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lobby - Page 1882

  • Le groupe de la Manif Pour Tous interdit de Fête de la Musique par la Préfecture de police de Paris

    La Manif Pour Tous avait déposé il y a un mois, soit largement dans le délai nécessaire à sa bonne organisation, une déclaration d’évènement dans le cadre de la Fête de la Musique du 21 juin 2014. L’évènement musical prévu était exclusivement festif.

    Hélas, les onze propositions successives de lieux faites par La Manif Pour Tous ont été refusées. La 12e proposition, acceptée par oral le 20 juin, a finalement été refusée quelques heures plus tard, sous prétexte de… manque de temps ! La Préfecture sachant pertinemment, en outre, que La Manif Pour Tous n’a plus de recours juridique possible devant le tribunal compte tenu du délais.

    Alors que LMPT’Moov, l’orchestre de La Manif Pour Tous, s’était préparé à l’évènement avec le mouvement des Gavroches, voilà l’évènement interdit ! “Des centaines de groupes joueront librement demain matin mais La Manif Pour Tous, elle, est interdite de musique, interdite de culture !’ déplore Lionel Lumbroso, porte-parole de La Manif Pour Tous et responsable de LMPT’Moov.

    "Les centaines de milliers de citoyens sympathisants de La Manif Pour Tous seraient-ils des sous-citoyens n’ayant pas les mêmes droits que les autres ?" s’interroge Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous

    La Manif Pour Tous dénonce l’utilisation régulière et abusive de cette stratégie d’usure qui consiste à faire durer volontairement les "discussions". Il s’agit d’abus répétés et de procédés arbitraires qui restreignent de manière forte des libertés fondamentales.

    Alors que plusieurs procédures sont engagées, contre des détentions abusives de citoyens par des policiers, que l’IGPN a dû procéder à un ferme rappel déontologique suite au chantage à la naturalisation opéré sur Anna, jeune étudiante russe, et que le rapporteur public vient de déclarer que les 700.000 signatures de la pétition présentée au CESE n’aurait pas dû être refusées compte tenu de la loi, force est de constater que les autorités françaises continuent de défier la loi et de fouler au pied les libertés fondamentales et la démocratie.

    "Cette arrogance et ce mépris à l’égard du peuple français comme cette façon de se croire tout permis sont à l’origine de l’écoeurement des Français à l’égard du pouvoir en place. Celui-ci continue de scier la branche sur laquelle il est assis" prévient Ludovine de La Rochère.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-groupe-de-la-Manif-Pour-Tous

  • Tony Blair est "devenu fou"

    Les propos de Tony Blair sur l’Irak ont soulevé un tollé en Grande-Bretagne, où le maire de Londres en est "arrivé à la conclusion" lundi que l’ancien Premier ministre était "devenu fou". 

    Tony Blair, actuel envoyé spécial du Quartet (Nations unies, Union européenne, États-Unis et Russie) au Proche-Orient, a déclaré dimanche que l’offensive jihadiste en cours en ce moment en Irak n’avait aucun lien avec l’intervention américaine et britannique d’il y a 11 ans. Cette prise de position de l’ancien Premier ministre lui a valu les critiques de toutes parts, y compris de son propre camp politique du Labour.  

    "Tort, tort et encore tort" 

    "Je n’étais pas d’accord avec Tony à l’époque et je ne le suis pas aujourd’hui", a affirmé son ancien vice-Premier ministre, John Prescott. Tony Blair a eu "absolument et durablement tort, tort et encore tort" sur cette question, a insisté l’ancienne ministre du Développement international Clare Short, qui avait démissionné en 2003 à la suite de l’intervention en Irak. Ancien secrétaire d’État aux Affaires étrangères, Mark Malloch Brown, a supplié Tony Blair de "garder le silence".

    "Tony Blair est devenu fou" 

    Les critiques les plus virulentes à droite sont venues du maire conservateur de Londres, Boris Johnson, qui en est "arrivé à la conclusion que Tony Blair est devenu fou", dans sa chronique hebdomadaire pour le Daily Telegraph lundi. "Il a fait des déclarations qui laissent pantois et qui sont tellement en décalage avec la réalité qu’il a certainement besoin d’une aide psychiatrique professionnelle", écrit-il.

