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lobby - Page 1900

  • Nouvelle manipulation : jupes pour tous !

    Une nouvelle idée en or est née dans l’académie de Nantes : jupe et rouge à lèvres pour tous au lycée.

    Vendredi, élèves filles et garçons, et même professeurs (il y a quand même autorité morale, ce serait idiot de se priver…), sont invités à venir en jupe pour « lutter contre le sexisme ». Une initiative que d’autres lycées avaient déjà mise en œuvre plus discrètement en avril : cette fois-ci, 27 lycées nantais sont concernés.

    Le « sexisme »… On voudrait nous faire croire que la menace qui pèse aujourd’hui sur les femmes, c’est le « cocotte » lancé par un collègue au pire un peu lourd, ou des inégalités salariales largement fantasmées ? Quelle triste « blague » pour bobos parisiens !

    On peut parler tant que ces pourfendeurs d’injustice voudront : les violences envers les femmes existent, ça, c’est une certitude.

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  • Nouvelle manipulation : jupes pour tous !

    Une nouvelle idée en or est née dans l’académie de Nantes : jupe et rouge à lèvres pour tous au lycée.

    Vendredi, élèves filles et garçons, et même professeurs (il y a quand même autorité morale, ce serait idiot de se priver…), sont invités à venir en jupe pour « lutter contre le sexisme ». Une initiative que d’autres lycées avaient déjà mise en œuvre plus discrètement en avril : cette fois-ci, 27 lycées nantais sont concernés.

    Le « sexisme »… On voudrait nous faire croire que la menace qui pèse aujourd’hui sur les femmes, c’est le « cocotte » lancé par un collègue au pire un peu lourd, ou des inégalités salariales largement fantasmées ? Quelle triste « blague » pour bobos parisiens !

    On peut parler tant que ces pourfendeurs d’injustice voudront : les violences envers les femmes existent, ça, c’est une certitude.

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  • Copé et Valls, leur tournée anti-FN

    Dans cette dernière ligne droite de la campagne des élections européennes, les grands médias ont entrepris, quand même, de consacrer un  nombre nettement plus important  d’articles et de dossiers au  grand marché transatlantique. C’est notamment le cas aujourd’hui duParisien qui titre sur cette soumission programmée aux dogmes ultra libéraux états-uniens. Un grand marché sur la genèse duquel Pierre Hillard, dans ses  Chroniques du mondialisme, consacre  des pages fort éclairantes, à lire pour celles et ceux qui voudraient creuser le sujet sous un angle plus «métapolitique »…Une véritable forfaiture et trahison des intérêts fondamentaux de la France et des autres pays européens,  contre lequel le Front National alerte, nous le croyons  avec la grille de lecture la plus complète, fondée et  recevable, nos compatriotes. Partisan d’un modèle européen qui n’est pas le nôtre, même Pierre Habib-Deloncle, ancien Secrétaire Général de l’Union Paneuropéenne de France et ancien Secrétaire Général de l’Association des amis de Jacques Chirac,  n’en affirmait pas moins il y a quelques jours  dans une tribune publiée dans Le Figaro qu’ « on ne peut pas imaginer qu’un gaulliste puisse voter l’instauration de la zone de libre-échange transatlantique ».

     Ce projet de marché transatlantique, porté à bout de bras par les partis atlanto-progressistes, le  PS, l’UMP et leurs alliés européens, Jean-François Copé, à la tête d’unparti dans lequel les gaullistes souverainistes sont priés de démissionner ou de fermer leur  gueule,  a pris grand soin hier soir, lors du débat l’opposant à Marine Le Pen  sur LCI, de ne pas en évoquer les vrais dangers ni la  vraie nature. Le président contesté de l’UMP a préféré  enfiler les  couplets sur le danger de l’extrême droite,  le péril populiste, un  FN qui ferait la courte échelle au PS, et dont  le programme économique mènerait la  France à la  ruine.

