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lobby - Page 1904

  • « Nationaliste » le FN ?

     Plusieurs internautes, adhérents ou sympathisants du FN, salariés du groupe Airbus,  nous ont informé ces derniers jours du courrier, daté du 19 mai,  envoyé aux employés du groupe par son Chief Executive Officer, comme il se présente lui même en bon français,  monsieur Tom Enders. Il s’y livre à un  vibrant plaidoyer en faveur de l’Europe de Bruxelles qu’il crédite du succès d’Airbus. « Nous sommes devenus aujourd’hui un leader du secteur aéronautique et spatial, une entreprise admirée, plus européenne et internationale qu’aucune autre. Croyez-vous que nous y serions parvenus sans l’intégration européenne et le soutien politique actif de nos gouvernements? ». Et bien oui M. Enders!  L’intégration européenne n’était pas un préalable obligatoire et nécessaire au succès d’Airbus qui doit a contrario en effet son magnifique décollage  aux accords interétatiques entre la France et d’autres  nations européennes,  qui ont les faveurs du FN et  dans lesquels  « Bruxelles » ne compte pour rien. Et nous pourrions aussi rappeler à M. Enders que la cherté  de l ‘euro-monnaie unique,   est un puissant handicap pour le  groupe Airbus, notamment face à Boeing… Le leader d’Airbus achève sa lettre par une recommandation d’une hypocrisie assez savoureuse: « Je ne cherche évidemment pas à influencer votre choix électoral (sic), mais je vous encourage tous vivement à aller voter dimanche prochain pour une Europe démocratique, résiliente, forte politiquement, économiquement et militairement ».  Suivez son regard…

    Nous le savons, nous qui avons souvent traité ici de l’indispensable « bataille du vocabulaire », les mots ne sont pas neutres.  Cette  bataille  nous devons la  gagner car comme l’a bien vu Gramsci, il  n’y  a pas de prise possible  du pouvoir politique dans les sociétés développées, sans prise préalable du pouvoir culturel. Prise du pouvoir qui  passe  certes par le contrôle  de l’Etat, mais aussi par un travail idéologique dans la société civile.  Lors du débat Itélé-Europe 1  opposant Marine Le Pen au premier  secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, comme dans celui hier sur France 3  opposant   Bruno Gollnisch àVincent Peillon  , les caciques du PS ne cessent ainsi  de fustiger  le « nationalisme »  du FN qu’ils opposent à leur « patriotisme ».

    Un patriotisme des idéologues du  PS  dont M.  Peillon a donné les curieux  contours, celui d’un patriotisme bien dévoyé,  s’appliquant uniquement à célébrer non pas tant unerépublique française qu’une  république universelle, désincarnée, s’attachant à une France née en 1789,  réduite aux immortels principesUne vision bien hémiplégique de notre nation, faisant l’impasse sur sa réalité physique,   harnelle, spirituelle,   ouvrant de facto la voie à toutes les dérives du mondialisme et disons-le tout net, à sa disparition.

    En taxant les dirigeants du FN  de  nationalisme, c’est bien un procès en extrémisme qui leur est fait. Si un nationaliste serait comme disent certains,  « un patriote de l’espèce amoureuse« , nous savons qu’il existe des passions outrancières, excessives, destructrices,  et que l’ultra nationalisme exacerbé, belliqueux  fut aussi la cause de bien des maux.  Les  deux dernières guerres mondiales, terribles guerres civiles  européennes qui ont mis nos nations à genoux, qui ont conduit à leur déclin,  à celui de la civilisation helléno-chrétienne qui est notre héritage commun,  sont notamment là pour en témoigner.

    Bruno Gollnisch,  l’ a déjà dit,  il faut savoir se   méfier  des doctrines en  « isme » qui exercent encore leurs ravages,  et ce constat vaut particulièrement pour le communisme, le socialisme, le libéralisme débridé,  les différentes facettes   d’un mondialisme, tronc idéologique  commun des adversaires de l’opposition nationale.

    Pour que les choses soient claires, Bruno aime aussi à  le souligner,   le FN est un mouvement national  modéré mais n’est pas modérément national!  Le nationalisme qui lui est reproché, et ce n’est pas un gros mot, est  un nationalisme pacifique, sans excès,  sans agressivité aucune vis-à-vis de ses voisins. Il ne répond pas à la définition   lapidaire qu’en donnait De Gaulle et qui est reprise commodément par le  microcosme politico-médiatique : « un patriote est quelqu’un qui aime son pays, un nationaliste quelqu’un qui déteste celui des autres ».

