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lobby - Page 1992

  • Livre: La République des censeurs

    Livre: La République des censeurs
    De nombreux conflits en France sont « identitaires », par exemple sur l’Islam, le communautarisme, le sionisme et l’anti-sionisme, le racisme-sexisme-homophobie. Un des facteurs qui alimente ces conflits est que la notion de liberté d’expression et la séparation correcte privé-public n’est que très rarement comprise et encore plus rarement défendue. On aboutit à un climat généralisé de dénonciation mutuelle et une montée des antagonismes entre communautés.
    Cet ouvrage passera en revue, en les critiquant, les arguments en général avancés pour justifier la censure. Il montrera également qu’aucun critère ne peut être appliqué de façon impartiale (il est facile de donner des exemples de propos « scandaleux » proférés par de grands penseurs et qui sont en pratique non censurables). On tombe inévitablement dans le « deux poids, deux mesures », ce qui ne fait que renforcer la frustration de ceux qui estiment ne pas pouvoir d’exprimer.
    La loi Gayssot sera également abordée dans son caractère exceptionnel, et par conséquent absurde (aucun autre propos sur l’histoire n’est censuré). Elle entraîne des peines de prison effectives et de nombreux abus: Gollnisch par exemple a été poursuivi et suspendu d’enseignement pendant 5 ans pour des propos qui n’avaient rien de « révisionniste », ce qui a d’ailleurs été reconnu par la Cour de Cassation.
    La « lutte contre l’antisémitisme » sert de modèle si on peut dire pour d’autres « luttes »: contre le racisme, le sexisme, l’homophobie, ou l’islamophobie. Comme il n’existe pas de lois explicitement discriminatoires en France (aujourd’hui, contrairement au passé ou à d’autres pays), on ne peut pas « lutter » pour les abolir.
    Ces luttes par conséquent ne peuvent plus viser qu’à changer les mentalités (qui sont, bien sûr, le siège de nombreux préjugés). Mais, comme cela n’est pas simple à réaliser, ces luttes reviennent en pratique à « dénoncer » publiquement les propos jugés scandaleux ainsi que leur auteurs, sans jamais débattre réellement du contenu des propos en question ni accorder le droit à la défense aux auteurs diabolisés.
    Tout cela crée un climat généralisé de dénonciation, qui tourne souvent à la farce, et dont on peut sérieusement douter qu’il contribue de quelque façon positive que ce soit à l’évolution des mentalités.
    Notes
    Jean Bricmont
    Professeur de physique théorique et mathématique, Université de Louvain, Belgique. Auteur de plusieurs articles sur Chomsky, co-directeur du Cahier de L’Herne n° 88 consacré à Noam Chomsky. Il a publié notamment avec Alan Sokal Impostures intellectuelles (1997), À l’ombre des Lumières avec Régis Debray (2003) et Impérialisme humanitaire (2005).
    Publiés à L'Herne :
    Chomsky (Cahiers)
    Raison contre pouvoir, le pari de Pascal (Carnets)

  • Monsieur Peillon, si l’on parlait de l’absentéisme des profs ?

    Le mammouth crève de son obésité, incapable de se remuer, tout juste apte à écraser ce qui s’évertue à bouger sous ses pattes.

    Il y a fort longtemps déjà, avant l’invention de la pilule, un éminent obstétricien avait coutume de dire qu’il existe une profession où les gens maîtrisent à merveille la contraception : les enseignants. En effet, assurait-il, à de très rares exceptions près, les enseignantes n’accouchent jamais durant les vacances d’été, mais dans les deux mois qui précèdent ou ceux qui suivent.

    Les professeurs remplaçants vous confirmeront tous la chose : la titulaire accouche début mai et revient le jour de la sortie des classes pour sa « reprise » après le congé maternité… juste avant les vacances. Quant au remplaçant – si les choses n’ont pas changé –, n’étant pas en poste à la veille des congés, il ne sera pas payé durant l’été. C’est l’une des raisons qui font que lesdits remplaçants, taillables, corvéables et surtout déplaçables à merci, sont si difficiles à trouver.

