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lobby - Page 2185

  • Retraite des fonctionnaires: l’Ifrap accuse

    + DOCUMENT - Le think tank libéral dénonce des écarts «considérables» entre le public et le privé. Il accuse le gouvernement et le Conseil d’orientation des retraites de «camoufler» les déficits des régimes publics.

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    La fondation Ifrap veut peser dans le débat sur la réforme des retraites. Le think tank libéral publie ce lundi une série de recommandations (voir document ci-dessous) qui se focalisent sur un sujet particulièrement controversé, les différences entre le public et le privé. « Les régimes de retraite publics sont les plus coûteux, ce sont aussi ceux qui ont repoussé les réformes indispensables  », critique l’Ifrap. Les réformes successives ont harmonisé de nombreux paramètres (durée de cotisation, revalorisation des pensions, taux de cotisation...), mais les catégories actives de la fonction publique et certains salariés des régimes spéciaux (SNCF, RATP...) peuvent toujours partir plus tôt.

    Modifier progressivement le mode de calcul

    Les réformes «  restent progressives sans s’attaquer à la principale différence, le mode de calcul : 75 % du traitement des six derniers mois pour le secteur public contre les 25 meilleures années pour le privé, et même la carrière complète pour les complémentaires Agirc-Arrco ». L’Ifrap propose de modifier le mode de calcul. En 2015, on prendrait en compte les salaires, primes comprises, des trois dernières années. La montée en charge serait ensuite progressive, en prenant en compte deux années de plus tous les ans, de façon à arriver aux 25 meilleures années comme dans le privé.

    Lire la suite :

  • Si vous voulez une retraite, mettez de l'argent de côté

    Lu sur Contrepoints à propos de la réformette des retraites de Jean-Marc Ayrault :

    "Le principal élément consiste en l'allongement de la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein. Au lieu de mettre en oeuvre cette réforme au plus vite pour qu'elle s'applique à tous de manière équitable, Jean-Marc Ayrault choisit de l'étaler jusqu'en 2035, frappant de facto tout particulièrement les jeunes. Une fois de plus, de quoi nourrir l'impératif de révolte de la jeunesse, qui paie plus de taxes pour obtenir moins.

    A l'inverse, pour augmenter les prélèvements, c'est tout de suite et sans modération aucune, alors que le coût du travail exorbitant condamne les Français à un chômage massif endémique. La réforme des retraites prévoie +0,6% de cotisations sociales, qui viendront amputer directement votre pouvoir d'achat et, partant, la croissance économique française. Seul (petit) point positif, l'inégalité de cotisations entre fonctionnaires et salariés du privé n'est pas amplifiée, tout le monde devrait être mis à contribution. L'écart, important, reste mais n'augmentera pas.

    Enfin, loin de réduire les dépenses, le gouvernement s'est plutôt engagé à en faire de nouvelles, encore financées par des taxes :le compte pénibilité devrait coûter, selon les estimations officielles, 500 millions € par an, financés par de nouvelles cotisations sociales. Voilà qui devrait aider l'emploi à repartir...

    Sans surprise, si avec cette réforme, le gouvernement compte "économiser" 7,3 milliards d'euros en 2020 pour le régime général (salariés du privé), la très grosse majorité de l'effort viendra donc de cotisations supplémentaires (4,4 milliards, 60%), certaines, tandis que les économies, encore hypothétiques, n'arriveront pas avant 2020, quand l'âge de la retraite augmentera. Le tout, sans réussir à ramener le régime à l'équilibre puisqu'il serait encore en déficit de 300 millions € en 2020, pour ne trouver l'équilibre qu'en 2040.

