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lobby - Page 1901

  • Taubira mute un procureur… parce qu’il voulait travailler !

    Le procureur Muller a trois grands défauts : un fort caractère, une volonté de remettre le parquet de Saint-Denis au travail et, surtout, il n'est pas franc-maçon.   

    Christiane Taubira a décidé de muter le procureur Philippe Muller « dans l’intérêt du service ». Ce n’est pas une nouvelle, la presse réunionnaise l’évoquait déjà au mois de mars, dans un long article faisant état des difficultés rencontrées par Philippe Muller, procureur à Saint-Denis de la Réunion depuis juin 2013. Dès son arrivée, il s’est trouvé confronté à l’hostilité de certains magistrats, fonctionnaires et avocats, mécontents qu’un homme précédé d’une réputation énergique débarque dans leur tribunal où les affaires se font en famille, et selon un fonctionnement assez particulier et — il faut bien le dire — plus fraternel qu’ailleurs.

    Si nous manquons évidemment d’éléments permettant de savoir avec précision qui est Philippe Muller, et les raisons exactes de cette levée de boucliers dans son tribunal, on comprend entre les lignes que le procureur Muller a trois grands défauts : un fort caractère, une volonté de remettre le parquet de Saint-Denis au travail et, surtout, il n’est pas franc-maçon. Là-bas, c’est un handicap.

    Les magistrats du parquet ne bénéficient pas, comme ceux du siège, du privilège de l’inamovibilité. Ils sont directement aux ordres de la Chancellerie, et peuvent en conséquence être mutés comme n’importe quels fonctionnaires. L’usage et la courtoisie veulent qu’on leur demande leur avis. Mais lorsque la mesure est justifiée par des difficultés, on doit entendre le magistrat en ses explications, et en sa défense.

    À la grande surprise de Philippe Muller, cette procédure n’a pas été respectée. 

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  • L’Europe existait avant l’UE et pourrait exister sans elle

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    "François Hollande a publié, dans le « Monde » du 8 mai, une tribune solennelle (et même un tantinet grandiloquente !) intitulée : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’histoire ». Pour une fois qu’un dirigeant politique français nous présente sa vision de l’Europe, ne boudons pas notre plaisir. Malheureusement, cette vision est totalement déconnectée de la réalité et repose sur des principes mortifères pour la France comme pour l’Europe elle-même.

    Le premier principe erroné et mortifère est contenu dans le titre. Soit ce titre ne veut strictement rien dire, soit il signifie que la « construction européenne », telle qu’elle est aujourd'hui pratiquée, obéit au « sens de l’histoire ».Mais cette vieille lubie des marxistes et des progressistes de tout poil n’existe tout simplement pas : l’histoire est ce que font les hommes. D’ailleurs, l’histoire du marxisme elle-même prouve l’absurdité de la théorie (qui aurait prophétisé la victoire de Lénine au début de la funeste année 1917 ?). Au demeurant, c’est d’autant plus absurde que l’on nous assène à longueur de journée que « l’Europe, c’est la paix » et qu’elle nous conduit à une « fin de l’histoire » merveilleuse où, enfin, la démocratie représentative et l’économie de marché fleuriraient partout. Vous pouvez tourner les yeux dans toutes les directions, rien n’indique que cette « fin de l’histoire » se rapproche. Mais, enfin, c’est bien « l’argument » principal des européistes. Or,on voit mal comment François Hollande peut à la fois reprocher aux « populistes » de vouloir « sortir de l’histoire », tout en leur proposant la « fin de l’histoire »!

    Le président croit pouvoir justifier par le passé l’Union européenne telle qu’elle est. Je trouve déjà surprenant que le chantre de la repentance permanente nous invite à faire mémoire d’un passé glorieux qui nous vit renverser le totalitarisme nazi. Mais, surtout, le raisonnement a beau être très répandu dans l’oligarchie, il me reste particulièrement incompréhensible : si je comprends bien,M. Hollande nous explique que, puisque la CEE s’est créée après la chute du nazisme, elle serait le meilleur rempart contre tout totalitarisme. Mais rien n’est moins sûr : le plus sérieux adversaire du national-socialisme fut le stalinisme, qui fit encore plus de morts.

    Et puis comment ne pas voir que François Hollande nous vante la volonté d’union de citoyens, de peuples, de nations ? Précisément, cela même qu’il ne veut plus regarder. D’ailleurs, le président nous ressasse le vieux slogan : « Le nationalisme, c’est la guerre ». Slogan qui n’a que l’apparence du bon sens.On pourrait dire, avec beaucoup plus de certitude, le socialisme, c’est la guerre, puisque ce sont des socialistes qui nous ont entraînés dans la guerre en 1914, en 1939, sans parler de la plupart des guerres coloniales et des conflits récents.

