeur moyenne, mais c’est considérable. Et quand on parle du développement de l’Afrique et de son retard en matière historique, en matière de développement, il faut avoir à l’esprit cet écart de quotient intellectuel qui est évidement considérable. »
Ces propos avaient valu à la station une mise en demeure du CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel). Radio Courtoisie avait alors décidé de contester cette mise en demeure devant le Conseil d’Etat. Les juges du Palais Royal l’ont débouté et confirmé la décision du CSA, qui n’a pas « commis d’erreur d’appréciation ».
Source : NdF
Pour se faire une opinion : http://42mag.fr/2014/05/classement-mondial-qi-moyen-pays/
http://www.contre-info.com/le-csa-confirme-le-tabou-mediatique-du-qi-des-differentes-races
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Sur la duplicité de Najat Vallaud-Belkacem
Marie Philippe, responsable du site www.ivg.net, a publié le 11 septembre une tribune dans Valeurs Actuelles :
"La loi Vallaud Belkacem sur « l’égalité hommes/femmes » qui vient d’entrer en vigueur le 3 août 2014 veut non seulementbanaliser un peu plus l’avortement mais recèle en son sein unedisposition particulièrement inquiétante pour la liberté d’expression de ceux qui mettent en garde les femmes tentées par l’IVG au sujet de sa gravité tant sur le plan physique que psychologique. Action dont le site www.ivg.net s’est fait la spécialité grâce à sa bonne position sur les moteurs de recherche.
A l’occasion de la première lecture au Senat de cette loi, un groupe de sénateurs socialistes avait déposé et fait voter avec le soutien du gouvernement un amendement qui vise à étendre le délit d’entrave à l’IVG à ceux qui feraient « des pressions morales et psychologiques, à l'encontre des femmes venues y subir ous’informer sur l’IVG ». Ainsi le nouvel article L2223-2 place sous la menace d’une peine correctionnelle (2 ans de prison !) ceux et celles qui feraient une information « non conforme » sur l’ivg.
Pour motiver son amendement qui a reçu le soutien total de Mme Belkacem, voici ce que disait au Sénat le 16 septembre 2013 la sénatrice Rossignol (PS) :
J'ai recueilli, hier, le témoignage d'une femme de 40 ans ayant eu recours à l'IVG. Elle a dû attendre trois heures dans une clinique pour voir un gynécologue, qui lui a fait subir une échographie avec son et image en s'écriant « Oh ! Le beau bébé ! ». Je vous épargne les détails sordides sur l'IVG médicamenteuse puis le curetage et les remarques désobligeantes d'un autre praticien. Je me suis interrogée. Je ne dispose pas de statistiques, mais suis convaincue qu'un tel cas n'est pas isolé. Nous défendons un amendement relatif au délit d'entrave à l'IVG. Je me suis demandée s'il ne faudrait pas l'étendre aux équipes médicales.
On pressent dans cette incroyable intervention, que la simple évocation par un médecin ou un tiers auprès d’une femme enceinte d’un « accueil possible de la vie » risque de devenir de plus en plus problématique …
Le lendemain Mme Rossignol tentait de rassurer les sénateurs devant l’ambigüité de son texte « Pour qu’il n’y ait pas de confusion, je précise que cet amendement ne concerne pas les actions pouvant être menées sur internet. Mme la ministre aura peut-être l’occasion de revenir sur ce sujet qu’elle a, me semble-t-il, déjà évoqué, hier, dans son intervention. Notre proposition est restreinte aux seules manifestations physiques ayant lieu hors des murs des hôpitaux »
Cela n’empêche pas Mme Valaud-Belkacem de déclarer triomphalement sur le site l’express.fr du 31 juillet « Et puis, cet autre frein auquel sont confrontés les femmes, ces sites Internet qui, sous couvert de neutralité, font en réalité du prosélytisme anti-IVG et ont pour objectif de dissuader les femmes de faire usage de leur droit dans les premières semaines, alors même que le délai est légalement contraint. La loi que je viens de faire adopter prévoit de sanctionner désormais cette entrave à l'information. La loi de 1975 prévoyait déjà de sanctionner l'entrave physique à la pratique d'une IVG, ces gens qui se postent devant les cliniques ou les hôpitaux pour empêcher les femmes d'y pénétrer. Mais, en 1975, on ne connaissait par Internet. Il est aujourd'hui avéré que la principale pression psychologique faite aux femmes, c'est sur Internet qu'elle a lieu. Le fait d'empêcher une femme d'accéder à une information neutre et fiable sur l'IVG sera désormais poursuivi.
