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lobby - Page 2356

  • A-t-on encore le droit de débattre ?

    A-t-on encore le droit de débattre ? La France serait-elle encore la France sans sa sacro-sainte liberté d’expression ? À l’évidence non. À quelques lois Pleven ou Rocard-Gayssot près, on peut dire tout ou son contraire sans trop de risques judiciaires. Mais la France, pays auto-proclamé des droits de l’homme, est-elle aussi celle du débat d’idées ?

    L’islam, ses œuvres et ses collabos, par exemple… Vaste sujet, n’est-ce pas ?

    Si on n’a jamais pu prouver, malgré bien des affirmations, la réalité de la mythique Cinquième Colonne avant-guerre – supposée préparer les esprits à l’entrée de la Werhmacht en France – il est certain que la chasse est aujourd’hui ouverte aux collaborateurs supposés de l’islam… Sus à ceux qui prépareraient l’avènement de la charia dans les mœurs et coutumes de la France, ancienne fille aînée de l’Église, en passe d’être proclamée future houri(1) voilée de la Mosquée.

    À une place remarquée au premier rang dans cette Cinquième Colonne mahométante, mon ami et complice Nicolas Gauthier, ex-directeur de Flash Infos magazine, obligé de rappeler régulièrement ses longues collaborations à Minute, National Hebdo ou Le Choc du Mois, et de revendiquer haut et fort son catholicisme, pour faire oublier que sa fort peu seyante barbe n’est en rien la preuve d’une quelconque conversion à une autre religion du désert.

    Il publie désormais régulièrement sur le site Boulevard Voltaire(2), avec un style qui doit beaucoup à Auguste Le Breton et à Michel Audiard, des chroniques souvent iconoclastes(3)… Ses dernières sur l’islam n’ont pas manqué d’énerver plus d’un lecteur (dont quelques-uns, à l’évidence, semblent le lire avec un masochisme certain à les en croire…

    Dans ses récents propos – Peut-on encore parler de l’islam en France ? – il dénonce avec humour tous les poncifs de l’islamophobie militante(4)… À sa lecture, je savourais à l’avance les commentaires qu’allaient lui infliger les lecteurs outrés par ses propos… Bingo ! la quasi-totalité des commentaires furent apocalyptiques – l’un même lui promettant les affres d’un « supplice oriental »(5) pour juste châtiment de ses écrits –, mais tous d’une telle bêtise, d’une telle absence d’arguments, d’un tel dénuement de réflexion, qu’ils vous feraient dramatiquement désespérer de la nature humaine.

    On peut certes ne pas être d’accord avec cet enquiquineur revendiqué de Nicolas Gauthier, non sur les arguments qu’il avance et qui sont plutôt frappés au coin du simple bon sens, me semble-t-il, mais sur la nécessité de rappeler AUSSI les dangers éventuels de la propagation dans notre pays d’une religion qui, devenue majoritaire, y bafouerait fort probablement la laïcité, meilleure garante de nos libertés individuelles, dont, la première d’entre toutes, celle de conscience.

    Mais c’est là l’heureuse surprise que nous réserve le site fondé par les Ménard, mari et femme, qui permet dans le même temps de lire des chroniques d’avis parfaitement contraires à celui de Nicolas Gauthier… et qui, elles, apportent quelques arguments nécessaires au débat dans un style tout aussi passionné que le sien.

    Citons, entre autres, celles sur l’impérative obligation d’être islamophobe développé par Benoit Rayski(6) ou encore celle de Christine Tasin(7), suspectant de « stupidité et d’ignorance » Frigide Barjot, gourou controversé de la « Manif pour tous », taxée d’« idiote utile de l’islam » pour sa participation, ce week-end au congrès de l’UOIF(8)…

    Pour le plus grand bonheur de quelques inconditionnels de la liberté d’expression dont je fais partie, et pour la plus extrême irritation (euphémisme !) de tous les talibans de la pensée, on en finirait par croire – encore et quand même ! – dans la nature humaine. C’est dire…

    Philippe Randa http://www.voxnr.com

    Notes :

    1) Houri : Nom de beautés célestes qui, selon le Coran, seront dans le paradis les épouses des musulmans fidèles.