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  • Ces excités du féminisme et du genre

    Billet d’humeur et un tant soit peu misogyne de Claude Picard
    Nous avons eu les suffragettes, nous avons maintenant les Femen, une espèce de féministes new-look, enragées (dérangées) et provocatrices. Elles manifestent le torse nu et les seins bien en évidence ; ce qui n’est pas désagréable à regarder, car ces jeunes femmes ne sont pas des « boudins » mais plutôt des jolies filles. Leurs démonstrations, la plupart du temps, ne sont pas forcément dirigées contre un machisme ambiant hypothétique ; elles préfèrent prendre pour cible la politique ou la religion. Surtout la religion catholique. Rarement la religion musulmane, dont elles ne dénoncent jamais les dérives sectaires. Courageuses, mais pas téméraires !
    Ces charmantes jeunes femmes peuvent être de véritables furies monomaniaques, particulièrement vulgaires et inefficaces : pisser en public devant une église – pas dans une mosquée, ni dans une synagogue – ou sur la photo de Poutine, ne fera jamais avancer, ni nos problèmes de société, ni le problème de la démocratie en Russie, pays de naissance de leur mouvement. Savent-elles seulement, ces pétroleuses impudiques, que le droit de vote est même accordé aux femmes depuis déjà quelques décennies ? Droit de vote pour lequel leurs ancêtres, les suffragettes, se sont battues par des batailles d’idées et des manifestations qui avaient une autre allure et un peu plus de panache. Car, par simple bon sens, ces légendaires suffragettes savaient que pour être respectées, elles devaient être respectables. C’est bien ce qui manque à nos excitées, la respectabilité, et c’est bien cela que l’on pourrait leur reprocher.
    De surcroît, elles se battent, comme Don Quichotte, contre des moulins à vent et n’enfoncent que des portes ouvertes. Bien dans l’air du temps, où « on e***** des mouches qui n’avaient rien demandé à personne » sur des sujets périphériques comme la théorie du genre, pendant que notre civilisation s’en va à vau-l’eau vers son échouage final. Elles devraient, tout autant, méditer la réflexion d’une de mes amies : « Toute ma vie, j’ai été une e********* avec les mecs pour exiger l’égalité absolue, même dans les détails les plus absurdes, et je me retrouve, comme une idiote, larguée avec un enfant dont je ne sais même pas avec certitude qui est le père, en rêvant encore au Prince charmant qui viendra me réveiller ». C’est peut-être bien ce qui les attend, ces échauffées et réchauffées du féminisme. Quels hommes voudraient faire un bout de chemin avec de telles harpies ?
    L’égalité absolue des sexes et de la parité hommes-femmes, sans oublier la fameuse « théorie du genre » que l’on veut nous faire avaler tous les matins et que les Femen reprennent sous la (fausse) bannière du féminisme, deviennent des notions vaudevillesques, alors qu’il semblerait pourtant que la notion d’égalité hommes-femmes – pas l’indifférenciation des sexes – est, à quelques exceptions près, parfaitement intégrée dans la vie courante de notre pays. Par contre, effectivement, il y a une véritable inégalité à laquelle il faut encore remédier, c’est l’égalité des salaires à compétence égale. Là est le vrai sujet, plutôt que vouloir nous persuader dès notre plus jeune âge que « Papa porte une robe… » Et maman ? Ce féminisme devient délirant. Il l’était déjà un peu à cause de quelques allumées, mais là, il devient particulièrement grotesque. Les théoriciens du genre n’arrangent rien.
    Ce nouveau féminisme devrait tempérer ses ardeurs et laisser les hommes être des hommes, et les femmes, des femmes. Les hommes et les femmes sont différents sexuellement et donc forcément différents dans leurs comportements, leurs allures et leurs morphologies. Que chacun, homme ou femme, puisse avoir une part de « féminité » ou de « masculinité », personne ne le conteste, mais la différence reste bien réelle. Cette différence, il vaut mieux la concevoir comme une complémentarité enrichissante et non pas comme un obstacle majeur à la compréhension entre les sexes. A vouloir tordre le cou à certaines réalités, ces nouvelles féministes et ces obsessionnels du genre, nous amènent, consciemment ou inconsciemment, vers « Le Meilleur des mondes ». Ce monde envisagé comme un futur possible, où la normalité obligatoire sera : l’indifférenciation des sexes, l’infantilisme et l’adolescence permanente.
    C’est déjà suffisamment compliqué de vivre ou de survivre dans le monde d’aujourd’hui, alors cette hargne extravagante, irrationnelle et obscène, à vouloir toujours nous imposer des élucubrations d’apprentis sorciers, devient insoutenable et parfaitement décalée. D’autant que cette agressivité deviendra assez vite « contre-productive ».
    Tout ça pour… RIEN !
     Claude Picard, 4/02/2014
    http://www.polemia.com/ces-excites-du-feminisme-et-du-genre/

  • Femen : les militantes du RF trouvent leur nouveau local et révèlent un scandale !

