Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1952

  • Répression policière devant le Grand Orient

     

    Les Sentinelles, postées la nuit dernière devant le Grand Orient de France, rue Cadet à Paris, disent avoir été expulsées avec une rare violence :

     

    "Alors que des Sentinelles étaient paisiblement alignées sur un trottoir, sans gêner l'ordre public, les forces de l'ordre sont intervenues violemment et sans sommation pour les expulser.

    GODF 0

    Une jeune fille raconte avoir parlé à un policier : «Monsieur nous sommes debout sur un trottoir face à un bâtiment privé, nous ne gênons personne, vous devez nous donner un motif !», le policier aurait alors sorti une très habituelle réponse : «Ce sont les ordres».

    Un autre témoin de la scène explique que les CRS, déjà présents sur place, sont intervenus au bout de 3 minutes, avec une rare violence. «Ils ont chargé pour repousser tout le monde, en attrapant certains et en les portant. Un homme a été poussé brutalement contre une terrasse de café, renversant une table et brisant des verres».

    Une autre Sentinelle, qui résistait en restant sur place aurait été étranglée et entrainée de force plus loin dans la rue. Une autre jeune fille, pourtant habituée à veiller debout, raconte avoir eu «vraiment peur» et n'avoir jamais vu une réaction aussi brutale contre les Sentinelles ; elle parle également de «quelques coups gratuits» donnés par les CRS.
    Une réaction des forces de l'ordre disproportionnée et étonnante, qui laissait pensait qu'une personnalité se trouvait à ce moment là à l'intérieur.

    Quelqu'un nous explique : « Nous veillons pour protester non pas contre l'existence de la franc-maçonnerie mais contre le fait qu'elle soit secrète tout en prétendant construire l'avenir de notre société, de notre collectif... Agir masqué est déloyal vis-à-vis de la collectivité. Nous demandons la transparence et le fait que l'on puisse accéder aux listes des membres de ce réseau. (...) Si la franc-maçonnerie fonctionne comme un lieu de pouvoir, alors elle doit rendre des comptes et notamment donner des noms. »"

    D'autres Sentinelles, qui veillaient Place Vendôme, ont également été expulsées.

    Vendôme 0
    Vendôme 1

    Louise Tudy

  • Les millions de la Grande Loge Nationale Française

    finances-GLNF-MPI

     

    Que la franc-maçonnerie dispose de puissants moyens financiers, cela n’étonnera personne. Mais disposer de chiffres précis est assez intéressant.

     

    Le « Souverain Grand Comité » de la GLNF (Grande Loge Nationale Française) se réunissait hier 14 mars pour approuver les comptes et les réformes statutaires de l’obédience maçonnique.

     

    « Nous allons sans doute avoir pendant trois ou quatre ans un déficit de quelques centaines de milliers d’euros, a fait savoir Jean-Pierre Servel, « Grand Maître » de la GLNF. Mais nos réserves sont à un niveau tel que nous n’avons pas de soucis à nous faire. »

     

    Fin 2009, cette obédience comptait 43 500 membres mais après des années de luttes internes, il en resterait aujourd’hui 25 000.

     

    Les documents remis aux délégués qui se réuniront en AG le 12 avril à La Défense ont déjà fuité sur le net. On y apprend que les cotisations ont rapporté 9,74 M€ (exercice 2012-2013), ce qui reste un joli pactole mais bien moindre que les 17 M€ de l’exercice 2008-2009.

     

    Mais ce sont les réserves (valeurs mobilières de placement et comptes bancaires) qui méritent attention : 16,2 M€ en 2013. Et l’actif immobilisé se monte à la rondelette somme de 24,9 M€.

    http://medias-presse.info/les-millions-de-la-grande-loge-nationale-francaise/7546

  • Éléments de langage et lapsus : le gouvernement aphone !

    Benoît Hamon soutient sa sorcière de tutelle, Christiane Taubira, qui se serait un peu trompée de dates. Lapsus ou simple rattrapage ?
    Grâce à la bande dessinée, puis au film Quai d’Orsay, le terme « éléments de langage » a fini par passer dans le… langage courant. Et, comme nos politiciens et politiciennes ont délocalisé leurs prérogatives régaliennes chez les instances européennes, il ne leur reste plus, en lot de consolation, que le ministère de la Parole.
    Mais cet art est fait d’esquives et de subtilités. D’où les lapsus linguae à répétition de l’actuel gouvernement. Là, les définitions du Petit Robert (édition 2007) et de Wikipédia se recoupent, à cette différence près que celle de l’encyclopédie en ligne, pour une fois, est plus pertinente que celle de son homologue de papier : « Un lapsus est une erreur commise en parlant, en écrivant, par la mémoire ou par les gestes et qui consiste, pour une personne, à exprimer autre chose que ce qu’elle avait prévu d’exprimer, notamment en substituant à un terme attendu un autre mot. » Art délicat dont on peut dire, en la matière, que l’actuel gouvernement n’excelle pas et qui lui permet, à son corps défendant, de livrer le fond de sa pensée, de dire ce qu’il ne voulait pas forcément avouer ; lapsus, donc.
    Lire la suite

