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lobby - Page 2062

  • Individualisation de l'impôt = hausse pour 60% des couples mariés ou pacsés

    Un chiffre avancé par La Tribune , qui pointe également le fait que cette réforme serait anti-redistributive :

     

    "Le rapport sur les freins au travail féminin remis cette semaine à Najat Vallaud Belkacem prend donc parti en faveur d'un impôt individuel. Certes, toutes les études montrent que beaucoup de couples seraient perdants en termes d'impôt à payer, mais cette réforme « aurait un effet légèrement positif sur l'offre de travail des femmes mariées » affirme l'économiste Séverine Lemière.

    Le problème, c'est que cette réforme -le paiement de l'impôt sur une base individuelle, via la suppression du quotient conjugal- augmenterait l'impôt de 60% des couples mariés ou pacsés, l'Etat y gagnant au passage quelque 3,7 milliards. La hausse d'impôt serait, en moyenne, de 1.840 euros. Beaucoup de couples modestes, dans lesquels un des conjoints ne travaille pas, seraient fortement impactés : aujourd'hui non imposés, ils le deviendraient subitement, si le salaire d'un des conjoints dépasse le smic. C'est cette situation que François Hollande avait mise en avant en 2011 pour écarter cette piste [ndlt: proposée par Martine Aubry pour les présidentielles]. Comment justifier la taxation plus forte des salariés les moins bien lotis ?

    L'économiste Henri Sterdyniak (OFCE) avait montré en quoi cette réforme serait « anti-redistributive », en prenant l'exemple d'un couple où l'homme gagne deux fois le salaire moyen. « Si son épouse ne travaille pas, l'impôt mensuel payé par le couple est de 329 euros. Il passe à 486 euros si-celle-ci travaille au smic. Avec une imposition séparée, l'impôt mensuel payé par le couple serait de 586 euros dans les deux cas » (femme sans travail ou rémunérée au smic). La hausse d'impôt serait donc de 100 euros par mois pour le couple bi-actif, mais de 275 euros pour celui où la femme ne travaille pas.

    C'est donc le couple aux revenus les plus faibles qui verrait sa facture augmenter le plus fortement. De la redistribution à l'envers, en quelque sorte."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/individualisation-de-limp%C3%B4t-hausse-pour-60-des-couples-mari%C3%A9s-ou-pacs%C3%A9s.html

  • Memorandum d’anciens du renseignement à Obama : ” La Syrie est-elle un piège ?”

    MEMORANDUM FOR: Le Président – Sept. 2013

    FROM: Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS)

    SUBJECT: La Syrie est-elle un piège ? (Is Syria a Trap?)

    Priorité : IMMÉDIATE

    Nous sommes au regret de vous informer que certains anciens collègues nous disent avec certitude que, contrairement aux déclarations de votre administration, les sources les plus fiables attestent que Bashar al-Assad n’est pas responsable de l’incident chimique du 21 août qui a tué et blessé des civils syriens, et les services secrets Britanniques le savent également. En écrivant ce bref rapport, nous préférons penser que vous n’avez pas été totalement informé car vos conseillers ont préféré vous ménager la possibilité future de nier – couramment désignée comme “le déni plausible”.

    Nous avons déjà connu cette situation – avec le Président George W; Bush, à qui nous avions adressé notre premier memo VIPS juste après la déclaration de Colin Powell le 5 février 2003 dans son discours aux Nations Unies, dans lequel il avait colporté de faux renseignements pour justifier l’attaque contre l’Irak. Par la suite, aussi, nous avons préféré accorder au Président Bush le bénéfice du doute, pensant qu’il avait été trompé ou à tout le moins très mal conseillé.

    La nature frauduleuse du discours de Powell était évidente. C’est pourquoi, l’après-midi même, nous avions fortement recommandé à votre prédécesseur “d’élargir la discussion au-delà [...] du cercle des conseillers clairement partisans d’une guerre dont nous ne voyions pas de raisons valables, et dont les conséquences seraient, d’après nous, catastrophiques.” Nous donnons le même conseil aujourd’hui.

    Nos sources confirment qu’un incident d’origine chimique a fait des victimes, morts et blessés, le 21 août, dans la banlieue de Damas.

    Nos sources insistent, cependant, sur le fait que cet incident n’était pas le résultat d’une attaque de la part de l’armée syrienne utilisant des armes chimiques de classe militaire provenant de son arsenal. C’est le fait le plus marquant, d’après un officier de la CIA qui travaille sur le dossier syrien. Elles nous expliquent que le directeur de la CIA John Brennan est en train de tromper les membres du Congrès, les médias, le public, et peut-être même vous, avec une supercherie du même type que celle qui a été utilisée avant la guerre en Irak.

     

    Nous avons observé de près John Brennan pendant ces dernières années, et, malheureusement, nous n’avons aucun mal à croire ce que disent nos ex-collègues. Ce qui est encore plus malheureux, c’est que ce sentiment est encore plus prononcé chez ceux qui ont collaboré plus étroitement avec lui ; nous ne lui portons aucun crédit. Et c’est aussi le cas de son patron, James Clapper, directeur de la National Intelligence, qui a admis qu’il avait fait des déclarations sous serment “clairement erronées” au Congrès, niant que la NSA espionnait les Américains.