    Le message en filigrane est clair pour les jeunes : si vous voulez une retraite, mettez de l'argent de côté..."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • FEU VERT POUR LES OGM (arch 2003)

    Une fois de plus, l'Europe cède à la pression américaine. En effet, le Parlement européen a adopté le 2 juillet dernier deux nouveaux règlements sur les organismes génétiquement modifiés, ouvrant la voie à la levée du moratoire demandé il y quatre ans par sept États, dont la France, pour répondre aux inquiétudes croissantes des consommateurs. Avec cette législation, toute présence de plus de 0,9 % d'OGM autorisés par l'UE dans l'alimentation humaine ou animale devra être signalée par une étiquette appropriée et sa traçabilité assurée. De même qu'un seuil de 0,5 % a été toléré pour les OGM non autorisés.
    Même si elle fait l'unanimité, cette législation ne règle pas le problème technique du dépistage des OGM (non identifiables dès que les produits sont chauffés). Elle n'oblige pas à indiquer que les animaux ont été nourris aux OGM et pose le problème de la survie de l'agriculture biologique.
    C'est une victoire à la Pyrrhus car :
    - d'une part, l'Europe cède face à la menace d'une sanction de l'OMC. En voulant préserver l'essentiel (encadrement de la production d'OGM), elle cède sur le principe : elle reconnaît l'OMC comme législateur suprême du commerce mondial et remet en des mains étrangères et non démocratiques le soin de déterminer ses intérêts vitaux et son destin. L'OMC devra juger si cette nouvelle législation levant le moratoire de 1999 n'entrave pas la liberté du commerce, ce que s'efforcerons de démontrer à coup de milliards les États-Unis ;
    - d'autre part, c'est l'aboutissement et le dépassement du projet cartésien de « devenir maître et possesseur de la nature » en s'érigeant créateur d'une « contre-nature » conforme aux intérêts idéologiques et marchands des élites qui nous gouvernent. C'est la réalisation pratique par la technique de tous les projets totalitaires du XXe siècle : bâtir un homme nouveau.
    Sylvie Goddyn FDA août 2003

  • Syrie: quel est l’intérêt de la France?

    Dans un article publié hier sur le site de l’AEMN, l’Alliance européenne des mouvements nationaux (consultable depuis la rubrique Autres actualités sur ce blog) comme dans le tweet qu’il a posté, Bruno Gollnisch a dénoncé l’hypocrisie mensongère des bellicistes occidentaux et de leurs alliés islamistes bien  décidés à briser le régime laïc en place en Syrie, les risques engendrés par une internationalisation du conflit.

     La Coalition nationale syrienne (CNS), largement cornaquée par les  Frères Musulmans, se réjouit de ce que  l’intervention militaire  de l’Oncle Sam  ne serait plus qu’ une question de jours.  La Russie a mis en garde contre celle-ci  sans aval du Conseil de sécurité de l’ONU, estimant qu’elle serait «dangereuse». Un avis partagé par Marine Le Pen et l’ensemble du Front National ; notons encore les fortes réactions de bon sens dans cette affaire d’un Jacques Myard (UMP) ou d’un Jean-Luc Mélenchon (FG).

     Face tu perds, pile je gagne: c’est fort de cet axiome que Washington a pourtant  annoncé qu’il se moquait des résultats de l’enquête de l’ONU  sur les responsables de l’utilisation de gaz toxique à Al Ghouta dans  la périphérie de Damas  le 21 août, accusant sans autres preuves les troupes fidèles à Bachar el- Assad. 

     Avec le même culot et instrumentalisant avec un cynisme particulièrement écœurant l’émotion suscitée par la mise en scène des images des cadavres d’ enfants d’Al Ghouta,   les Etats-Unis expliquent qu’il  ne s’agit pas de renverser le régime mais de le  «dissuader»  de recourir de nouveau aux armes chimiques. Fort de l’appui du fidèle allié britannique et du pusillanime  François Hollande,  plusieurs responsables américains affirment que l’intervention en Syrie  serait limitée à une campagne de frappes  aériennes  pendant  quelques jours qui  pourraient débuter «dès jeudi».

