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lobby - Page 2065

  • Rapport gouvernemental pour la mise en place d’une France métissée

    france-métissée

    Lors du dernier meeting socialiste à la Mutualité, Harlem Désir avait appelé à « une France métissée ». Miss France 2014 lui a emboîté le pas, affirmant que la solution pour la France passait par le métissage et le cosmopolitisme.

    On savait que le PS voulait octroyer le droit de vote aux étrangers, du moins après les municipales. Mais cette idée passait mal auprès de l’électorat de souche, pas encore assez formaté.

    Le PS nous a donc organisé une grande mise en scène autour de Christiane Taubira, pauvre petite victime des racistes et des ennemis de la République. Dans un bel élan républicain, tous les médias du système ont répondu présent et ont fait monter la sauce.

    La manipulation n’a pas été un franc succès, les manifestations antiracistes ont été un fiasco, mais tout cela a néanmoins créé un climat culpabilisant pour le Français de souche qui émettrait publiquement un doute sur les bienfaits de l’immigration.

    De quoi suffire, a priori, à passer à l’étape suivante :  l’« injonction à l’intégration».

    Cet été, cinq groupes de travail thématiques («Faire société commune», «Habitat», «Protection sociale», «Connaissance reconnaissance», «Mobilités sociales») ont travaillé à la façon de favoriser le métissage.

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  • 50 veilleurs interpellés à Paris cette nuit

    Ces dangereux réactionnaires menaçaient cette nuit la République. La réaction de Manuel Valls ne s'est pas fait attendre :

    Ces dangereux réactionnaires menaçaient cette nuit la République. La réaction de Manuel Valls ne s'est pas fait attendre :

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    Michel Janva

  • Monoparentalité : Des souris et des hommes

    En Grande-Bretagne comme en France, un enfant sur deux est élevé par un seul parent. Les tenants de la culture de mort, bien sûr, en voulant détruire la famille traditionnelle notamment par la révolution sexuelle et le gender, ne se rendent absolument pas compte des dégâts qu’ils peuvent faire notamment en encourageant les couples féminins homosexuels.

    L’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill de Montréal vient de publier une étude dans la revue Cerebral Cortex. Les chercheurs ont constaté que les souris élevées sans leur « père » avaient un comportement tout à fait anormal, et notamment une agressivité et un comportement antisocial. Ils ont remarqué que le lobe préfrontal du cerveau était difforme. Bien sûr, ils ont essayé de rapprocher cette observation de ce qui était connu concernant les enfants élevés sans père. Les résultats ont été sans appel. Les troubles constatés chez la souris étaient les mêmes. De plus chez les hommes s’ajoutait à l’anomalie du comportement social, la difficulté à prendre les décisions et à résoudre des problèmes. La découverte semble anodine ; elle ne l’est pas car il s’agit d’une preuve expérimentale biologique de la transformation du cerveau des enfants élevés sans père.

    En 2011, par exemple, des chercheurs de l’Université de Melbourne ont trouvé que le comportement délinquant a été réduit de 7,6 pour cent chez les garçons qui vivaient avec leur père biologique. Mais surtout en juin dernier, le Centre pour la Justice sociale en Grande- Bretagne a publié un rapport intitulé « Familles fracturées, questions. Pourquoi la stabilité ? ». Il apparaît que l’absence du père a un effet littéralement « dévastateur ». Les enfants élevés par leur seule mère ou les beaux-parents ont une chance (ou plutôt une malchance) augmentée de moitié de ne pas réussir leurs études. Ils ont une faible estime d’eux-mêmes, ont des troubles du comportement et ont du mal à se faire des amis.

    Il est ajouté de plus que la rupture du couple affecte les parents de l’enfant dans leur travail ou la recherche d’emplois. Il est mentionné aussi que les unions libres multiplient par trois les chances d’éclatement des communautés familiales.

    Les Français qui ont un peu de mémoire se souviendront des chansons déchirantes de Georges Chelon Le père prodigue et de Claude François, Le téléphone pleure qui clament la souffrance des enfants élevés sans père.

