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lobby - Page 2068

  • Mort du criminel Nelson Mandela : un terroriste marxiste antiblanc

     

    La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
    Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.

    Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).

    Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.

    Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

    Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.

    Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.

    Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.

    Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.

    Ci-dessous une video de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :

    http://www.contre-info.com/mort-du-criminel-mandela-un-terroriste-marxiste-antiblanc#more-30506

  • Aymeric Chauprade : "L’Ukraine : Les enjeux stratégiques"

    Il est tout aussi intéressant de considérer les projets de l’OTAN par rapport à l’Ukraine, qui est déchirée entre Washington et Moscou.

    L’Ukraine occupe une position stratégique pour de nombreuses raisons. L’une des raisons est la mer Noire. Alors que Moscou a reconnu la souveraineté ukrainienne sur toute la Crimée, y compris le port de Sébastopol (en échange de la location à la Russie de 80% de sa base navale : les baies de Sevastopolskaya et Yghnaya en totalité et celle de Karantinnaya en mouillage commun), les États-Unis s’efforcent d’étendre leur influence sur la péninsule. Par le soutient nationalisme tatar, mais aussi par les tentatives successives d’organiser des manœuvres militaires communes entre l’OTAN et les riverains de la mer Noire, y compris l’Ukraine. La "révolution orange" de 2004 a rapproché l’Ukraine de l’adhésion à l’OTAN.

    Mais l’élection à la présidence de Victor Ianoukovitch, proche de Moscou, en février 2010, a débouché sur l’affirmation du non-alignement de l’Ukraine et sur son refus d’entrer dans l’OTAN. C’était la revanche sur la "révolution orange" de 2004 et le rétablissement de l’influence russe dans l’étranger proche, lequel repose pour l’essentiel sur le triptyque Biélorussie-Ukraine-Kazakhstan.

    Plus à l’est encore, le Partenariat Pour la Paix (PPP) prépare l’intégration de pays non européen et vise à peser sur la Russie. Dans le Caucase, Géorgie, et Azerbaïdjan sont des candidats potentiels qui inquiètent Moscou par leur tropisme atlantiste.

    En Asie centrale, alors que la Russie, dans les décombres de l’URSS, était malgré tout parvenue en 1992 à un traité de sécurité collective avec quatre des cinq pays musulmans (le Turkménistan ayant refusé), les États-Unis parvenaient deux ans plus tard à faire entrer le PPP au Turkménistan, au Kazakhstan, au Kirghizstan et en Ouzbékistan, et à renforcer encore les perspectives à la faveur de la guerre contre l’Afghanistan avec une implantation physique des troupes américaines au Kirghizstan et en Ouzbékistan.

    Les soutiens apportés sont significatifs : l’Ouzbékistan a intégré en 2001 l’opération "Enduring Freedom", le Kazakhstan a aidé la Pologne en Irak sur des opérations de déminage.

    [...]

    Le 21 Avril 2010 : Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch et Dmitri Medvedev signent un accord prolongeant de 25 ans au-delà de 2017 les droits de stationnement de la flotte russe en Crimée. En retour, la Russie accepte une remise de 30% à l’Ukraine sur le prix du gaz naturel.

    [...]

    Aussi étendue et peuplée que la France, l’Ukraine est fragilisée par sa division en trois parties: l’Est minier et industriel, russophone et orthodoxe, qui regarde vers la Russie et la Biélorussie, le Centre de culture uniate (un rite orthodoxe, mais rattaché à Rome) et l’Ouest catholique plutôt nationaliste et antirusse, qui regarde vers la Pologne et les pays Baltes.

    En 2004, la succession de Léonid Koutchma est en jeu. Cet ancien communiste d’Ukraine orientale, au pouvoir depuis 1994, réélu en 1999, fait face à des contestations fortes qui l’amènent à se rapprocher de Moscou. Il signe en 2003 un accord visant à créer, après les élections présidentielles de 2004, un espace économique unique Russie-Ukraine-Biélorussie-Kazakhstan. Pour la succession de Koutchma, les Ukrainiens doivent choisir entre la continuité prorusse incarnée par le premier ministre Viktor Ianoulovitch et la rupture pro-occidentale prônée par Viktor Iouchtchenko.

    À l’issue du deuxième tour, l’opposition accuse Ianoukovitch d’avoir fraudé et les jeunes activistes du mouvement Pora ! ("Il était temps !") appellent à la désobéissance civile: 100000 manifestants bloquent la place de l’Indépendance à Kiev.