    Notre « nationalisme »  n’est autre que la défense de la France et des Français d’abord,  des identités, des souverainetés, de nos particularismes nationaux.   Le  procès en sorcellerie qui nous est fait ne doit rien au hasard. Cette diabolisation du FN  par ce Systèmeaux abois  n’existe que par ce que nous ne résignons pas  à la disparition  de notre  Europe des patries conforme au vrai génie de l’Europe et parce que nous  luttons  contre la triple invasion dont elle est victime.  Une invasion des capitaux de la finance vagabonde qui  la déstabilise, une invasion des produits de consommation fabriqués à vils prix  hors de nos frontières qui la paupérise, et enfin une invasion démographique qui en change profondément le visage et la tiers-mondise.     Face au  mondialisme mortifère, patriotes,  nationalistes de tous les pays unissez-vous ! Et votons le 25 mai !

    http://gollnisch.com/2014/05/22/nationaliste-fn/

  • Union transatlantique : la grande menace

    On n’en parle guère, alors que l’on est en présence de l’un des plus grands événements de ce début du XXIe siècle. Et d’une des plus grandes menaces. De quoi s’agit-il ? D’un projet de « grand marché transatlantique » dont dépend pour une large part l’avenir même de l’Europe. Et même du plus important accord commun bilatéral jamais négocié, puisqu’il s’agit de mettre en place, en procédant à une déréglementation généralisée, une gigantesque zone de libre-échange, correspondant à un marché de plus de 800 millions de consommateurs, à la moitié du PIB mondial et à 40% des échanges mondiaux. Bref, de créer la plus grande zone de libre-échange du monde grâce à l’union économique et commerciale de l’Europe et des Etats-Unis. 

         La « libéralisation » totale des échanges commerciaux est, on le sait, un vieil objectif des milieux financiers et libéraux. Un premier cycle de négociations, dit « Uruguay Round », s’était conclu en avril 1994 avec les accords de Marrakech, qui avaient abouti un an plus tard à la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le projet de grand marché transatlantique, lui, a discrètement mûri depuis plus de vingt ans dans les coulisses du pouvoir, tant à Washington qu’à Bruxelles. On en repère aisément les étapes. 

    Nouvel Agenda transatlantique 

    Dès le 22 novembre 1990, un an après la chute du Mur de Berlin, les Etats-Unis et l’Europe avaient adopté une première « Déclaration transatlantique » par laquelle ils s’engageaient à « promouvoir les principes de l’économie de marché, à rejeter le protectionnisme, à renforcer et ouvrir davantage les économies nationales à un système de commerce multilatéral ». En décombre 1995 s’était ensuite tenu un sommet américano-européen, qui avait conclu à la nécessité d’institutionnaliser la relation transatlantique au moyen d’une déclaration commune d’engagement politique. Ce fut le « Nouvel Agenda transatlantique » (NAT), patronné par Bill Clinton, Jacques Santer, alors président de la Commission européenne, et Felipe Gonzalez. En 1995 fut également créé, sous le nom de « Dialogue économique transatlantique » (Trans-atlantic Business Dialogue, TABD), une coalition de grandes entreprises privées et de multinationales qui entama aussitôt d’intenses activités de lobbying pour que s’engagent des négociations. Trois ans plus tard, en mai 1998, lors du sommet américano-européen de Londres, un premier Partenariat économique transatlantique était signé. 

         Le projet fut réactivé en juin 2005, au sommet américano-européen de Washington, sous la forme d’une déclaration solennelle en faveur d’un « Nouveau partenariat économique transatlantique ». Le 30 avril 2007, un « Conseil économique transatlantique » était mis en place par George W. Bush, président des Etats-Unis, Angela Merkel, alors présidente du Conseil européen, et José Manuel Barroso président de la Commission européenne, sous la direction conjointe de Karel De Gucht, commissaire européen au Commerce, et de l’Américain Michael Froman. Cette nouvelle instance se fixait pour objectif de négocier le marché transatlantique dans tous ses aspects législatifs liés à la production, au commerce et aux investissements. Il fut convenu de se réunir tous les ans. En mai 2008, une résolution du Parlement européen approuvait officiellement le projet. Elle prévoyait la suppression de toutes les barrières au commerce, ainsi que la libéralisation des marchés publics, de la propriété intellectuelle et des investissements. 