    Synthèse des services secrets ou manoeuvre politique ?

    Il nous paraît étrange que le Secrétaire d’état John Kerry ait – cette semaine dans un témoignage devant le Congrès – évoqué le nom de Clapper dans une tentative pour renforcer la crédibilité du document de 4 pages intitulé : “Évaluations du gouvernement”. D’autant plus que, pour une mystérieuse raison, c’est la Maison Blanche et non Clapper qui a publié cette “évaluation”.

    La ficelle est grosse. Nous savons comment cela se passe. Bien que L’”Évaluation du gouvernement” soit vendue aux médias comme une “Synthèse des services de renseignement”, c’est un document politique, et non pas des services de renseignement. Non seulement, les rédacteurs ont évité de présenter les détails essentiels, mais ils ont même admis d’emblée que, bien qu’ils annoncent une fiabilité élevée, les faits ne sont pas encore confirmés.

    Fraude déjà vue : cela rappelle le fameux compte rendu de Downing street du 23 juillet 2002 sur l’Irak. Le compte rendu de Richard Dearlove, alors patron des services de renseignements Britanniques, déclarant au premier ministre Tony Blair et à d’autres officiels de haut rang que le Président Bush avait décidé d’éliminer Saddam Hussein par une action militaire qui serait justifiée par la conjonction du terrorisme et des armes de destructions massives. Dearlove tenait ces propos du directeur de la CIA George Tenet qu’il avait rencontré au siège de la CIA le 20 juillet.

    La discussion qui s’ensuivit se basa sur le caractère éphémère des preuves, forçant Dearlove à expliquer : “Les renseignements et les faits ont été corrigés en fonction des besoins politiques”. Nous craignons que c’est précisément ce qui se passe avec les renseignements sur la Syrie.

    Les renseignements

    Il y a un nombre croissant de preuves provenant de multiples sources au Moyen Orient, principalement affiliées à l’opposition Syrienne et à ses alliés, appuyant une forte présomption que l’incident chimique du 21 août était une provocation organisée par l’opposition Syrienne avec ses alliés Saoudiens et Turques. Le but allégué est d’avoir créé le type d’incident qui entraînerait les États-Unis dans la guerre.

    Selon certains rapports, des bonbonnes contenant des agents chimiques ont été amenées dans la banlieue de Damas où elles ont été ouvertes. Des personnes dans la proximité immédiate ont été tuées, d’autres blessées.

    Nous ne connaissons aucune preuve solide du fait qu’une roquette à charge chimique ait été tirée dans la zone. En fait, il n’existe à notre connaissance pas de preuve physique fiable permettant de penser qu’il s’agissait d’une frappe d’une unité Syrienne spécialisée dans les armes chimiques.

    De plus, nous avons appris que, les 13 et 14 août 2013, les forces d’oppositions supportées par les occidentaux ont lancé les préparatifs d’une attaque surprise massive.

    Les premières réunions entre les chefs militaires de l’opposition et les officiels du renseignement Qatari, Turcs et Américains ont eu lieu à la garnison turque de Antakya, dans la province de Hatay, qui sert maintenant de QG pour l’Armée libre de Syrie et ses appuis occidentaux.

    Les chefs de l’opposition qui venaient d’Istanbul ont informé les chefs régionaux d’une escalade imminente dans les combats due à un tournant dans la guerre qui, à son tour, amènerait à un bombardement de la Syrie sous l’égide des États-Unis.

    Lors des réunions de coordination à Antakya, avec les responsables du renseignement Turcs, Quatari et américains et les chefs de l’opposition Syrienne, on annonça aux Syriens que les bombardements allaient commencer dans quelques jours.

    On demanda aux leaders de l’opposition de préparer leurs troupes à exploiter rapidement le bombardement américain, marcher sur Damas et déposer le gouvernement de Bashar al-Assad.

    Les officiels du renseignement Qatari et Turc ont assuré les chefs régionaux qu’ils seraient massivement approvisionnés en armes pour l’offensive. Et ils l’ont été.

    Des livraisons d’armes à une échelle jusque là inégalée ont commencé à partir des arsenaux contrôlés par les services de renseignement Qatari et Turc sous surveillance étroite des officiers de renseignement américains.

    Cui bono ? / À qui profite le crime ?

    Il est clair que les différents groupes qui cherchent à renverser Bashar al Assad sont fortement motivés pour que les États-Unis s’impliquent davantage. Jusqu’à présent, il n’est pas aussi clair que le gouvernement Israélien de Netanyahu soit aussi motivé de voir Washington s’impliquer plus avant dans une nouvelle guerre dans la région.