  • 18 mars, soutien aux victimes de la répression au Trocadéro

     

    T

     

    Le Printemps Français, en lien avec Solidarité pour Tous et le Collectif des Avocats contre la Répression Policière et idéologique (CARP), appelle à manifester.

     

    Dans un climat politique empuanti par les cahuzaqueries de Valls, Taubira et Hollande, la France découvre avec indignation qu’un militant contre la dénaturation du mariage a été condamné mardi 11 mars 2014 à 18 mois de prison dont 6 mois ferme et une interdiction d’exercer sa liberté d’expression (privation du droit de manifester sous contrôle policier). Dans la même semaine, trois militants ont été informés de leur mise en examen à la suite de leur participation à la Manif pour tous du 26 mai 2013 à Paris. Quelques jours plus tôt, une étudiante russe de 17 ans, de parents naturalisés français, révélait avoir été l’objet d’une invraisemblable manipulation policière pour l’obliger à espionner les Veilleurs et à dénoncer ses camarades opposants à la loi Taubira, sous peine de se voir refuser sa propre naturalisation et risquer ainsi l’expulsion. Cette tentative sordide rejoint la mise en examen de Guillaume de Thieulloy, le directeur de publication du Salon Beige, coupable aux yeux du pouvoir d’avoir publié un photomontage caricatural au printemps 2013. Jamais au cours de la Vème République la répression politique n’avait atteint de tels bas-fonds.

     

    Nous ne sommes pas dupes !

     

    Il existe une volonté manifeste, rageuse et obstinée de casser par la violence publique le dynamisme dont fait preuve la société civile dans la défense du mariage, de la famille et de la vie. Le régime est aux abois et ne dissimule même plus ses attaques contre les droits fondamentaux et la liberté d’opinion. Il veut faire payer sa défaite sur la loi famille et empêcher toute nouvelle mobilisation de masse contre sa politique à la veille du dépôt d’un projet de loi sur l’euthanasie.

     

    Face à ces dérives extrêmement graves, le Printemps Français, Solidarité pour Tous et le CARP, en lien avec tous les mouvements d’opposition au mariage unisexe, à l’idéologie du genre et à la politique de François Hollande, appellent à une manifestation le mardi 18 mars 2014 à 19h30 sur l’esplanade du Trocadéro. Venez avec vos drapeaux, vos logos, vos sifflets !

    Michel Janva

  • A Montreuil, un square portera le nom du fondateur d'une revue homosexualiste et pédophile

    ... et des enfants y joueront. Dominique Voynet va inaugurer samedi à Montreuil, en présence de tout le gratin homosexualiste, un square Jean Le Bitoux, du nom du fondateur homosexuel de la revue Gai Pied. Média Presse Info fait à cette occasion un intéressant rappel historique :

    "Cette publication [dont le premier numéro a été imprimé par la LCR] s’inscrit dans une perspective révolutionnaire. La révolution sexuelle est perçue comme un moyen de subvertir entièrement la société. Il y est question d’homosexualité mais aussi de pédophilie. Selon les termes de l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu, le discours selon lequel « les enfants ont aussi droit à la sexualité » trouve à l’époque une niche « à l’ombre des mouvement alternatifs, de l’antipsychiatrie et du militantisme homosexuel. Du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR) créé en mars 1971, au magazine Le Gai Pied lancé en février 1979, tous réclament, avec Michel Foucault, la reconnaissance des « sexualités périphériques ». » En 1975, Daniel Cohn-Bendit publie Le Grand bazar dans lequel un chapitre, « Little big men », est consacré à la« sexualité des enfants ». En 1976, René Schérer et Guy Hocquenghem dirigent un numéro de la revue Recherches sur l’enfance et l’éducation, « soutenu notamment par Michel Foucault et François Châtelet [et qui] marque sans doute l’apogée de ce type de discours » intellectuel sur la pédophilie et l’hébéphilie. En avril 1978, invité avec Guy Hocquenghem de l’émission Dialogues sur France Culture, Michel Foucault dénonce le cadre juridique qui « vise à protéger les enfants en les confiant au savoir psychanalytique », à nier l’existence de leur désir sexuel et à postuler la sexualité avec les adultes comme dangereuse pour eux.

