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lobby - Page 1950

  • Victime d’un récidiviste, Sylvia Peromingo lance un appel contre la réforme pénale de Taubira

    30/10/2014 – PARIS (NOVOpress)Sylvia Peromingo avait été victime d’un viol sauvage avec arme. Son agresseur avait été condamné à 10 ans de prison, il a été relâché après 4 ans et 4 mois.
    Il a alors récidivé rapidement, mais cette fois-ci en allant jusqu’à tuer Natacha Mougel : “enlèvement”, “séquestration avec actes de torture et de barbarie”, et “homicide volontaire”. Son procès pour ce meurtre a eu lieu en janvier 2014.

    Sylvia Peromingo participe a une campagne de l’Institut pour la justice contre la réforme pénale encore plus laxiste lancée par Christiane Taubira. Devant l’impopularité de cette réforme le gouvernement a prudemment renvoyé l’examen de cette loi par l’Assemblée Nationale à mi-avril 2014, après les élections municipales.
    Le formulaire pour contacter votre député dont il est est question dans la vidéo est ici.

    Contre la réforme pénale du gouvernement from Institutpourlajustice on Vimeo.

    Le formulaire pour contacter votre député est ici.

    http://fr.novopress.info/161067/victime-dun-recidiviste-sylvia-peromingo-lance-appel-contre-reforme-penale-taubira/

  • L’idéologie du contrat social contre l'identité

    Dans Valeurs Actuelles, Guillaume Bernard dénonce la nouvelle interdiction de s'affirmer "Français de souche"

    "Nier l’existence des Français de souche revient à couper la société de son passé et à prétendre que la nation recommence à chaque génération : c’est adhérer à l’hypothèse selon laquelle le corps social n’est qu’une construction artificielle. Pour l’idéologie contractualiste, le corps social n’a pas d’identité propre dépassant les citoyens l’incarnant à un moment donné ; l’identité du tout n’est que le résultat de la juxtaposition des cultures particulières présentes sur son territoire. Par conséquent, le multiculturalisme regarde toute exigence d’assimilation culturelle des immigrés comme infondée. Au nom de l’égalitarisme, l’intégration est désormais perçue comme un processus à double sens, un compromis réciproque entre les étrangers et les nationaux. Les plus récemment venus pourraient légitimement transtransformer la culture de la société qui accepte de les accueillir. La situation devient ubuesque : plus les membres d’une communauté dérogent à l’identité générale, plus ils revendiquent fortement le fait d’être des citoyens comme les autres.

    Auparavant, les étrangers étaient invités et aidés à se convertir aux coutumes nationales ; désormais, c’est aux hôtes porteurs de la tradition culturelle autochtone de modifier leurs habitudes pour permettre aux personnes reçues de maintenir leurs pratiques exogènes. C’est la fin du modèle assimilationniste (républicain !). La culture française n’a plus la préséance et les Français enracinés (qu’ils soient ou non “de souche”) ne sont plus considérés comme les référents culturels. La France se voit contrainte d’abdiquer ses codes socioculturels pour permettre l’inclusion de toute identité présente sur son territoire. Plus d’identité de référence dans laquelle les nouveaux venus devraient se fondre : voilà la culture française dénoncée comme un obstacle à l’intégration… à la France !

    Dans ces conditions, l’intégration des immigrés confine à la désintégration de l’identité nationale. Comment, dès lors, s’étonner de la montée de l’inquiétude identitaire ? Celle-ci ne traduit pas le rejet de l’autre (en tant qu’il est différent), mais le refus d’une dépossession de soi et de devenir autre chez soi. Sur le territoire de la France ont vécu et sont morts 15 milliards d’hommes. Que représentent, face à eux, les 65 millions d’actuels Français et, parmi eux, les 12 millions qui ont une ascendance étrangère ? Si certains avaient la prétention de modifier l’identité de la France, celle-ci ne serait-elle pas en état de légitime défense ?"

    Michel Janva

  • Collabos

    Scène surréaliste décrite par Maxime Tandonnet, qui s'est déroulée le jour de la circulation alternée :

    "Scène hideuse, mais rigoureusement authentique. Hier, soir, l’une de mes amies en était encore bouleversée. Médecin, elle circulait dans Paris pour aller soigner un patient. Manque de chance, sa plaque d’immatriculation se terminait par un numéro pair et elle se trouvait donc en infraction avec la règle de la "circulation alternée" contre la pollution. Soudain, un petit bonhomme en vélo se lance à sa poursuite, jaillit devant elle et bloque son véhicule. Un autre vélo le rejoint. Tous deux l’empêchent de repartir, l’agonisent d’injure. Apercevant une patrouille de policiers, ils hèlent les fonctionnaires en montrant du doigt la plaque d’immatriculation de ma copine en infraction. Celle-ci portant un caducée sur son pare-brise, elle s’est expliquée et n’a pas été verbalisée. On ne peut pas s’empêcher de se demander face à ce genre de comportement: en d’autres temps et en d’autres circonstances (sous une dictature, pendant une révolution sanglante), qui auraient-ils dénoncé ?… La politique se montre en ce moment sous ses aspects les moins nobles, mais la société civile, ou une partie d’entre elle, n’est pas beaucoup moins vicieuse."