     Les Français étaient en droit d’attendre un   peu plus de modestie de la part d’un homme qui assume dix ans de désastreuse politique UMP au pouvoir, ses cinq millions de chômeurs, ses huit millions  de pauvres, son torrent migratoire, sa babélisation-balkanisation accélérée, son insécurité galopante, sa désindustrialisation dramatique, ses délocalisations à la chaîne sur fond d’ultra libre échangisme européiste,   la destruction méthodique de sa souveraineté, la mise sous le boisseau  d’une politique étrangère indépendante…

     Non, M. Copé  qui nage dans les factures de Bygmalion et barbote dans  la piscine de  Ziad Takieddine,  a  balayé tout cela d’un revers de la main pour réciter ses   pitoyables mantrasantinationaux, mille fois ressassés depuis….trente ans. Une ligne de  défense caricaturale qui révèle une vraie  panique, celle de voir  le peuple s’affranchir  du  duopole gauche-droite qui assurait une confortable  rente à vie à ses amis de la caste.

     Sur son blog, l’éditorialiste Ivan Rioufol  le soulignait le 12 mai,    « PS, UDI, UMP » « se focalisent une fois de plus sur le FN, dont ils dénoncent le populisme et la démagogie (…).Rien n’est plus facile, pour la droite et la gauche, que de masquer le flou de leurs projets derrière le sempiternel discours moralisateur contre une (l’) extrême droite (…). Toute l’histoire du FN et de sa montée en puissance enseigne que la stratégie de ses adversaires, qui consiste à le dénigrer, le dénoncer, voire même à inciter à la haine sous des procès en fascisme ou en nazisme dénués de fondement, est contreproductive. Voir pourtant reproduite cette mauvaise réponse illustre le vide qui habite les partis. Quand Alain Juppédemande  l’exclusion d’Henri Guaino de l’UMP au prétexte que ce dernier ne se reconnaît pas dans le programme d’Alain Lamassoure, tête de liste pour l’Ile de France, la droite dévoile un autoritarisme qui marque sa fébrilité et sa faiblesse».

     Fébrilité, faiblesse qui ont gagné le  PS depuis longtemps, à l’heure ou Manuel Valls vient d’annoncer sa nouvelle  tournée anti FN qui le verra à  Evry, Barcelone ( !)  et Lyon, même si sa précédente, lors des élections municipales,  eu des effets particulièrement contre-productifs.

     Un  Premier ministre qui  objectivement espère non pas empêcher la déculottée électorale qui s’annonce pour le PS, mais surtout  apparaître  au sein de son camp comme celui quimouille le maillot pour l’Europe progressiste  supranationale.  Et qui pourra toujours mettre ce nouvel échec  sur le compte du fait qu’il vient tout juste d’arriver aux manettes…Manuel le malin ?

     Il s’agit cependant de se garder de tout triomphalisme  car comme Bruno Gollnisch ne cesse de la répéter,  les jeux ne sont pas faitsLes résultats du 25 mai seront directement impactés par le taux d’abstention,  par la capacité de mobilisation de  l’électorat patriote.   Certes deux nouveaux sondages  publiés mercredi placent le FN en tête devant l’UMP et le PS  dans dix jours,  avec 23% des suffrages selon TNS Sofres-Sopra et 24%selon le baromètre quotidien Ipsos-Steria

     Mais selon cette dernière enquête si seulement 38 % des électeurs sondés estiment quel’appartenance de la France à l’Union européenne est une bonne chose (24 %  une mauvaise chose, 38 % ni l’un ni l’autre), seuls 36 % à 40 % des électeurs interrogés ont l’intention d’aller voter. Parmi ceux-ci, les sympathisants  de l’UMP et du PS  seraient respectivement 45 % et 42 % à affirmer qu’ils vont se rendre aux urnes, pourcentage atteignant47% chez les électeurs du Front de Gauche. Or, les  sympathisants du FN seraient avec ceux d’EELV les moins nombreux à déclarer avoir l’intention d’aller voter (respectivement 37% et 34%).  

     Cette nécessité de faire entendre sa voix le 25 mai doit donc  être martelée sans relâche. Qu’y a-t-il de plus  incohérent que de  stériliser son  indignation légitime  devant  les  funestes   orientations de l’Europe bruxelloise soutenues par les caciques de  l’UMPS,  en laissant les autres s’exprimer  à sa place ?

    http://gollnisch.com/2014/05/15/cope-valls-tournee-anti-fn/

  • Changement climatique : Une escroquerie ?

    Le réchauffement de la planète ne serait pas lié à l’activité humaine. Le Britannique Martin Durkin prend le contre-pied de l’actuel consensus sur l’évolution du climat en s’appuyant sur des interviews de scientifiques, d’économistes ou encore d’hommes politiques.