    Source  http://medias-presse.info/monoparentalite-des-souris-et-des-hommes/3680

    http://www.altermedia.info/france-belgique/medias-presse-info/monoparentalite-des-souris-et-des-hommes_92841.html#more-92841

  • Les médias sont les premiers mécanismes de destruction massive

    Les médias sont les premiers mécanismes de destruction massive
    Dans les milieux alternatifs circule principalement l’idée que les grandes entreprises de médias et, par extension, les médias qu’elles contrôlent, sont des armes dans les mains des puissants pour développer les guerres et contrôler le pouvoir. Mais la politologue Ángeles Díez est allée un pas plus loin : ces grands groupes commerciaux sont « en eux-mêmes la guerre et le pouvoir ». De fait, leurs principaux intérêts souvent ne se trouvent même pas dans les milieux de la communication, mais dans le secteur du pétrole et autres domaines de l’économie.
    Il suffit de s’en remettre aux preuves. L’industrie militaire et les entreprises de médias, de relations publiques, sont celles qui déplacent le plus d’argent dans le monde. « Nous nous trouvons vraiment devant un grand commerce », estime Diez. Pour analyser la notion de propagande, il ne faut pas tomber dans le simplisme. Ángeles Díez la considère au sens large : « La propagande est un système complexe dans lequel ne participent pas seulement les milieux de la communication ; elle circule dans tous les espaces de sociabilité (dans les écoles, dans la rue, dans les cafés) ». Quant à la propagande de guerre, elle utilise des mécanismes chaque fois plus sophistiqués et efficaces, car la manipulation grossière reste beaucoup plus facile à découvrir par le public.
    Un de ces mécanismes est de « vendre » la guerre comme « humanitaire ». Cela a été testé, rappelle Ángeles Díez, pour la première fois dans le conflit de Yougoslavie (1999) et ce système s’est répété depuis dans les guerres d’Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie. Que signifie une « guerre humanitaire » ? D’abord, « en appeler aux émotions et à la bonne conscience des gens ; mais aussi présenter le conflit en termes manichéens, comme une guerre entre le bien et le mal ; en plus, l’ennemi incarne une méchanceté absolue qu’il faut personnaliser, par exemple dans la personne de Saddam Hussein, Khadafi, ou Bachar El Assad ». De la même manière, on multiplie les appels à la « liberté » et à la « démocratie ».
    Ángeles Díez rappelle comment, déjà en 1981, l’écrivain Julio Cortázar a donné l’alerte dans une conférence, relatée dans le quotidien El País, sur la manipulation des mots. Comment, à l’égal de ce que fit en son temps le fascisme, les États-Unis et son empire se sont approprié des termes comme « démocratie » et « liberté » pour en dégénérer l’usage.
    Cependant, indépendamment du fait qu’on dégénère les concepts, les messages de la propagande de guerre contiennent une charge plus profonde, parce que, selon la politologue, « on n’appelle pas à la raison, mais aux sentiments émotifs et humanitaires, qu’on manipule ».
    La propagande de guerre est aujourd’hui, en tout cas, très émotionnelle. Et ceci pour diverses raisons. Premièrement, parce qu’on utilise comme base des faits établis (autrement la manipulation apparaîtrait trop grossière, bien que pendant la guerre d’Irak on utilisa directement le mensonge). Par exemple, c’est un fait établi qu’en Syrie on a utilisé l’arme chimique. Mais l’étape suivante est d’attribuer son usage (ce qui n’est pas démontré) à Bachar El Assad. Il est aussi certain qu’en Syrie il y a eu des manifestations pacifiques réprimées par le gouvernement, mais la propagande transforme ces protestations en « révolutions ». « Ce sont les mêmes qui parlent et posent l’étiquette de printemps arabes en Tunisie et en Égypte, et qui diffusent le terme de révolutions oranges », résume la professeure.
    De plus, la propagande de guerre donne un résultat parce qu’elle s’appuie sur des « matrices de connaissances » déjà constituées. C’est-à-dire, dans des structures mentales déjà construites. De cette manière, quand un média classique parle de « régime syrien », le spectateur peu averti l’assimile à « dictature » par les « matrices de connaissances » antérieurement instauré. A partir de ceci, n’importe quelle image des moindres assassinats ou bâtiments détruits sont mis au compte du dictateur syrien.
    Un autre aspect, souligné par Ángeles Díez, qui contribue à ce que la propagande belliciste soit fructueuse, c’est la prolifération des euphémismes. Des mots comme « régime », « intervention militaire » ou « aide aux insurgés » cachent d’autres réalités, bien plus obscures. L’utilisation du terme « terroriste » est aussi totalement calculée.
    Mais ce qui est important, c’est que ces mécanismes, en plus de se propager par tous les canaux et espaces de sociabilité, se fondent dans la vie quotidienne. La lecture d’une affiche en rue sur laquelle on réclame une « aide d’urgence » pour la Syrie se transforme (par une « matrice de connaissance » déjà implantée) en justification d’une intervention militaire.