    Mais avec les importantes pressions venant d’Israël et des lobbies américains qui les soutiennent, l’objectif prioritaire d’Israël devient limpide. La journaliste Judi Rudoren, écrivant de Jérusalem dans un article important du New York Times de jeudi, cerne le but d’Israël avec une candeur inhabituelle. Son article intitulé : “Israël est pour une frappe limitée en Syrie” remarque que les Israéliens ont tranquillement fait remarquer que le meilleur résultat de la guerre civile Syrienne qui dure depuis deux ans et demi, était, au moins pour le moment : pas de résultat. Rudoren poursuit : pour Jérusalem, le statu quo, aussi horrible qu’il puisse paraître d’un point de vue humanitaire, est préférable aussi bien à la victoire du gouvernement d’Assad et de ses alliés Iraniens qu’à un renforcement des groupes rebelles qui sont de plus en plus dominés par les djihadistes sunnites.

    “C’est une situation de barrage, dans laquelle vous avez intérêt à ce que les deux camps perdent, ou en tout cas à ce qu’aucun ne l’emporte – nous sommes pour un blocage” à déclaré Alon Pinkas, ancien consul général d’Israël à New York. “Laissons les deux camps se saigner et mourir d’hémorragie : c’est la perspective stratégique. Aussi longtemps que cela dure, il n’y a pas de menace réelle de la part de la Syrie.”

    Nous pensons que c’est ainsi qu’Israël considère actuellement la situation en Syrie, et qu’une implication plus forte des États-Unis – quoique, initialement, par des frappes militaires “limitées” – assurerait qu’il n’y ait pas d’issue rapide au conflit en Syrie. Israël calcule que plus longtemps les sunnites et les chiites s’entre-égorgeront en Syrie et dans la région alentour, plus il sera en sécurité. Le principal allié de la Syrie est l’Iran, avec qui il est lié par un traité de défense mutuelle, et il joue aussi un rôle dans les calculs d’Israël. Les dirigeants iraniens ne sont probablement pas capables d’avoir un grand impact militaire en Syrie, et Israël peut le mettre en évidence pour embarrasser Téhéran.

    Le rôle de l’Iran

    L’Iran peut facilement être blâmé par association et accusé de toute sorte de provocations, réelles ou imaginaires. Certains ont vu la main d’Israël dans l’origine des accusations les plus graves contre Assad en matière d’armes chimiques et notre expérience nous suggère que c’est tout à fait possible.

    Il est aussi possible qu’est une attaque sous un faux pavillon par l’une des parties intéressées aboutissant par exemple au naufrage ou à de graves dommages sur l’un des cinq destroyers qui patrouillent actuellement juste à l’ouest de la Syrie. On pourrait compter sur nos grands médias pour en tirer le meilleur parti et vous vous retrouveriez sous une pression encore accrue pour augmenter l’implication des États-Unis en Syrie – et peut-être au delà contre l’Iran.

    L’Iran s’est joint à ceux qui reprochent aux rebelles syriens l’incident chimique du 21 août, et a rapidement mis en garde les États-Unis contre une implication plus importante. Selon la chaîne anglophone de la télévision iranienne, le ministre des affaires étrangères Mohamed Javid Zarif a déclaré: “La crise syrienne est un piège tendu par les groupes de pression sionistes aux États-Unis.”

    En fait, il n’est peut-être pas si loin de la vérité. Mais nous pensons que vos conseillers devraient se méfier de cet argument. Ainsi, nous estimons qu’il est de notre responsabilité permanente de tenter de vous informer pour faire en sorte que vous et les autres responsables disposiez d’une vision complète de la situation.

    Représailles inévitables

    Nous espérons que vos conseillers vous ont prévenu que les représailles suite à une attaque contre les syriens n’est pas une question d’éventualité : la question est de savoir où et quand. Une riposte est inévitable. Par exemple, des frappes terroristes contre les ambassades et autres installations américaines risquent de faire passer l’incident de la “mission” à Benghazi du 11 septembre 2012 pour une broutille. L’un d’entre nous a abordé cette problématique essentielle il y a une semaine dans un article intitulé “Les conséquences possibles d’une attaque d’une attaque militaire des États-Unis contre la Syrie – Rappel de la destruction de la caserne des Marines à Beyrouth en 1983.

    Pour l’équipe aux commandes, les Professionnels vétérans des services secrets pour le bon sens :

    Thomas Drake, Senior Executive, NSA (former)
    Philip Giraldi, CIA, Operations Officer (ret.)
    Matthew Hoh, former Capt., USMC, Iraq & Foreign Service Officer, Afghanistan
    Larry Johnson, CIA & State Department (ret.)
    W. Patrick Lang, Senior Executive and Defense Intelligence Officer, DIA (ret.)
    David MacMichael, National Intelligence Council (ret.)
    Ray McGovern, former US Army infantry/intelligence officer & CIA analyst (ret.)
    Elizabeth Murray, Deputy National Intelligence Officer for Middle East (ret.)
    Todd Pierce, US Army Judge Advocate General (ret.)
    Sam Provance, former Sgt., US Army, Iraq
    Coleen Rowley, Division Council & Special Agent, FBI (ret.)
    Ann Wright, Col., US Army (ret); Foreign Service Officer (ret.)