    "Arrogance invraisemblable" 

    "La guerre en Irak a été une erreur tragique", ajoute Boris Johnson, qui, tout en reconnaissant avoir voté en faveur d’une intervention à l’époque, accuse Tony Blair de "nier les faits" et de vouloir "réécrire l’histoire". Le maire de Londres estime que Tony Blair et le président américain de l’époque, George W Bush, avaient fait preuve d’une "arrogance invraisemblable" en pensant que le renversement de Saddam Hussein n’allait pas entraîner une instabilité directement responsable de la mort de plus de 100 000 Irakiens et de centaines de soldats américains et britanniques.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Tony-Blair-est-devenu-fou-26087.html

  • Euthanasie : le rapporteur public du Conseil d’Etat requiert la mort de Vincent Lambert

    Le rapporteur public du Conseil d’Etat a préconisé la mort de Vincent Lambert, cet homme de 38 ans devenu tétraplégique après un accident de la route en 2008. Il devra cesser d’être alimenté et hydraté, selon le juge. C’est une première en France.

    L’Etat veut tuer quelqu’un en le laissant mourir de faim et de soif…

    Selon le Figaro, « Le rapporteur public Rémi Keller a recommandé l’annulation de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, qui s’était prononcé pour le maintien en vie de Vincent Lambert, après que le CHU de Reims, où est hospitalisé le patient, avait décidé d’arrêter de l’alimenter et de l’hydrater artificiellement.

    « Nous ne proposerons pas de confirmer le jugement du tribunal », a déclaré M. Keller, estimant que « la décision d’interrompre le traitement (de Vincent Lambert) correspond aux conditions de la loi de 2005″ sur la fin de vie. »

    Gardons en tête que l’affaire « Vincent Lambert » cache un bras de fer entre les tenants de la « culture de mort » (avortement, puis maintenant « euthanasie » volontaire et demain « euthanasie » sans consentement des personnes), et les défenseurs de la vie humaine, dont l’homme – qui est plus qu’un animal – n’est ni l’auteur ni le maître.

    Enfin, un petit rappel nécessaire :

    - Vincent n’est pas branché à des machines
    - Vincent n’a pas de traitement médical lourd
    - Vincent s’est rendu au mariage de sa sœur
    - Vincent reconnait ses proches
    - Vincent a pleuré quand on a déjà tenté de le tuer

    Nous rediffusons ce reportage effectué auprès de la famille de Vincent Lambert :

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    http://www.contre-info.com/

  • Peine dérisoire pour les trois racailles islamistes qui avaient agressé un Français parce qu’il mangeait un sandwich au jambon

    En juin 2013, trois racailles étrangères multirécidivistes avaient agressé un passager dans un tramway de Reims, au prétexte qu’il mangeait un traditionnel jambon-beurre, puis l’un de ses amis qui s’interposait.

    Youcef Benabed – jugé dans la foulée pour un dossier d’extorsion –, Florian Piddiu – délinquant multirécidiviste –, Dahim Belfatmi – qui a écopé il y a un mois de 4 ans de prison dans une affaire de drogue, tous les trois 25 ans, n’ont écopé que de six mois de prison, après avoir affirmé à l’audience avoir été agressés par les deux Français.

    Source JN

    http://www.contre-info.com/

  • L’Algérie au Mondial : quelle imposture sportive !

    Sur les 23 joueurs sélectionnés, 16 ont été formés en France !   

    Dans sa lettre adressée aux joueurs de l’équipe de football algérienne à la veille de leur rencontre contre la Belgique, le président Bouteflika propage un mensonge récurrent galvaudé par la presse algérienne et internationale, quand il évoque le « football algérien » et incite les joueurs à bien le représenter au Mondial brésilien.

    De quel football algérien parle-t-on ?