    Un documentaire polémique, qui a été particulièrement controversé lors de sa diffusion au Royaume-Uni en 2007. “The Great Global Warming Swindle” est un film documentaire controversé du producteur de télévision britannique Martin Durkin, qui conteste l’avis de la majorité des climatologues selon lequel l’activité humaine serait la principale cause du réchauffement climatique.

    Le film montre le témoignage de scientifiques, d’économistes, de politiciens, d’écrivains et d’autres personnes sceptiques par rapport au consensus scientifique sur l’origine anthropique du réchauffement climatique.

  • La journée de la jupe au lycée est encouragée par le ministère de l'Education

    Depuis que Le Salon Beige a révélé cette affaire de journée de la jupe dans un lycée de Nantes, les réseaux sociaux s'enflamment.

    Des documents officiels de l'Education Nationale montrent qu'il ne s'agit pas d'un délire isolé, mais bien un délire complémentaire de l'ABCD de l'égalité visant à expérimenter l'idéologie du Gender auprès des adolescents.

    Cette mascarade existe dans 27 lycées ce mois de mai 2014 et veut s'étendre !

    La Manif Pour Tous demande l’annulation immédiate de l’opération « ce que soulève la jupe » prévue le 16 mai à Nantes avec le soutien de l’académie et du Ministère de l’Education Nationale. La Manif Pour Tous annonce le lancement d’une grande consultation nationale sur le genre et l’ABCD de l’égalité intitulée « Garçons et filles : égaux mais pas identiques ». Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, déclare :

    « Toutes les discriminations doivent être combattues. C’est une évidence. Mais on ne peut accepter tout et n’importe quoi à ce titre ». « Inviter des garçons à porter une jupe n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’une forme de travestissement et donc de négation de l’identité sexuelle des garçons. C’est un manque de respect de la masculinité et de la féminité. Voir les logos de l’Académie de Nantes et du Ministère de l’Education Nationale sur le dossier de presse de cet événement est stupéfiant ». « Je n’ose y croire tellement c’est grave. C’est scandaleux. C’est pourquoi M. Hamon doit intervenir sans délai pour condamner fermement cette initiative et l’annuler. »

    Michel Janva

  • Colonisation, esclavage… brisons nos chaînes !

    Selon le nouveau sondage metronews-Clai-LCI réalisé par OpinionWay sur les européennes, 23% des personnes interrogées voteraient pour les listes UMP, 22% pour le FN, 16% pour le PS, 10% pour le Modem/ UDI, 9 % pour EELV 7% pour le Front de Gauche… Bruno Jeanbart, directeur général adjoint d’Opinion Way, explique que «l’abstention, qui sera certainement très élevée (62% selon cette enquête), est un facteur défavorable au FN. Mais ce parti n’a pas de réelle concurrence sur le créneau anti-européen, tandis que l’UMP est divisée entre souverainistes et pro-européens». «Il y a une absence totale de campagne dans l’esprit des Français, aucune thématique ne ressort. Ceci explique la stabilité des intentions de vote» affirme M. Jeanbart… Il serait plus juste de dire que seul le FN met sur la table les véritables enjeux de cette élection, évoque les dossiers brûlants comme la directive approuvée par l’UMPS sur les travailleurs détachés, la destruction de nos services publics, de notre industrie, les ravages de la monnaie unique, l’absence de réponse proportionnée à la très forte pression migratoire des pays non européens… Et bien évidement le traité sur le grand marché transatlantique, calamité d’essence purement mondialiste, concocté

    secrètement sur le dos des peuples européens. Il est l’objet d’une omerta sidérante de la part des partis européistes, de droite comme de gauche et des grands médias (exception faite d’un dossier assez pâlot publié dans le Nouveau Marianne).Nous avons longuement dit sur ce blog, et depuis très longtemps, ce qu’il faut en penser.

    Mondialisme en marche comme les spectateurs de l’eurovision l’ont vu avec la victoire, ô combien symbolique, d’un chanteur à barbe déguisée en femme, publicité vivante pour cette Europe qui se veut transgenrehors-sol, sans frontières ni identité particulièresMais aussi en constatant que 26 pays sur les 34 en compétition ont chanté en Anglais ; 4 ont chanté moitié dans leur langue nationale, moitié en anglais, et seulement 4 ont chanté uniquement dans leur langue (Italie, Portugal, France et Monténégro).