    Source : Consortiumnews.com
    Traduction : www.les-crises.fr

    http://fortune.fdesouche.com/322009-memorandum-danciens-du-renseignement-obama-la-syrie-est-elle-un-piege#more-322009

  • Une des Veilleurs du 13 décembre témoigne

     

    veilleursAdeline a fait partie des Veilleurs du 13 décembre et nous livre son témoignage:

    « Vendredi 13 décembre : 29ème soirée des Veilleurs sur Paris ! Mon amie Eléonore et moi-même nous nous rendons place de la Bourse, à 20h30. Une pluie fine mais persistante s’abat sur la cinquantaine de personnes déjà rassemblées. Mais rien ne les empêche de chanter de bon  cœur. Nous retrouvons des têtes connues, toujours fidèles au poste : salutations, embrassades…c’est toujours un plaisir de se retrouver autour d’une bonne cause ! Au bout d’une vingtaine de minutes, afin d’échapper un tant soit peu à cette fichue pluie, les organisateurs nous proposent de nous déplacer jusqu’au passage Saint-Honoré. Imaginez alors un convoi qui s’est agrandi, cornemuse en tête, mêlant les générations, veilleurs et bonnets rouges réunis, et les enceintes crachant une musique entraînante.

    Nous arrivons enfin au Passage, cette immense cathédrale de verre qui fait si bien raisonner nos chants. De 21h à Minuit vont se dérouler diverses interventions sur le thème « économie et dignité ». La soirée commence avec un magnifique discours condamnant la prostitution qui atteint la dignité de la femme, en louant son corps. Oui, très bien, sauf que le discours était celui de Madame Najat Vallaud Belkacem, qui, paradoxalement, prône la PMA et la GPA ! Cherchez l’erreur…

    La soirée est ponctuée de chants, interprétés par la chorale des Veilleurs. Bravo à ceux-ci d’ailleurs, très bon travail ! On avait pu admirer déjà leur prestation, il n’y a pas si longtemps, devant la Mutualité….(ceux qui étaient présents s’en souviendront sûrement : encore une soirée mémorable pour nous et honteuse pour le gouvernement…)

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  • Quotient familial : les mensonges de Najat Vallaud Belkacem

    Familles de France s'insurge :

    "Familles de France est stupéfait de la manipulation fallacieuse effectuée par Madame la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem,  au sujet du quotient conjugal*, dixit : « celui-ci défavoriserait les femmes au profit des hommes ».

    Cette contre-vérité est malhonnête et totalement éhontée. Elle a pour but de masquer la récupération d’une vingtaine de milliards sur le dos des familles.

    Contre-vérité car le quotient conjugal :

    • illustre la solidarité financière entre les partenaires du couple et n’est pas un marqueur d’inégalités entre hommes et femmes,
    • s’appuie sur un principe républicain, inscrit dans la Constitution,
    • est une juste répartition de l’impôt pour les foyers en charge d’enfant(s). « A niveau de vie égal, taux d’imposition égal » comme Alfred Sauvy le préconisait.

    Contre-vérité car revenir sur le quotient conjugal c’est :

    • paupériser toutes les familles,
    • envisager une fiscalité individuelle en supprimant le foyer fiscal et donc la famille.

    Contre-vérité car les familles dont un seul parent travaille (par choix ou obligation) vont être lourdement pénalisées.

    Madame la ministre, Familles de France vous rappelle :

    • que les familles sont créancières de la nation,
    • que la famille est le socle de la société, le moteur de l’économie,
    • que les jeunes d’aujourd’hui seront les actifs de demain.

    Le quotient conjugal permet également de compenser la future charge d’enfant(s) et d’aider à la construction du foyer. Sa suppression induira la fin de la politique familiale qui est un investissement dans l’avenir.

    Pour s’attaquer aux inégalités il faut absolument en traiter les causes, particulièrement celles du marché du travail.

    Familles de France reprend le slogan d’un de ses illustres prédécesseurs, le Capitaine Maire, « Ce que Le gouvernement nous refuse, il nous le vole ». S’engager dans une telle réforme serait mettre des millions de familles à la rue – voire dans la rue.

    Familles de France appellele gouvernement à reprendre les principes d’une politique familiale universelle, généreuse et redistributive."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Quand la une du Monde en dit long sur la confusion idéologique "des élites" dans l'analyse du racisme et de l'islam

    Une nouvelle race vient de naître : l'islam. Son père s'appelle Le Monde. Sa mère : la bêtise triomphante et sûre d'elle-même.

