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lobby - Page 2231

  • Quand Taubira rêve d’imposer le délit de blasphème…

    Sans surprise, nos vaillants députés européens ont donc levé l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Celle-ci, comme tant d’autres avant elle (Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, plus modestement Pascal Hilout et moi-même), bientôt Ivan Rioufol, devra donc s’expliquer devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

    Sans surprise, nos vaillants députés européens ont donc levé l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Celle-ci, comme tant d’autres avant elle (Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, plus modestement Pascal Hilout et moi-même), bientôt Ivan Rioufol, devra donc s’expliquer devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

    Il n’est pas inutile de rappeler le mécanisme qui a permis cette décision partisane, qui fait de plus en plus ressembler le Parlement de Bruxelles au Politburo à l’époque du stalinisme triomphant.

    Ce sont d’abord les cerbères de l’antiracisme, MRAP et LDH en tête, qui ont déposé plainte contre la présidente du Front national, qui avait osé protester contre les prières musulmanes illégales dans les rues, en évoquant une « occupation ».

    Ce fut ensuite le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF) qui a relayé cette plainte.

    Pierre Cassen - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le fondateur de SOS-Racisme craint une défaite idéologique

    Julien Dray est un homme clé de l’idéologie dominante.
    Trostkyste, ancien de la Ligue communiste révolutionnaire, fondateur de SOS-Racisme, il a construit l’idéologie antiraciste dans les années 1980. Dans un entretien au Monde il fait part de son inquiétude face à une possible défaite idéologique de son camp, qui doit faire face à « des rapprochements liés à des angoisses, à des inquiétudes, à la volonté de défendre cette identité white face à “cette France qui fout le camp”, ce sentiment qu’”on n’est plus chez nous” ». Un document brut pour aider à comprendre le grand désarroi du camp cosmopolite face aux mouvements de fond de la société française.
    Polémia.

    Membre du Parti socialiste depuis 1981, député de l’Essonne de 1988 à 2012, Julien Dray est vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, chargé de la culture. Il a participé à la fondation de SOS-Racisme, avec Harlem Désir, l’actuel premier secrétaire du PS. Pour lui, « le défi qui est posé à la gauche, c’est de promouvoir un modèle de société » qui défende « un monde libre, métissé, mais rassurant, car adossé à un combat pour un ordre social juste. »

    Division de la gauche, scandale Cahuzac, absence de résultats économiques… Les raisons avancées par les socialistes quant à la défaite lors de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) vous semblent-elles satisfaisantes ?
    Une explication est exacte : si la gauche éliminée au premier tour n’avait pas appelé à faire barrage au candidat du FN, il aurait été élu. Mais c’est insuffisant.
    Ce que démontrent les partielles et les processus politiques en cours, c’est qu’il y a une dynamique de rassemblement de l’électorat de la droite et du FN qui dépasse les frontières territoriales des partis. C’est pourquoi le PS doit maintenant analyser ces processus, et ce qui s’est notamment passé cette année à travers la mobilisation contre le mariage pour tous.

    Ce mouvement aurait donc cristallisé encore un peu plus la fusion des électorats ?
    Dans la rue, les barrières sont tombées, des gens ont défilé côte à côte, de nouvelles générations ont appris à vivre ensemble dans ces manifestations. Cela crée des solidarités, des réciprocités. Toutes les préventions qui existaient auparavant s’effacent devant ce « combat commun ». Marion Maréchal-Le Pen, par exemple, était très à l’aise dans ces manifestations, nombre de jeunes la considérant comme partie prenante du mouvement, à l’inverse de sa tante Marine Le Pen, plus distante.
    Il y a aujourd’hui des rapprochements liés à des angoisses, à des inquiétudes, à la volonté de défendre cette identité white face à « cette France qui fout le camp », ce sentiment qu’« on n’est plus chez nous » et qu’il est temps de réaffirmer quelque chose. C’est là que la différence entre droite et extrême droite s’estompe.

    Ce phénomène est-il vraiment nouveau ? Le plus significatif, n’est-ce pas l’installation du FN au second tour ?
    Avant, on regardait l’extrême droite comme dangereuse pour la démocratie. Cette idée l’emportait sur ce sentiment d’abandon moral, économique et social. Ce n’est plus le cas. Un rapprochement identitaire s’effectue, qui dépasse appareils et personnalités politiques.
    La manière dont Patrick Buisson met en avant l’idée, pour la première fois, d’un mouvement social catholique ou le score du courant de la Droite forte, à l’UMP, sont révélateurs de cela. La campagne improvisée de Nicolas Sarkozy en 2012, qui fut une fuite en avant pour rattraper une partie de l’électorat d’extrême droite, a brisé toutes les frontières. Et la continuité de cela, c’est le fameux « ni-ni » de M. Copé.