         A peine élu, Barack Obama décida de faire entrer le projet dans une phase concrète. Les Européens ne furent pas en reste. Le 2 février 2009, le Parlement européen adoptait une résolution sur « l’état des relations transatlantiques » invitant à la création effective d’un grand marché transatlantique calqué sur le modèle libéral et impliquant une liberté de circulation totale des hommes, des capitaux, des services et des marchandises. Le texte précisait que ce partenariat transatlantique se fondait « sur des valeurs centrales partagées, telles que la démocratie, les droits de l’homme et l’Etat de droit », et qu’il devait « demeurer la pierre angulaire de l’action extérieure de l’Union ». Le même document se félicitait de « la présence croissante d’organisations d’origine américaine à Bruxelles », soulignait « l’importance de l’OTAN en tant que pierre angulaire de la sécurité transatlantique », prônait une « intégration progressive des marchés financiers », et se déclarait partisan de la « suppression des obstacles qui entravent les investissements et la prestation de services transatlantique ». Orientations sans équivoque, par conséquent. Le processus, dès lors, pouvait s’engager, la Commission européenne mettant les bouchées doubles à partir de janvier 2011. 

    La France muette 

    En février 2013, le Conseil européen se prononçait à son tour « pour un accord commercial global EU-USA ». Le 13 février, Obama signait avec José Manuel Barroso et Herman Von Rompuy une déclaration adoptant le principe d’un accord de partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement. François Hollande, censé représenter la France, restait muet et laissait faire. Le 12 mars, la Commission européenne approuvait le projet de mandat concernant la conclusion d’un tel accord avec les Etats-Unis. 

         Le 14 juin 2013, les gouvernements des 27 Etats membres de l’Union européenne ont donc officiellement donné mandat à la Commission européenne pour négocier avec le gouvernement américain la création d’un grand marché commun transatlantique, qui a reçu le nom de Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (Trans-atlantic Trade and Investment Partnership, TTIP). Quelques jours plus tard, le 17 juin, le Conseil de l’Union européenne adoptait un rapport concernant les directives pour la négociation de ce partenariat, qualifié par José Manuel Barroso de « plus important au monde ». 

    Les mensonges de la Commission européenne 

    Les premières négociations officielles se sont ouvertes à Washington le 8 juillet 2013, suite au sommet du G8 organisé le mois précédent en Irlande du Nord. Les négociations ont jusqu’à présent été conduites par Karel De Gucht, qui est actuellement poursuivi pour fraude fiscale en Belgique, assisté de l’Espagnol Ignacio Garci Bercero, directeur à la Commission européenne pour le Développement durable et le commerce bilatéral. Les partenaires espèrent parvenir à un accord d’ici 2015. 

         Pour quel objectif ? L’élimination des barrières commerciales transatlantiques, dit-on, apporterait entre 86 et 119 milliards d’euros par an à l’économie européenne, et entre 65 et 90 milliards aux Etats-Unis, ce qui pourrait entraîner d’ici quinze ans une augmentation moyenne des revenus de 545 euros par ménage européen. Selon un rituel bien au point, on assure que l’accord bénéficiera à tout le monde, qu’il aura un effet favorable sur l’emploi, etc. Rapportées à l’horizon 2027, qui est celui que l’on a retenu, de telles promesses sont en réalité dépourvues de sens. En 1988, la Commission européenne avait déjà affirmé que la mise en place du grand marché européen, prévue pour 1992, créerait entre 2 et 5 millions d’emplois. On les attend toujours. Concernant les effets du marché transatlantique, les analystes les plus optimistes parlent de quelques dixièmes de point de PIB (entre 0,27% et 0,48%), ou encore d’un « surcroît de richesse » de 3 centimes par tête et par jour à partir de 2029 ! Le projet table par ailleurs sur les exportations comme moyen de relance de la croissance. Il sera donc un frein à toute relocalisation des activités de production. La hausse escomptée des exportations entraînera en revanche une forte augmentation des émissions de gaz à effet de serre, alors que l’Union européenne était au contraire censée les réduire. 