    Le titre du journal dit tout : "Racisme : une France tolérante mais crispée sur l'islam". Une France tolérante : tout va bien alors ! Crispée sur l'islam : tout va mal ! Ainsi dans la très riche rubrique de l'antiracisme, l'islam est venu s'ajouter aux Arabes, aux Juifs, aux Noirs, aux Jaunes… Une nouvelle race en quelque sorte que la République (telle que l'entend Le Monde) se doit de protéger contre les racistes.
    L'article en question a nécessité beaucoup de travail. Nombre d'experts et de spécialistes ont été interrogés. Presque autant que ceux qui ont planché sur le grotesque et célèbre rapport qu' Ayrault a dû mettre à la poubelle sur la colérique injonction d'Hollande. De ce travail de fourmi, il ressort que la crainte (ou la détestation) qu'inspire l'islam aux Français "crispés" doit être apparentée au racisme. Un racisme de substitution qui aurait pour nom l'islamophobie.
    L'article contient une évidence d'importance : "l'islam de France n'est pas l'islam afghan" ! Oui, il fallait que cela soit dit, faute de quoi la très fragile architecture du texte se serait aussitôt effondrée. Bien-sûr que l'islam de France n'est pas l'islam afghan. Tel n'est certainement pas l'aspiration de la plupart des musulmans français. Et, surtout, ni nos lois ni la majorité, déjà "crispée", de la population française ne permettraient que Paris ne ressemble à Kaboul.
    Mais les musulmans de France ont quelque chose en commun avec leurs coreligionnaires afghans, pakistanais, saoudiens, syriens, somaliens, maliens et autres : ils prient le même Dieu, vénèrent le même prophète et considèrent comme saint le même livre. Ça ne crée pas nécessairement une connivence ni même une proximité. Mais cela devrait créer, au moins, quelques devoirs. Et là rien. Pas un cri. Pas un mot.

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  • [Vidéo] Laurent Louis dénonce le lobby pédophile belge et accuse le Premier ministre d’avoir violé un garçon de 14 ans (entre autres)

    Lors de la procédure de levée de son immunité parlementaire ce jeudi 12 décembre, Laurent Louis, le président du mouvement « Debout les Belges » prend la parole pour expliquer les raisons qui l’ont poussé à tenter de réouvrir le dossier Dutroux et à traiter le Premier Ministre Di Rupo de pédophile.

    Le député révèle avoir été soutenu dans sa démarche par la grand-mère de Julie Lejeune, une des petites victimes de Marc Dutroux. Il révèle aussi avoir rencontré un jeune homme qui affirme avoir été violé à 14 ans par Di Rupo… [...]

    La suite et la vidéo sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laurent-Louis-denonce-le-lobby

     
  • Si j’étais gaulliste…

    Depuis sa création et encore plus depuis son émergence électorale il y a trente ans, le Front National a attiré en son sein  et dans les urnes des Français venant aussi bien de la gauche que de la droite de l’échiquier politique. Ce vœu de rassemblement le plus large possible des Français est inscrit dans le code génétique de notre Mouvement. Celui-ci n’est d’ailleurs pas  un  « parti »,  appellation réductrice, mais un « Front ». C’est-à-dire qu’il a vocation à dépasser ce fameux clivage droite-gauche pour réunir celles et ceux  qui sont attachés prioritairement à la défense  de l’identité et de la souveraineté nationales, car  pour le FN, l’une ne va pas sans l’autre, contrairement à d’autres formations souverainistes  de « gauche » ou de « droite »… Les impératifs de justice sociale, de solidarité, s’inspirant de la doctrine sociale de l’église,  de défense des valeurs traditionnelles sont aussi au cœur de ce projet politique national.  

     Cette capacité de nos compatriotes à déserter  les rangs des partis de  l’établissement pour rallier ceux de l’opposition  nationale, est toujours un sujet de scandale et le prétexte à des tirades indignées pour les gardiens du temple.  Jean-Pierre Chevènement n’échappe pas à la règle. Pourtant, en 1999, dans le cadre des élections européennes,  une des « Lettres ouvertes » de Jean-Marie Le Pen lui était adressé. EIle pointait le profond décalage existant  entre  le Système euromondialiste  et  les prises de position courageuses (refus de  la guerre du Golfe, du traité de   Maastricht…), patriotiques, souverainistes de l’ex ministre de Mitterrand. M. Chevènement   n’a cessé depuis de décevoir. Enoncer quelques fortes  vérités, sans renoncer pour autant à jouer la voiture-balai d’un  PS qui mène une politique à l’opposé  de ce qu’il prétend défendre, est la marque d’une grande pusillanimité.

     Lors de l’émission PolitiqueS, de Serge Moati, diffusée  samedi 14 décembre sur LCP, M. Chevènement, gêné certainement par l’image d’impuissance, d’incohérence que lui renvoient ceux qui l’ont quitté, s’en est pris avec virulence, aux transfuges chevènementistes qui ont rallié le FN.

      Sur ce média il a ainsi  interdit aux journalistes de qualifier « d’anciens chevènementistes » Florian Philippot, vice-président du FN,  Paul-Marie Coûteaux, ancien de son   cabinet lorsqu’il fut  ministre de la Défense, entre 1988 et 1991 , aujourd’hui à la tête du Siel, une des petites composantes du RBM, et Bertrand Dutheil de la Rochère , ex porte-parole de la campagne et ancien directeur de cabinet de M. Chevènement,  actuel Conseiller république et  laïcité de Marine Le Pen.