    Dans les descriptions médiatiques des conflits d’Afghanistan, d’Irak, de Libye et Syrie, on suit, pour le reste, des pistes communes : la souffrance de la population civile soumise à la dictature ; on « vend » l’idée que ce sont des pays qui représentent une menace pour la planète, pays gouvernés par des dictateurs criminels qui bombardent et massacrent leur propre peuple. On dit, de même, que la population est contre les tyrans (cependant, pendant l’invasion de l’Irak en 2003 on n’a pas pu rendre visible cette opposition interne contre Saddam Hussein, comme le démontre la faible assistance du public quand on a abattu sa statue comme conclusion de la guerre ; à l’inverse, les manifestations massives en appui du gouvernement syrien ne sont apparues dans aucun média).
    Ángeles Díez remarque aussi une autre idée capitale dans la propagande de guerre des derniers conflits : on présente les opposants comme « pacifiques » et « non violents », bien qu’aujourd’hui « nous sachions parfaitement qui sont les dits rebelles syriens » ; un autre élément est l’existence d’une « guerre civile » et un affrontement interne, dont l’unique responsabilité retombe sur un dictateur qui en aucun cas n’accepte de négocier. Enfin, il y a une population tenue sous le joug, qui réclame une intervention militaire de l’OTAN, de l’ONU et d’autres organisations.
    Les traits soulignés par Ángeles Díez peuvent se vérifier dans des textes et discours. Par exemple, celui d’Obama à la 68ème Assemblée générale de l’ONU concernant la Syrie est très similaire à celui de Bush dans le fracas de la guerre d’Irak. « Ce qui est en train d’arriver en Syrie est quelque chose que nous avions vu avant » ; « les manifestations pacifiques de l’opposition ont été réprimées par la dictature » ; « nous ne tolérerons pas l’utilisation d’armes de destruction massive ». Il y a deux mois on pouvait aussi lire dans le quotidien El País de gros titres dans lesquels on disait que les réfugiés syriens aspirent à l’attaque de leur propre pays par les États-Unis.
    Il y a une autre question de fond qui se trouve dans la racine de la désinformation : la « saturation informative » basée sur des faits et images de forte charge émotionnelle, qui empêchent de réaliser une analyse rationnelle via un parcours historique et, ensuite, d’envisager un positionnement politique, explique la professeure.
    Justement, les problèmes pour un positionnement politique clair résident dans les trucages manifestes de la propagande. Parce que, selon Ángeles Díez, « les gens à qui nous nous opposons à propos de l’intervention militaire en Syrie nous disent que nous défendons un dictateur ; la même chose s’est passée en 1991 avec la guerre d’Irak et Saddam Hussein ». « Je ne veux pas tomber dans le piège de choisir si le gouvernement de Bachar El Assad est ou non une dictature », ajoute-t-elle.
    En plus, « les médias sont les premiers mécanismes de destruction massive ». En conséquence, il faudrait se demander par qui est pointé Bachar El Assad et quels intérêts se cachent derrière ces médias.
    Les médias alternatifs, selon Ángeles Díez, n’échappent pas non plus aux inerties et aux messages intéressés des grandes corporations. « Il y a très peu de voix discordantes à propos du conflit syrien » signale-t-elle. Mais ce qui est certain c’est qu’il en devient très compliqué de se défendre de la « propagande douce ». Quand El País, par exemple, titre que les réfugiés syriens demandent un bombardement de l’OTAN ou décrit comme « révolutionnaires » les opposants syriens, « cela est très difficile à être combattu ». Au contraire, si des médias comme RT ou Tele Sur exposent des points de vue distincts des versions officielles, cela les rend suspects.
    Finalement, étant donné que la propagande est un système complexe et embrasse un champ beaucoup plus large (« on l’utilise autant pour vendre une guerre que des produits dans un grand magasin »), combattre cette propagande demande des solutions de grande envergure : « il faut une éducation pour comprendre les médias, parce que nous sommes sans défense », conclu la professeure.
    Enric Llopis
    Notes :
    Source : Resumen Latinoamericano
    Traduction : Collectif Investig’Action
    Cet article est un compte rendu de la conférence donnée par la politologue Ángeles Díez à l’Académie de Pensée critique de Socialismo 21.
    Angeles Diez est professeur de Sciences Politiques et de Sociologie à l’Université Complutense de Madrid. Elle est l’auteur des livres : Manipulación y medios en la sociedad de la información (« Manipulation et Médias dans la Société de l’Information ») et et de Ciudadaníacibernética, la nueva utopía tecnológica de la democracia ( « Citoyenneté cybernétique, la nouvelle Utopie technologique de la Démocratie »)