    Vu sur le site du mouvement :

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    les militantes RF marquent la zone…

    « Dans la nuit de mardi à mercredi, les militantes parisiennes du Renouveau Français ont joué l’acte III de l’opposition « Françaises VS Femen ». Ce troisième acte dévoile, comme il se doit, le nœud de l’intrigue.

    Après une enquête assidue, nos militantes ont découvert des éléments pertinents dissimulés par les médias, dont le rôle joué par Julien Boucher, maire PS du XVIIème arrondissement, dans l’hébergement des Femen.

    C’est un véritable scandale qui éclate : celui-ci leur offre gracieusement un gîte, dans un « squat » que les activistes voudraient tenir secret !

    Nous avons donc, sans trop de peine, su exploiter cette piste pour en apprendre davantage. En effet, Julien Boucher est déjà connu des tribunaux pour un jeu trouble de sous-locations illégales et de demandes de subventions suspectes. Il n’en est donc pas à son femen4coup d’essai en hébergeant ces jeunes femmes sous la bienveillance de la mairie de Paris, et l’œil sans doute approbateur de son collègue et ami Bertrand Delanoë.

    Faudrait-il donc que la corruption généralisée soit passée sous silence ?

    Le Renouveau Français dit NON. Nous avons donc trouvé sans peine au 4 rue du port, à Clichy, le nouveau pied-à-terre des hystériques. Nous nous sommes empressés de leur faire l’honneur d’une visite.

    Nous avons eu la courtoisie de les aider à rendre plus visible ce nouveau local au moyen d’une banderole « FEMEN MILICE, PS COMPLICE ». Nous avons également agrémenté la devanture du « squat des effrontés », 35 rue Maurice Ripoche dans le XIVème, lieu de réunion LGBT régulièrement fréquenté et sollicité par les Femen, de quelques messages laissés à leur intention sur le bitume : « FEMEN, PAYE TON LOYER », « FEMMES MAIS PAS FEM’HAINE » et un ironique « LA REVOLUTION OUI, MAIS SUBVENTIONEE ».

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    Graffitis devant le local

    Donner un local aux FEMEN, aux frais du contribuable, c’est se rendre complice des profanations qu’elles opèrent et qu’elles ne manqueront pas de réitérer.

    Rejoignez-nous derrière notre banderole samedi, lors de la manifestation pour la dissolution de ce groupuscule, organisée par l’Agrif. Montrons à nos gouvernants que nous ne sommes pas dupes. Ils vont maintenant devoir répondre de ce soutien inconditionnel offert à une milice enragée d’anti-chrétiennes primaires.

    (Vidéo à suivre) »

    http://www.contre-info.com/femen-les-militantes-du-rf-trouvent-leur-nouveau-local-et-revelent-un-scandale#more-31321

  • Les 44 mesures du gouvernement pour l'intégration

    Visiblement, il ne s'agit pas de favoriser l'intégration mais de développer le caractère communautariste de la société. On y trouve par exemple :

    • Mesure 15: donner un nouveau souffle au Label Diversité
    • Mesure 18: simplifier l’accès aux droits sociaux
    • Mesure 19: améliorer l’accès aux droits des populations immigrées retraitées
    • Mesure 24: poursuivre l’objectif de mixité sociale dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville
    • Mesure 29: généraliser le Label Diversité dans les administrations
    • Mesure 31: restaurer la confiance entre les citoyens et les forces de l’ordre [sic]
    • Mesure 32: écrire une nouvelle page de l’histoire de la Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration (CNHI)
    • Mesure 36: faire de l’éducation artistique et culturelle des vecteurs de connaissance et de reconnaissance mutuelle au sein de la société française
    • Mesure 37: changer d’échelle en matière d’enseignement des langues vivantes de la mondialisation
    • Mesure 38: veiller à la diversité dans les médias nationaux et soutenir les médias de proximité
    • Mesure 39: renforcer l’offre publique de médias multilingues
    • Mesure 40: préfigurer un office franco-maghrébin pour la jeunesse

    Michel Janva

  • Éric Zemmour : «La gauche libérale libertaire a déclaré la guerre au peuple français»

    INTERVIEW - Le chroniqueur du Figaro, Éric Zemmour, analyse l'évolution de la gauche française ces dernières décennies.