     «Philippot que je n’ai jamais rencontré, déclarait-il à l’Afp, il va clamer partout qu’il est chevènementiste. Dutheil, c’est un spécimen humain original… Paul-Marie Coûteaux, c’est tout à fait excessif de dire que nous avons travaillé ensemble». «  Il a été en effet, très jeune, au CERES (structure créée notamment  par M. Chevènement en 1966, NDLR), ensuite il est passé chez Pasqua, et chez Villiers. Et s’il m’a apporté un soutien, finalement, je m’en serais bien passé en 2002 ».

     «Je vous interdis de parler d’anciens chevènementistes, parce que j’ai eu 1 520 000 électeurs (au premier tour de la présidentielle de 2002, NDLR), et forcément, parmi ceux-là, il y en a quelques-uns qui peuvent avoir rejoint le Front National » a-t-il insisté auprès de  M. Moati.

     Ce sont surtout les Français qui se sont passés complètement  aujourd’hui de M. Chevènement en préférant une nouvelle fois l’original frontiste  à l’incomplète, ambigüe et parfois très tendancieuse copie socialo-souverainiste.

     Mais les « gaullistes » donnent aussi de la voix contre le FN. Ce n’est un secret pour personne, ce n’est pas demain que l’on verra Bruno Gollnisch fleurir la tombe du Général De Gaulle, pour les raisons que nous avons eu l’occasion de détailler sur ce blog.

     Bruno Gollnisch  pourrait dire d’un certain  gaullisme   et de beaucoup de gaullistes, ce que  le pape François disait du marxisme et de marxistes dans un entretien  publié par le quotidien   La  Stampa  le 15 décembre : «L’idéologie marxiste est erronée. Mais dans ma vie, j’ai rencontré de nombreux marxistes qui sont des gens très bien, donc je ne m’en offusque pas ». Et le Saint-Père d’ajouter que sa condamnation des inégalités engendrées par le système économique global  s’inscrivait dans la doctrine sociale de l’Église catholique. « Cette condamnation ne fait pas de moi un marxiste », a-t-il déclaré.

     Pareillement, la défense de la souveraineté, de l’indépendance nationale, le refus de l’alignement sur les Etats-Unis, de la domination du Nouvel ordre mondial, ne sont pas l’apanage du « gaullisme » et ne  font pas forcément d’un frontiste un gaulliste.

     Pour autant, la polémique entourant la reprise par  Florian Philippot, pour sa campagne municipale à Forbach,  d’ un visuel   réunissant  une croix de Lorraine, l’emblème  de la France libre et la flamme frontiste stylisée, est grotesque.

     Le JDD rapporte que Rudolph Granier, président de l’Union des jeunes pour le progrès, mouvement des jeunes gaullistes » a adressé un courrier  à Jacques Godfrain, président de la Fondation Charles-de-Gaulle, mais aussi à Gérard Larcher et Patrick Ollier, respectivement président de l’amicale gaulliste du Sénat et de l’Assemblée.  Se réclamer du gaullisme est chose courante de nos jours mais nous ne pouvons le tolérer quand il s’agit du FN ou de mouvements tenant des propos antirépublicains. Notre vision de la France ne peut se confondre avec des héritiers du fascisme italien, des tenants pétainistes ou pêle-mêle des xénophobes, antisémites ou racistes. »M. Granier dénonce encore  le « révisionnisme éhonté » du FN et appelle à « utiliser toutes les formes de recours permettant l’interdiction d’utiliser la croix de Lorraine par le FN ».

      Pour jauger de la bonne foi du brave Rudolph Granier et de  la pureté de son gaullisme, rappelons qu’il  appelle solennellement, comme les faucons du département d’Etat de Washington, les atlantistes du PS et   de l’UMP ,  au renversement du régime laïc en Syrie, y compris au moyen d’une intervention militaire.

     Dans le même ordre d’idée, c’est ce même M. Granier qui a remis en juin 2011 à Nathalie Kosciusko-Morizet le prix de l’Appel du 18 juin, destiné à une personnalité gaulliste.  Et ce,  « pour son parcours personnel exemplaire et pour sa confrontation politique avec le Front National », notamment pour son indigent  pensum  Le Front antinational. Parcours exemplaire qui fait de NKM la parfaite  égérie bobo, favorable au mariage pour tous, européiste convaincue et  immigrationniste conséquente. A chacun son gaullisme, en effet !

    http://www.gollnisch.com/2013/12/16/si-jetais-gaulliste/

  • Le projet européiste de Nouvelle Donne : une Europe « sociale », un gouvernement européen, un impôt européen

    Oui, vous avez bien lu, c’est ça la « Nouvelle Donne ».

    Un enième avatar de la construction « alter-européiste ».

    Cette construction d’une « autre Europe » justifiée par les politiques de tous bords, du NPA au FN en passant par les fédéralistes européens.

    Il faut dire que la solution est simple, partagée par tous, pour ne pas dire dogmatique : il faut que l’on passe par là pour s’en sortir. L’EUROPE !

    Que l’on veuille une société de gauche, de droite, du centre, c’est l’Europe qui va nous permettre d’appliquer notre programme.

    Comment ?

    On verra plus tard comment, on « négociera ».