     Dans les faits, la presse française l’a rapportée, des commandos de l«’ Armée syrienne Libre » (ASL)  entraînés et  encadrés par les Américains et bénéficiant de l’aide logistique d’Israël et de la Jordanie,  sont déjà à l’oeuvre dan le sud de la Syrie. Il est évident que  toute attaque contre les infrastructures militaires syriennes bénéficie aux  djihadistes soutenus aussi par le Qatar et l’Arabie Saoudite.

     Bref, au nom du lien de vassalité qui enchaîne notre pays aux Etats-Unis via notre réintégration dans le commandement intégré de l’Otan, voulu par Nicolas Sarkozy et confirmé par François Hollande, ce dernier a donc choisi dans ce conflit, comme l’a rappelé Marine Le Pen hier dans un communiqué, d’aider ici les islamistes… que nos troupes combattent  au Mali. Et d’apporter de facto,  son soutien  aux vœux états-uniens  de remodelage géopolitique de cette région du monde qui irait à l’encontre de nos intérêts.

     Toute cette  propagande grossière déversée sur nos têtes ces derniers mois constate de nouveau Bruno Gollnisch,   est dans le droit  fil des bobards déversés au moment de la guerre d’agression contre la Serbie, au Kosovo, lors de la première et de la seconde guerre contre l’Irak. Cette dernière, comme d’ailleurs l’intervention en Afghanistan,  faut-il  le rappeler, rencontra l’opposition de toutes les opinions publiques des pays européens.  Cela  n’empêcha pas leur gouvernement d’y apporter leur soutien voire d’y envoyer des troupes pour honorer leurs engagements atlantistes.

     Voilà la réalité de la « démocratie » que défendent  les euromondialistes qui nous dirigent. Ils  feignent en outre  d’ignorer aussi que si le régime syrien n’est pas exempt, très loin s’en faut, de reproches et  de critiques  fondées, il est soutenu et plébiscité par la grande majorité de sa population comme défenseur du droit des minorités et rempart contrer la barbarie fondamentaliste. Comment ne pas  croire que faute de ce soutien populaire il serait déjà tombé, comme sont tombés les gouvernements balayés  par le printemps (hiver)  arabe.

    http://www.gollnisch.com/2013/08/28/syrie-quel-linteret-france/

  • 1974, la droite impose l'immigration (MZn°139)

    http://www.youtube.com/watch?v=oHW2p-RYX_Y

  • Un adjoint du maire de Bollène sacrifie sa liberté de conscience

    Communiqué de Marie-Claude Bompard :

    "J'ai reçu, vendredi dernier, à ma demande, deux jeunes femmes qui souhaitaient célébrer leur « mariage », le 10 septembre prochain, à Bollène. Cette demande est régulière au regard de la loi Taubira. Elle me pose, cependant, en ma qualité d'officier d'Etat civil, un douloureux problème de conscience. C'est ce que j'ai expliqué à mes interlocutrices.

    Je leur ai donc affirmé que j'étais moi-même dans l'impossibilité de procéder à cette cérémonie, et qu'il m'est également impossible de déléguer mon pouvoir et ma responsabilité à un conseiller municipal.

    Je leur ai réaffirmé mon attachement au mariage, union d'un homme et d'une femme, qui a pour première finalité l'accueil et l'éducation d'enfants, dont la conception relève, naturellement de l'altérité sexuelle des époux.

    Avec la loi Taubira, les maires réfractaires sont aujourd'hui sous la menace de sanctions lourdes, disproportionnées et illégitimes. Pourtant, la liberté de conscience est garantie par notre Constitution. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que François Hollande avait déclaré « il y a toujours la liberté de conscience », lors du congrès des maires, à l'automne 2012, porte de Versailles. C'est en ce sens que j'ai écrit, ce matin, à Manuel Valls, ministre de l'intérieur.