    Une colonisation culturelle de l’Europe à laquelle répond en France la promotion institutionnalisée de la haine de soi, de notre histoire, l’exaltation de la repentance et du masochisme.

    Le dix mai dernier, certes, il n’y avait pas foule à Villers-Cotterêts (Aisne), pour la cérémonie de commémoration de l’abolition de l’esclavage. Seuls des militants de gauche et d’extrême gauche, beuglant des slogans haineux, avaient fait le déplacement, parfois d’assez loin. Une ville choisie pour cette commémoration car elle est celle du grand écrivain populaireAlexandre Dumas, fils du premier général de l’armée française ayant des origines afro-antillaises, le général d‘empire Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie, dit général Dumas, mulâtre de Saint-Domingue.

    Bruno Gollnisch comprend tout à fait la résonance bien légitime que

    cet événement historique peut avoir pour nos compatriotes ultra- marins, antillais notamment, il serait stupide de le nier. Il rappelle au passage que c’est l’église et non la république qui mena la première le combat contre l’esclavagisme, notamment celui qui sévissait en Amérique du sud à l’époque des conquêtes espagnoles et portugaises. Mais c’est bien le détournement de cette commémoration à des fins partisanes qui est scandaleux.

    Ainsi ce dix mai, outre le ministre des Outre-mer, Mme George Pau- Langevin dépêchée parManuel VallsClaude Ribbe, président des Amis du Général Alexandre Dumas a-t-il déclaré que le maire FN

    Frank Briffaut « en refusant de se joindre à cette commémoration s’est déshonoré (…) et son parti aussi en ne le désavouant pas. (…). La commémoration de l’abolition de l’esclavage est nécessaire parce qu’elle nous oblige à revenir aux origines du racisme.»

    Revenir aux origines du racisme ? Vaste débat. Comme nous le confiait un ami enseignant antillais, sympathisant de longue date du FN, lui même descendant d’esclaves africains, «ses bonnes âmes n’évoquent jamais un racisme sournois bien présent aux Antilles qu’on ne peut imputer aux blancs. C’est celui qui existe entre afro-antillais, au terme d’une classification-discrimination non dite, affligeante, entre noirs en fonction de la teinte plus ou moins foncée de leur peau. Des racistes on en voit de toutes les couleurs ! ».

    En attendant ce dix mai, les litanies antifrontistes se sont succédées à Villers- Cotterêts avec le passage à la tribune de représentants de coquilles vides, comme le très contesté Patrick Karam, président du Crefom (Conseil représentatif (sic) des Français d’Outre-Mer). «C’est la République qu’on honore le 10 mai, cet élu FN montre qu’il n’est pas un élu de la République » a affirmé sans rire M. Karam.

    Le vice-président de SOS racisme, Ibrahim Sorel-Keita, a profité des médias présents pour indiquer la mise en en place des « comités de vigilance » dans les onze villes dirigées par un maire FN. La tête de liste EELV pour la région Nord-Ouest, Karima Dellia, a tenté de faire sa pub: «Nous ne reculerons jamais sur les questions de droits de l’homme, de mémoire collective ou juste de liberté ». Des syndicalistes étaient aussi de la partie pour dénoncer les mesures d’économies prises par la nouvelle municipalité , notamment la suppression des subventions accordées à la CGT et à la FCPE.

    La palme de la déclaration la plus surréaliste revenant peut être au maire sortant socialiste,Jean-Claude Pruski qui, apparemment, n ’a toujours pas digéré d’avoir été congédié par les électeurs: « Aujourd’hui

    on s’attaque aux commémorations de l’abolition de l’esclavage, demain à celles de la Shoah»!

    Invitée de d’iTélé lundi 12 mai, Marion Maréchal Le Pen a regretté que notre ami Frank Briffaut n’ait pas assisté à cette commémoration, expliquant qu’il eut été à son avis « plus intelligent de faire un discours politique intelligent lors d’une commémoration plutôt que de susciter ce genre de polémique. (…). D’ailleurs il ne remet pas en cause l’existence-même de l’esclavage ».