    Michel Janva

  • La morale est un gros mot, sauf quand il s'agit de censurer des idées

    Alors que plusieurs candidats inquiétés par la justice ont été réélus dès le premier tour des municipales, Philippe Bilger relève que notre société a paradoxalement une exigence éthique à l'égard des idées et non des comportements :

    "Le délitement de la liberté d'expression en France, voire son saccage délibéré par des instances et des autorités qui devraient se faire un honneur d'au moins la sauvegarder ont constitué le royaume des idées non plus comme la possibilité infinie et contradictoire d'échanges pluriels mais pour un ghetto où tout propos devra être labellisé éthiquement, toute phrase, tout écrit moralement validés. Le paradoxe, donc, est que ce qui aurait dû échapper à la vertu de l'âme, parce que l'intelligence est critique, multiforme et n'a de comptes à rendre qu'à elle-même ou à la loi quand celle-ci n'est pas équivoque, y est soumis au contraire. L'idée aurait le devoir d'être bonne avant d'être juste ou lucide.

    Les comportements, à rebours, dont l'éthique devrait être le sang qui les irrigue et la force qui les anime, ont toute latitude pour se conduire comme ils le souhaitent et on se garderait bien de leur appliquer une grille rigoureuse qui porterait atteinte à leur déplorable impunité. On n'a pas le droit, en politique ou en culture, de penser comme on veut mais se comporter comme un malappris, pour rester poli, est autorisé et même, en certains cas, recommandé.

    Au fond, on a moralisé la pensée et banalisé l'action.

    (...) On constate qu'au nom de la présomption [d'innocence] pourtant souvent mise à l'épreuve, Nicolas Sarkozy continue à être le préféré de l'UMP, que Stéphane Richard est choisi par le Conseil d'administration d'Orange et que d'autres s'avancent sans trop d'angoisse car ils n'ignorent pas que la justice est lente et que même condamnés, le peuple qui a des raisons que la morale ne connaît pas les tirera de la nasse.

    C'est déprimant. La morale est un gros mot en France.

    Pourtant, malgré mon pessimisme, je continue à espérer qu'un jour, les élections seront d'abord un moyen de "faire la morale" à ceux qui réclameront nos suffrages. Pourquoi pas dimanche prochain ?"

    Louise Tudy

  • La situation en Ukraine et les sanctions contre la Russie attisent les tensions internationales

    La situation en Crimée (photo de sa capitale, Simferopol) est désormais stabilisée. La péninsule russe rattachée à l’Ukraine en 1954 est retournée à la Russie. La marine et les troupes ukrainiennes présentes en Crimée ont été désarmées sans incidents.

    L’intérêt se porte désormais sur le traitement réservé aux populations russes et russophones en Ukraine

    Alors que des journalistes russes sont régulièrement agressés en Ukraine, le tribunal régional de Kiev a ordonné la suspension du droit de diffusion de quatre chaînes de télévision russe en Ukraine. Les opérateurs des réseaux par câble ont déjà coupé les lignes de ces médias. Moscou a annoncé en début de semaine détenir les preuves de persécutions contre les populations russes en Ukraine par des « Ultranationalistes ». Le 20 mars, l’Organisation des Nations unies avaient déjà établi de nombreux cas de persécutions de ce genre. L’Ukraine, de son côté, proteste contre la concentration de troupes russes à ses frontières.

    Les Etats‑Unis et l’Union européenne privilégient les sanctions économiques et politiques. Des sanctions qui ne font pas l’unanimité

    Notamment en Allemagne. Selon l’ancien chancelier allemand social‑démocrate Helmut Schmidt, les sanctions et l’annulation de la réunion du G8 en Russie, désormais exclue de ce groupe, sont des « foutaises ». Par ailleurs, Helmut Schmidt a déclaré que la politique de Vladimir Poutine en Crimée était « compréhensible » et que si la situation en Ukraine était dangereuse, la réaction des pays occidentaux n’a pas été la bonne.

    Enfin, les sanctions contre la Russie ne semblent pas avoir préoccupé le groupe allemand Siemens. Son président‑directeur général était hier à Moscou et a rappelé vouloir renforcer la coopération de son groupe avec la Russie, notamment Gazprom.

    http://fr.novopress.info/161028/situation-en-ukraine-les-sanctions-contre-russie-attisent-les-tensions-internationales/#more-161028

  • Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    28/03/2014 – BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux)
    Le tract ci-dessous annonçant l’exposition est très clair : « À l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle exposition du Carré des 3 – 6 ans destinée aux petits, Cap Sciences vous propose une journée spéciale enseignants de présentation de l’exposition et de son atelier (…) cette exposition invite les enfants à faire des choix d’activités, de comportements, de postures et d’attitudes selon leurs envies et leurs intérêts en dépassant les stéréotypes liés au sexe ».