    Ces électeurs de gauche qui ont voté FN au second tour vous inquiètent-ils ?
    Cela existe de manière marginale, chez des électeurs qui ont une relation plus distante avec la gauche. Mais cela reste encore très minoritaire. Le cœur du processus se situe dans la fusion qui s’opère entre les électorats de droite et d’extrême droite. Et là, comme toujours, la force va à la force. Surtout quand la résignation abstentionniste s’installe dans l’électorat de gauche.

    La réponse des socialistes vous semble-t-elle à la hauteur ?
    Il ne faut pas abandonner l’argumentation selon laquelle le FN constitue un danger pour la démocratie, un parti d’apartheid social. Mais si l’on est uniquement défensif, si l’on en reste à l’incantation d’un discours républicain qui donne aujourd’hui le sentiment de n’être plus opératoire, si l’on se contente du point Godwin, nous risquons une grave défaite. Nous sommes dans une bataille idéologique, une bataille d’identité. Ce mouvement est fort, mais il n’est pas majoritaire, loin de là, dans la société. Or, s’il n’y a rien en face, il va le devenir, car il va attirer les franges les moins politisées de l’électorat de gauche, qui sont davantage dans le vote protestataire, et moins dans le réflexe de fidélité à la gauche.

    Mais alors comment, précisément, constituer un pôle de résistance à cette dynamique
    Le défi qui est posé à la gauche, c’est de promouvoir un modèle de société qui réponde à ces questions existentielles : est-ce que la France existe encore ? N’est-elle pas devenue une « sous-nation » ? La politique peut-elle encore quelque chose ? La gauche actuelle, si elle veut encore avoir un rôle positif, doit relever ce défi. Défendre un monde libre, métissé, mais rassurant, car adossé à un combat pour un ordre social juste. La première réponse à la montée du FN, en 1984, c’étaient les manifestations antifascistes. Mais c’est dans un phénomène culturel, Touche pas à mon pote, qu’on a gagné la bataille. SOS-Racisme portait un projet de société : le vivre-ensemble.

    N’y a-t-il pas une forme de déni, dans la majorité et l’exécutif, devant ce qui ressemble de plus en plus à une irrésistible ascension du FN ?
    Il y a certainement une angoisse face à cette réalité, car elle va impliquer de profondes réflexions et remises en cause de certaines politiques actuelles en France et en Europe. Mais il y a aussi une leçon rafraîchissante : sans unité de la gauche, pas d’avenir. Aucun. On ne s’en sortira pas si une partie de la gauche continue à faire le procès de l’autre partie. Le processus de substitution d’une gauche à une autre, auquel certains ont cru, ne marchera pas.
    Propos recueillis par David Revault d’Allones
    Le Monde
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/07/01/julien-dray-le-rapprochement-de-la-droite-et-du-fn-depasse-les-partis_3439387_823448.html
    1/07/2013

    http://www.polemia.com/

  • Hollande nous prépare l’euthanasie pour tous !

    Réuni lundi à la demande de François Hollande, le Comité consultatif national d’éthique s’est penché sur la question de la « fin de vie », et notamment du « suicide assisté ». À la majorité de ses membres, il a exprimé des « réserves majeures » et recommande « de ne pas modifier la loi actuelle » en matière de suicide assisté, « considérant que le maintien de l’interdiction faite aux médecins de provoquer délibérément la mort protège la personne en fin de vie ». Ce même jour, François Hollande en visite dans un hôpital du Morbihan a annoncé un nouveau projet de loi sur « la fin de vie » avant la fin de l’année, afin de « compléter et améliorer » la loi Leonetti. 

                 « Compléter et améliorer »… On voit ça d’ici. La vérité est qu’en dépit de l’avis circonspect du CCNE et autres éminences grises courtoisement sollicitées — un avis purement « consultatif » —, la machine est déjà en branle. Les propositions de campagne « tenables » par le gouvernement sont trop rares pour qu’il puisse s’offrir le luxe de les laisser de côté. Voici donc venir à pas feutrés l’euthanasie pour tous.

                 La technique est éprouvée : on fait appel à des sages, on fait assaut de prudence, on pose des garde-fous que l’on jure, dur comme fer, inamovibles. Parallèlement, on invente un nouveau champ sémantique aux effets sédatifs (l’euthanasie devient « accélération de la fin de vie » ou « acte létal compassionnel ») et l’on dresse un décor propre à vous tirer les larmes : combien de Vincent Humbert cloués dans leur lit de douleur, de Chantal Sébire au faciès d’Elephant Man va-t-on voir instrumentalisés dans les prochains mois ?