    Cette équipe représente officiellement l’Algérie, peut-être ! Mais dire qu’elle représente le football algérien est un pur mensonge.

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  • Jean-Claude Rolinat "République Sud-Africaine: La faillite de Mandela"

    Mandela a été durant de longues années une icône planétaire de l’antiracisme et de la bien-pensance. On a encore pu constater lors la période de son récent décès (décembre 2013) à quel point il était une divinité solidement implantée dans le panthéon des aveugles. Ce fut, vous vous en souvenez sans doute, une réelle « Mandelamania » qui s’est emparée de nombreuses personnalités politiques, de journaleux et de gauchistes hystériques tout autour du monde.

    On le sait tous, ceux qui le louent restent en général très discrets sur son bilan réel en Afrique du Sud. Car oui, même s’il n’est pas seul à avoir mené ce pays là où il en est aujourd’hui (Mbeki et Zuma, présidents qui lui ont succédé, ont été encore pires), il est l’un des principaux responsables de la faillite totale d’un Etat autrefois sûr, prospère et comparable à nul autre sur le continent africain… Etat unique que la République Sud-Africaine (RSA), resté avant tout gravé dans les mémoires pour son système de développement séparé mis en place dès 1948, l’Apartheid, qui permit pendant des années aux blancs de ce pays de survivre en tant que communauté face à l’implacable montée démographique des noirs.

    Jean-Claude Rolinat, qui nous a fait l’honneur il y a quelques semaines de venirprésenter à Lille cet ouvrage, est un auteur qui s’est déjà fait remarquer grâce à plusieurs livres traitant des nationalismes lointains (le dernier en date, son Qui suis-je consacré à Peron est sorti en 2013 chez Pardès). Mêlant histoire, politique et souvenirs personnels servis par une plume qui sait rappeler son activité de journaliste, Rolinat nous offre ici une excellente synthèse sur ce qu’est devenue l’Afrique du Sud depuis 1994, date à laquelle le pouvoir politique fut remis par les blancs, à la suite de nombreuses tractations, entre les mains du parti communiste longtemps interdit, l’ANC (African National Congress) de Mandela. Rolinat éclaire aussi l’avant 1994 et revient entre autres sur l’histoire de ce fameux apartheid, certes dur au départ mais qui fut vite assoupli sous les pressions diverses des Etats étrangers, de la finance et de la franc-maçonnerie sud-africaine…

    Partons du bilan que l’on observe aujourd’hui, en 2014. L’Afrique du Sud est un pays au bord de la faillite, miné par la corruption et l’insolence d’une nouvelle bourgeoisie noire qui se vautre dans le luxe et les privilèges pendant que l’essentiel de la population vit dans la misère la plus totale. L’ANC, sorte de « parti-Etat », autrefois communisto-révolutionnaire mais passé depuis à l’économie de marché, contrôle malheureusement la quasi-totalité d’un pays qu’il ne sait pas gérer... L’insécurité est endémique, le chômage est énorme, les inégalités sont partout : sur un plan tant social que régional et surtout racial. Car l’Afrique du Sud est une mosaïque de peuples (noirs, blancs, asiatiques, métisses) d’un peu plus de 50 millions d’individus : 80% de noirs (d’ethnies différentes), 9% de blancs, 9% de métisses, le reste d’asiatiques pour 11 langues officielles ! Cet Etat « arc-en-ciel » est dominé largement par une oligarchie noire qui, revancharde et de plus en plus raciste envers les blancs, a tout fait pour les évincer de ce pays qu’ils ont bâti depuis des siècles. Non contents de subir une politique de discrimination positive radicale (le BEEBlack Economic Empowerement), les blancs ont été poussés vers la sortie tant dans les sphères politiques qu’administratives et beaucoup ont émigré, fuyant la pauvreté ou les violences. Remplacés dans nombre de postes clés par des noirs parachutés à leur place en vertu de leur couleur et non de leurs compétences, on constate aujourd’hui à quel point l’ANC s’est tiré une balle dans le pied en les rejetant : il suffit de prendre les cas de la police ou de l’armée sur lesquels Rolinat revient en détail. Notons également que les fermiers blancs manquent de plus en plus à un pays qui, au lieu d’utiliser leur savoir-faire ancestral, a préféré les livrer en pâture à une populace avide de vengeance qui s’est vue distribuer leurs terres qu’elles ne savent même pas exploiter. Résultat, la production agricole ne fait que baisser, la famine guette et on peut se demander si l’Afrique du Sud ne deviendra pas un désert agricole comme le Zimbabwe…