         Mais ce qui frappe le plus les observateurs, c’est l’extraordinaire opacité dans laquelle se sont déroulées jusqu’à présent les discussions. Ni l’opinion publique ni ses représentants n’ont eu accès au mandat de négociation. La classe politique, dans son ensemble, s’est réfugiée dans un silence qui laisse pantois. Les traités confiant à la Commission européenne une compétence exclusive en matière commerciale, le Parlement européen n’a même pas été saisi. Beaucoup n’hésitent pas à parler de « négociations commerciales secrètes » pour qualifier ces tractations qui se déroulent à huis clos. 

    Elément n°151, Alain de Benoist

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/union-transatlantique-la-grande-menace.html

  • L’islamisme raconté à ma fille

    Par Hamid Zanaz, éditions TATAMIS. Chronique proposée par LM de Woillemont :

    ICe livre est un  livre de combat une sorte de réponse à toutes les balivernes que l’on colporte sur l’islam. On peut bien sûr avancer plus avant dans la connaissance de l’Islam en se donnant la peine de lire le texte sacré, en arabe de préférence, et en s’adonnant à la lecture édifiante des hadiths. Mais on n’a pas toujours le temps de se livrer à cette passionnante activité, à tort d’ailleurs. Dans ce cas, on se rabat sur la lecture en français de ces textes ce qui est déjà bien édifiant. Le drame de l’islam c’est qu’il est irréformable. Car comment reprendre ce texte qui est censé avoir été dicté mot à mot par Allah directement à Mahomet ? Chaque verset doit être appris par cœur et en arabe, et chaque hadith doit être médité pour imiter le prophète. Le prophète, le beau modèle, doit être suivi en tout de sa manière de s’habiller et c’est pourquoi tat de musulmans se croient obligés de se vêtir comme un bédouin du désert du VIIème siècle.

    Parmi les graves questions qui agitent les docteurs de la loi musulmane il y a  la manière de se nettoyer après avoir déféqué, la question de savoir à partir de quelle âge on peut posséder son épouse puisque le beau modèle s’est marié avec une fille de 6 ans pour la posséder à 9 ans. Faut-il attendre tout ce temps ou non ?  Voilà de vrais sujets de préoccupations.

    Le livre d’Hamid ZANAZ préfacé  par Anne Zelensky se présente donc sous la forme d’un dialogue entre un homme, le père en l’occurrence, et une jeune fille qui représente l’état d’esprit de tous les citoyens d’aujourd’hui, dotés de principes généraux très généreux mais d’une absence totale de sens critique et d’une inculture crasse. Sans oublier, en ce qui concerne l’islam, d’une peur tout à fait justifiée mais jamais avouée et d’une protection juridique incomparable.

    Les trois points bloquants des rapports entre islam et modernité restent le djihad, le statut des femmes, et l’apostasie.

    L’idée maitresse du livre est qu’il n’y a pas d’opposition entre islamisme et islam et l’illusion  terrible selon laquelle on nait musulman. Comme l’indique Anne Zelinssky dans sa préface « Non, l’islamisme n’est pas une déviation de l’islam, il en exprime au contraire la racine, il en est l’essence….Mais éparer le «bon islam» du «mauvais islam» et une manœuvre d’enfumage». Dans le cochon tout est bon comme on dit en Bretagne, mais pas forcément dans l’islam manifestement.  

    Ainsi que l’observe Wafa Sultan « un musulman radical est celui qui retourne aux racines de l’islam à ses fondements et à ses dogmes, au Coran et à Mahomet. Un musulman modéré est quelqu’un qui s’en éloigne peu ou prou ».

    La France a vu se construire 2400 mosquées et autant sont en projet, le tout avec la collaboration active des élus UMP, PS, EELV, MoDEM (cf le livre « Ces maires qui courtisent l’islamisme » Ed TATAMIS). La grande force de l’islam n’est d’ailleurs que notre faiblesse, comme l’indique Alexandre del Valle dans son dernier livre. Car qu’est-ce que cette religion peut-elle mettre à son actif des que l’on sort de la récitation du Coran et de la promulgation de fatwa sur tel ou tel sujet de la vie quotidienne ? Mille par jour sont ainsi produites par l’université du Caire.