    (2) Boulevard Voltaire : le cercle des empêcheurs de penser en rond : www.bvoltaire.fr.

    (3) Iconoclaste : personne qui détruisait les images saintes au VIIIe siècle.

    (4) « A-t-on encore le droit de ne pas être islamophobe ? » et « Riposte laïque m’a convaincu : je suis islamophobe ! » par Nicolas Gauthier.

    (5) Châtiment qui commence si bien et se termine si mal comme rappelé (entre autres) très justement dans le film Liberté, Égalité, Choucroute du regretté Jean Yanne.

    (6) « On a le devoir d’être islamophobe ! » par Benoit Rayski, journaliste, fils d'Adam Rayski, responsable de la section juive au sein des Francs-tireurs et partisans/Main d'œuvre immigrée, mouvement du PC clandestin pendant la Résistance.

    (7) « Frigide, de plus en plus barjot de l’islam ! » par Christine Tasin, Présidente de Résistance Républicaine.

    (8) Union des organisations islamiques de France.

  • Méridien Zéro - Combien nous coûte l'immigration ?

  • Les aveux de Cahuzac sur son propre site

    Sur son site personnel, prenant les devants avant que les preuves et les accusations ne l’y contraignent, Jérôme Cahuzac a préféré reconnaitre les faits qui lui sont reprochés. Texte intégral.
    « 
    Par lettre du 26 mars 2013, j'ai demandé à Messieurs les juges d'instruction Roger Le Loire et Renaud Van Ruymbeke de bien vouloir me recevoir afin que, délivré des obligations de ma fonction, je puisse enfin donner les explications qui s'imposent au regard de la détention à l'étranger d'un compte bancaire dont je suis le bénéficiaire depuis une vingtaine d'années.
    J'ai rencontré les deux juges aujourd'hui. Je leur ai confirmé l'existence de ce compte et je les ai informés de ce que j'avais d'ores et déjà donné les instructions nécessaires pour que l'intégralité des actifs déposés sur ce compte, qui n'a pas été abondé depuis une douzaine d'années, soit environ 600.000 €, soient rapatriés sur mon compte bancaire à Paris.
    À Monsieur le président de la République, au Premier ministre, à mes anciens collègues du gouvernement, je demande pardon du dommage que je leur ai causé. A mes collègues parlementaires, à mes électeurs, aux Françaises et aux Français j'exprime mes sincères et plus profonds regrets. Je pense aussi à mes collaborateurs, à mes amis et à ma famille que j'ai tant déçus.
    J'ai mené une lutte intérieure taraudante pour tenter de résoudre le conflit entre le devoir de vérité auquel j'ai manqué et le souci de remplir les missions qui m'ont été confiées et notamment la dernière que je n'ai pu mener à bien. J'ai été pris dans une spirale du mensonge et m'y suis fourvoyé. Je suis dévasté par le remords.

    Penser que je pourrais éviter d'affronter un passé que je voulais considérer comme révolu était une faute inqualifiable. J'affronterai désormais cette réalité en toute transparence. »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • [Diaporama] Montebourg a été bien reçu à Marseille

    Le diaporama suivant montre que le ministre Montebourg a été bien reçu à la gare St Charles de Marseille par les opposants à la loi Taubira, parmi lesquels des militants d’AF.

    Le texte qui suit est extrait du site du journal "La Provence".

    Le Diaporama et la suite de l’article sur L’AF Provence

    http://www.actionfrancaise.net

  • Allocations familiales : l’Etat s’en prend aux familles !

    L’une des recommandations les plus fortes que le président délégué du Haut Conseil de la famille a pu faire au président de la République consiste à baisser les allocations familiales de familles ayant dépassé un certain seuil de revenu.