    La RSA a longtemps été un Etat à part sur la scène internationale, avant tout à cause de l’apartheid. Dénigrés en Europe, les sud-Africains blancs font partie des parias de l’histoire et on les a largement culpabilisés, eux et leur politique de développement séparé. Pourtant, on oublie de dire que les noirs avaient une vie meilleure sous l’apartheid, qu’ils avaient leurs Etats autogérés (tel le Qwa Qwa des Sothos du Sud qui fut supprimé comme les autres par l’ANC en 1994) et contrôlaient des centaines de municipalités. Les asiatiques et les métisses avaient quant à eux leur parlement. Tout n’était peut-être pas parfait mais le pays était le fer de lance de l’Afrique sous tous les aspects (niveau de vie, armée, technologie…). La gestion du pouvoir blanc d’alors marchait et c’est petit à petit qu’il s’est délité comme le narre Jean-Claude Rolinat. Le début des années 1990 sonnera le glas de l’Afrique du Sud : le sinistre Frederik De Clerk libère Mandela, légalise l’ANC et entame un processus de passation de pouvoir aux noirs qui se soldera par la victoire de l’ANC aux élections de 1994. Celles-ci verront Nelson Mandela devenir le premier président noir du pays… Certes, les blancs ont été trahis par leurs élites prenant leurs ordres des milieux d’affaires et du Broederbond (franc-maçonnerie sud-Africaine), mais ils sont coupables eux aussi car ils ont voté lors du référendum de 1992 majoritairement en faveur de la poursuite des réformes engagées par De Clerk et en faveur des négociations avec l’ANC… Et pourquoi ? Pour de basses espérances économiques, pour que cessent les torts apportés au pays par l’apartheid à ce niveau-là… Belle leçon, non ? Ayant accepté de ce fait le principe du « one man, one vote », il est évident que leur position actuelle et la démographie des noirs (sans compter l’immigration massive qui sévit dans le pays) leur interdiront tout sursaut politique. Les blancs ne reprendront jamais le pouvoir en RSA. D’ailleurs, ils ont très peu résisté (hormis certains cas comme celui d’Eugène Terreblanche et de son AWB) et semblent désormais destinés à subir ou fuir le pouvoir noir… d’autant que l’idée de « blanctoustan » basée sur les politiques réalistes des bantoustans de la période d’apartheid (développement des différentes ethnies noires en autonomie selon le principe d’une terre pour un peuple) semble malheureusement bien peu les séduire…

    Blancs comme noirs, on peut toutefois dire que tout le monde (ou presque) y perd en RSA actuelle hormis les nouvelles classes supérieures noires qui copient et se lient peu à peu avec l’ancienne bourgeoisie blanche. Car, en effet, l’adoption des mœurs « occidentales », l’attrait du blanc, le désir de fréquenter ses écoles ou ses quartiers existent toujours alors que le petit blanc rase les murs ou s’exile… Ce n’est la seule contradiction de l’Afrique du Sud post-apartheid que l’auteur a ici dépeint avec brio pour que l’on en tire bien des leçons…

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2014/06/18/chronique-de-livre-j-c-rolinat-republique-sud-africaine-la-f-5393366.html

  • Les objectifs de la CGT restent purement politiques

    La CGT nous offre donc encore une semaine de bonheurs. Du premier au quatrième jour, la participation des cheminots, déjà faible au départ, a diminué de moitié. Elle était passée, du 12 au 15 de 27 à 14 %. Elle a néanmoins été reconduite, comme d'habitude, à main levée le 16 par des assemblées générales fort peu représentatives. Une nouvelle séquence aura donc commencé, après par les embarras des jeunes candidats au baccalauréat, et elle se continue avec l'engorgement des transports.