    Voyons plutôt : http://www.nouvelledonne.fr/wp-content/uploads/2013/11/Nos20propositions_NouvelleDonne.pdf

    « Après plus de 20 ans d’attente, après 5 ans de crise aiguë, la négociation sur les Traités reprend. Allons-nous rater une fois de plus l’occasion qui s’offre à nous ? Repousser à plus tard l’acte de naissance d’une Europe politique serait un drame historique. C’est cette année qu’il faut envoyer à tous les citoyens d’Europe un signal très fort : l’Europe muselée, c’est fini. L’Europe des lobbies, c’est fini. L’Europe démocratique, ça commence »

    Tout le monde peut décréter ce qu’il veut et se faire son monde imaginaire. Le seul souci, c’est que quand on se déclare porteurs d’un message politique à faire passer à 500 millions de personnes, que l’on se présente à une élection européenne, il faut expliquer comment parvenir à cette « Europe démocratique ».

    À priori, ce n’est pas en parlant de l’échelon national, de l’euro, du TSCG, du TFUE, du TUE, de la genèse de cette Europe que Nouvelle Donne critique… Non c’est hors sujet quand on parle de l’Europe. Ca c’est l’ancien monde, que « Nouvelle Donne » rejette, puisqu’ils sont nouveaux, sans doute. Logique.

    Je note que les mots « France », « français » sont cités 7 fois, et que les mots « Europe », « Européen », « européenne » 47 fois.

    Ce parti s’adresse donc au continent entier. À tous les lobbyistes, des milliards d’euros en poche prêts à être distribués, aux actionnaires, aux hedge funds, aux forces étrangères pro-UE qui sont très satisfaites du TAFTA et autres article 63 du TFUE

     Ils en tremblent d’avance !

    Une terreur inspirée par l’ombre de la terrible Margaret Thatcher…

    Comment !!? De quoi me parlez-vous me direz-vous !

    Ah, il faut vous expliquer…

    Un autre extrait :

    « Il est fondamental que la France et l’ensemble des progressistes européens agissent ensemble, avec force, pour imposer un traité social dans la négociation.

    Il n’y aura pas d’Europe forte sans soutien des opinions publiques : pas d’Europe politique sans Europe sociale.  »Peine perdue… Les autres ne voudront pas nous suivre » C’est ce qu’on entend quand on se retrouve face à un blasé pessimiste. Pourtant la volonté est une force entraînante. Souvenez-vous : entre 1981 et 1984, la construction européenne fut retardée par une dame, Margaret Thatcher, qui exprimait très fortement ses priorités. « I want my money back (rendez-moi mon argent) » dit-elle en tapant du poing sur la table jusqu’à obtenir gain de cause.

    En 2014, pourquoi les citoyens ne diraient-ils pas, avec autant de force, quelles sont leurs priorités ? We want democracy ! We want social progress ! « Nous voulons la démocratie. Nous exigeons le progrès social » !

    Faut-il appeler cela le « Thatcherisme social » ?

    Une idée qui a de quoi nous faire passer du statut de « blasé pessimiste« , à un éblouissement d’espoir et d’optimisme quand on est de gauche, c’est sûr. Ou de nous faire rire. Très très fort.

    « Nouvelle Donne », le nouveau parti de gauche qui s’inspire de la volonté de Thatcher. Au moins c’est clair !

    Il faut m’expliquer aussi par quel miracle, dans la même phrase, nous passons de « citoyens » à personnes qui « veulent la démocratie » ? Un citoyen demande-t-il la démocratie, ou l’a-t-il déjà ?

    Sommes-nous des citoyens ou des sujets  ?

     Akira Aubert

    #AutreEurope : https://www.facebook.com/AutreEurope 

    http://francelibre.tumblr.com/post/70026457226/le-projet-europeiste-de-nouvelle-donne-une-europe#.Uq71nY2XVXY

  • Vers l'égalité homme-femme dans la misère

    Avec le régime socialiste, c'est l'égalité pour tous, et, à défaut d'y arriver par le haut, ce sera par le bas :

    "L’égalitarisme est la négation de la différence. Nier la différence, la combattre et refuser de l’accepter c’est la définition même de l’intolérance. [...]

    « Najat Vallaud-Belkacem plaide ainsi, après lecture de ce rapport, «pour une révision de l’un des fondements de la fiscalité des ménages : la conjugalisation de l’impôt». Actuellement, un ménage marié additionne ses revenus, les divise par deux, puis paie ses impôts selon le barème qui s’applique à ce résultat. Une méthode qui permet de payer beaucoup moins d’impôts, surtout quand l’un des deux époux ou pacsés (souvent la femme) ne travaille pas et que l’autre gagne beaucoup. »

    Déjà, au passage, vous remarquerez ce glissement sémantique sur la notion de coefficient conjugal ou même la notion de « conjugalisation de l’impôt »… C’est beau comme de la novlangue, en direct du ministère de la Police de la pensée.

