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lobby - Page 1803

  • Béziers a fêté Zemmour !

    Evidemment, cela n’a pas plu aux démocrates de tout poil, pour qui on ne peut promouvoir que des artistes dociles à la nomenklatura.

    Rock star. Zemmour, lui « le juif » – dixit Léa Salamé –, est devenu l’icône de la « majorité silencieuse ». Même si en France, silencieuse, la majorité l’est de moins en moins. Plus grave : elle commence même à élire des maires. Et ces maires, comme Robert Ménard à Béziers, finissent par inviter Zemmour ! La boucle est bouclée, me direz-vous, au grand dam des bien-pensants. Rock star, oh yes ! OK, Éric n’est pas Mick, Éric n’est pas Jimi, mais ses mots font l’effet d’un riff entêtant, ses arguments, ses chiffres électrifiés sonnent avec la vigueur d’une mélodie tubesque, à finir légende du top 50 des rebelles !

    Robert Ménard avait décidé de marquer le coup, lançant une campagne d’affichage pour annoncer la venue de l’écrivain. Evidemment, cela n’a pas plu aux démocrates de tout poil, pour qui on ne peut promouvoir que des artistes dociles à la nomenklatura. Rien ne les empêche d’aller voir ailleurs la somptueuse pièce de BHL ou le dernier chef-d’œuvre d’Omar Sy. En guise d’action commando, les Che Guevara locaux ont eu l’idée de parodier l’affiche : Zemmour a été remplacé par Gargamel, le méchant sorcier des Schtroumpfs. Dont certains disent qu’il est lui-même une caricature… antisémite. Ils ont également remplacé le slogan « Béziers libère la parole » par « Béziers libère la connerie ». La « connerie » étant, pour eux, toute pensée s’écartant de la leur ! Les soixante-huitards avaient plus de talent…

    Alors Zemmour a fait son entrée. Dans une salle archi-comble. 1.500 personnes, pour 500 places assises, dont quelques opposants vite noyés (verbalement) par la foule. Pour relater l’événement, Metronews livre un reportage stupéfiant. À lire le papier de David Perrotin, personne n’aime Zemmour à Béziers. On ne comprend même pas ce que les gens font là dans cette salle. Le journaliste fait parler ses témoins : une serveuse qui ne connaît pas Zemmour « mais qui est contre », un passant qui veut rentrer chez lui « car il vient de voir un type de la télé qu’il n’aime pas », etc. La cerise sur ce gâteau un peu sec : les seuls qui veulent voir le polémiste sont de « jeunes étudiants » (sic) venus pour pouvoir « bientôt le contredire ». Joies de la presse soviétique ! J’oubliais : le journaliste, contraint de jouer un peu… au journaliste, interroge quand même une pro-Zemmour. Pas de bol, c’est une ménagère, « la cinquantaine », qui est là « parce que ça plaît à son mari »…Dans le genre gros cliché, difficile de faire mieux ! [....]

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  • La Manif est « pour tous » sauf pour le FN…

    Nous sommes fatigués par ce qui semble un parti pris s’articulant mal avec la notion de "pour tous" attachée à nos manifs.  

    Face au mariage homosexuel, le Front national a adopté une position claire : l’abrogation. Il a participé activement à la Manif pour tous. Des élus, des militants, des sympathisants ont consacré du temps et de l’énergie pour cette grande cause familiale et nationale. Ils l’ont fait sans rien demander en retour, parce que le bien commun exigeait de chacun qu’il hausse sa vision au-dessus des calculs électoraux !

    Ils n’ont jamais rien exigé, sinon qu’on s’abstienne de les mépriser ouvertement. Forts de cette attitude constructive, ils sont aujourd’hui légitimes pour refuser la récupération… et, si les choses poursuivaient leur cours actuel, le détournement de ce mouvement sans précédent.

    Comment, alors, ne pas regretter que le Front national se soit vu marginalisé ou, pire, ostrascisé par la Manif pour tous ? Que penser de la mise à l’écart de l’organisation de ses membres, comme Xavier du Chalard qui fut exclu dimanche dernier de l’animation d’un char après la révélation de son adhésion au FN ?