  • Intégration : alerte aux pyromanes !

    Un rapport commandé par le Premier ministre préconise une remise en cause de l'interdiction du voile à l'école ou une révision de l'histoire de France.
    Marine Le Pen peut passer tranquillement les fêtes de fin d'année et savourer placidement son foie gras. Elle n'a nul besoin de faire campagne. D'autres s'emploient avec une redoutable efficacité à remplir son escarcelle électorale. Un rapport sur l'intégration, concocté par des "personnalités qualifiées" soigneusement choisies pour leur engagement idéologique, vient de faire éclater une bombe dans un ciel automnal déjà sérieusement plombé. 
    Il ne s'agit pas d'une anecdote, d'une péripétie politicienne, mais d'une arme de destruction massive destinée à pulvériser notre modèle politique social et culturel. C'est à la demande du Premier ministre que ces nouveaux docteurs Folamour ont rédigé leur pensum. Il vise ni plus ni moins à liquider l'héritage historique du pays, à chambouler nos grilles de référence, à tuer la nation, à imposer une vision purement communautaire rompant avec une approche multiséculaire. 
    À quand une place Leonarda ? 
    Parmi les recommandations de ces révisionnistes dynamiteurs figurent pêle-mêle une réécriture de l'histoire, la prise en compte de la dimension "arabe orientale" de la France, la préconisation de l'apprentissage d'une langue africaine dès le collège pour ceux qui le souhaiteront, la remise en cause de l'interdiction du voile en milieu scolaire. Quelques gadgets aussi : donner des noms de rue illustrant l'histoire de l'immigration. À quand une place Leonarda ? 

    Ce tissu de dangereuses âneries a sans doute peu de chance de déboucher sur des décisions concrètes. François Hollande n'est pas tout à fait suicidaire. Mais le rapport a tout de même retenu "toute l'attention" de Jean-Marc Ayrault, selon ses propres termes. Il est révélateur d'un courant de pensée coupé des réalités concrètes, d'une appétence pour l'autodestruction. Et d'une propension malsaine à jouer avec le feu sur des questions qui méritent plus de sérénité.

    Source 

    http://www.oragesdacier.info/2013/12/integration-alerte-aux-pyromanes.html

  • De La Manif pour Tous au Jour de Colère du 26 janvier 2014

    Le Salon Beige a interrogé François Billot de Lochner à propos des manifestations qui vont se succéder, de dimanche prochain, au mois de janvier prochain.

    Vous êtes président de liberté politique et de France Audace, serez-vous à la manifestation LMPT dimanche 15 décembre à Versailles (14H30 - Place d'Armes, près du Château) ?

    FBien sûr, je serai présent à La Manif Pour Tous ce dimanche à Versailles, comme j’étais présent à toutes les autres. Nous avions prévenu que nous ne lâcherions rien, et nous tenons parole. Nous ne sommes pas dupes de ce gouvernement, qui de toute évidence, veut détruire la cellule familiale. Le mariage homosexuel est une première étape, la partie immergée de l’iceberg. Va s’ensuivre logiquement l’ouverture de la PMA pour les femmes et la GPA, c'est-à-dire les mères porteuses, pour les hommes. Tout ceci sur fond idéologique qui nie la nature humaine. L’idéologie du genre est une aberration. Nous refusons qu’elle soit enseignée à nos enfants. Et nous refusons bien évidemment les mesures fiscales pénalisant gravement nos familles.