                 Vient ensuite le temps de l’accusation : qui êtes-vous, qui galopez comme des lapins de garenne et ne souffrez d’aucune disgrâce, pour refuser égoïstement à moins chanceux que vous le droit de mourir dans « le respect et la dignité » ? (Qui étiez-vous, il y a quelques mois, féconds hétéros, pour refuser la joie de se marier et d’enfanter à des homos ?) Quand l’émotion aura porté le coup de grâce à la raison, la partie sera gagnée. Ou pas.

                Car il n’est pas impossible que ceux qui se sont, ces dernières semaines, battus comme des braves pour les droits de l’enfant rejoignent ce nouveau front. Mieux organisés. Moins naïfs. Plus « conscientisés ». Pour les droits des vieillards et des malades, cette fois. Pour que personne ne fasse sauter le premier verrou de cette boîte de Pandore que serait le suicide assisté. Pour libérer les mots de « respect » et de « dignité » confisqués par l’hypocrisie. Ne sont-ils donc pas dignes, ces vieillards, ces grands malades qui ont le courage d’aller jusqu’au bout du chemin ? Le premier respect que nous leur devons n’est-il pas de les entourer, et, lorsqu’ils nous demandent « d’abréger leurs souffrances », d’abréger vraiment leurs souffrances — et non leur vie — par des soins palliatifs plus efficaces et développés ?

                Au centre du débat sur l’euthanasie, il y a la valeur de la vie : d’absolue, elle devient relative. Certaines fins de vie mériteraient d’être vécues, d’autres pas. Le problème épineux étant de fixer les critères. Ah ça, foi de Hollande, ils seront drastiques : rien que des Chantal, des Vincent, des vieillards cacochymes et des cancéreux incurables qui en auront fait la demande. Comme en Belgique… enfin, au tout début. Là-bas, l’euthanasie est maintenant en passe d’être étendue aux mineurs « dont la capacité de discernement est attestée ». Parce que la capacité de discernement, c’est vraiment ce qui caractérise le mieux les mineurs !

    http://actionfrancaise.beaune.over-blog.com/

  • La Hongrie dans le collimateur de l'UE

    Le Parlement européen a adopté, par 370 voix contre 249 et 82 abstentions, le rapport du député Vert portugais Rui Tavares, qui s’en prend à la Hongrie. Viktor Orban est venu se défendre sur place, soulignant que ce rapport faisait peser la menace d’une mise sous tutelle de l’UE par un organisme qui n’est pas prévu dans le traité, une commission qui briserait l’équilibre des pouvoirs entre les institutions européennes et les Etats membres.

     

    « Ce rapport est très injuste envers la Hongrie, très injuste envers le peuple de Hongrie. Vous y appliquez le deux poids deux mesures. (…) J'ai vécu le sort de l'Europe centrale, je sais ce que c'est que de ne pas être en mesure de gérer sa propre vie parce que d'autres décident pour vous. Nous savons ce que cela représente quand l'indépendance nationale est foulée aux pieds. »

    « Il faut lutter contre ceux qui veulent transformer l'Union européenne en nouvel empire ».

     

    L'UE ne pardonne pas à Viktor Orban d'être pro-vie et d'avoir modifié la Constitution,  désormais centrée sur l’identité chrétienne.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une chanson pour Nicolas et tous les prisonniers politiques

     Une chanson dédiée à Nicolas et aux prisonniers politiques.

    Cette chanson a été mise en ligne par les Hurluberlus sur la plateforme de partage YouTube. Intitulée « Prisonnier politique », elle mêle voix d’homme et de femme (cela devient subversif, par les temps qui courent, mais la parité est respectée...) pour raconter la répression policière qui s’est abattue sur notre beau pays la France qui passe de moins en moins pour une république bananière et de plus en plus pour une république populaire. La condamnation inique du jeune Nicolas est au cœur de la chanson.

    Nul doute que nombre de nos lecteurs, notamment les étudiants, se reconnaitront pleinement dans ces paroles. Un grand bravo au groupe !

    Lois Spalwer   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Rééquilibrage des comptes sociaux? CMU-C, AME et ACS : revalorisation exceptionnelle du plafond de ressources

    Un décret du 17 juin 2013 revalorise les plafonds de ressources prises en compte pour l’attribution des dispositifs suivants à partir du 1er juillet 2013 :

    • couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et aide médicale de l’État (AME) : 8 592,96 € pour une personne seule,
    • aide à l’acquisition d’une couverture maladie complémentaire : 11 600,49 € pour une personne seule.