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  • Vladimir Poutine en Serbie

    Au grand dam du camp atlantiste, le Kremlin multiplie avec succès les contre-mesures afin de minimiser le choc des sanctions décrétées par les États-Unis et l’Union européenne.
    Aleksandar Vucic

    C’est ainsi que Vladimir Poutine est en visite en Serbie, à l’occasion du 70e anniversaire de la libération de Belgrade et du 100e anniversaire du début de la Première Guerre mondiale. Il a déposé une gerbe à la Nécropole russe (monument consacré à la mémoire de l’Armée impériale russe et restauré cet été). Des Belgradois, brandissant des portraits de Vladimir Poutine et de l’empereur russe Nicolas II, se sont rassemblés afin de manifester leur attachement au grand frère russe.

    Au cours de sa visite, l’hôte du Kremlin a été décoré de l’Ordre de la République de Serbie du 1er degré par le président serbe, Tomislav Nikolic, qui a dit en russe : « Cher frère Vladimir, le peuple serbe est fier de te remettre l’Ordre de la distinction suprême serbe. » Ce à quoi M. Poutine a répondu : « Je ne pense pas avoir fait quelque chose pour mériter une telle récompense. »

    Après s’être entretenu avec le président serbe, le chef de l’État russe a échangé longuement avec le Premier ministre Aleksandar Vucic (photo ci-dessus). La question des relations commerciales (en augmentation de 17 % rien que pour le premier semestre 2014) a été très largement abordée.

    L’éventualité d’ouvrir le marché russe aux véhicules fabriqués en Serbie par l’italien Fiat a été évoquée par M. Poutine :

    « Nous avons beaucoup de thèmes à évoquer, et je suis ravi [...] de discuter d’une livraison éventuelle à la Russie de véhicules automobiles produits en Serbie en coopération avec Fiat. Compte tenu de nos bonnes relations avec l’Italie et la société Fiat, et de nos relations chaleureuses et étroites d’alliés avec la Serbie, nous pourrions, me semble-t-il, nous entendre sur un certain quota de livraison de ces véhicules sur le marché russe. »

    Autre sujet abordé, le triplement des importations de produits agricoles serbes, comme le suggère M. Poutine :

    « La Serbie a déjà augmenté ses livraisons de produits agricoles sur le marché russe, qui se chiffrent actuellement entre 130 et 150 millions de dollars. Si nous réalisons les ententes intervenues lors de nos entretiens, ces livraisons peuvent assez vite atteindre 500 millions de dollars. Cela profite beaucoup à l’économie serbe et c’est aussi un facteur positif pour la Russie. »

    Le chef de l’État russe a laissé la porte ouverte à un apaisement à ce sujet entre Moscou et Bruxelles :

    « Nous n’ignorons pas que les pertes des producteurs agricoles dans les pays européens, qui ont imposé des sanctions à la Russie qui a été contrainte d’y riposter par des restrictions des importations de produits d’agriculture, se chiffrent à des milliards d’euros. Nous ne voudrions pas poursuivre une telle pratique. Néanmoins, telle est la réalité actuelle. »

    Très en pointe sur la question énergétique, la Russie, via la société Gazprom Neft (la branche pétrolière du groupe), va investir 1 milliard de dollars supplémentaires dans la société pétrolière serbe NIS, après y avoir déjà injecté 2 milliards. Gazprom Neft possède 56,15 % de NIS, l’État serbe 29,87 % (14 % des recettes fiscales du pays).

    Washington et Bruxelles (la Serbie est candidate à l’adhésion à l’Union europénne) regardent avec inquiétude les liens entre Moscou et Belgrade se resserrer, alors que le camp atlantiste pensait en avoir fini avec la présence russe dans les Balkans depuis les guerres des années 90 en ex-Yougoslavie.

    sourceE&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/vladimir-poutine-en-serbie_119105.html#more-119105

  • Adieu, Libération !

    Ce journal dont le seul nom m’a fait croire que j’étais libre, ouverte au monde et à toutes les idées, tente vainement aujourd’hui de me phagocyter et piétine mes illusions, mes aspirations, toutes mes belles années.   

    Hier encore, j’avais 20 ans… Et de mes années d’étudiante pleine de rêves, de mélancolie, d’espoir et de doutes, je retiens mon pas décidé sur le chemin de la fac avec U2 dans mon Walkman (devenu ensuite baladeur, iPod, etc.) et le journal Libération sous le bras.