    La veille sur BFMTVMarine Le Pen avait relevé que Frank Briffaut « n’a pas interdit la commémoration, il n’ a pas voulu y participer. Il fait partie des nombreux Français qui ont le sentiment que les gouvernants ont la volonté de (les) culpabiliser par rapport à leur passé.C’est son choix».

    « Moi, je serais allée à la commémoration et j’aurais dénoncé l’esclavage actuel ». «Le président de la République s’honorerait à rompre les relations avec le Qatar, petit pays par la superficie mais grand pays par l’esclavage»,«400 ressortissants venant d’Inde sont morts dans les chantiers du Mondial de football dans l’indifférence générale de nos grandes consciences européennes !».

    Indifférence et indignations sélectives sont en effet la norme au sein de nos « élites ». Mais le FN s’honore à rappeler ces vérités là, au moment ou le monde exprime son indignation devant l’enlèvement de 200 lycéennes au Nigéria par la secte terroriste islamo-mafieuse Boko Haram. Un groupe de crapules qui par le passé a déjà rapté des jeunes filles pour les revendre comme esclaves à des réseaux de prostitution.

    L’africaniste Bernard Lugan le soulignait dans L’Afrique réelle«aujourd’hui, la traite des Noirs a repris au Nigeria, pays, au bord de l’éclatement et pourtant paradoxalement présenté par les médias comme un paradis pour les investisseurs…» Et « c’est à la veille du 10 mai, jour anniversaire du vote en 2001, de la « loi Taubira » qualifiant la traite européenne, et elle seule, de crime contre l’humanité» , que ces

    enlèvements ont été commis.

    Mme Taubira avait déclaré «que sa loi n’évoquait pas la traite négrière musulmane afin que les jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » !!! Or, la traite musulmane (…) a bien existé. Elle débuta au VIII° siècle de notre ère et ne prit fin qu’avec la colonisation. Madame Taubira et la totalité des députés français ont donc fait l’impasse sur la vérité historique qui est que, du Sahel à l’Afrique centrale en passant par l’Afrique orientale, ce furent les colonisateurs européens qui libérèrent les malheureuses populations noires (…) ».

    « L’Afrique sud-saharienne fut en réalité victime de trois traites : la traite interafricaine, la traite arabo-musulmane et la traite atlantique. O. Pétré-Grenouilleau a donné les chiffres suivants les concernant : la traite atlantique ou traite européenne porta sur 11 millions d’individus; la traite interne ou interafricaine sur 14 millions, et les traites arabo-musulmanes, sur 17 millions. Or, pour Christiane Taubira et pour les députés français qui, et je le redis, votèrent à l’unanimité la loi du 10 mai 2001, seule la traite pratiquée par les Européens » -« qui se fit avec la complicité de pourvoyeurs noirs »- est condamnable ».

    «Au XIXe siècle, l’abolition décidée par les seuls Européens ne concerna pas la traite esclavagiste musulmane, des caravanes organisées militairement continuant en effet à dévaster des régions entières de l’Afrique noire (…) Partout, ce fut la colonisation européenne qui mit un terme à ces odieuses pratiquesCertaines ethnies ne survécurent alors que parce que les colonisateurs séparèrent victimes et razzieurs, comme au Mali,comme au Niger, comme au Tchad, comme en Centrafrique, comme au Nigeria, comme enRDC, comme en Tanzanie, comme en Ouganda, comme au Soudan, comme au Malawi, comme au Mozambique etc… »

    Rappelons aussi au passage comme le fit notamment Bruno Gollnich, que « la colonisation française de l’Algérie, qui a eu indéniablement

    sa part d’ombre et d’erreurs, eu aussi le grand mérite de libérer ce territoire du joug de la colonisation ottomane, de l’arbitraire de ses

    féodaux, de la violence des pirates barbaresques et là aussi de l’esclavagisme».

    En 2006 déjà, alors président du groupe FN au Conseil régional d’Aquitaine et Conseiller municipal de Bordeaux, le secrétaire départemental Jacques Colombier avait rappelé ces mêmes vérités énoncées par le professeur Lugan lors du débat autour du rapport commandé par le maire Alain Juppé sur l’implication de la ville dans la traite négrière.