    Depuis la dernière conférence de presse de François Hollande, la plupart des éditorialistes de droite comme de gauche applaudissent le tournant social-libéral du président de la République. Mais François Hollande n'a-t-il pas toujours été social-libéral?

    Pour moi, il n'y a pas de tournant. À partir du moment où François Hollande avait ratifié le traité budgétaire signé par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, et où ni l'Euro ni le libre-échange n'étaient remis en cause, il n'y avait pas d'autre politique possible. François Hollande, héritier de Jacques Delors le savait depuis le début de son mandat, sans doute même depuis la campagne électorale. Pour prendre une image automobile, le président de la République est sur l'autoroute de cette politique là et auparavant il n'a fait qu'acquitter des péages à la gauche qui l'avait porté au pouvoir: la taxe à 75%, les mots sur la finance qui serait son «ennemi»…

    Certains vont même jusqu'à parler de Bad Godesberg français... De quand date réellement la conversion de la gauche française au libéralisme?

    Le virage le plus récent et le plus marquant est celui de 1983, lorsque François Mitterrand arrime la monnaie française au Deutsche Mark et se jette dans le libre-échange.

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  • Vivien Hoch: « Dénoncer la Femenisation de la République »

    Face aux profanations régulières, aux actes de terrorisme, au racisme antichrétien et à l’impunité du groupuscule Femen depuis plus de deux ans, l’AGRIF appelle à une grande manifestation nationale, le samedi 8 février, pour exiger la dissolution du groupuscule terroriste et raciste anti-chrétien des Femen. Vivien Hoch est responsable communication de l’AGRIF et il a accepté de répondre à nos questions sur cette manifestation.

        1) Vivien Hoch, vous êtes responsable communication de l’AGRIF qui organise ce 8 février une manifestation pour la dissolution des Femen. Qu’est-ce qui a motivé le choix d’organiser une manifestation contre ce groupuscule ?

                Ce groupuscule n’est pas une simple organisation anodine de quelques femmes hystériques qui s’ennuient. Il représente beaucoup plus que cela. Les Femen n’existent que pour attaquer avec une extrême violence les chrétiens. Et les violences ne sont pas seulement symboliques, puisqu’elles ont clairement organisé, préparé et commis des actes de violence en réunion contre Civitas, le 18 novembre 2012 ou contre les surveillants de Notre-Dame de Paris… De fait, elles pratiquent un des aspects du racisme que la loi définit comme l’atteinte à des peronnes ou des groupes de personne en raison de leur appartenance à une religion ; que d’ailleurs aucune organisation, sinon l’AGRIF, ne défend sur le plan judiciaire ou encore l’Observatoire de la Christianophobie, sur le plan médiatique.

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  • Ingérence idéologique de l'ONU dans l'Eglise

    En complément des reproches faits par l'ONU au Saint-Siège, on découvre que l'ONU veut que l'Eglise modifie sa doctrine :

    "Mais le rapport onusien n’en reste pas là. Il somme l’Église de revoir sa position sur l’avortement, la contraception, ou encore de ne plus contribuer « à la stigmatisation sociale et à la violence envers les adolescents lesbien, gay, bisexuel et transgenre ». Bref de renoncer à sa compréhension de la personne, de la sexualité humaine, de la famille. C’est à juste titre que le Saint-Siège a réagi en dénonçant « une tentative d’ingérence dans l’enseignement de l’Église sur la dignité de la personne et l’exercice de la liberté religieuse ». Une ingérence au profit d’intérêts idéologiques qui n’ont plus rien à voir avec les droits de l’enfant."

    Benoît-et-moi a traduit un article de Giuliano Ferrar paru dans Il Foglio :

    "Ils disent que le comité de l'ONU qui a lancé une attaque féroce contre l'Eglise catholique est composée d'experts indépendants. Dans ces questions traitées par le comité, la pédophilie, l'avortement, la contraception, l'homosexualité, il n'existe pas d'experts indépendants. L'ONU est un puits de dépendance idéologique, voire toxique, de l'idéologie contemporaine; les accusations indiscriminées de pédophilie et de protection canonique de la pédophilie du clergé sont un mensonge statistique, qui convertit en comportements pandémiques les déviations sexuelles d'une infime fraction dudit clergé.