    Si l'on en croit un sondage du "Parisien-Aujourd'hui en France" trois Français sur quatre désapprouvent ce mouvement.

    Cela fait quand même, malheureusement, encore beaucoup trop de gens qui le trouvent sans doute très bien. Voilà de l'espoir pour ce qu'on appelle "la gauche de la gauche" que la direction stalino-cégétiste cherche à fédérer dans sa bataille à retardement contre ce qu'on appelle pompeusement "mondialisation", en fait contre la concurrence et la libre entreprise. Rappelons à ce sujet que la simple desserte par car est soumise au bon vouloir du monopole étatiste.

    Un débat se prolongera à l'Assemblée nationale jusqu'à la fin de la semaine autour du projet gouvernemental. Celui-ci ne se révèle qu'une tentative bien molle, plutôt cafouilleuse, et vouée à l'échec, de faire semblant de réformer le pays, tout en maintenant des avantages corporatifs conçus au siècle dernier, en vertu d'idées datant du siècle précédent. La loi en cours d'adoption a d'ailleurs été conçue pour porter au pinacle le président de la SNCF, le caméléon médiatique Guillaume Pepy, avec le soutien du sous-ministre Cuvillier installé en 2012. Elle risque de n'aboutir à son éviction à court terme. Celle-ci pourrait bien s'opérer sous la pression du ministère de l'Environnement, Madame Royal ayant été remise en selle en 2014, elle-même porte parole des présidents de Régions, vaches à lait du monopole ferroviaire.

    Quelle joie, dans ce contexte incompréhensible, pour les usagers du train, quel extase pour les festivaliers, quelle aubaine pour les Parisiennes : la CGT aura montré dès la semaine du 10 au 15 juin, avec les protestations des intermittents du spectacle, ce dont elle reste capable.

    Pendant ce temps les gros moyens de désinformation auront passé gentiment sous silence le procès qui s'est ouvert, dans l'indifférence presque générale, le 2 juin à Paris sur le comité des Œuvres sociales d'EDF-GDF devenu Caisse centrale d’activités sociales (CCAS). Ah ! la bonne vieille institution : elle remonte à la grande année de Marcel Paul, 1946, année des grandes fournées, je ne trouve pas d'autre mot, de nationalisations. Certes son Histoire a été quelque peu contrariée en 1951 par le gouvernement Pinay : pouah. Mais on l'a reconstituée en lui donnant un nouveau nom. Et elle a donc repris, en toute impunité jusqu'ici, son mode de fonctionnement au service des besoins matériels du parti communiste.

    Quoi de plus naturel et légitime que d'aider le prétendu "parti des 75 000 fusillés", soi-disant "parti de la classe ouvrière" et, jusqu'à une date récente, "premier parti de France".

    En décembre 2012, toutefois, un [méchant] juge d'instruction, à la solde des gros monopoles et du grand capital, n'en doutons pas, répondant au nom de d'Huy, et au prénom plus que suspect de Jean-Marie clôturait son enquête par une ordonnance de renvoi devant le Tribunal correctionnel à l'encontre de Jean Lavielle, ancien président cégétiste de la CCAS, et dix (10) autres personnes. Le même magistrat déférait en même temps  devant la justice le quotidien "L’Humanité", le journal "La Voix ouvrière", la centrale CGT et sa Fédération des mines et de l’énergie.

    Il a cependant fallu attendre 18 mois pour que le TGI de Paris fasse comparaître les 16 prévenus. Il faudra encore attendre, très probablement une procédure d'appel.

    Tous ces gentlemen sont soupçonnés de malversations financières au profit de la cause communiste.