    Finalement la question que pose ce livre n’est pas qui est islamiste ? Qui est intégriste ? Mais bien plutôt qui ne l’est pas ? On se rappelle que le Soudan a condamné à mort et exécuté un iman qui voulait supprimer tout l’aspect juridique du Coran pour ne conserver que l’aspect religieux.  L’ancien président iranien observait que pour « régler les problèmes économiques nous avons besoin du martyre. Le martyre est un raccourci pour atteindre le sommet de la félicité ». Le martyre des autres bien sûr.

    Un livre à lire et à offrir, à nos filles en priorité. 

    Michel Janva

  • Manifestation à Lyon contre le gender

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    2Des candidats aux européennes, FN, DLR, Force Vie et UMP :

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  • COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Le Printemps Français refuse au parlement toute légitimité pour créer un nouveau statut parental !

    Le Printemps Français s’est opposé et continue de s’opposer à la loi Taubira et à la prétention du législateur à créer un mariage entre des personnes de même sexe, au nom de l’évidence biologique qui institue le mariage.

    De même, le Printemps Français s’oppose à la prétention du législateur à créer un statut de tiers-parent, pour soit-disant donner des droits à la personne qui vit avec l’un des deux parents de l’enfant. Il est totalement faux de prétendre que cette proposition de loi réponde à une nécessité. Elle n’a qu’un objectif : faire rentrer dans la loi un statut du beau parent au profit des couples homosexuels. Cette loi, si elle est votée, ouvrira demain à toutes les dérives par la simple adjonction de droits nouveaux à ce que le législateur aura fait.

    La loi est faite pour protéger l’enfant, pas pour donner satisfaction aux fantasmes des adultes. En instaurant juridiquement une confusion volontaire entre les parents et le tiers qui vit avec l’un d’eux, le projet socialiste et écologiste ne vise rien d’autre qu’à l’instauration légale de l’homoparentalité, sous couvert de résoudre des problèmes qui ne se posent que pour eux. En effet, la loi dispose déjà des moyens d’organiser la vie quotidienne entre des parents séparés pour préserver les intérêts de l’enfant. Dans cette proposition de loi, une fois de plus, ce sont les intérêts des adultes que l’on cherche à promouvoir au détriment de l’enfant.

    Le Printemps Français demande aux parlementaires de cesser de mentir aux français. La cause de la famille et des enfant mérite mieux.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-DE-PRESSE-Le-Printemps

     
  • Est-Ouest : une union internationale pour la Famille et la Vie

    Dans la continuité de ses voyages à la Douma à Moscou (au mois de juin dernier), pour soutenir le projet de loi interdisant la propagande homosexuelle devant mineur, à Belgrade pour soutenir les Serbes contre la propagande homosexuelle, ou encore à la Rada de Kiev, pour avertir les députés de toutes les lois anti-famille en vigueur au sein de l'UE,  Fabrice Sorlin continue son tour des pays d'Europe de l'est afin d'appeler au rassemblement des défenseurs de la famille et d'oeuvrer à la création d'une internationale pour la défense des valeurs traditionnelles.

    En tant que représentant de la France pour le World Congress of Families, il était invité le week-end dernier à Tbilissi, en Géorgie, à venir prendre la parole devant journalistes et responsables de la société civile.

    Voici son discours :

    "Chers Amis,

    Je tiens tout d’abord à remercier chaleureusement nos hôtes pour leur excellent accueil.

    C’est un honneur pour moi de prendre la parole devant vous, ici à Tbilissi. L’honneur d’un Français qui ne peut se résoudre à voir son pays assister à ses propres funérailles, en acceptant une série de lois toutes plus mortifères les unes que les autres.

    Je tiens aussi à vous remercier pour votre belle initiative, d’organiser un colloque pour la défense de la vie et de la famille !

    Comme vous le savez, ce combat est mondial. Nos adversaires, les partisans de la culture de mort, les idéologues de la théorie du genre et les lobbies LGBT l’ont compris depuis longtemps. Il est temps pour nous de nous organiser aussi, et c’est pourquoi je salue ce genre d’initiative, qui permet le rapprochement et les échanges entre les partisans de la culture de Vie, ceux qui défendent la famille et les valeurs traditionnelles.