    Aujourd'hui, le respect de mon droit constitutionnel est bafoué. Depuis samedi dernier, les pressions se succèdent : pression médiatique, pression politique (notamment de la part du parti au pouvoir), pression administrative, pression judiciaire, puisque j'ai appris qu'une enquête préliminaire avait été ouverte, à la demande de la Chancellerie. Des gendarmes se sont d'ailleurs présentés en mairie de Bollène cette après-midi, exigeant une copie du dossier de mariage.

    Ne pouvant m'opposer à l'application de la loi sur le territoire de ma commune, j'ai, par ailleurs, demandé à monsieur le Préfet de Vaucluse, en tant que représentant de l'Etat, de procéder lui-même à cette cérémonie ou de désigner une personne de son choix, comme le prévoit l'article L2122-34 du Code Général des Collectivités Territoriales.

    Cette proposition a été refusée, montrant ainsi que l'Etat préfère que les cérémonies n'aient pas lieu, afin de mieux trainer les maires réfractaires devant les tribunaux ! Outre la destruction du mariage et de la famille, un des objectifs de la loi Taubira est clairement d'écarter les maires libres, réfractaires au Système. Nous en avons un exemple flagrant aujourd'hui, à Bollène.

    En ce qui concerne les demanderesses, c'est un de mes adjoints, lui-même opposé à la loi, qui, à son initiative et pour m'éviter des sanctions, s'est porté volontaire et qui accepte de procéder à cette cérémonie. Je ne peux m'opposer à cette initiative, je n'en délègue pas pour autant mon pouvoir, puisque pour marier, un adjoint n'a nullement besoin d'une délégation spéciale du maire, puisqu'il la détient depuis sa prise de fonction.

    Pour ma part, et avec les nombreuses personnes qui m'ont soutenue, avec de nombreux élus, je continuerai à prendre une part active aux actions organisées afin que la liberté de conscience soit reconnue et mise en œuvre."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Vendée militaire] La destruction de l’église de Gesté en Anjou entre dans le cadre d’un nouveau mémoricide

    "Il faut [...] noter que l’une des régions les plus touchées par les destructions est l’Anjou, et plus particulièrement les Mauges, à savoir un des territoires de la Vendée militaire, très touchés par les persécutions anti-catholiques lors de la révolution. C’est ce qui explique que la plupart des églises de la région furent reconstruites dans les années 1840-1890."

    PATRIMOINE - À Gesté (2 600 habitants), la mobilisation continue pour empêcher la destruction de l’église St-Pierre-aux-liens. Sur le terrain de nombreuses associations de défense se relaient pour empêcher la destruction.

    Dernière initiative en date, une manifestation organisée dimanche 25 août par le collectif St Jacques d’Abbeville et par le Souvenir Chouan de Bretagne :

    Et le reportage du Courier de l’Ouest

    La suite sur NdF

  • Thierry Meyssan - " la guerre imminente contre la Syrie?"


    Thierry Meyssan - " la guerre imminente contre... par zapataguevara

  • LA FAUSSE SOLUTION DES BIOCARBURANTS (arch 2005)