    «L’honnêteté intellectuelle et la vérité historique doivent donc prendre le pas sur toute démarche anti-blanc de repentance sélective et perpétuelle » affirmait l’élu FN.

    Un refus du manichéisme, de l’hémiplégie intellectuelle de médias incultes ou partiaux, des associations dites antiracistes et/ou communautaristes que le FN continuera de porter, vaille que vaille, dans ce domaine comme dans d’autres. Nous devons la vérité aux Français.

    Brisons nos chaînes!

    http://gollnisch.com/2014/05/14/colonisation-esclavage-brisons-chaines/

  • Le but de la construction de l'UE n'est pas la paix mais l'argent

    De Guillaume de Prémare sur Liberté Politique :

    "A quoi sert la construction européenne ? La déclaration Schuman du 9 mai 1950 avançait la paix comme justification principale. Nous l’avons eue. Mais cette paix — ou plutôt cette absence de guerre — a été obtenue par l’équilibre de la terreur nucléaire, laquelle n’a rien à voir avec la construction européenne. Quant à la paix entre la France et l’Allemagne, elle était faite en 1950. Ce n’est pas la construction européenne qui a permis cette paix, c’est cette paix qui a rendu possible la construction européenne, laquelle l’a renforcée bien sûr.

    En réalité,les motivations de la construction européenne sont fondamentalement économiques. Dans le préambule du Traité de Rome, les Etats membres assignent « pour but essentiel à leurs efforts l'amélioration constante des conditions de vie et d'emploi de leurs peuple ». [...]

    J’invite chacun à apprécier les résultats par rapport aux objectifs. Où sont les emplois de nos enfants ?Cette seule question suffirait à caractériser le bilan. Sauf à considérer que la maîtrise de l’inflation soit principale et l’emploi accessoire,la construction européenne a échoué dans ses missions essentielles : « Les performances économiques de la zone euro sont dramatiques en termes de chômage et de croissance », souligne Jean-Claude Guillebaud dans son bloc-notes de l’hebdomadaire La Vie.

    L’union économique et monétaire devait pourtant nous donner la taille critique pour "peser" dans l’économie mondiale, pour "gagner la compétition" : « On est plus fort à plusieurs ; chacun de nos pays est trop petit pour exister dans la mondialisation ; on ne peut vivre isolé, » etc. Ceux qui ont contesté ce discours ont été maintenus à l’écart de la crédibilité publique. Parlant des "dissidents" de l’Europe, Guillebaud écrit : « On traitait alors volontiers ces impertinents d’oiseaux de mauvais augure ou d’ignorants. Ce n’est plus possible. 

    Revenir aux faits

    Ce n’est plus possible, en effet, d’écarter les faits. Ce n’est plus possible de faire croire que nous n’aurions le choix qu’entre toujours plus d’intégration européenne et l’isolationnisme, le repli sur soi ; qu’entre l’euro et la banqueroute. Les faits : l’Union européenne est seule en son genre ; etles pays qui ne disposent pas d’un tel modèle ne vivent pas isolés en autarcie économique.

    Un autre fait : il y a, dans le vaste monde, et même en Europe, des pays qui n’appartiennent pas à une union économique et monétaire, qui pèsent d’un poids marginal dans l’économie mondiale, et qui vivent cependant une relative prospérité et fournissent des emplois à leurs enfants.

    Bonne conscience

    Ce n’est plus possible, non plus, de se réfugier dans la justification morale et les bons sentiments, fussent-ils chrétiens, avec d’un côté la générosité communautaire et de l’autre l’égoïsme national. [...]"

    Michel Janva

  • « Le lobby LGBT dicte sa loi partout ! »

    Porte-parole de la deuxième Marche pour l’égalité et contre le racisme, en 1984, Farida Belghoul s’investit aujourd’hui dans la lutte contre le gender. En janvier dernier, elle lançait la Journée de Retrait à l’Ecole (JRE) qui invite les parents, une journée par mois, à garder leurs enfants à la maison pour protester contre la diffusion de la théorie du genre à l’école. Ce qui lui vaut de subir les foudres de l’establishment et des médias mainstream. Mais, à l’entendre, elle doit aussi faire face à des oppositions plus inattendues…

    La théorie du genre est-elle enseignée à l’école ?
    Farida

    C’est une évidence. Elle est rentrée à l’école, notamment sous couvert des ABCD de l’égalité, mais pas uniquement. Le gender n’est, certes, pas enseigné formellement, mais l’idéologie qui le sous-tend imprègne les textes officiels de manière diffuse. Ce qui rentre totalement dans l’objectif assigné à l’école par le gouvernement socialiste. L’ancien ministre de l’Education nationale, l’inénarrable Vincent Peillon, l’avait dit au recteur en janvier 2013 : il s’agit de « changer les mentalités ».