    Un troisième tour, le 26 décembre 2004, donne finalement une large victoire à Iouchtchenko. Le clan prorusse brandit alors la menace de sécession d’une fédération du Sud-Est avec les régions de Crimée, Lougansk, Donetsk, Dniepropetrovsk, Zaporojir, Mykolaev, Odessa, Kharkov et Soumy, l’ensemble représentant les deux tiers du PIB ukrainien.

    Cette menace bien réelle va contribuer à modérer les ardeurs occidentales et permettre de maintenir dans la donne politique la composante prorusse, hostile à une intégration de l’Ukraine dans l’OTAN.

    Avec l’élection de Viktor Ianoulovitch en février 2010, l’"espoir orange" porté par les Américains s’est éloigné, l’Ukraine revenant au "non-alignement".

    Cet ancrage prorusse de l’Ukraine s’est confirmé en octobre 2012 avec la victoire aux législatives du Parti des régions du président Ianoukovitch.

    [...]

    Le contrôle de l’Ukraine : Sans l’Ukraine, la Russie perd une part conséquente de sa puissance. On peut même affirmer que son statut de puissance mondiale, en plus de son statut de puissance européenne, deviendrait très discutable.

    Avec un peu moins de 50 millions d’habitants, l’Ukraine représente tout de même le tiers du poids démographique de la fédération de Russie. C’est le berceau de Moscovie. Historiquement, Ukraine et Russie sont consubstantielles (les Russes ne parlent jamais du peuple frère polonais mais ils parlent du peuple frère ukrainien).

    La loi sur les langues du 3 juillet 2012 a consacré cette parenté en faisant, de facto, du russe la deuxième langue officielle du pays. Par ailleurs, l’Ukraine offre à la Russie un débouché sur la mer Noire, donc sur la méditerranée (ouverture sur les mers chaudes).

    Contrôler l’Ukraine c’est aussi contrôler l’isthme Baltique qui relie la mer Baltique à la mer Noire. Tout ceci explique pourquoi l’Ukraine est depuis plus de trois siècles sous la tutelle de Moscou et que ce pays est beaucoup plus important pour les russes que ne le sont le Caucase et l’Asie centrale – qui d’ailleurs s’intéressent d’autant plus à la Russie que celle-ci maintient son attache à l’Europe, laquelle passe par l’Ukraine !

    Une Ukraine tournant le dos à Moscou pousserait aussi la Biélorussie à regarder davantage vers la Pologne et les pays Baltes. On voit donc que les conséquences géopolitiques d’une perte de l’Ukraine se feraient sentir pour Moscou de l’Asie centrale jusqu’à la Biélorussie.

    L’objectif de Moscou est de constituer une entende politique et économique entre la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et l’Ukraine, sans laquelle l’ensemble ne peut avoir de cohérence. Moscou dispose d’atouts solides pour maintenir les liens avec Kiev: toute la partie Est et sud russophone peut faire sécession et se rattacher à la Russie, rejoignant du même coup les 15 millions d’ukrainiens qui y vivent. Les deux tiers des échanges commerciaux de l’Ukraine se font avec la Russie. Enfin, plus de 60% des apports énergétiques de l’Ukraine viennent de la Russie ou passent à travers le territoire de celle-ci. Si, aujourd’hui, plus de 80% des hydrocarbures qu’ils exportent vers les pays de l’Union européenne traversent le territoire ukrainien, les Russes pourront contourner celui-ci, via la Pologne ou la Biélorussie, ou grâce au nouveau gazoduc nord-européen qui relie la Russie à l’Allemagne via la Baltique; ils peuvent également utiliser le prix du gaz comme une arme de pression sur l’Ukraine.

    Aymeric Chauprade,

    Extraits de Chronique du choc des civilis

    http://la-dissidence.org/2013/12/02/aymerci-chauprade-lukraine-les-enjeux-strategiques/