    Les années ont passé, certes, mais que reste-t-il de cette jeunesse dépassée ?

    Il y a quelques jours, Libération, mon journal illustre, jadis symbole de ma liberté, titrait « La France rance de Zemmour », pas moins qu’une première page avec un dessin caricatural du journaliste écrivain digne de la propagande antisémite sous l’Occupation, suivie de 7 pages (7 pages !) entièrement consacrées à démolir un seul homme et ses idées.

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  • Migrations : le livre que les nuls de la presse n'ont pas lu

    Consultant international sur l'Afrique et les migrations, docteur en sciences de l'information et de la communication, Jean-Paul Gourévitch vient de publier un ouvrage qui a reçu un accueil polémique par la presse. Et pour cause, il vient de signer dans la collection “Pour les nuls”, qui vise le grand public sans rien lâcher sur l’exigence scientifique, une somme sur Les Migrations. Jean-Paul Gourévitch répond à L'Action française 2000 :

    "Vous et votre éditeur avez été victimes d’une tentative de déstabilisation. Pourquoi, alors que vous êtes un spécialiste internationalement reconnu de la question ?

    NComme il était difficile de s’en prendre à l’ouvrage, on a cherché à diaboliser l’auteur, et ainsi à discréditer à la fois le propos et la collection. Tout est parti d’un seul article très “militant” d’une journaliste de l’AFP, repris in extenso le jour même et le lendemain par cinquante et un journaux parmi les plus célèbres qui n’ont ni consulté l’ouvrage, ni interrogé l’auteur ou l’éditeur. Cela peut laisser rêveur sur la déontologie d’une certaine presse qui, pourtant, ne se fait pas faute de donner des leçons. Quand mon avocat et moi-même avons demandé à l’AFP comment elle comptait réparer le préjudice subi, l’Agence a répondu qu’elle ne voyait pas où se trouvait ce préjudice. Pourtant, dix millions de lecteurs de cette presse ont bien été “informés” qu’il s’agissait d’un ouvrage écrit par un auteur “très à droite” donc suspect. La preuve : ses thèses avaient été citées par le Front national, et des sommités de gauche et d’extrême gauche, les seules interrogées par la journaliste, en contestaient la teneur. Pourtant, aucune n’avait lu l’ouvrage, puisqu’il était sorti le jour même et qu’elles n’avaient pas reçu de service de presse. Bien entendu, on s’attardait sur les événements organisés par la droite ou l’extrême droite au cours desquels l’auteur avait donné des conférences, en oubliant ceux organisés par la gauche ou l’extrême gauche au cours desquels il était également intervenu, voire en niant qu’ils aient existé, alors qu’ils sont parfaitement consultables sur Internet et ont donné lieu à des publications. On en est même venu à contester ma qualité de consultant international sur l’Afrique et les migrations. Pourtant, en vingt-cinq ans de carrière dans ce domaine, j’ai fait plus de trente-cinq missions, dont certaines ont duré des mois, voire des années, notamment en Afrique, pour des organismes aussi divers que l’Unesco, l’Union européenne, Le ministère des Affaires étrangères, la Banque mondiale, des ONG ou des cabinets d’expertise. Et mon rapport sur les migrations subsahariennes a été voté par le Conseil de l’Europe à l’unanimité (moins deux abstentions), ce qui n’est quand même pas courant. On ne peut résister seul à cette lapidation organisée. J’ai obtenu des droits de réponse de la part de trois journaux qui en avaient rajouté jusqu’à la diffamation. Mais je constate avec amertume que, dans un pays profondément divisé où l’opinion publique n’est plus en phase avec ses représentants, il est difficile, sur un sujet sensible et qui pourtant concerne son présent et son avenir, de porter une parole documentée, indépendante, aussi impartiale que possible, qui donne les sources de ses données et explicite sa démarche."

    Michel Janva

  • 25/10 : conférence d'un député syrien chrétien à Paris

    Le député syrien chrétien indépendant Boutros Merjaneh donnera une conférence en l'église Saint Christophe de Javel (Paris XVIe) le 25 octobre à 18h.

