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lobby - Page 2064

  • Soirée nationale du Grenelle le 11 janvier 2014 à la Mutualité

    Compte-rendu du Grenelle de la famille avant-hier à Montreuil :

    DSCN5360Formidable soirée au Palais des Congrès Paris-Est-Montreuil pour conclure les 4 réunions départementales du Grenelle de la Famille de La Manif Pour Tous sur la paupérisation des familles.

    Comme d'habitude avec La Manif Pour Tous, l'ambiance était conviviale et détendue malgré la présence dans le quartier de 2 camionnettes d'antifa en maraude ! Elles ont juste servis à "stimuler" un peu plus les organisateurs de ce Grenelle !
    Plus de 150 personnes ont écouté Atanase Périfan, Jean-Marie Andrès, Franck Meyer et Camel Bechikh approfondir le sujet. Merci à eux. Malgré la mobilisation plutôt faible, la richesse des interventions et propositions en a fait une soirée exceptionnelle ! Les présents ont été ravis de cette qualité !
    DSCN5362Marie-Gabrielle, des Mères Veilleuses, est passée nous rapporter leurs déboires avec les CRS lundi dernier... tout simplement pour déposer une lettre à Mme Bertinotti !
    Pour clore la réunion, Ludovine de la Rochère a présenté la situation actuelle d'attaques continues et systématiques du gouvernement contre les familles. Elle a appelé aux différentes manifestations de ce WE (pour nous Versailles, dimanche à 14h30, Place du Château) et annoncé la soirée nationale du Grenelle le 11 janvier à la Mutualité !
     ON NE LÂCHE RIEN, JAMAIS, JAMAIS !!!
  • Prix 2013 de la Carpette anglaise

    Communiqué 2013 de la  Carpette anglaise
    Des transports en Carpettes… anglaises
    Guillaume PÉPY, président de la SNCF, distingué pour ses éminents mérites en dévotion anglophone par le jury de l’académie de la Carpette anglaise (1), présidé par Philippe de Saint Robert, réuni à la brasserie Lipp à Paris, a reçu le prix 2013 de la Carpette anglaise. Après les Smiles, les TGV Family, et autres médiocrités linguistiques, voici que la SNCF tente de nous faire ingurgiter de l’anglais, en proposant des cours de langue anglaise uniquement, dans ses trains champenois par l’intermédiaire de l’organisme SpeakWrite ; après le trop fameux sandwich SNCF voici la bouillie anglaise !
    Seconde cerise amère sur le pudding indigeste de l’anglofolie, pour Tom ENDERS, président exécutif d’EADS et grand organisateur de la politique linguistique du tout en anglais dans son groupe, qui a trouvé (dis)grâce aux yeux du jury.
    L’Académie a tenu à lui décerner son prix spécial à titre étranger (2) pour avoir annoncé, en anglais seulement, à tous les salariés allemands, espagnols et français de la branche « défense et espace », un vaste plan de licenciements par une vidéo… elle-même sous-titrée en anglais. Major Tom, a été retenu après un vote serré (8 voix contre 4) l’opposant à son concurrent en abandon linguistique Joachim GAUCK, président de la République fédérale d’Allemagne qui a appelé les peuples d’Europe à adopter l’anglais comme langue de communication !
    Que déshonneur leur soit rendu !

    Vendredi 13 décembre 2013
    1 La Carpette anglaise, prix d’indignité civique, est attribué à un membre des « élites françaises » qui s’est particulièrement distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française.
    Le jury est composé de représentants du monde littéraire, syndical et associatif [Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (Asselaf), Avenir de la langue française (ALF), Cercle des écrivains cheminots (CLEC), Défense de la langue française (DLF) , association (COURRIEL) et Le Droit de comprendre (DDC)]. En juin 2013, Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur, a reçu une Carpette anglaise, à titre exceptionnel, pour son obstination à faire de l’anglais une langue de l’enseignement supérieur en… France.
    2 Le prix spécial à titre étranger est attribué à un membre de la nomenklatura européenne ou internationale, pour sa contribution servile à la propagation de la langue anglaise.
    Anne Cublier, Marie Treps, Hervé Bourges, Paul-Marie Coûteaux,  Benoît Duteurtre, Yves Frémion et Dominique Noguez, sont membres de cette académie.
    Contact : Marc Favre d’Échallens, secrétaire de l’académie de la Carpette anglaise.
    Courriel : parlerfranc@aol.com
    Académie de la Carpette anglaise, chez Le Droit de Comprendre, 34 bis, rue de Picpus, 75012 Paris
    Académie de la Carpette anglaise, 12/12/2013
    http://www.polemia.com/prix-2013-de-la-carpette-anglaise/

  • "Le gros argent nous appelle à son secours, ne tardons pas !"