    Comme le précise le document, « cette exposition s’adresse aux PS, MS et GS » [petite, moyenne et grande sections de maternelle]. Dans l’activité « Le méli-mélo des rencontres », les enfants sont amenés à « trouver des « paires d’amis » en fonction de leurs affinités » et à s’exprimer « au-delà des codes du genre. »

    Les partenaires de cette exposition sont la région Aquitaine, le Conseil Général, la CUB (Communauté Urbaine de Bordeaux), l’académie et la mairie de Bordeaux.

    En janvier dernier, le ministre de l’éducation nationale, niant la réalité de l’application de cette théorie dans l’Éducation nationale déclarait : «  Il y a un certain nombre d’extrémistes qui ont décidé de mentir, de faire peur aux parents. Ce que nous faisons à l’école, c’est uniquement enseigner les valeurs de la République ». Le 29 janvier dernier, Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, rajoutait : « il n’y a aucune théorie du genre qui est développée dans les écoles primaires de France ». Vraiment ?

    Bordeaux : La propagande du genre enseignée aux enfants de maternelle !

    http://fr.novopress.info/160997/bordeaux-propagande-du-genre-enseignee-aux-enfants-maternelle/#more-160997

  • Le statut du faux-parent bientôt à l'Assemblée ?

    D'après l'Express, le gouvernement prévoit l'examen d'un texte sur "l'homoparentalité et le statut du beau-parent" à l'Assemblée entre fin mai et fin juin. Ce qui confirmerait que le gouvernement n'a pas cédé mais seulement reporté sa "loi famille", expurgée de l'article ouvrant la PMA aux lesbiennes.

    un texte à l'Assemblée sur l'homoparentalité et le statut du beau-parent,
    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/pacte-de-responsabilite-justice-famille-le-calendrier-de-hollande_1503011.html#MrcFD3VvLs04h77A.99

    Louise Tudy

  • La journée de retrait des écoles prévue ce 31 mars reçoit le soutien des infirmières et médecins catholiques

    acim-MPI

     

    Nous recevons le communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins en soutien à la Journée de Retrait des Ecoles prévue pour ce lundi 31 mars.

     

    Communiqué de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins, le 28 mars 2014

    Le gouvernement du président Hollande veut nous faire croire que la théorie du genre n’existe pas et qu’elle n’est pas imposée à nos enfants. Il s’agit d’un gigantesque mensonge identique à celui qui prétend que la courbe du chômage est sur une pente descendante. Or que cela soit les « études » ou la «  théorie »,  le gender est expérimenté et propagé aux écoliers en bas âge et jusque dans les universités au nom de la lutte contre « l’homophobie ». Nos enfants sont donc devenus des cobayes.

    Rappelons que la théorie du gender prétend que le sexe qui nous est donné par la nature est optionnel. Il appartient à chacun de le déterminer en fonction  de ses désirs dès le plus jeune âge. Or biologiquement le sexe est déterminé par les chromosomes XX pour la femme et XY pour l’homme. Vouloir manipuler les chromosomes est létal c’est-à-dire entraîne la mort.

    La logique est que celui qui veut changer de sexe doit se soumettre à des mutilations effroyables. Imagine-t-on ce que c’est chirurgicalement que de transformer une femme en homme et inversement. Le tout suivi de prise d’hormones durant toute la vie avec les complications que cela entraîne sur le plan médical ;  sans compter la diffusion dans la nature de produits hormonaux qui modifie tout l’équilibre écologique de la planète.

    Pour cette folie biologique, dans tous les cas, le médecin sera sollicité : pour le bricolage chirurgical, pour les troubles psychologiques ou psychiatriques entraînés par ces modifications, pour les désordres médicaux  causés par l’hormonothérapie..

    Notre devoir de médecins, de soignants et de parents est de mettre en garde contre l’application du gender dans notre société par un gouvernement qui n’écoute personne, mené par une idéologie de mort. Nos enfants en bas âge seront  alors les premières victimes.

    Face à cela nous sommes désormais en état de légitime défense. Il est plus que temps de réagir contre cet attentat à la nature avec les moyens que nous avons.

    L’Association Catholique des Infirmières et Médecins demande à tous les parents craignant pour leurs enfants de se joindre à la Journée de Retrait des Ecoles organisée ce 31 mars et de ne pas envoyer leurs enfants à l’école publique ce lundi.

    Dr Jean-Pierre Dickès, président de l’ACIM

    http://medias-presse.info/la-journee-de-retrait-des-ecoles-prevue-ce-31-mars-recoit-le-soutien-des-infirmieres-et-medecins-catholiques/8067