    Doit-on d'ailleurs considérer comme plus grave de détourner des fonds, éventuellement, comme n'importe quel politicien, pour améliorer son propre ordinaire, – ce qu'on appelle "enrichissement personnel" – ou de les remettre au parti communiste ? Laissons aux casuistes le soin de trancher.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2014/06/les-objectifs-de-la-cgt-restent-purement-politiques.html
      

  • L'information selon BFM TV concernant les Bonnets rouges (samedi 14 juin)


    L'information selon BFM TV par agenceinfolibre

  • Lobbying américain à Berlin pour l’accord de commerce transatlantique

    Pour défendre et promouvoir l’accord transatlantique de libre échange entre l’Europe et les États-Unis (TTIP), l’ambassade américaine à Berlin a lancé un concours d’idées, rémunérées entre 5 000 et 20 000 euros. Une initiative maladroite qui a renforcé, à l’inverse, les réactions de défiance.
    Une bourse de 5 000 à 20 000 euros pour participer à un concours qui parle positivement de l’Accord transatlantique de libre échange entre l’Europe et les États-Unis, dénommé plus officiellement Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement (TTIP, pour Transatlantic Trade and Investment Partnership) vient d’être lancée.
    En battant le rappel par tweet et sur son site Internet (http://germany.usembassy.gov/), l’ambassade des États-Unis à Berlin a lancé un appel à propositions pour vendre l’accord transatlantique en cours de discussion afin de rassurer les consommateurs allemands.
    “Vous souhaitez ouvrir un débat éclairé sur # TTIP? Nous aussi ! Nous soutenons des projets jusqu’à un maximum de $ 20,000 http://bit.do/T-TIP”, a assuré l’ambassade américaine à Berlin à travers un tweet le 17 juin. Une proposition relayée par le site Internet de l’ambassade : “La section des affaires publiques de l’ambassade des États-Unis en Allemagne sollicite des organisations à but non lucratif ou non gouvernementales, les think tanks et les institutions universitaires pour mettre l’accent sur l’Accord de partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement (TTIP). L’objectif est d’informer le public sur les négociations… Nous avons hâte de travailler avec des institutions partenaires pour développer un produit final qui informe sur l’Accord et qui lutte contre la désinformation.”
    38 % d’Allemands pour la suppression des droits de douane
    Une initiative moyennement appréciée en Allemagne. Car ce n’est pas qu’en France que la perspective, vraie ou fausse, de se nourrir bientôt avec du poulet lavé au chlore ou du bœuf aux hormones made in USA suscite de l’inquiétude. Une étude du cabinet américain Pew Research Center du 9 avril dernier (http://www.pewglobal.org/2014/04/09/support-in-principle-for-u-s-eu-trade-pact/) a indiqué que 96 % des Allemands faisaient confiance au cadre européen de protection de l’environnement et que seulement 38 % d’entre eux étaient favorables à la suppression des droits de douane entre les deux côtés de l’Atlantique.
    Par sa maladresse, le projet a fait un flop et les réactions en retour ont plutôt renforcé les doutes allemands. “Ce serait une initiative acceptable si elle venait de l’industrie. En tant qu’administration publique, vous avez une responsabilité d’une autre nature. Le gouvernement américain a toutefois le devoir de négocier au nom de tous ses citoyens et non juste pour la grande industrie”, a expliqué au site EurActiv, Pia Eberhardt, porte-parole de l’Observatiore de l’Europe industrielle (CEO), un centre de recherche basé à Bruxelles qui lutte contre le lobby des multinationales.
    “Beaucoup de débats sur le TTIP manquent vraiment de nuances. Nous cherchions des moyens pour encourager les gens à confronter différents points de vue en leur ouvrant un espace et en leur posant la question suivante : « Le monde entier est-il contre le projet ou existe-t-il certaines personnes qui ont un point de vue différent sur la question ? » Nous voulions ouvrir le dialogue”, s’est défendu sur le même site Peter Claussen, un diplomate américain en poste à Berlin.

    Jean-Michel Meyer

    http://www.acteurspublics.com/2014/06/19/lobbying-americain-a-berlin-pour-l-accord-de-commerce-transatlantique

    http://www.voxnr.com/cc/dep_mondialisme/EupFkkykpypPDGDBIt.shtml