    Que d'études et d'analyses sur nos adversaires et nos ennemis "extra-occidentaux" ! Qui ne sont pourtant pas toujours très intéressants, sans vouloir être offenser personne. 
    Comme s'il était question de former des spécialistes en ethnologie de nos adversaires et de nos ennemis "extra-occidentaux". Bizarre, tout de même.
    Comme s'il était question surtout d'éluder d'autres interrogations plus gênantes et, à mon humble avis, beaucoup plus importantes et beaucoup plus essentielles et que je résumerai en une seule question : que sommes nous donc devenus ?
    Sommes nous à ce point convertis à la morale de la grande fraternité humaine que nous n'osons pas dire quelque chose de cohérent sur nous même ? Peut être, mais il y a un blocage autrement sérieux : analyser précisément notre histoire en cours, cela imposerait surtout de rompre avec bien des "mythes", des idéologies qui, en apparence nous protègent et nous servent, mais qui, j'en suis persuadé, bloquent en réalité nos pensées et nos actions. Exemple.
    La France pays de vieille tradition catholique ? C'est ça mon coco. 
    En quarante ans, une bourgeoisie odieuse a transformé le catholicisme en une religion pour hypocrites rassis et consommés et chassé les derniers paroissiens normaux et humains des églises. Cette bourgeoisie a inventé un truc terrible : l'amour des embryons et des cellules embryonnaires : ça permet de se pâmer en permanence sur ce qui n'existe pas et de ne pas regarder ce qui existe, hommes et bêtes, et qui, souvent, souffre. Abasourdis par une telle hypocrisie, incapables de s'opposer à cette emprise de l'argent pur, les braves gens ont fuit les églises. Le catholicisme conciliaire en France, c'est la religion réservée d'une caste d'argent, tordue et vraiment méchante.
    Et c'est cette même bourgeoisie d'argent qui, périodiquement, vient chougnotter lorsque ses intérêts matériels sont en jeu. Tant qu'il est question de millions de pauvres dans les rues, elle reste évidemment barricadée dans ses forteresses, mais si l'on touche à ce qu'elle appelle la famille, c'est à dire le mode d'accumulation clanique de l'argent qui lui est spécifique, elle réunit ses troupes et sonne la charge. Pire : elle tente de mobiliser au delà de la caste et de faire pleurer sur son sort ! Cela crée hélas bien des confusions dans l'esprit de certains défenseurs de la civilisation, qui peuvent devenir passagèrement les défenseurs de leurs pires bourreaux ! Car c'est bien cette même bourgeoisie qui a tué la France rurale, généralisé les mouvements de populations et ainsi de suite, toujours pour la même raison : son fric.
    Il y a longtemps que l'argent fou a rendu haineuses et quasi-folles des fractions entières de la population occidentale.
    Cela il faut le saisir et le comprendre pour tracer et nuancer le schéma des conflits très complexes et très bizarres à l'intérieur desquelles nous sommes pris. Mais ce n'est qu'un petit exemple de ce que nous persistons à vouloir ignorer. Ignorance qui rend tout combat efficient presque impossible.
    Jacques-Yves Rossignol