    En 2012, il dénonçait déjà :

    "L'Armée syrienne libre est financée et armée par l'Arabie saoudite et le Qatar, les pires ennemis du pouvoir en place. Dans ses rangs, on compte environ 7000 combattants djihadistes venus de l'étranger. Nous les voyons de près. Tenez, la semaine dernière, à Alep, l'armée a tué deux francs-tireurs djihadistes : un était Pakistanais, l'autre Tunisien. Mais que viennent faire ces gens en Syrie ?! J'ai peur qu'on assiste à l'importation d'une forme d'islamisme qui n'avait pas d'assise en Syrie avant ce conflit. [...]

    Je crains les extrémistes sunnites, car ils importent un fanatisme religieux qui était rare en Syrie. Mais aujourd'hui, ces islamistes sont beaucoup moins nombreux que les sunnites modérés, qui, eux, ont la même position que moi. La Syrie n'est pas l'Egypte. Un des grands paradoxes dans ce conflit est que c'est nous, les modérés, musulmans ou chrétiens, qui constituons la majorité du peuple. Mais on ne nous entend pas. Nous ne sommes pas pour le régime, ni pour l'opposition armée. Nous voulons l'apaisement."

    Michel Janva

  • Migrants clandestins : l’invasion de l’Europe

     Est présentée ici la situation actualisée de l’immigration en France, un phénomène absolument pas contrôlé, qui n’est déjà plus maîtrisable.

    Guillaume Faye fournit les chiffres du flux des immigrés irréguliers, des opérations de la police qui ne peut plus faire face, du coût des hébergements, de celui de la charge médicale… Quelle sera l’issue ? Quelles sont les dispositions envisagées par le gouvernement hormis celles de « laisser faire » et de saigner à blanc les pauvres Français qui n’y peuvent mais ?

    Polémia

    La France (comme l’Union européenne) est une passoire. L’année 2014 aura vu une aggravation brutale des flux d’immigrés illégaux, vrais ou faux réfugiés, les seconds étant nettement plus nombreux. Nous vivons une crise migratoire majeure qui surpasse en intensité la vague du « Printemps arabe » de 2011.

    Les flux de clandestins explosent. C’est d’une véritable invasion qu’il s’agit. Prélude à une submersion ? En face, aucune résistance : l’agence Frontex de protection des frontières ne sert rigoureusement à rien, les lobbies pro-immigration (No Borders, etc.), épaulés par l’Église et les médias, désarment toutes les résistances par leur matraquage idéologique. De plus, mieux traités et mieux soignés que des Français de souche pauvres, les « invisibles », les migrants illégaux se savent pratiquement inexpulsables. La pompe aspirante de l’immigration clandestine fonctionne à plein régime et s’emballe. Surtout depuis que le chaos s’installe en Afrique et dans tout le Moyen-Orient.

    La déferlante

    De janvier à fin septembre 2014, 100.000 clandestins sont entrés en France par la frontière italienne ! A Menton, la police submergée voit arriver 10.000 clandestins par mois ; elle en refoule 4.000, qui reviennent. Sur la Côte d’Azur, la police a procédé à 19.000 interpellations depuis le début de l’année. Brièvement incarcérés, ils sont tous ensuite relâchés dans la nature, du fait du laxisme et de la complexité procédurale ubuesque du droit français. Sans compter ceux qui arrivent par les aéroports.

    De l’île de Lampedusa à l’archipel du Dodécanèse (+223% d’arrivants clandestins en 2014) sans oublier Gibraltar, la façade méditerranéenne de l’Europe est le théâtre d’une véritable invasion déferlante qui s’amplifie chaque année. La prophétie de Jean Raspail, dans Le Camp des Saints, se réalise exactement.

    Beaucoup de migrants clandestins gagnent l’Allemagne ou la Suède. La première a fait face en 2014 à 200.000 demandes d’asile, contre 50.000 en 2011 ; la seconde, qui n’a que 9 millions d’habitants, a géré cette année 80.000 demandeurs du statut de réfugié. En France, de 67.000 demandes d’asile en 2013, on passera à 80.000 cette année. Et partout, ils savent qu’ils ne seront jamais expulsés. Les « reconductions à la frontière », en réalité très minoritaires, se soldent en général par des retours.