On peut mesurer maintenant l’incroyable duplicité de Mme Belkacem et ses amies qui prétendent avant le vote que la loi que l’information sur internet restera libre mais qui après sa promulgation veulent en découdre avec les sites commewww.ivg.net qui tentent de dissuader les femmes de recourir à l’IVG. La mauvaise foi est encore flagrante quand Mme Belkacem prêtant que c’est la loi Veil de 1975 qui a institué le « délit d’entrave », alors qu’il s’agit en fait de la loi Neiertz de 1993 (du nom de la proposition de la députée communiste Neiertz).
L’extension à « l’information » du délit d’entrave crée donc maintenant dans l’indifférence générale une atteinte caractéristique au niveau des libertés fondamentales et des droits constitutionnels car :
- la définition de l’incrimination pénale est particulièrement imprécise avec une lourdeur de peine disproportionnée.
- la loi porte atteinte à la liberté de toute personne de communiquer des informations sur la grossesse et sur l’avortement en les « menaçant » ;
- et elle porte atteinte au droit des femmes à recevoir des informations sur leur grossesse et sur l’avortement fussent-elles dissonantes par rapport au discours officiel."
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Abrogation de la loi Taubira : Sarkozy décidera plus tard...
Devant les 4000 personnes réunies près de Lille, pour son premier meeting, Nicolas Sarkozy a promis :
«De nouvelles idées, de nouvelles solutions, de nouvelles perspectives face aux défis du nouveau monde dans lequel nous vivons ».
Lesquelles ? On ne sait pas.
Il a abordé lui-même la question de la loi Taubira :
«J'entends les positions tranchées des uns et des autres. Une fois à la tête de notre famille politique, je réunirai tout le monde et nous déciderons. Que chacun dise ses convictions et me laisse préparer le rassemblement qui ne sera ni fade, ni tiède.»
Il a explicité ses propositions de référendums : un premier concerne la réduction du nombre de parlementaires, le second la fusion des conseils généraux et régionaux.
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En France comme en Italie : des élus suppriment la croix de leur cimetière !
Alors que la grille du cimetière de la ville de Crotone, en Italie, allait être remise en place après réparation, un conseiller de l’opposition a fait remarquer que la Croix qui l’ornait avait disparu. Ce n’était pas un vol mais bien une décision de l’administration pour « ne pas troubler la sensibilité des islamistes et des représentants des religions non chrétiennes ».
Une décision directement issue d’une laïcité mal comprise conjuguée à une islamisation grandissante qui finit par tuer l’identité de ce pays européen et chrétien.
A noter que le Conseil d’Etat italien avait pourtant récemment rappelé que la Constitution Républicaine, « en assurant les mêmes libertés à tous les cultes religieux ne prescrit pas l’exposition dans les bureaux publics d’un symbole, comme le Crucifix, car faisant partie du patrimoine historique. »
Retour en France, même constat à Brou, une petite commune de 4.000 habitants située dans le Perche et dont une conseillère municipale a décidé la semaine dernière de retirer la croix qui se trouvait au-dessus du portail du nouveau cimetière, construit dans les années 1980. Une décision qui a bien heureusement déclenché une vive polémique.
« C’est vrai, je suis chrétienne, mais également profondément laïque, et je ne comprends pas cette polémique, mais si cela était à refaire, je le referais, je ne regrette rien », a répondu Marie Scheffer-Art, conseillère municipale à l’origine du retrait.
Une preuve de plus, s’il en était besoin, que la laïcité a d’abord pour cible la religion catholique. Rappelons que nos gouvernants prétendent ne pas avoir l’argent pour réparer nos églises mais le trouvent pour construire des mosquées !
Faut-il préciser que les Français sont encore majoritairement chrétiens, au moins de tradition, et que la suppression de leurs signes religieux n’est qu’une attaque contre leur foi mais aussi leur culture et leur identité…
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Hommen de Roland-Garros : les réquisitions du parquet déboutées !
Quel soulagement de voir ainsi des juges indépendants qui préfèrent appliquer la loi plutôt que de se soumettre aux diktats d'un gouvernement qui semble avoir perdu toute mesure !