    Ainsi, une loi anti-discrimination et pro-LGBT vient de passer en Géorgie. Beaucoup ici en Géorgie, pourraient se dire que cette loi est peu de choses, qu’elle ne représente pas de danger, d’autres pourraient même s’en désintéresser, pensant que cette loi ne concerne qu’une minorité de personnes, certains s’imagineront peut-être qu’elle ne sera même jamais véritablement appliquée dans les faits.

    Et c’est là chers amis, que je me dois d’intervenir auprès de vous, au nom de ma conscience de chrétien, de ma conscience de Français et d’européen, mais aussi au nom de ma conscience de père de famille, car dès maintenant, par cette nouvelle victoire du lobby LGBT, une épée de Damoclès vient de se suspendre au-dessus de vos têtes et de celles de vos enfants : Demain, ils viendront dans l’école de vos enfants, apprendre à vos fils à devenir des filles, et à vos filles à devenir des garçons !

    Peut-être pensez-vous que j’exagère ! Ecoutez plutôt ce qui se passe aujourd’hui en France, et laissez-moi ensuite vous expliquer comment le lobby LGBT a réussi à légaliser de telles inepties, à marginaliser ceux qui s’y opposent, et à opérer une inversion totale des valeurs de notre Civilisation.

     

    Lire la suite "Est-Ouest : une union internationale pour la Famille et la Vie"

    Michel Janva

  • Loi Famille : la gauche reconnaît vouloir casser les codes de la société

    « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir »

    Les socialistes et leurs alliés sont honnêtes, ils annoncent clairement ce qu’ils vont faire ! L’instigateur et dépositaire du projet de loi Famille présenté lundi, le député écologiste François-Michel Lambert, a ainsi déclaré : « Il faut casser les codes de la société, nous politique, on est là pour ça ». Car leur nouveau combat est désormais d’interdire la fessée donnée par les parents à leurs enfants !

    A cette occasion, François-Michel Lambert tombe le masque sur l’idée qu’ils se font de la démocratie. L’important ce n’est pas ce que le peuple pense car « interdire la fessée, ça a été impopulaire partout ». La tactique ?« Les lois dans les autres pays comme la Suède ont toujours été votées contre l’opinion publique avant que ce ne soit accepté ». Bingo ! Le plus simple est donc de ne pas tenir compte de l’opinion publique comme pour le mariage homo, de faire passer les lois contre l’avis de la majorité et de la travailler à coups de propagande pour la faire changer en l’espace de quelques années…

    Car n’oubliez pas, « c’est une réforme de société et on peut même dire une réforme de civilisation » (Christiane Taubira) que nous impose le Parti Socialiste au travers des textes de lois sur la famille.

    http://fr.novopress.info/167051/loi-famille-la-gauche-reconnait-vouloir-casser-les-codes-de-la-societe/

  • Loi Famille : la gauche reconnaît vouloir casser les codes de la société

    « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir »

    Les socialistes et leurs alliés sont honnêtes, ils annoncent clairement ce qu’ils vont faire ! L’instigateur et dépositaire du projet de loi Famille présenté lundi, le député écologiste François-Michel Lambert, a ainsi déclaré : « Il faut casser les codes de la société, nous politique, on est là pour ça ». Car leur nouveau combat est désormais d’interdire la fessée donnée par les parents à leurs enfants !

    A cette occasion, François-Michel Lambert tombe le masque sur l’idée qu’ils se font de la démocratie. L’important ce n’est pas ce que le peuple pense car « interdire la fessée, ça a été impopulaire partout ». La tactique ?« Les lois dans les autres pays comme la Suède ont toujours été votées contre l’opinion publique avant que ce ne soit accepté ». Bingo ! Le plus simple est donc de ne pas tenir compte de l’opinion publique comme pour le mariage homo, de faire passer les lois contre l’avis de la majorité et de la travailler à coups de propagande pour la faire changer en l’espace de quelques années…

    Car n’oubliez pas, « c’est une réforme de société et on peut même dire une réforme de civilisation » (Christiane Taubira) que nous impose le Parti Socialiste au travers des textes de lois sur la famille.

    http://fr.novopress.info/167051/loi-famille-la-gauche-reconnait-vouloir-casser-les-codes-de-la-societe/

  • Le tragique destin du premier cobaye de l'idéologie du genre


    Le tragique destin du premier cobaye de la... par Obsgender 

    Michel Janva