    Sur les 40.000 déboutés annuels du droit d’asile (on en sera à 50.000 cette année) l’immense majorité reste sur le territoire. Après la vague des Tunisiens, voici les Libyens, les Érythréens, les Soudanais et les Syriens, qui arrivent souvent par familles entières. Sans compter les migrants d’Afrique centrale et de l’Ouest, toujours plus nombreux. Même les Chinois et divers Asiatiques s’y mettent. Tout le monde, en somme.

    L’impuissance à endiguer le flux invasif

    Le dispositif Frontex de protection des frontières de l’UE est un échec retentissant. L’opération Mare Nostrum (qui a été remplacée par l’opération Triton en novembre, changement magique de dénomination) de surveillance des côtes méditerranéennes de l’UE n’est pas du tout une protection ni une dissuasion, mais une opération de sauvetage en mer. 70.000 migrants clandestins ont été sauvés de la noyade en 10 mois ! Ce qui encourage les passeurs à augmenter encore les traversées. C’est « un pont vers l’Europe », a déclaré le ministre de l’Intérieur italien.

    Sur la côte d’Azur, l’administration truque les chiffres des entrées clandestines. La police débordée procède à 150 interpellations par jour. Les clandestins ne retournent jamais en Italie et finissent par être relâchés au bout de 4h de garde à vue : ils sont LAP, (libres après procédure). Les OQTF (Obligation de quitter le territoire français) ne sont d’aucune valeur ; et les RLT (Remises à la limite du territoire, c’est à dire les reconductions à la frontière italienne) se traduisent par des retours dans 100% des cas. L’impuissance est totale et les clandestins le savent bien. L’invasion est autorisée, pourquoi se gêner ?

    Un gouffre financier

    A la charge financière énorme, au boulet que représente l’immigration au sens large (voir autres articles de ce blog), même légale ou naturalisée, s’ajoute le coût des clandestins, qui explose. Sur 47.000 places d’hébergement d’urgence disponibles, 22.000 sont des nuits d’hôtels, au prix astronomique, supporté par le budget de l’Etat déficitaire. Le clandestin est beaucoup mieux traité qu’un Français de souche qui perd son traitement et son logis ; il ne risque pas de se retrouver à la rue, lui ! Il en est de même pour la prise en charge médicale et hospitalière.

    Il s’agit de l’Aide médicale d’État (AME), ce dispositif unique au monde, qui est un scandale. Elle assure aux clandestins étrangers une couverture médicale complète dont ne bénéficient pas des millions de Français non-fonctionnaires qui ont pourtant cotisé toute leur vie.

    L’AME a coûté 744 millions d’euros en 2013, en augmentation constante (dérapage), vu l’accroissement des arrivées de clandestins. A mettre en parallèle avec les 700 millions qui ont été retirés des prestations familiales aux Français. A ajouter : un surcoût de 350 millions d’euros dus aux centres d’hébergement d’urgence, aux allocations temporaires d’attente et aux frais d’hôtels pour les (faux) réfugiés demandeurs d’asile. En tout, le coût des sans-papiers dépasse le milliard d’euros annuel. Et le gouvernement a décidé pour 2015 d’augmenter encore les crédits de l’AME de 73 millions d’euros. Rien n’est trop beau ni trop généreux pour les clandestins. L’AME bénéficie déjà à près de 300.000 étrangers irréguliers.

    Sans compter les innombrables fraudes à l’hospitalisation ou à le revente des médicaments obtenus gratuitement en pharmacie par les clandestins. Mais on leur pardonne, ils savent qu’ils ne seront jamais poursuivis. Pourquoi se gêner ?

    Et la criminalité suit

    L’afflux incontrôlé de clandestins fait mécaniquement augmenter la criminalité. Celle-ci déferle d’autant plus facilement que Mme Taubira est en train de déconstruire sciemment l’appareil pénal répressif, ce qui se sait partout. Le clandestin qui arrive en France sait parfaitement non seulement qu’il sera pratiquement inexpulsable et aidé mais que règne un laxisme pénal et judiciaire unique au monde qui laisse pratiquement impunis les exactions et trafics divers.