    Dès leur plus jeune âge, on s’emploie donc à bouleverser l’identité sexuelle des enfants et à déconstruire – en fait, à détruire – la complémentarité naturelle homme/femme. Sont mises en œuvre des séances qui s’attachent à promouvoir l’égalité fille/garçon, à lutter contre les « stéréotypes de genre », à combattre l’homophobie et même… la « LGBTphobie » ! Ainsi diffuse-t-on sournoisement la théorie du genre à l’école sous couvert d’égalité et de lutte contre les discriminations. On est en train d’insinuer aux enfants – parce qu’il s’agit d’insinuer – que leur corps sexué est une chose, mais que leur genre en est une autre. Aux enfants de comprendre qu’ils ont le choix de leur genre puisque celui-ci serait différent de leur sexe biologique.

    Vous avez lancé la Journée de retrait à l’école. Pour quel résultat ?

    Cela a été une réussite. La preuve : grâce à la JRE, les sites officiels et certains documents, comme ceux de la ligne azur, ont été nettoyés. Il n’empêche que les projets demeurent, en particulier là où la résistance est moindre. Mais la refonte des programmes a été reportée et Peillon n’a pas été reconduit dans le nouveau gouvernement. C’est une petite victoire, mais une victoire quand même, au moins symbolique. Quand un ministre déclare peu ou prou que l’Etat est propriétaire des enfants au travers de l’Education nationale, tous les gens de bon sens, et pas seulement les Catholiques et les Musulmans, devraient se révolter ! Malheureusement, beaucoup parmi nos compatriotes sont complices du gender même quand ils prétendent le combattre.

    Vous n’avez pas rencontré le soutien que vous escomptiez ?

    C’est le moins que l’on puisse dire. A l’exception de quelques personnalités comme Alain Escada – de Civitas -, Béatrice Bourges ou Christine Boutin, tout le monde s’est dégonflé après les premiers encouragements. A commencer par la Manif pour tous dont les instances dirigeantes nationales m’ont empêché de prendre la parole lors de la manifestation du 2 février dernier à Lyon. Des consignes pour ne pas soutenir nos actions ont été données aux comités locaux et aux comités Vigi-gender qui en sont l’émanation. Il paraît que je sentirais la poudre du fait de mon appartenance – totalement fantasmée ! – à l’extrême-droite. Mais même le FN a refusé de se solidariser avec nous. En quoi la JRE est-elle radicale ? J’ai même interdit les rassemblements publics pour éviter tout débordement. La JRE, c’est tout simplement des parents qui gardent leurs enfants à la maison une journée par mois. C’est radical ? Le fond du problème, c’est que, comme la marche des Beurs a été une arnaque du Parti socialiste en direction des quartiers populaires, la Manif pour tous a été une manipulation de l’UMP en direction des Catholiques.

    Vous ne pouvez donc compter sur personne ?

    Aujourd’hui, personne ne nous soutient : ni les élites musulmanes, ni le clergé catholique, ni les mouvements de défense de la famille. C’est un comble ! Chez les imams, dans les fédérations de parents d’élèves, le lobby LGBT dicte sa loi. J’ai été invité par l’UOIF au salon du Bourget. Ils m’ont déprogrammé pour finalement me reprogrammer sous la pression de leur base… ce qui m’a permis de découvrir, au cours d’un débat houleux, l’existence d’un lobby LGBT musulman. Je suis tombée de haut !

    Les Musulmans aurait dû davantage s’investir dans la lutte contre les lois « sociétales » et la diffusion de la théorie du genre ?