  • Le gros bobard de France-Info sur les méthodes de lecture

    « Au CP, l’apprentissage de la lecture passe par le décodage et l’identification des mots… ».
    Les résultats de l’enquête PISA sur les résultats scolaires ont donné lieu à un festival de désinformation médiatique. Marion Maréchal-Le Pen ayant affirmé que la France est « empêtrée dans des méthodes comme la méthode globale. Il faut revenir aux méthodes qui marchent comme la méthode syllabique », France-Info l’a mise en cause le 4 novembre 2013. Sous couvert de démêler « le vrai du faux », la chaîne publique s’est livrée à une leçon de politiquement correct et à un bobard savant. Claude Meunier-Berthelot, auteur de « Bas les masques : la désinformation à l’école » fait le point pour Polémia. Alors France-Info candidat à la Ve cérémonie des Bobards d’Or le 11 mars prochain ?
    Polémia
    Oui, Marion Maréchal-Le Pen dit vrai sur l’apprentissage de la lecture
    Prétendre, comme ose le faire France-Info, que Marion Maréchal-Le Pen « dit faux » quand elle dénonce la France empêtrée dans les méthodes globales d’apprentissage de la lecture relève de la plus pure imposture ! A cet égard, il est intéressant de noter auprès de qui Gérald Roux, journaliste de France-Info, prend ses sources ! Entre autres « spécialistes » (sic) : Anne-Marie Chartier, « docteur en sciences de l’éducation » (tout un programme !), spécialiste (sic) des méthodes de lecture, et un psycho-linguiste, Jacques Fjalkow (encore tout un programme !), autrement dit, que des gens bien cadrés dans le système de déconstruction actuelle de l’institution scolaire.
    Les textes officiels démentent l’affirmation de France-Info
    Or, les textes officiels relatifs aux programmes du CP (cours préparatoire) stipulent expressément : « Au CP, l’apprentissage de la lecture passe par le décodage et l’identification des mots… », ce qui signifie, en langage « décodé », qu’il s’agit d’utiliser des méthodes de nature globale. Ce sont les seules méthodes envisagées par les instances officielles, de même que les seules contenues dans les manuels de lecture proposés au CP par l’institution scolaire.
    Dénoncées par ceux qui les ont subies et par les parents d’élèves, décriées par de nombreux psychologues, orthophonistes et neurologues, elles n’en continuent pas moins d’être préconisées par les instances officielles, d’être recommandées pour ne pas dire imposées par la plupart des formateurs, conseillers pédagogiques et inspecteurs, tous fondus dans le même moule des IUFM (récemment rebaptisés Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation) et très majoritairement pratiquées dans les écoles.
    La pratique le confirme…
    Certes, les méthodes purement globales ne sont plus utilisées mais les méthodes de nature globale, appelées également « semi-globales » ou « mixtes » – que les instances officielles prennent bien la précaution de ne surtout plus nommer tant leur simple évocation suscite des cris d’orfraie – sont très majoritairement utilisées et ont – hélas ! – de beaux jours devant elles pour notre plus grand malheur, celui de nos enfants et de la société tout entière. Car elles ont les mêmes effets désastreux que les méthodes globales pures et c’est par l’usage de ces méthodes que le décervelage des têtes se fait.
    C’est ainsi que Rachel Boutonnet, auteur du Journal d’une institutrice clandestine, qui a « clandestinement » et courageusement fait usage de la méthode syllabique au sein de l’Education nationale après avoir subi les errements pédagogiques de l’IUFM, pratiqué les méthodes « semi-globales » et constaté les dégâts causés, affirme que les méthodes de nature globale « transforment les enfants qui pourraient être brillants, des bons élèves, des enfants vifs, en des enfants perdus qui se persuadent peu à peu d’être idiots et fichus … qu’ elles font des dégâts qui ne se révèlent pas nécessairement tout de suite chez tous les autres à des degrés divers, qu’elles touchent même ceux qui lisent bien », ajoutant : « La méthode globale sera résolument écartée quand les programmes ne parleront plus d’ “identification des mots” mais de “lecture”, que l’on ne parlera plus d’analyse mais seulement de synthèse… ».
    Comment reconnaître une méthode syllabique d’une méthode de nature semi-globale ?
    Des différences capitales distinguent ces deux types de méthode :
    – La méthode syllabique ou alphabétique, traditionnellement utilisée dans l’institution scolaire et dont l’efficacité n’a jamais été démentie, est basée sur la logique ; elle consiste à commencer l’apprentissage de la lecture par la connaissance de la lettre – voyelle ou consonne – puis de la syllabe, ensuite du mot, pour arriver à la construction de la phrase, s’appuyant en cela sur l’apprentissage de la grammaire – analyse logique – pour déterminer la fonction des mots dans la phrase afin de bien comprendre le sens de ce qui est lu, ce qui a aussi pour conséquence de permettre de déterminer l’orthographe des mots. Il s’agit donc d’une construction qui va du simple au complexe de façon progressive, s’appuyant à chaque étape sur les acquis antérieurs, où l’enfant est amené développer une logique et à orthographier correctement.
    – Les méthodes de nature globale appelées « semi-globale » ou « mixte » utilisées depuis plusieurs décennies sont responsables d’un taux de dyslexies et d’illettrisme impressionnant. Basées sur la mémoire, visuelle et auditive, elles consistent à engager un processus totalement inverse de celui de la méthode alphabétique ou syllabique, faisant mémoriser à l’enfant des phrases apprises par cœur pour les décomposer en mots – ce qui est appelé « l’identification des mots » – , puis en syllabes, pour aboutir in fine à la connaissance du code alphabétique, autrement dit des lettres, ce qui est appelé le « décodage ». Il s’agit donc, non seulement d’un processus totalement inverse de celui de la méthode alphabétique ou syllabique, mais, par surcroît, sans qu’il y ait l’apprentissage d’une logique de l’agencement des mots, ce qui altère forcément la compréhension des phrases et l’orthographe qui en résulte.
    L’usage de cette dernière méthode est traître à plus d’un titre : d’une part, si l’enfant a une bonne mémoire, il peut apprendre à lire apparemment d’une façon correcte mais sans qu’il comprenne ce qu’il lit, et beaucoup de parents sont abusés par ce phénomène en disant : « Mon enfant sait lire » ; d’autre part, le processus de décomposition du mot en syllabes puis en lettres qui aboutit in fine à la connaissance du code alphabétique laisse à penser à beaucoup de parents qu’il s’agit d’une méthode syllabique et ne s’en émeuvent pas.
    Or, les travaux du Dr Wettstein-Badour ont mis en évidence que la pédagogie sculpte le cerveau et conditionne le développement de la pensée conceptuelle et nous savons que l’usage des méthodes de nature globale ne permettent pas que la lecture se transforme en automatisme, entraînant un flottement des connaissances. Ordonner, structurer, restituer le savoir devient un problème, des fautes sont faites modifiant le sens des phrases et il faut du temps pour mettre en relation des connaissances « empilées » et plus ou moins confuses. De même, il devient impossible d’obtenir le maintien d’une concentration soutenue.
    Cela, ceux qui nous gouvernent le savent et pourtant…
    Marion Maréchal-Le Pen a raison
    Marion Maréchal-Le Pen a raison de dénoncer l’engluement du système français dans la pérennisation de l’usage de ces méthodes ; elle ne le dira jamais ni assez, ni assez fort, puisque ces méthodes sont toujours utilisées, s’apparentant à de véritables lavages de cerveau qui justifient la déconstruction du système éducatif dans la mesure où les enfants deviennent ainsi incapables d’effectuer des études aussi structurantes que celles qui sont possibles pour la majorité d’entre eux avec des méthodes alphabétiques ou syllabiques.
    Mais se pose la question de savoir comment les autoproclamés « spécialistes » (sic) de la lecture peuvent avoir l’outrecuidance, pour ne pas dire plus, d’affirmer que « la méthode globale n’a jamais été utilisée, seulement de manière marginale (sic) … qu’en France elle n’a pas été enseignée de manière généralisée, loin de là (sic) … qu’en France on a l’impression que la méthode a été très présente, c’est un mythe (resic) » et d’ajouter que : « l’explication se trouve peut-être dans le fait qu’on a assisté, dans les années 1960-1970, à une offensive de quelques pédagogues en faveur d’un apprentissage qui pouvait s’apparenter à la méthode globale ».
    Il ne faut pas manquer d’aplomb, à moins que ces « spécialistes » aient eux-mêmes été victimes de ces méthodes et soient incapables d’analyser la réalité de la situation.
    En tout cas, pour ce qui est de France-Info, c’est un faux.
    Claude Meunier-Berthelot, 5/12/2013
    http://www.polemia.com/le-gros-bobard-de-france-info-sur-les-methodes-de-lecture/