  • interview de Farida Belghoul théorie du genre LGBT Danger pour les enfants

  • Procès des crimes communistes Entre utopie et réalité

    Relativement passé sous silence par les médias, le procès des anciens dirigeants khmers rouges toujours vivants, qui doit normalement se tenir dans le courant de l’année 2007, n’en est pas moins important, dans la mesure où c’est la première fois depuis les procès de Nuremberg que sera donnée à juger une des “expériences” communistes les plus meurtrière de l’histoire du XXe siècle. En quatre ans, de 1975 à 1979, le Parti communiste du Cambodge ou Parti du Kampuchéa démocratique, appuyé sur sa terrible organisation, l’Angkar, assassina plus du quart de la population cambodgienne, soit près de deux millions de morts.
    On se souviendra de ce qu’il advint, dans les années 1990, de la tentative de faire juger Alphonse Boudarel, ressortissant français exerçant les fonctions de commissaire politique et de commandant adjoint dans les rangs du Viêt-Minh, entre les mois d’octobre 1952 et août 1954, dans un camp d’internement du Nord-Vietnam au sein duquel il aurait persécuté des prisonniers politiques. La Cour de cassation, saisie à l’époque, avait jugé que les faits reprochés à l’ancien supplétif étaient amnistiés parce qu’ils étaient postérieurs à la Seconde Guerre mondiale et ne pouvaient donc recevoir la qualification de crimes contre l’humanité. Si la question des procès des crimes communistes s’était également posée suite à la publication, en 1997, du retentissant Livre noir du communisme par Stéphane Courtois, force est de constater qu’elle est restée depuis au stade de la pétition de principe ou du voeu pieux.
    Deux régimes criminels
    Établir le parallèle, pourtant saisissant, entre les crimes nazis et les crimes communistes a toujours relevé de l’hérésie, la singularité de la Shoah, génocide de race, ne pouvant être banalisée et mise sur un pied d’égalité avec un “simple” génocide de classes. L’historien américain Charles S. Maier explique ce phénomène par le fait que la terreur des régimes communistes, bien que plus meurtrière que la terreur nazie (près de cent millions de morts !), était beaucoup plus aléatoire et conjoncturelle que cette dernière, enfermée, quant à elle, dans une logique systématique et planifiée d’extermination. En ce sens, les crimes communistes s’inscriraient dans une “mémoire froide” éphémère alors que le souvenir des crimes nazis serait entretenu par une “mémoire chaude” plus persistante, parce que, précisément, ces crimes étaient plus ciblés.
    Si l’explication peut sembler valable, il n’en reste pas moins, d’un point de vue plus prosaïque, que depuis les accords de Yalta de février 1945, jusqu’à la chute du Mur de Berlin et l’effondrement du régime soviétique de Russie qui s’ensuivit, la “guerre froide” autant que la “transition démocratique” des pays de l’Est ont toujours empêché de poser clairement le problème d’un “Nuremberg” des crimes communistes, l’Est et l’Ouest ayant toujours eu intérêt (pour des raisons de politique intérieure ou extérieure) à l’ignorer.
    Un procès retardé
    Fort de ces éléments, on comprend mieux pourquoi la mise en place du procès des anciens responsables du régime Khmer rouge qui doit se tenir à Phnom Penh rencontre des difficultés de tous ordres, juridiques comme politiques.
    Tout d’abord, ce procès vise des personnes à la santé fragile dont la moyenne d’âge est de quatre-vingts ans. C’est dire que, depuis le renversement du régime de Pol Pot (décédé en 1998), la communauté internationale n’a pas fait montre d’un empressement forcené pour déférer les coupables devant un tribunal.
    Ensuite, parce que ce procès concerne des crimes ayant été commis avant l’institution de la Cour pénale internationale en 2002, c’est à un tribunal spécial composé de juges étrangers et cambodgiens qu’il reviendra de connaître des crimes des anciens dignitaires Khmers. Il faut savoir que ce tribunal, instauré après moult tractations sous l’égide des Nations unies, est fortement contesté par le gouvernement cambodgien qui y voit une atteinte à sa souveraineté. Bien entendu, il s’agit d’un prétexte pour contenir la compétence d’un tribunal qui devra se garder d’aller trop loin dans ses investigations. Le Premier ministre en exercice, Hun Sen, ayant été chef de régiment dans le régime Khmer rouge, ainsi que bon nombre de responsables impliqués dans les crimes de ce régime et faisant partie de l’actuelle administration ne sont évidemment pas prêts à coopérer aussi facilement et sans conditions.
    Des paramètres géopolitiques rendent également difficile la tenue du procès. Les États-Unis, certains pays occidentaux et la Chine, quelques années après la chute du régime, ont continué malgré tout à marquer leur soutien aux Khmers rouges, les uns pour résister à l’URSS (qui soutenait le Vietnam libérateur du Cambodge en 1979), la Chine parce qu’elle a toujours été présente aux côtés des Khmers rouges de Pol Pot ou de Khieu Samphan son successeur en 1987. Finalement, pas grand monde ne souhaite ce procès des anciens Khmers rouges et la discrétion qui entoure l’organisation de celui-ci démontre, s’il en est besoin, que les victimes des crimes communistes demeureront les oubliés éternels de la Justice universelle.
    Aristide Leucate L’Action Française 2000 du 19 avril au 2 mai 2007
    aleucate@yahoo.fr