    Oui, car contrairement à ce qui s’est dit, les Musulmans se sont peu mobilisés. Partout où je suis allée, notamment dans les mosquées dont on me ferme aujourd’hui les portes, je les ai culpabilisé sur cette question en leur expliquant que, s’ils s’étaient mobilisés en masse avec les Catholiques, la loi Taubira aurait été retirée. Même chose, dans l’autre sens, pour le gender. Comprenez-moi bien : je n’ai aucune chapelle à défendre. Je sais juste que les enfants sont en danger, en particulier ceux des quartiers populaires qui sont les plus vulnérables et qui servent aujourd’hui de cobayes à une expérimentation qui sera bientôt généralisée partout. Et personne ne se lève pour s’opposer à ce scandale, personne ne veut faire le boulot ! Certains apparaissent dans les médias pour avoir une audience institutionnelle qui leur donne le sentiment d’exister. Ils se font instrumentaliser et ils ne s’en rendent pas compte. C’est grave ! Cessons de bavarder et agissons.

    Quel avenir pour la JRE ?

    La prochaine aura lieu le 12 mai et, je vous l’annonce, elle sera spectaculaire. La suivante, qui sera aussi la dernière sous cette forme, est programmée en juin. Nous lancerons à cette occasion des assises nationales pour la création de la Fédération autonome de parents d’élèves courageux, la Fapec, qui ne sera pas une fédération de parents d’élèves comme les autres. Grâce à la Fapec, entre autres actions, nous formerons les parents à la méthode syllabique et à l’enseignement explicite. Nous organiserons également des initiatives autour du thème de l’alliance : entre l’homme et la femme, entre les classe sociales, entre le ciel et la terre. J’ai également créé une maison d’édition destinée aux enfants pour lutter contre la diffusion du gender. Notre premier livre vient de paraître (Papa porte un pantalon et maman porte une robe, éditions Reid, 15 euros).

    Il n’y aura donc plus de JRE ?

    Pas sous la forme qu’elle a prise cette année. Elle reviendra à la rentrée de septembre, mais sous forme d’actions ponctuelles et sous l’égide des comités Fapec locaux. Il faut se rendre compte de ce que les parents, qui ont participé à la JRE, ont subi. Que l’on me diabolise, je m’en fiche totalement. Mais, pour les parents, c’est une expérience éprouvante, voire traumatisante. Il faut beaucoup de courage et de ténacité pour résister à la pression de l’appareil d’Etat, des médias et des associations de parents d’élèves. Pensez que même les associations catholiques ne les ont pas soutenus ! C’était pourtant leur intérêt. La JRE est la seule action efficace pour lutter contre la diffusion de la théorie du genre à l’école.

    http://jre2014.fr
    Source: Politique Magazine

  • Lampedusa charrie chaque jour son lot de morts : arrêtons net l’immigration !

    Nous ne pouvons plus laisser des migrants mourir dans des conditions dramatiques alors que nous n’avons, par ailleurs, plus rien à leur offrir.   

    Jean Raspail publiait en 1973 son roman Le Camp des saints. Succès jamais démenti, cette œuvre prophétique décrit les conséquences d’une arrivée massive de cargos chargés d’immigrants extra-européens, qui échouent sur la Côte d’Azur. La première édition comportait une citation datée de Jean Raspail, plutôt interrogative quant au futur des flux migratoires. Chaque réimpression de l’ouvrage fut l’occasion, pour lui, de changer cette citation. À mesure que cette arrivée massive de migrants s’intensifiait dans le temps, son état d’esprit évolua. D’abord révolté, il semble aujourd’hui presque résigné. Jean Raspail avoua lui-même s’être trompé sur les modalités de l’« invasion » mais pas sur le fond. Il n’y a jamais eu l’arrivée d’un million de migrants en même temps, mais plutôt une infiltration constante dans le temps.

    Lundi 12 mai 2014, 41 ans après la publication de l’ouvrage, une embarcation chargée d’immigrants clandestins s’est échouée au large de l’île de Lampedusa en Italie. La marine italienne a pu sauver près de 200 personnes de ce naufrage, mais certains n’ont pu en réchapper. Des morts qui s’ajoutent à une triste liste de kamikazes sacrifiés au nom d’un rêve biaisé et destructeur. Déjà, le 3 octobre dernier, 350 migrants avaient péri près de Lampedusa. Nos bonnes âmes s’en émeuvent à chaudes larmes dès qu’on leur tend un micro ; ils sont pourtant les premiers responsables de ces malheurs.

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