  • Menaces de mort à Lyon

     

    Ce matin les habitants du quartier d'Ainay dans le 2e arrondissement de Lyon ont découvert de nombreux graffitis extrémistes sur les murs de la mairie d'arrondissement et de la salle municipale François Sala où doit se tenir ce soir "La soirée branchée" des Enfants des Terreaux. Des graffitis "antifascistes" et anti-catholiques revendiquant notamment "Enfant des Terreaux, un coup de couteau". Plusieurs plaintes ont été déposées dans la journée et une enquête de police est actuellement diligentée. Les enfants des Terreaux font part de leur stupéfaction face à ces messages de haine. Malgré ces menaces, les Enfants des Terreaux maintiennent leur soirée festive ce soir et rappellent qu'il ne lâcheront jamais rien.

     

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    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

     

  • Le vrai visage du Téléthon : l'eugénisme

    Communiqué de Choisir La Vie :

    "Les 6 et 7 décembre prochains se tiendra la 27e édition du Téléthon, manifestation largement promue et encouragée par les médias et le milieu du showbiz. Sans condamner la générosité de milliers de donateurs et de bénévoles engagés dans la lutte légitime contre les maladies génétiques, Choisir la Vie ne peut que renouveler ses mises en garde contre les orientations de l’AFM (Association française contre la myopathie) qui :

    • d’une part, finance, par le biais d’une partie des dons du Téléthon, certaines recherches utilisant des embryons humains, sacrifiés ainsi pour la science !