    Voyez-vous mes chers amis contrariens, ces enfoirés de couples dans lesquels madame ne travaille pas doivent être attaqués. Je ne sais point trop quel danger ils peuvent représenter, je croyais naïvement qu’élever convenablement ses enfants pouvait être bénéfique pour le pays, que dès lors que l’un dans le couple s’arrête de travailler, c’est assez normal que les impôts du couple prenne en considération le nombre de personnes à charge par rapport aux revenus. Et quand il n’y a que papa qui travaille, forcément, cela fait moins d’argent par tête de pipe que si les deux travaillaient… D’où l’idée géniale et juste… de criminaliser ces familles car forcément, dans l’esprit de ces grands malades qui nous dirigent, l’homme emprisonne évidemment sa pauvre épouse à la maison pour s’occuper de la marmaille car il ne peut être qu’un prédateur pour la femme ! Il ne vient à l’esprit de personne que cela peut aussi être un choix d’une femme devenant mère que de s’occuper de ses enfants, ce qui me semble naturellement beaucoup plus digne d’intérêt que de se taper 35 heures payées au lance-pierre pour être vendeuse au smic dans un temple de la consommation… alors qu’il faut payer pendant de ce temps des modes de garde pour vos enfants !

    Favoriser l’emploi des femmes en période de… plein chômage !

    Je ne peux qu’adhérer au fait d’aider l’emploi des femmes, tout en sachant que l’on pourrait aussi philosopher très longuement sur le fait qu’il ne faut pas confondre travail par nécessité pécuniaire et travail par passion, et que si l’on peut considérer que l’oisiveté est un vice, la réponse n’est pas forcément le travail forcé et indispensable pour le salaire de subsistance qu’il procure, mais le travail-passion qui libère les énergies et la créativité pour le bien commun en dehors de toute considération financière. C’est une approche philosophique. Pas économique, je le concède.

    Bref, favoriser l’emploi des femmes, bravo. Lutter contre toutes les formes de discrimination, bravo. Mais soyons sérieux juste quelques instants. Cela est faisable lorsque les usines tournent à plein et que le marché du travail n’est pas sinistré. Aujourd’hui, il n’y a tout simplement pas de travail. Pour personne. Pour les femmes, comme pour les hommes.

    Ce constat permet d’aboutir à la conclusion suivante : l’égalité homme-femme dans la misère est assez facile à obtenir….

    Le gouvernement envisage donc sérieusement de pénaliser les couples où seul l’un des deux travaille. Voilà une idée brillante. En rendant plus pauvres ces familles et en les faisant payer plus d’impôts, on va forcer madame à retourner au turbin ! Point de choix mesdames. La Belle Kacem vous force à aller bosser car c’est jûûûste et votre liberté est à ce prix. Une femme qui glande c’est insupportable, élever ses enfants n’est pas considéré comme un travail à part entière. Élever les gosses des autres en revanche, ça, c’est du travail ! [...]

    Voilà la réalité pour ces grands malades. Aller taxer encore plus. Trouver sans cesse de nouvelles idées et voir ce qui peut passer dans l’opinion à chaque fois en habillant la pilule des plus beaux atours d’une justice quelconque. Cela peut être pour l’environnement, parce que l’environnement c’est bien hein… Cela peut-être pour l’égalité, parce que l’égalité c’est bien hein… Mais à chaque fois, le résultat est le même. On tape sur les familles et sur les classes moyennes puisque de toute façon, c’est là que nous sommes les plus nombreux !

    Peu importe le type de famille concerné, qu’elle soit recomposée, « classique » ou encore homoparentale, on frappe sur elles car elles représentent la grande masse solvable de ce pays. Alors elles seront ruinées.

    Ils sont malades, idéologiques, quasi religieux. Ils sont liberticides, agressifs, changent le sens des mots, s’attaquent à tous les aspects de notre vie privée et rentrent chez nous de force. En un mot : ils sont dangereux. Je parle de ceux qui nous dirigent, fussent-ils socialistes, votant des propositions de loi UMP ou inversement !"

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Plainte de 52 veilleurs contre les forces de l'ordre pour «faux en écriture publique»

    Alors que les rassemblements se multiplient à travers l'Hexagone, au rythme d'une cinquantaine par semaine, les « veilleurs » s'apprêtent à déposer une plainte pour « faux » contre les forces de l'ordre

    L'action des «veilleurs» n'a pas pris fin une fois la loi «mariage pour tous» votée. L'affrontement avec les forces de l'ordre non plus… Alors que les rassemblements pacifiques de ces citoyens se multiplient partout en France - un par mois à Paris et une cinquantaine chaque semaine en province -, les forces de l'ordre continuent de les talonner au plus près. Avec un nouvel incident dans la nuit de vendredi à samedi: 52 «veilleurs» ont été interpellés dans la capitale pour être conduits au commissariat. De 300 à 400 d'entre eux s'étaient réunis place de la Bourse pour lire philosophes et littérature, sur le thème «économie et dignité». Né de l'opposition à la loi Taubira, le mouvement, qui n'a pas vocation à s'y «cantonner», dit un des leurs, entend compter dans le débat public sur toutes les questions d'éthique et les enjeux de société.

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