    Publics concernés :

    bénéficiaires de la protection complémentaire en matière de santé (CMU-c) ; bénéficiaires de l’aide au paiement d’une assurance complémentaire de santé (ACS) ; bénéficiaires de l’aide médicale de l’Etat (AME).

    Objet : revalorisation du plafond de ressources de la protection complémentaire en matière de santé.

    Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er juillet 2013.

    Notice : le décret procède à la revalorisation annuelle du plafond des ressources prises en compte pour l’attribution de la protection complémentaire en matière de santé.

    Il opère, en plus de la revalorisation annuelle pour tenir compte de l’inflation prévue par la loi, une revalorisation exceptionnelle prévue dans le cadre du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale

    adopté, le 21 janvier 2013, lors du comité interministériel de lutte contre les exclusions. Le plafond de ressources annuel sera fixé à 8 592,96 euros pour une personne seule à compter du 1er juillet 2013. En application de l’article L. 251-1 du code de l’action sociale et des familles, ce plafond est également applicable pour le bénéfice de l’aide médicale de l’Etat. Enfin, en application de l’article L. 863-1 du code de la sécurité sociale,

    le plafond annuel pris en compte pour le bénéfice de l’assurance complémentaire de santé est fixé à 11 600,49 euros pour une personne seule à cette même date.

    Références : les dispositions du code de la sécurité sociale modifiées par le présent décret peuvent être consultées, dans leur rédaction résultant de cette modification, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).

    Le Premier ministre,
    Sur le rapport de la ministre des affaires sociales et de la santé,
    Vu le code de la sécurité sociale, notamment l’article L. 861-1 ;
    Vu l’avis du conseil central d’administration de la Mutualité sociale agricole en date du 6 mai 2013 ;
    Vu l’avis du conseil de la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés en date du 30 avril 2013,
    Décrète :

    Le premier alinéa de l’article D. 861-1 du code de la sécurité sociale est remplacé par les dispositions suivantes :
    « Le plafond annuel prévu à l’article L. 861-1 est fixé à 8 592,96 € pour une personne seule. »

    Les dispositions du présent décret entrent en vigueur au 1er juillet 2013.

    Le ministre de l’économie et des finances, la ministre des affaires sociales et de la santé, le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé du budget, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

    Fait le 17 juin 2013.

    La ministre des affaires sociales et de la santé,

    Marisol Touraine

    Le ministre de l’économie et des finances,

    Pierre Moscovici

    Le ministre de l’agriculture,

    de l’agroalimentaire et de la forêt,

    Stéphane Le Foll

    Le ministre délégué

    auprès du ministre de l’économie et des finances,

    chargé du budget,

    Bernard Cazeneuve

    legifrance.gouv.fr

    http://fortune.fdesouche.com

  • Plus fort que les écolos : Un député UMP veut limiter à 4 le nombre d'enfants par famille

    Alors comme nous ne sommes pas (encore) en Chine, où les femmes sont stérilisées de force, il propose de limiter les allocations familiales jusqu’au 4e enfant ! Le député UMP Philippe Armand Martin a laissé ses coordonnées à la fin de ce courrier :

  • Quand les députés socialistes trichent à l'assemblée - Mariage gay

  • Marine Le Pen poursuivie : le retour du délit d’opinion…

    Étrange pays que le nôtre. Où il est permis de tout faire, mais dans lequel on ne peut plus rien dire.

    Tout faire ? Oui, ou presque. Détrousser les passagers d’un train de banlieue. Vendre de la drogue sous le nez de la maréchaussée. Casser la gueule de ses professeurs. Caillasser des bus emplis de travailleurs. Exposer une effigie du Christ dans un pot de chambre ou un homard gonflable au château de Versailles. Inséminer une femme pour ensuite se partager l’enfant entre oncle et tante. Brûler des voitures dans la rue et même bloquer la circulation de cette dernière par des musulmans priant en masse.

    Tout dire ? C’est une autre affaire. Marine Le Pen en sait quelque chose, dont l’immunité parlementaire vient d’être levée au Parlement européen. Son seul crime, rappelons-le, consiste précisément à avoir dénoncé, en 2010, l’occupation de ces rues du XVIIIe arrondissement parisien. Motif du délit, avoir seulement dit ceci : « Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c’est une occupation du territoire. […] Certes, il n’y a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

    À lire ici http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/marine-le-pen-poursuivie-le-retour-du-delit-dopinion,28898