    • et d’autre part, utilise le mensonge pour arriver à ses fins (financières !). Les "bébéthons" mis en effet en avant et présentés comme un succès thérapeutiques n’ont en aucun cas guéri à proprement parlé mais ne sont, en fait, que le fruit d’une odieuse sélection par diagnostic prénatal. Ils sont les seuls survivants des membres de leur fratrie éliminés avant leur naissance parce que diagnostiqués myopathes.

    Enfin, depuis 2006, il a été demandé aux responsables du Téléthon une parfaite transparence financière, afin d’éviter aux donateurs d’être complices d’actes que leur conscience réprouve. Celle-ci a été refusée. C’est pourquoi Choisir la Vie, fidèle à son combat pour le respect de la vie de chaque être humain ne peut que, cette année encore, dénoncer ces dérives et demander à ses adhérents et sympathisants de tirer les conséquences de celles-ci."

    Michel Janva

  • 50.000 personnes manifestent à Athènes en soutien au parti Aube Dorée

    50.000 personnes manifestent à Athènes en soutien au parti Aube Dorée

    ATHÈNES (NOVOpress) - En réponse au début du procès de plusieurs leaders d’Aube Dorée qui vise surtout à interdire purement et simplement ce parti, des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés samedi dernier le 30 Novembre devant le parlement Grec.

    Les média avaient prévu que ce rassemblement serait un échec et Reuters a même lancé le chiffre de 1.000 participants repris par plusieurs journaux nationaux. Mais la presse étrangère a été forcée de reconnaitre l’ampleur de ce mouvement.

     

    Malgré ce rejet des media officiels, les intentions de vote pour l’Aube Dorée sont de 10%, ce qui en fait la troisième force politique du pays.

     

    Source : The Guardian / Wall Street Journal

    http://fr.novopress.info/148004/50-000-personnes-manifestent-athenes-en-soutien-au-parti-aube-doree/

  • Comment François Hollande tente de mettre à genoux la famille…

    Que Hollande fasse sauter sur ses genoux toute une crèche n’y changera rien : il aura tout volé à la famille.

     
     

    C’est un sondage IFOP publié dans Le Figaro qui le révèle : les trois quarts des Français jugent injuste la politique familiale du gouvernement. 60 % des Français estiment avoir subi une baisse de leur pouvoir d’achat du fait de ces mesures, et qu’ils soient touchés ou non, 80 % d’entre eux ne croient pas en son efficacité.

    Un sondage inquiétant pour le gouvernement car il n’y a pas meilleur ferment de rancœur qu’une punition perçue comme inique et inutile. Surtout lorsqu’elle vise ce qui a toujours été le recours, l’abri vers lequel vous porte un instinct primitif quand tout le reste fout le camp : la famille.

    Sans doute François Hollande n’a-t-il pas eu besoin de ce sondage pour prendre conscience de l’ornière dans laquelle une fois de plus il s’est fourré, puisqu’il tente d’inverser la vapeur en multipliant depuis quelques jours les signaux en direction des « familles » : il y a eu cette remise de médailles de la famille à l’Élysée, en compagnie de Valérie Trierweiler, le 30 novembre dernier, puis cette opportune photo prise lundi soir, dans les locaux d’une association d’aide aux jeunes parents en difficulté, avec un bébé dans les bras.

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  • Qui peut encore croire au gender ?

    Toute la partie « scientifique » de la justification du gender repose sur l’idée de la plasticité du cerveau. Effectivement il y a cinquante ans, la pensée médicale voyait dans le cerveau un organe fixe qui ne se renouvelait pas. Or l’image par Résonnance Magnétique permet de se situer au plus profond des arcanes du système nerveux. Il existe des appareils qui plongent au 100.000ème par rapport à ceux qui sont utilisés par exemple dans une atteinte de la hanche. Ces appareils détectent les mouvements intercellulaires d’où le nom d’IRM fonctionnelle. Ainsi, il est possible de quantifier la douleur qui passe d’une cellule nerveuse à une autre, de doser les médicaments qui sont prescrits, de prévoir une crise d’épilepsie, de « lire » la dépression. Ce sont les neurosciences. Elles permettent de suivre et d’interpréter le câblage des neurones. Il s’agit d’une véritable cartographie dynamique.

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