    Comme tous les démagogues, François Hollande fait mine de s’opposer à un monstre. Mais ce monstre n’a aucune réalité. Il dénonce ceux qui voudraient « sortir de l’Europe », alors que la plupart des eurosceptiques demandent simplement à sortir de l’actuelle Union européenne. Que je sache, l’Europe existait avant l’UE et pourrait exister sans elle. Ils demandent à ce que l’UE soit subsidiaire, c’est-à-dire qu’elle soit au service des nations et des peuples.

    On peut choisir l’Europe fédérale. C’est manifestement le cas de François Hollande. Mais il faut avoir l’honnêteté de dire que l’on pense que la France, c’est de l’histoire ancienne.D’ailleurs, à supposer que l’Union européenne s’effondre, croit-on vraiment qu’il n’y aurait plus de coopération entre nations européennes ? Même entre 1870 et 1945, les coopérations entre l’Allemagne et la France ont toujours existé. A fortiori aujourd’hui. Les échanges internationaux ne doivent tout de même pas tout à l’Union européenne! Même en Europe, beaucoup de coopérations n’ont rien à voir avec l’UE, comme Ariane que l’on prétend mettre au crédit de Bruxelles et qui doit tout à la coopération de nation à nation!

    Là où cette tribune devient une sinistre farce, c’est lorsqu’il ose nous dire – après des décennies où la volonté populaire a été piétinée – que « les Français peuvent décider et imposer souverainement leur préférence ». Ils le peuvent peut-être, mais, quand ils le font, on ne les écoute pas ! Il ose même nous dire que l’Europe qu’il veut protégerait les frontières, alors qu’il n’a cessé de militer pour toujours plus d’immigration ! Ces grands démocrates qui détestent le peuple, ces grands Européens qui détestent la civilisation européenne, ces grands Français qui ne supportent pas la grandeur de la France, décidément, nous en avons soupé !"

    Michel Janva

  • Laurence Rossignol agressée par ses amies du lobby LGBT

    Le lobby homosexuel a pris goût à la progression rapide de ses revendications. Le PS qui avait tout promis à ce lobby en devient la cible parce qu’il n’impose pas assez vite les nouvelles étapes de la révolution sexuelle. Laurence Rossignol en a fait les frais.

    Ce matin, Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l’autonomie, se rendait aux 4èmes Assises des logements-foyers, résidences-services et habitat intermédiaire qui se tiennent dans le Xe arrondissement de Paris, lorsqu’elle a été prise à partie par un groupe de transsexuels, de lesbiennes et de prostituées qui l’ont aspergée de faux sperme aux cris de “On est gouines, on veut la PMA”, “Des droits pour les trans, des droits pour les putes !” et “Trahison socialiste”. Ce petit groupe était composé de militants d’Act Up, de Strass (syndicat de la prostitution), de Djendeur Terroristas et autres collectifs du même tonneau.

  • L'Eurovision est devenue un phénomène de foire

    Lu sur le blog de l'Homme Nouveau :

    "Comme pressenti et annoncé, l’attrait pour le phénomène de foire a pris le dessus à l’eurovision.

    Bonne dernière du concours pour la première fois de son histoire avec seulement deux points, la France a fait un mauvais calcul en choisissant comme candidats les Twin Twin avec leur chanson « Moustache ». Outre une prestation douteuse tenant plus dubraillement que d’une véritable chanson, dotée de surcroît deparoles ineptes, ils n’avaient pas le bon profil pour s’assurer d’une victoire. Gageons qu’en choisissant une chanteuse lesbienne – ou au moins bisexuelle –, issue de l’immigration, la France se serait donné tous les moyens d’être à la hauteur de l’évènement.