    Elles sont avant tout l'autre face du projet de modification de l'identité et de la structure du catholicisme, poursuivie à travers l'attaque au Vatican comme Saint-Siège de l'église, aux dirigeants de la hiérarchie épiscopale dans le monde entier.

    Les experts indépendants de l'ONU se réunissent dans la ville la plus modernement belle et moralement corrompue au monde, New York, et admonestent, en courtisant les peurs et les préjugés anti-catholiques de ces "beaux messieurs qui comptent", en particulier dans le nord américain et européen marqué par la Réforme protestante, afin de démolir ce qui est perçu - le catholicisme - comme le dernier obstacle sur la voie de la rédemption par la religion.

    Ils poursuivent l'affirmation d'un puritanisme religieux qui rachète avec les campagnes anti-tabac et celles antipédophilie, partie intégrante de la riche plate-forme du politiquement correct, le pacte avec le diable contracté sur l'avortement, le divorce, l'euthanasie, la contraception comme bannière anti-nataliste plutôt que comme pratique dans certains cas nécessaires, et l'eugénisme déployé. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Loi famille : Jean-François Copé prend le train en marche

    Volant au secours de la victoire, le patron de l'UMP, absent et muet dimanche dernier, s'est fendu d'un communiqué triomphant, montrant surtout que le succès de la mobilisation de LMPT  oblige l'UMP à se positionner :

    "Notre -votre- mobilisation a porté ses fruits ! Matignon a fait volte-face lundi en annonçant que le Gouvernement ne présenterait finalement pas de projet de loi sur la famille en 2014. Le Gouvernement invoque des « travaux préparatoires » à peaufiner, un « calendrier parlementaire déjà dense », mais ne vous y trompez pas : c'est bien la mobilisation massive et opiniâtre des Français et des élus de notre Mouvement qui a contraint François Hollande à arrêter les frais.

    Annoncées il y a quelques mois comme prioritaires, les questions de gestation pour autrui (GPA) et de procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de même sexe auxquelles nous nous opposons fermement semblent aujourd'hui repoussées sine die. Que dire de cette curieuse coïncidence en terme de calendrier, quelques semaines avant les prochaines échéances électorales ? Avec votre aide, nous voulons continuer à faire reculer la majorité socialiste, veiller à la suppression définitive de ce projet mais également dénoncer l'opportunisme éhonté du Gouvernement. Ne lâchons rien ! [sic] Je compte sur vous. Très sincèrement."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/loi-famille-jean-fran%C3%A7ois-cop%C3%A9-prend-le-train-en-marche.html

  • Les forces de police ont l’ordre de ne fouiller ni interpeller les extrêmistes de gauche

    Lu ici :

    "Depuis que Manuel Valls est ministre de l’Intérieur, les réseaux d’extrême gauche  bénéficieraient-ils de passe-droit lorsqu’il s’agit d’agresser tous ceux qu’il désigne comme des « ennemis de la République »? Une vidéo publiée samedi par l’agence Info Libre  semble  le démontrer .

    Cette vidéo montre en effet un journaliste venu couvrir une manifestation pro avortement à Paris le 1er février dernier. On le voit se faire menacer et  voler son vélo par un groupe de militants. Ils appartiennent à l’extrême gauche radicale parisienne. On y aperçoit surtout un policier en civil « extraire » le journaliste de la manifestation. Il lui explique qu’il ne peut pas rester là, car il risquerait d’y perdre son intégrité physique, voire sa vie, tant les personnes qui l’ont molesté sont dangereuses. (voir la vidéo). [...] Mais le plus stupéfiant de cette vidéo, filmée en caméra cachée, ce sont les consignes énoncées par le policier, qui ignorait qu’il était enregistré. Il affirme en effet que les forces de police reçoivent l’ordre de leur hiérarchie – donc du ministère de l’Intérieur - de ne  fouiller ni interpeller ces militants d’extrême gauche, y compris si ces derniers sont « outillés» (armés). Expliquant être en « sous-effectif » – ce qui n’était manifestement pas le cas le lendemain pour la LMPT – le policier demande donc au journaliste de quitter les lieux « car sa sécurité ne peut pas être assurée ». [...]"

    Michel Janva