    En décembre, la conférence de l'Organisation Mondiale du Commerce va confirmer la fin programmée du «tout export» chiraquien de nos produits agricoles. Depuis trois décennies, Chirac, à ses divers postes, a engagé l'agriculture de notre pays dans cette voie fatale, qui a profité aux financiers de l'exportation et à une minorité d'exploitants, les plus importants, tout en dépeuplant les campagnes. Aujourd'hui, le gouvernement présente un plan de sauvetage grâce aux biocarburants. Il ne s'agit là que d'un expédient, dont les limites seront vite atteintes.
    Qui profite de la politique que Chirac, qualifié de « nouveau Sully» quand il était ministre de l'Agriculture, il y a plus de trente ans, a constamment privilégiée, livrant nos paysans au palliatif des aides communautaires de Bruxelles ? Même en 2005, c'est un secret d'Etat. Mais on commence à avoir une idée de quelques uns de ces privilégiés. Jusqu'ici, on évoquait, sans trop de précisions, de « gros céréaliers» anonymes. Enfin, un organe économique, La Tribune, a publié une liste de 24 bénéficiaires des fameuses aides. Une liste étonnante, car elle ne comporte ni noms, ni localisations! Il paraît que la loi «Informatique et Libertés» s'y oppose. Or, chez nos voisins, on ne prend pas autant de précautions.
    Des paysans couronnés
    En 2004, une poignée de très gros propriétaires de terres agricoles ont touché des sommes de 800 000, 700 000, 600 000 €, pour des produits en général exportés massivement. Vu la taille de leurs domaines, ils n'exploitent évidemment pas eux-mêmes. Leur identité est masquée. Une seule s'est fait connaître, il s'agit du prince Albert de Monaco qui, en tant qu'agriculteur, a perçu 300 000 € de Bruxelles. Il fait pâle figure à côté de la reine Elisabeth, avec 1,1 million. A ces exemples, qui ne sont pas les seuls, on constate que les bénéficiaires sont de curieux paysans qui jouissent d'un système mortel pour l'agriculture européenne.
    Au-delà des personnalités du gotha, l'opacité est totale. Tout au plus. sait-on que 10 % des agriculteurs empochent la moitié des subventions de la Politique Agricole Commune. Mais la volonté américaine, répercutée par l'OMC, de diminuer drastiquement, voire de supprimer complètement, les exportations de produits européens, sonne le glas de la manne bruxelloise. Par quoi ! la remplacer? Chirac a trouvé : cherté des carburants minéraliers aidant, les biocarburants, tirés de végétaux sont tout indiqués. Le cas du Brésil est cité en permanence à ce sujet.
    153 000 € par emploi!
    Toutefois, le Brésil n'est pas l'Europe, la canne à sucre n'est pas le diester ou l'éthanol. En pleine opération promotion de Chirac et du gouvernement sur le sujet, un rapport "pavé dans la mare" a éclaboussé les officiels et leurs promesses de subventions. D'ici 2010 Matignon veut multiplier par dix la production de biocarburants en France. Il en résulterait, nous dit-on, 26 000 créations d'emplois. Le rapport, rédigé par trois organismes (le Conseil général des Mines, l'Inspection des Finances, le Conseil du Génie rural), a dévoilé que, dans le meilleur des cas, les emplois en question seraient maintenus, et non pas créés. La charge pour le contribuable atteindrait un montant fabuleux, par emploi maintenu, de 153 000 € (!) par le biais d'une taxe spéciale et d'une mesure dite de «défiscalisation», fiscalisant en fait l'ensemble des contribuables.
    Ce n'est pas tout. Les biocarburants coûtent environ 250 à 300 % plus cher que les produits pétroliers. Il faudrait une hausse rapide et carabinée de l'or noir pour que l' affaire commence à devenir intéressante. Or, le pétrole a tendance à se stabiliser ces derniers temps, et nul ne sait de quoi l'avenir sera fait. Par ailleurs, l'emploi des biocarburants suppose l'adaptation des véhicules, la coopération des compagnies de distribution, etc .. Le «pétrole vert» est censé couvrir 2 millions d'hectares en 2010.
    L'opération est lancée, sans que les garanties techniques de sa réussite aient été prises. Enfin, et là le silence est total, rien, au contraire, n'interdit aux pays du tiers monde d'exporter massivement vers la France des biocarburants que, système européo-mondialiste aidant, nous serons obligés d'accepter, et qui rendront très aléatoire la vente du pétrole· vert national, même hypersubventionné.
    Alexandre MARTIN National Hebdo novembre 2005

  • 2012 : 193 000 immigrés en France dont 17 000 pour travailler

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "En 2012, 193 655 personnes ont immigré légalement en France : 86777 au titre du regroupement familial, 59152 pour étudier, 18842 pour raisons humanitaires, 16921 seulement pour travailler et 11 963 pour d’autres motifs."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/