    Une véritable foire

    Mais peut-on vraiment parler de hauteur quand ce concours semble donner la part belle aux phénomènes de foire et aux forums politiques ? Entre les interprètes russes qui se sont fait huer, l’ouverture de la cérémonie offerte à la candidate ukrainienne et le vainqueur autrichien, la « femme à barbe » transsexuelle répondant au doux nom de Conchita Wurst. Faut-il le préciser ? L’eurovision est tout particulièrement plébiscitée par le lobby homosexuel. Nouvelles et étranges conceptions de la neutralité artistique…

    Si, à l’origine, ce concours permettait de découvrir des artistes talentueux et des chansons audibles – Abba, Céline Dion, ou encore France Gall y ont participé –, il s’est mué avec les années en unvaste spectacle de revendications politiques et de bien-pensance, dont la part culturelle et musicale a été réduite à la portion congrue. Il n’y a qu’à lire la presse généraliste pour le réaliser : tous sont dithyrambiques au sujet de l’incroyable leçon de tolérance offerte par l’élection de Conchita mais peu prolixes quant à une éventuelle critique musicale de l’évènement. Un chercheur allemand, Ernst Gluckman, a d’ailleurs estimé quel’aspect artistique ne pesait que pour 5%  dans la détermination des points.

    Un « hymne à la tolérance »

    Le Parlement européen à son tour s’est empressé de s’engouffrer dans la brèche, saluant la victoire autrichienne comme un « hymne à la tolérance » et invitant à faire de même pour les élections européennes du 25 mai prochain, indiquant ainsi clairement sa conception du politiquement correct bruxellois…

    Finalement, ce concours est un bon reflet de nos maux actuels : une France représentée par des guignols qui la ridiculisent, une perte d’objectivité d’instances dirigeantes, une démission culturelle, une bien-pensance et un politiquement correct érigés en dogmes."

    Michel Janva

  • Europe : Plus c’est gros, plus ça passe ?

    par Pierre Marchand

    Une étude récemment publiée par le Parlement européen estime le coût de la non-Europe à 800 milliards d’euros par an entre 2014 et 2019. Peut mieux faire

    Le service de recherche du Parlement Européen vient de commettre un rapport édifiant intitulé Cartographie du coût de la non-Europe 2014 – 19.

    Opportunément publiée à quelques semaines des élections européennes, cette étude fera date dans l’arsenal de propagande européiste. Quand on n’arrive pas à convaincre, on menace ; la propagande la plus efficace est toujours celle qui consiste à faire peur. La première remarque qui s’impose est celle de la qualité des auteurs du rapport. Celui-ci est en effet directement issu du Parlement Européen, et plus précisément l’unité « Valeur ajoutée européenne ». Un cas d’école de conflit d’intérêts caractérisé (c’est un thème à la mode pour l’UE), même si ce rapport comporte une once d’honnêteté, celle de rappeler que le concept de coût de la non-Europe date des années 80. Autant dire qu’il s’agit d’une rengaine qui prend parfois des allures de rouleau compresseur. C’était d’ailleurs un des thèmes favoris de Jacques Delors dans son plaidoyer pour le marché unique, avec les résultats que l’on sait…

    A grand renfort de « gains d’efficacité potentiels », on est par exemple prié de croire que le marché unique numérique va rapporter 260 milliards d’euros par an, et l’approfondissement du marché unique existant 235 milliards. Ne cherchez pas un chiffrage précis, il s’agit d’estimations pour la plupart émises par d’autres rapports produits par d’autres départements du… Parlement européen. Le fameux Traité transatlantique, dont nous reparlerons, ferait gagner à l’UE la bagatelle de 60 milliards par an. Autre exemple éloquent, celui de l’union bancaire, qui permettrait de « jouer un rôle majeur pour prévenir et contenir toute future crise financière. » On nous explique donc sereinement que d’autres crises financières auront lieu mais qu’elles seront moins graves si l’Europe fait l’union bancaire (35 milliards d’économies par an). Plus inattendus, les gains potentiels de la lutte contre les violences faites aux femmes, estimés à 7 milliards par an. Nous nous permettons ici de suggérer aux auteurs du rapport d’élargir cette étude non seulement au monde entier mais aussi à tous les autres crimes qui ont un coût pour la société. Le rapport n’oublie pas non plus la réduction du « gender pay gap » (différences salariales hommes – femmes), qui permettrait une économie de 13 milliards par an moyennant un meilleur alignement du salaire des femmes sur celui des hommes – donc des augmentations de salaires, ce qui est tout à fait cohérent avec ce qui se passe en Grèce par exemple ou même en Allemagne, qui a fait peser son arrogante prospérité sur les salaires de ses ouvriers.