    Vous appelez donc vos membres à y participer?

    Nos membres sont naturellement incités à participer à chaque événement organisé par La Manif Pour Tous. L’appel au rassemblement à Versailles ne fera pas exception à la règle. Le gouvernement table sur un essoufflement de la mobilisation. Mais quand on décide de s’attaquer délibérément aux fondements de la société, il est normal et sain qu’elle se défende. Nous appellerons à descendre dans la rue autant de fois que nécessaire.

    Quelle forme, selon vous, doit prendre La Manif Pour Tous ? Doit-elle continuer sur cette ligne ?

    La Manif Pour Tous doit continuer sur cette ligne. Elle est multiforme et doit le rester. Les actions dans les rues (manifestations, rassemblements) alliées à une réflexion de fond (université d’été, grenelle de la famille) sont un bon équilibre. Le dialogue avec sa base militante doit se maintenir, comme elle l’avait fait en septembre, par son sondage auquel avait répondu plus de 40 000 personnes. Et j’invite les responsables du collectif à écouter ses militants qui sont très déterminés à ne rien lâcher, et qui ont passé un stade dans le mécontentement. Je pense qu’ils sont véritablement excédés par les politiques en cours, qu’ils en ont assez d’être méprisés par une élite déconnectée des réalités. Les bannières « familles en colère » sont un bon indicateur de l’évolution de la contestation.

    D'autres manifestations vont avoir lieu dans les prochains mois, nous entendons de plus en plus parler du 26 janvier qui sera Jour de Colère. Qu'en pensez-vous?

    JIl est évident que la segmentation des contestations fait le jeu du gouvernement. La coagulation doit se faire. Ce n’est que tous ensemble que nous réussirons à faire plier nos dirigeants qui maintiennent leur cap suicidaire coûte que coûte. J’ai lu avec intérêt le manifeste du Jour de Colère. Cette initiative citoyenne et non partisane est intéressante et mérite qu’on la soutienne. Chaque mouvement de contestation doit s’entendre avec les autres pour un grand rassemblement unitaire.

    Vous appelez donc à rejoindre les différents mouvements qui se mettent en place ?

    La pression ne doit jamais relâcher. L’heure est trop grave, les enjeux trop importants. Chaque mouvement qui se lève et lutte contre la destruction systématique des valeurs de notre pays mérite d’être suivi. Mais je pense, au risque de me répéter, que tous ces mouvements ont intérêt à s’entendre et à s’unifier sur la base de leurs points communs, qui sont nombreux, afin de peser encore plus dans le rapport de force que le gouvernement a décidé d’instaurer.

    La LMPT n'a pas annoncé participer à JDC. Pensez-vous qu'elle aurait intérêt à le faire ?

    2Je n’imagine pas une seconde La Manif Pour Tous ne pas appeler à manifester le 26 janvier. À ma connaissance, la Manif Pour Tous ne revendique pas le monopole de la contestation. Nombreux sont les mouvements qui la soutiennent. Il est donc normal qu’elle soutienne en retour les initiatives qui sont complémentaires avec son message et ses revendications. Les militants défilant derrière la bannière « Famille en colère » ont toute leur place au Jour de Colère. Et je pense qu’ils se retrouvent dans les autres points du manifeste, notamment le matraquage fiscal, pour ne citer que lui.

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  • La famille a une priorité naturelle sur l'Etat qui doit rester à la porte de ce sanctuaire

    C'est bien à la nature de l'homme et de la femme et au coeur de la famille que le Gouvernement s'en prend en proposant l'individualisation de l'impôt. Il s'agit bien désormais d'achever de dénaturer les personnes et les familles après avoir porté un coup législatif fatal au lien fondateur de la "société domestique".

    En effet, cette proposition n'a de fin que de pousser la femme hors de son foyer sur le marché du travail, agora moderne de la déesse Economie - qui paradoxalement se refère etymologiquement à la gestion de la maison. Et ce combat sans pitié est mené au nom du refus  d'un "schéma familial daté, pour ne pas dire séculaire, où le chef de famille apporte des revenus au ménage et la femme s'épanouit dans les tâches domestiques" (sic). 