    Gai Pied publiera des annonces explicites qui relèvent de la pédophilie.

    En 1987, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur de l’époque, décide d’interdire Gai Pied Hebdo. Mais le lobby homosexuel mobilise ses relais politiques et François Léotard, qui est à l’époque ministre de la Culture, intervient pour sauver cette publication qui disparaîtra finalement en 1992.

    C’est dans les locaux de Gai Pied que se trouve le siège d’Act Up Paris."

    Louise Tudy

  • L'UDI croit encore au "front républicain"

    Quitte à faire gagner la gauche, Yves Jégo indique :

    "Au soir du premier tour, l'UDI va d'abord mettre une frontière infranchissable avec le FN".

    "Nous allons respecter à la virgule près le front républicain: partout où il y a un risque de maire FN, l'UDI s'engagera vis-à-vis de la liste d'en face, y compris une liste PS". "Si des alliés sont moins clairs que nous, nous quitterons ces alliances".

    Yves Jégo s'est déjà allié avec le PS en votant la loi Taubira. Le front de laa culture de mort existe bien.

    Michel Janva

  • « Scènes de guerre » à Behren-lès-Forbach : gendarmes blessés, pompiers attaqués, mairie prise d’assaut.

    5 gendarmes blessés. Aucune interpellation.

    « Une nuit de violences a laissé d’importants dégâts dans la cité de Behren-lès-Forbach (Moselle) près de Forbach. L’interpellation d’un jeune a provoqué un déchaînement de violences…

     D’après les premiers éléments rapportés par de nombreux témoins, de véritables scènes de guerre urbaine se sont jouées dans la nuit de lundi à mardi dans les secteurs de Forbach et de Behren-lès-Forbach. Les deux villes de Moselle-Est qui sont placées en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) ont du faire face à un vrai déchainement de violence gratuite. Les habitants sont encore sous le choc. C’est avant tout la cité de Behren-lès-Forbach qui a été le théâtre de violences urbaines hallucinantes.(…) La mairie de Behren-lès-Forbach a été attaquée à coups de jets de pierres et cocktails Molotov.(…) Il n’y a eu aucune interpellation cette nuit suite aux violences. »

    Source et suite dans Lor’Actu

    Berhen-lés-Forbach, ville largement peuplée de musulmans, abrite au moins une mosquée radicale avérée, sur les trois mosquées qu’elle compte.

    http://www.contre-info.com/

  • Le triomphe des pires est-il fatal ?