    Reste que tout cela a un coût, que ce rapport se garde bien de préciser. Car sur ce sujet, il ne s’agit plus de prospective mais de données historiques sur le coût de l’Europe : 700 milliards pour le Mécanisme européen de stabilité (143 milliards rien que pour la France), ou encore 1 100 milliards pour le sauvetage de l’euro (estimation du FMI). Ça fait cher le pari. Mais c’est un autre coût qui nous intéresse et qu’aucun scribouillard de Strasbourg ou de Bruxelles ne chiffrera jamais : le coût social et humain de l’Europe. Au-delà de la guerre des Balkans et de la crise Grecque, ou de son inconscience qui a contribué à enflammer l’Ukraine, les dégâts qu’elle a causés sont déjà considérables. Sans doute par manque d’intégration européenne…

    L’AF 2885

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Europe-Plus-c-est-gros-plus-ca

  • Conséquence de la loi Taubira : hausse de 78% des actes "homophobes"

    Selon le rapport annuel de l'association SOS Homophobie, les insultes et agressions contre les personnes homosexuelles ont augmenté de 78%. L'association y voit une conséquence des débats sur la loi dénaturant le mariage. Les personnes homoexuelles n'avaient pas demandé cette loi inique, promue par un lobby groupusculaire et non représentatif. Ils pensaient "normaliser" l'homosexualité.

    Surtout la croissance de cette "homophobie" est en fait liée aux prises de position en faveur du mariage naturel, considéré comme une attitude "homophobe". Ainsi l'association note une "explosion" du nombre destémoignages homophobes liés à internet, "multipliés par près de trois" en un an (1723 cas contre 656 en 2012). Avec ce post, vous verrez qu'il y a un cas supplémentaire... En effet, selon cette association, refuser un "droit" à une personne homosexuelle c'est de l'homophobie. Refuser le mariage entre 2 personnes de même sexe, c'est donc de l'homophobie. En 2013, nous relevions déjà que cette association condamnait l'enseignement de l'Eglise comme étant "homophobe".

    De fait, le concept d'homophobie n'est qu'un prétexte : il s'agit, sous couvert de dénonciations des violences commises à l'égard des personnes homosexuelles, de militer pour les "droits" des homosexuels.

    Michel Janva

  • Lycée public : tout le monde doit se déguiser en femme…

    Il paraît (d’après les ministres) qu’il n’y a pas de théorie du genre dans l’école publique.
    Voilà pourtant le tract distribué au lycée Georges Clémenceau de Nantes…

    Aux fous !

    1557708_489550041147212_7109881114177439348_n.jpg

    http://www.contre-info.com/

  • Malgré les menaces de Juppé, Henri Guaino refuse de quitter l’UMP

    Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a invité dimanche Henri Guaino à quitter son parti après qu’il eut annoncé qu’il ne voterait pas pour la tête de liste UMP aux européennes en Ile-de-France, Alain Lamassoure. « Vous savez je ne pratique pas l’exclusion, mais quand on est à ce point en désaccord avec son propre parti politique, la dignité la plus élémentaire, c’est d’en tirer les conséquences », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. « On ne peut pas à la fois dire qu’on appartient à un parti et faire campagne contre les candidats investis par ce parti » a-t-il ajouté.

    Le maire de Bordeaux est un fervent partisan de l’Europe fédérale, avec les pertes de souveraineté que cela implique. Il partage en l’espèce les positions du Parti socialiste, comme sur de nombreux autres sujets.

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  • Le message aux immigrés : viens prendre l’oseille dans la langue de ton pays !

    Traducteur, voilà un métier d’avenir. Mais traducteur en France, pour les étrangers, et avec le pognon des contribuables ! Ça devait être ça la « modernisation de l‘Etat » que nous annoncé François Hollande…
    La Caisse d’allocations familiales (CAF) des Yvelines vient de mettre à la disposition de son aimable clientèle, « dans le cadre de la diversification de son offre de service d’accueil » – qui n’a rien à voir, bien sûr, avec la « diversification » de la population –, un service innovant et promis à un grand développement : l’« interprétariat par téléphone » pour les « allocataires rencontrant des difficultés à s’exprimer en français ».

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  • Interview de Marine Le Pen : un journaliste pose 6 fois la même et unique question

    Le reportage ne comporte rien d’autre que cela à propos de Marine Le Pen sur les 35 mn de reportage consacrées à l’abstention en vue de l’élection européenne. Harlem Désir n’apparait pas du tout alors qu’il est secrétaire d’État chargé des affaires européennes.


    source : 13h15, le dimanche – France 2 – 11 05 2014

    bonus :
    Le PS présenté dans le même reportage.


    source : 13h15, le dimanche – France 2 – 11 05 2014

    http://www.fdesouche.com/456781-interview-de-marine-le-pen-du-fn-un-journaliste-pose-6-fois-la-meme-et-unique-question