    Or ce qui est combattu ici est exactement ce que la nature ordonne, comme le rappelle la sainte Eglise, Mater et Magistra : 

    "Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille. Bien plus, en passant dans la société domestique, il y acquiert d'autant plus de force que la personne humaine y reçoit plus d'extension.La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage. 

    Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs. Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.

    C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille. Assurément, s'il arrive qu'une famille se trouve dans une situation matérielle critique et que, privée de ressources, elle ne puisse d'aucune manière en sortir par elle-même, il est juste que, dans de telles extrémités, le pouvoir public vienne à son secours, car chaque famille est un membre de la société. De même, si un foyer domestique est quelque part le théâtre de graves violations des droits mutuels, il faut que le pouvoir public y rétablisse le droit de chacun. Ce n'est point là empiéter sur les droits des citoyens, mais leur assurer une défense et une protection réclamées par la justice. Là toutefois doivent s'arrêter ceux qui détiennent les pouvoirs publics' la nature leur interdit de dépasser ces limites.

    L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l'Etat, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne. " Les fils sont quelque chose de leur père. " Ils sont en quelque sorte une extension de sa personne. Pour parler exactement, ce n'est pas immédiatement par eux-mêmes qu'ils s'agrègent et s'incorporent à la société civile, mais par l'intermédiaire de la société familiale dans laquelle ils sont nés. De ce que " les fils sont naturellement quelque chose de leur père, ils doivent rester sous la tutelle des parents jusqu'à ce qu'ils aient acquis l'usage du libre arbitre. " (7) Ainsi, en substituant à la providence paternelle la providence de l'Etat, les socialistes vont contre la justice naturelle et brisent les liens de la famille" (Léon XIII, Rerum Novarum).

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  • La famille a une priorité naturelle sur l'Etat qui doit rester à la porte de ce sanctuaire

     

    C'est bien à la nature de l'homme et de la femme et au coeur de la famille que le Gouvernement s'en prend en proposant l'individualisation de l'impôt. Il s'agit bien désormais d'achever de dénaturer les personnes et les familles après avoir porté un coup législatif fatal au lien fondateur de la "société domestique".

     

    En effet, cette proposition n'a de fin que de pousser la femme hors de son foyer sur le marché du travail, agora moderne de la déesse Economie - qui paradoxalement se refère etymologiquement à la gestion de la maison. Et ce combat sans pitié est mené au nom du refus  d'un "schéma familial daté, pour ne pas dire séculaire, où le chef de famille apporte des revenus au ménage et la femme s'épanouit dans les tâches domestiques" (sic). 

     

    Or ce qui est combattu ici est exactement ce que la nature ordonne, comme le rappelle la sainte Eglise, Mater et Magistra : 

     

    "Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille. Bien plus, en passant dans la société domestique, il y acquiert d'autant plus de force que la personne humaine y reçoit plus d'extension.La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage. 

    Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs. Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.

    C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille. Assurément, s'il arrive qu'une famille se trouve dans une situation matérielle critique et que, privée de ressources, elle ne puisse d'aucune manière en sortir par elle-même, il est juste que, dans de telles extrémités, le pouvoir public vienne à son secours, car chaque famille est un membre de la société. De même, si un foyer domestique est quelque part le théâtre de graves violations des droits mutuels, il faut que le pouvoir public y rétablisse le droit de chacun. Ce n'est point là empiéter sur les droits des citoyens, mais leur assurer une défense et une protection réclamées par la justice. Là toutefois doivent s'arrêter ceux qui détiennent les pouvoirs publics' la nature leur interdit de dépasser ces limites.

    L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l'Etat, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne. " Les fils sont quelque chose de leur père. " Ils sont en quelque sorte une extension de sa personne. Pour parler exactement, ce n'est pas immédiatement par eux-mêmes qu'ils s'agrègent et s'incorporent à la société civile, mais par l'intermédiaire de la société familiale dans laquelle ils sont nés. De ce que " les fils sont naturellement quelque chose de leur père, ils doivent rester sous la tutelle des parents jusqu'à ce qu'ils aient acquis l'usage du libre arbitre. " (7) Ainsi, en substituant à la providence paternelle la providence de l'Etat, les socialistes vont contre la justice naturelle et brisent les liens de la famille" (Léon XIII, Rerum Novarum).

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  • Farida Belghoul sur l'introduction de la théorie du genre (gender) à l'école