  • Récit des arrestations abusives contre les veilleurs avant-hier

    Après les photos, voici le récit de la fin de la veillée parisienne d'hier soir :

    "Après une de veillée initialement prévue place de la Bourse qui, quelque peu perturbée par la pluie, a été déplacée vers le marché Saint Honoré, les Veilleurs présents ont décidé d'aller boire ensemble un vin chaud au marché de Noël des Champs Elysées pour faire plus ample connaissance.
    Ainsi, peu avant minuit, ils se sont déplacés vers le marché de Noël des Champs-Elysées. Après un début de déplacement sans encombres, toujours accompagnés par des policiers en civil, une cinquantaine de Veilleurs parisiens a été brutalement repoussée par les forces de l'ordre rue du faubourg Saint-Honoré à une centaine de mètres du palais de L'Elysée.
    Rapidement encerclés, il a été proposé aux Veilleurs d'être raccompagnés par petits groupes vers la station de métro la plus proche. Ne pouvant accepter d'être raccompagnés sous la contrainte, ils ont alors entamé plusieurs chants dont le Va Pensiero de Verdi et le chant des partisans. Ils ont alors été bloqués sur le trottoir, serrés contre les voitures garées le long du trottoir puis très violemment séparés un à un par les gendarmes mobiles avant de subir une fouille sommaire et d'être invités à monter dans un bus de la police nationale.
    Conduits toutes sirènes hurlantes vers le commissariat de la rue de l'Evangile dans le dix-huitième arrondissement, il leur a été demandé de descendre du bus quatre par quatre, les hommes précédant les femmes. Pénétrant dans la cour d'un commissariat bardé de fils barbelés au milieu d'une haie d'une trentaine de gendarmes mobiles, Ils ont été invités à présenter un à un nos papiers d'identité à trois fonctionnaires successifs. La liste de leurs noms a été dressée à deux reprises par deux équipes différentes. Un formulaire d'interpellation a également été rempli par un fonctionnaire de police. Interrogés sur le cadre de cette procédure, le commandant de police a indiqué qu'il s'agissait d'une vérification d'identité autorisée et sous le contrôle du Procureur de la République dans le cadre d'une soit-disante manifestation non déclarée. Suite à ces relevés d'identité, les Veilleurs ont été reconduits par groupe de quatre à la sortie. Il leur a été ensuite refusé de déposer plainte.
    On remarque qu'aucune charge n'a été retenue contre les interpellés, ni qu'aucun délit n'a été notifié ou même évoqué, il est donc tout à fait légitime de s'interroger sur la légitimité de cette privation de liberté humiliante dont certains Veilleurs ont été hier l'objet.
    Il est de notre devoir d'interroger les pouvoirs publics sur ces agissements. De tels atteintes aux droits de l'homme, peu importe contre qui elles sont dirigées, ne peuvent subsister dans notre pays. Les Veilleurs encouragent donc fortement toutes les personnes présentes à signaler ces faits aux autorités qu'elles estiment compétentes pour faire cesser ses agissements (saisir le Défenseur des droits, porter plainte auprès du Procureur de la République, envoyer une lettre à son député etc.).
    Un suivi de ces affaires va être mis en place, et certains Veilleurs travaillent dès à présent à rechercher de solutions concrètes pour que toute la lumière soit faite sur ces agissements afin de tenter de les faire cesser.
    Pour rappel : une page d'aide juridique a été mise en place sur le site des Veilleurs il y a quelques semaines, vous pouvez la consulter à cette adresse http://www.les-veilleurs.eu/justice"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Veilleurs devant Elysèe encercler par force de l'ordres, concert gratuit

  • Tentative LGBT de faire taire Philippe Arino

    Le lobby LGBT n'a aucun autre argument que le recours à la terreur intellectuelle ou aux forces du régime socialiste pour faire taire Philippe Arino.

    Le conseiller municipal de Paris et président du groupe PCF-Parti de gauche au Conseil de Paris Ian Brossat, par ailleurs homosexualiste notoire qui a profité de la loi Taubira cet été, a fait parvenir un courrier au ministre de l'Éducation Vincent Peillon afin de l'alerter sur les interventions de Philippe Ariño dans plusieurs lycées privés, notamment au lycée Blanche de Castille de Nantes, puis au lycée Saint Thomas d'Aquin dans le 7e arrondissement à Paris.