    Depuis Clemenceau jusqu'à Farida Belghoul, l'histoire de France n'est pas un long fleuve tranquille. Est-il encore possible de résister au matérialisme politique ?
    « Rendez à César ce qui est à César, mais tout est à César » disait Clemenceau, que l'on n'a pas nommé pour rien « le Tigre ». À son époque, ce n'était pas tout à fait vrai. Les Français n'étaient pas tout entiers à César. Il y avait 25 % de pratiquants. L’Église gardait partout une sorte de respectabilité, qui lui permettait de demeurer le signe de ralliement moral qu'elle devait être. Cette situation a perduré jusqu'au début des années 1960.
    Au total donc, César n'avait pas de morale, mais Dieu restait suffisamment présent, les coutumes suffisamment prégnantes pour que demeure un pacte national, fondé sur une véritable ressemblance entre tous les Français. Ainsi le respect de la vie et la promotion de la famille demeuraient des impératifs fondamentaux pour les chrétiens comme pour ceux qui ne l'étaient plus.
    Lorsque François Hollande arrive au pouvoir en mai 2012, la situation spirituelle de la France est totalement différente. Et là, on aurait pu penser que la formule de Clemenceau se vérifiait totalement. La République est une démocratie très particulière et le jeu du contrat social allait pouvoir jouer à plein, par lequel un président de gauche représentait la France, toute la France. Les Partis en présence (UMP en décomposition interne ou FN en dédiabolisation permanente) ne pouvaient pas vraiment exercer un contre-pouvoir. Le fantasme d'un législateur absolument détaché de toute morale et agissant dans une perspective de pur individualisme selon la loi d'airain des Marchés et les diktats de ceux que Jacques Attali appelle les hypernomades - la Upper class mondiale - semblait pouvoir triompher dans la réalité. Certes l'Elysée n'est plus, tant s'en faut aujourd'hui l'unique centre de pouvoir. Le Président donne plutôt l'impression d'être en campagne électorale permanente. Mais l'Elysée pouvait rentrer à plein dans la dynamique de la mondialisation et rien ni personne ne s'y opposerait. La vie humaine allait enfin être gérée, sans tabou : expériences sur les embryons, cocktail létal à volonté pour ceux qui coûtent cher à la collectivité sans rien lui rapporter, droit de vie et de mort donné à la femme sur sa progéniture. En avant pour le Meilleur des mondes ! Il s'agit bien d'un changement programmé de civilisation.
    Trouver la France
    Dans ce contexte, les quatre manifestations monstres de 2012-2013 contre le mariage homosexuel et la cinquième, cette année, contre la théorie du genre ont été le grain de sable capable d'enrayer la machine. Une fois de plus, les faiseurs de plan en seraient pour leurs frais : la France n'était pas là où l'on escomptait qu'elle soit. On la trouvait là où l'on avait oublié qu'elle était : la France française, blanche et chrétienne existait encore.
    En revanche, l'islam, tout aussi opposé au mariage homosexuel, a très peu manifesté cette opposition. Les grands imams, loyaux à la République et souvent maçonnisés, tenus par les subventions qui font sortir de terre leurs mosquées, ont gardé le silence. Quant aux populations immigrées, elles n'ont sans doute pas eu suffisamment de conscience nationale, pour se joindre à une manifestation nationale. La riposte n'a donc pas eu toute la force qu'elle aurait pu avoir. Les démarches de Frigide Barjot vers l'UOIF, trop immédiatement médiatisées, ont manqué d'efficacité : elle n'a pas cherché à atteindre l'islam réel, en allant immédiatement aux imams représentatifs des populations.
    La démocratie perdue
    Si les choses en restent là, on peut penser que pour faire passer leurs lois anti-vie, nos législateurs, peu soucieux de susciter de nouvelles manifestations, n'ont plus qu'à éviter le débat démocratique, en procédant par les décrets de circulaires administratives plutôt que par un vote. Le processus semble bien enclenché à propos de l'euthanasie. Le Conseil d’État est l'organe dont les circulaires ont la plus grande autorité. Il pourrait être la clé de voûte d'un dispositif purement juridique, permettant d'avaliser ou de faire avaliser une loi sur l'euthanasie, en prenant d'abord des voies qui ne seraient pas celles du suffrage (trop risqué), mais encore et toujours celles de l'administration. Au moment où nous écrivons, rien n'a filtré des décisions prises dans l'affaire Vincent Lambert. Il faudra sans doute l'autorité de la chose jugée, s'additionnant à l'autorité législative, pour faire passer sans trop de casse des dispositions sur la gestion rationnelle de la fin de vie et sur le permis de tuer. On aura ainsi contourné la démocratie au nom des institutions de la République.
    C'est dans ce contexte que s'inscrit l'action de Farida Belghoul autour des Journées de Retrait de l'Ecole (JRE). Ayant accès aux populations issues de la Diversité, elle a mené à bien deux éditions de cette grève mensuelle de l’École, organisée pour protester contre la manière dont on impose, là aussi par voie administrative, l'enseignement du genre en Primaire, à travers les modules « expérimentaux » de l'ABCD de l'égalité. Outre son talent (son « abattage » comme dit un de mes amis), il y a la pureté de son entreprise. Et il y a l'intérêt qu'elle suscite chez les musulmans de France... Et si Farida représentait la première réaction des musulmans contre la culture de mort que l'on est en train de nous imposer à tous ? Est-ce qu'il n'y a pas là une clé de l'avenir ? Une hirondelle certes ne fait pas le printemps. Mais, au point où nous en sommes, face à la morgue des élites, plutôt que de s'enfermer trop vite dans une contre-culture en fermant les écoutilles, pour, de nouveau vivre dans ce Pays comme des « émigrés de l'intérieur », ne faut-il pas essayer de voir si un réveil spirituel des musulmans de France (agissant en dehors de leurs structures maçonnisées) n'est pas un dernier moyen à notre disposition, face au triomphe du pire et des pires - face à ce que l’Épître aux Hébreux appelle « l'empire de la mort »?
    Alain Hasso monde & vie 25 février 2014