En juin 2013, lors de la finale de Roland-Garros, retransmise devant 300 millions de téléspectateurs, un homme au torse nu sur lequel était inscrit « KIDS RIGHTS » avait surgi, revêtu d’un masque et portant un fumigène. À deux pas du président François Hollande et de Sa Majesté le roi Juan Carlos, il avait profité d’un break entre deux balles pour attirer, pendant 10 secondes, l’attention du monde sur ce droit fondamental de l’enfant que le gouvernement français voulait ignorer. Pendant ce temps, quelques-uns de ses camarades brandissaient une banderole réclamant la démission du Président.
Immédiatement interpellés, ils avaient passé une heure séquestrés de manière illégale par les vigiles qui les avait ensuite remis à la police. La garde à vue n’avait été signifiée que 3 heures plus tard et les deux nuits suivantes avaient été passées en interrogatoire comme s’il s’agissait de « terroristes d’Al-Qaïda ». Enfin, quatre fourgons de police accompagnés chacun de plusieurs motards les avait transférés dans les cellules du palais de justice où ils avaient été déférés.
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Des gauchistes s'en prennent aux catholiques à Berlin
Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :
"L’église catholique de la paroisse du Sacré-Cœur (Herz-Jesu) de Berlin a été vandalisée et saccagée dans la nuit du 19 dernier, par des gauchistes – qui ont d’ailleurs “renvendiqué” l’acte sur leurs blogue –, au motif que la paroisse avait offert un local pour que s’y réunissent les chrétiens pro-vie organisateurs de laMarche pour la Vie (Marsch für das Leben) qui se déroulait le lendemain dans la capitale fédérale. La façade de l’église a été souillée de tags variés, ces bouteilles de peinture rouge jeté à l’intérieur, le mobilier détruit, les vêtements liturgiques souillés…La Marche pour la Vie a elle-même été la cible de la haine violente des gauchistes : de nombreux chrétiens qui y participaient ont été insultés et molestés. Il aura fallu attendre le 22 septembre pour que le maire de Berlin daigne faire un communiqué condamnant les violences contre les marcheurs pour la vie…
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Alain Juppé ne reviendra pas sur la loi Taubira
Alain Juppé était l’invité de Ruth Elkrief sur BFM TV hier soir. Sur la loi Taubira, il a déclaré :
«Je pense qu’il y a dans l’évolution de toute société des étapes. Et aujourd’hui, l’étape du mariage de personnes homosexuelles entre elles est franchie. Et ceux qui racontent qu’on reviendra en arrière et qu’on annulera cette loi racontent des sornettes. On ne le fera pas.»
«Vous n’abolirez pas la loi Taubira?»
«Sur le principe du mariage, non».
«En revanche je suis très ferme en ce qui concerne l’adoption et la parentalité. Vous allez me dire que je vis dans un monde dépassé, mais pour moi un enfant, c’est un homme et une femme et je ne sors pas de cela. C’est la raison pour laquelle, quelles que soient les décisions de la Cour de cassation, la PMA doit pour moi être réservée à des couples hétérosexuels qui ont des problèmes de fertilité.»
«Et la GPA, c’est la marchandisation du corps humain, vous voyez que ça dépasse les clivages politiques, j’ai vu que Monsieur Jospin et Monsieur Delors avaient signé une pétition contre le marché des bébés, parce que c’est ça qui est en train de se passer! On pourra commander à l’étranger, on pourra se faire fabriquer un bébé contre de l’argent! C’est ça la société que l’on veut? Moi, je dis non.»
Ruth Elkrief déclare :
«Christine Boutin qui était chez Olivier Truchot tout à l’heure disait que les candidats de l’opposition qui ne diront pas qu’ils abrogeront la loi Taubira ne pourront pas être élus. Il leur manquera un million de voix, le million de voix de la “Manif pour tous”.»
«Vous croyez que je vais me présenter aux Français en cédant aux chantages de tous les lobbys possibles et imaginables? J’ai du respect pour tous ceux qui se battent pour la famille. La famille est un fondement essentiel de notre société et pour prendre un exemple bordelais, j’ai pris sur ma liste à la fois des gens favorables au mariage pour tous et des gens qui y étaient hostiles.»
«Je crois qu’il faut apaiser le débat. Donc assez de menaces, on peut gagner d’un côté ce qu’on peut perdre de l’autre. Je ne serais pas sensible à ce genre de menaces. Calmons le jeu, apaisons les esprits. Concentrons nous sur les vrais problèmes. (…) Laissons de côté ces débats qui ne concernent finalement que des minorités.»
Sic. Quant à croire qu'il peut gagner d'un côté ce qu'il risque de perdre de l'autre, c'est un mirage assez commun à l'UMP. Mais c'est un mirage. Surtout avec ses déclarations sur la PMA.
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