    Ces deux lycées sont des établissements sous contrat d'association avec l'État. Ian Brossat écrit :

    «Dénoncés par de nombreuses associations militant contre la discrimination et pour l'égalité des droits, son livre L'homosexualité en vérité ainsi que ses interventions publiques paraissent particulièrement inappropriés dans le cadre scolaire. L'idéologie qu'il soutient en effet, et qui a nourri son opposition farouche au mariage pour tous, stimule plus l'homophobie qu'autre chose, et enferme l'homosexualité dans une caricature singulièrement étroite.»

    «J'aimerais connaître les mesures que vous comptez prendre pour protéger les jeunes Parisiens qui le fréquentent d'un discours discriminant et douteux». Sic

    Le ministère va-t-il oser interdire les interventions de Philippe Arino et, si oui, les écoles catholiques sous contrat cèderont-elles ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Sida : de la France aux Etats-Unis

    L’histoire du sida commence avec un dénommé Gaëtan Dugas, homosexuel, steward à bord de paquebots. Parmi les 200 premiers cas décrits de la maladie, il était responsable de la contamination pour 40 d’entre eux. Les bonnes habitudes homosexuelles se pérennisent dans le temps. En France, il y a deux ans était réalisée « L’enquête presse gay et lesbienne » avec le concours de 15.000 homosexuels volontaires. 17 % d’entre eux qui se savaient séropositifs avaient eu en un an un grand nombre de partenaires dans l’année ; vingt et plus pour la moitié d’entre eux. Un quart d’entre eux ne prenaient aucune précaution. Nous arrivons à la situation actuelle. Selon l’Institut de veille sanitaire dans son dernier bulletin : « le nombre de découvertes de séropositivité VIH augmente uniquement chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes ». Il y aurait en France entre 150.000 et 200.000 personnes atteintes du sida. 30.000 d’entre elles l’ignorant totalement.

    Aux Etats-Unis, la situation est pire. Selon le Centers for Diseases Controle (Centre de contrôle des maladies infectieuses) 62 % des gays ne prennent aucune précaution. Conduite idéale pour répandre l’infection. Atterrant : Les teens (entre 13 et 19 ans) ayant eu des rapports homosexuels étaient contaminés à 94,9 %. Dans la tranche 20/24 ans la contagion était de 94,1 %. Le rapport du 3 décembre 2013 établit que le taux des contaminés est en augmentation constante depuis 2005. Soit 20 % en 2012. Ainsi quatre pour cent de la population – celle des homosexuels- a 44 fois plus de risques de contracter la maladie que le reste de la population. 62 % des nouveaux cas est imputable uniquement aux pratiques sexuelles des gays. Plus d’un tiers des porteurs du sida ne sait pas qu’il est séropositif. Le rapport demande de réduire les risques de contamination par le préservatif considéré comme un moindre mal vis-à-vis de la nécessité qu’il y a de réduire le nombre de partenaires. Ils recommandent aux porteurs du virus de déclarer leur séropositivité à leurs éventuels partenaires. 300.000 Américains sont morts de cette maladie depuis 1980.

    Source  http://medias-presse.info/sida-de-la-france-aux-etats-unis/3695

    via http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Des p’tits beurs de Terra Nova au chiffon rouge Taubira

    La volonté délibérée de casser la France se nomme une forfaiture, pour ne pas dire une trahison.

    « Je pense qu’elle a été choisie parce que sa couleur pourrait servir de bouclier quand elle aurait à proposer des choses inacceptables. » De l’art indélicat, mais juste, de Jean-Marie à mettre les pieds dans les acras : Taubira agitée comme une muleta devant l’infâme à tête de taureau, et des réformes sociétales pour enfumer le populo, lui donner un os à ronger par un Hollande plus vicelard que l’on croyait.

    Duflot dénonça la dégueulasserie du centaure, mais ne trouva rien à redire à un Zemmour qui fit de Taubira un portrait similaire, ajoutant à la charge en incompétence les jolis minois de Yade et de Dati. La mère Thénardier a ses indignations sélectives, mais le sens de la famille.

    Le dernier étage de la fusée communautariste du multiculturalisme français fut conçu par Terra Nova, là où nos maîtres à penser socialistes, héritiers de la fondation Saint-Simon, donnent la réplique à leurs compères du Siècle. La chimère d’une France black-blanc-beur devint leur machine de guerre électorale, jouant les beurs et les renois contre les p´tits blancs, attisant les braises communautaires. Nous avons échappé au vote des étrangers, mais pour combien de temps ? Ils bénéficient déjà des droits du pote et du citoyen et de notre sollicitude invétérée.

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