    Dans le Nord et sur la Côte d’Azur, on est obligé d’envoyer CRS et gendarmes mobiles pour épauler la police découragée et submergée et tenter de parer à la délinquance endémique des clandestins. Un escadron de gendarmes mobiles coûte 21.000 € par jour en logement hôtelier. A Calais, selon les syndicats de police, on a dénombré de juillet à septembre 2014, 80 crimes et délits, contre 7 pendant la même période de 2013 ! En région parisienne, depuis les vagues d’arrivées de Tunisiens clandestins en 2011, on note une augmentation de la criminalité.

     Guillaume Faye, 15/10/2014 Source : Blog de Guillaume Faye

    http://www.polemia.com/migrants-clandestins-linvasion-de-leurope/

  • Pour Julien Aubert, Orwell s'est trompé de trente ans

    es médias ont avec complaisance relayé la polémique touchant le député Julien Aubert, sanctionné par la socialiste Sandrine Mazetier après l'avoir appelée «Madame le président».

     

    Le député de la cinquième circonscription de Vaucluse vient de publier sur le site FigaroVox un "appel aux citoyens français" (texte complet en cliquant ICI).

    Partant de l'épisode de "la voyelle jugée indésirable au nom de la féminisation des titres", il s'interroge plus largement sur les maux de la démocratie et se dit inquiet de constater que "Nous ne sommes pas en 2014 mais en 1984: Orwell s'était trompé de 30 ans". Il reprend ainsi le titre du Café d'Actualité de juin dernier ("1984, c'est maintenant") animé par Antoine de Crémiers (voir la vidéo ICI).

     

    Voici les dernières lignes de ce texte qui montre à quel niveau est arrivé notre système politique et médiatique. L'analyse est intéressante mais la conclusion logique manque: il faut abattre totalement ce régime pour la Monarchie.

     

    "Citoyen, comment appeler une démocratie où le peuple est volontairement intoxiqué avec de la fausse information pour lui faire avaler des choses énormes au plan des droits, tandis qu'on décrédibilise ceux qui pensent différemment?
    Citoyen, comment caractériser un régime où certains en arrivent à considérer normal qu'un représentant du peuple soit sanctionné comme un délinquant, sans base juridique, sans grief, juste par idéologie?
    Citoyen, comment identifier un régime qui pense qu'il faut éduquer les gens par la langue, en purgeant les mots et en intimidant ceux qui ne cèdent pas?
    Citoyen, tu te tournes vers moi tous les jours, et tu m'interroges: «N'avez-vous rien d'autre à faire?» Je te pose à mon tour la question: ne serait-il pas temps, Citoyen, que tu fasses, toi aussi, quelque chose pour mettre fin au lent déclin de la démocratie représentative?
    Citoyen, combien de temps penses-tu que nous tiendrons sans ton soutien? Il est peut-être temps de leur dire «le mot de Cambronne»".

    contre-la-famille.jpg

     

  • L’armée aura des crédits en forte augmentation pour la surveillance

    En pleine loi de programmation militaire qui vise à faire des économie en supprimant 7500 postes, l’armée fait exploser son budget de surveillance.

    En effet, selon l’annexe budgétaire (.pdf) relative aux programmes de « gestion et valorisation des ressources tirées de l’utilisation du spectre hertzien, des systèmes et des infrastructures de télécommunication de l’Etat« , le ministère de Jean-Yves Le Drian demande 2 milliards d’euros pour le programme n°762. Il s’agit du programme intitulé « Optimisation de l’usage du spectre hertzien et interception et traitement des émissions électromagnétiques« . L’an dernier, en raisons de ressources exceptionnelles liées à la vente de licences de fréquences hertziennes, la loi de finances n’avait prévu que 11 millions d’euros de crédits pour ce programme en 2014, après une ligne de 698 millions d’euros ouverte pour 2013.

    Sur les 2 milliards d’euros demandés par l’armée pour 2015, 603 millions d’euros concernent des dépenses d’investissement (matériel, logiciels, bâtiments,…) pour l’interception et le traitement des émissions électromagnétiques. Un terme trompeur qui couvre également les interceptions de conversations téléphoniques, ou le déchiffrement de communications sur les réseaux électroniques.

    Source : Numerama

    http://www.contre-info.com/