    « Les plus riches continueraient de percevoir ce type d’aides mais à un niveau inférieur à celui accordé aux ménages moins aisés. L’objectif est de donner davantage aux familles les plus modestes, tout en rétablissant l’équilibre financier de la branche famille« , commente ainsi le quotidien Le Monde.

    Sous couvert des meilleures intentions, et notamment d’équité, le gouvernement, qui s’apprête à baisser les allocations familiales pour financer son budget, confond simplement… aides sociales et politique familiale ! Et pour cause, les valeurs familiales et l’exigence d’une politique nataliste sont des notions complètement étrangères à la culture politique socialiste.

    Il serait de loin préférable,  à l’école socialiste, de réduire la CMU pour les dealers roulant en Mercedes… Ou encore de réduire les aides sociales à ceux qui cumulent des milliers d’euros sur le dos du contribuable… Ainsi que commente un internaute sur facebook : « Avec Les socialistes, c’est deux poids-deux mesures, c’est « touche-pas à ma clientèle.. » et l’intérêt général se limite vite à l’intérêt des bobos du Marais, embourbés dans leur idéologie écervelée de mai 68 !! »

    http://www.contre-info.com/

  • [Lu sur le Net] Immigration : cela sera bientôt humainement insupportable !

    Paris (via Boulevard Voltaire) - Pâques aux tisons… Donnant un sens plus que macabre au dicton, le week-end pascal aura enchaîné les incendies dramatiques.

    À Saint-Quentin, c’est l’horreur absolue pour un père qui perd ses cinq enfants dans l’embrasement de sa maison. À Aubervilliers (trois morts et une dizaine de blessés, dont quatre graves), on découvre malheureusement un scénario devenu habituel dans les quartiers populaires de Paris et la banlieue. Et la nuit suivante, dans le même département de Seine-Saint-Denis, le feu détruit, à Bobigny, 500 m2 de baraquements d’un campement de Roms, déjà incendié huit jours plus tôt. Et tout le monde de nous servir l’éternel couplet sur la misère, comme si la pointer du doigt là où elle crève les yeux suffisait à l’analyse et au règlement du problème.

    À Aubervilliers, les médias tentent bien d’appliquer la grille de lecture pour le prêt-à-penser, celle du méchant propriétaire qui prospère sur le dos du pauvre monde en laissant courir les rats. Mais madame Duflot, pourtant peu avare de clichés à la Daumier, ne marche plus dans ce coup-là. Ceux qui s’en sont tirés racontent : les squats, la drogue, la prostitution et ce qui les accompagne, bagarres et règlements de compte.

    (…)

    Pour le reste, pour les clandestins, pour les squats, pour les Roms et leurs cloaques, silence.

    Qui va dire aux Français et à leurs voisins européens encore prospères que ce n’est que le début ? Que fatalement, la misère et le rêve d’un mythique eldorado vont jeter sur les routes des vagues de plus en plus fournies d’immigrés qui vont venir s’écraser aux portes de nos villes ? Qui va dire que cela sera bientôt humainement insupportable ?

    (…)

    Pour lire l’article sans son intégralité

    http://fr.novopress.info

  • Il persiste et signe – par Alain de Charente

    Lors de sa prestation en forme d'oral de rattrapage au vu de son bilan pour le moins calamiteux et sanctionné par une cote de popularité en chute libre, François Hollande a cherché à rassurer le Peuple en tentant de lui expliquer que le soleil se lèvera un peu plus tard que prévu car il n'est pas président depuis dix ans, mais seulement depuis dix mois...
    Il aura consacré beaucoup de son temps de parole aux questions économiques et européennes, ce qui n'est pas aberrant dans la mesure où la situation est particulièrement critique mais, interrogé sur les sujets de société et notamment celui de la loi dite du « mariage pour tous », il a préféré éluder rapidement la question en tentant de nous faire croire que cette loi n'aurait strictement aucun impact sur le devenir de la conception de la famille, la PMA n'étant pas inscrite dans le texte et laissée à l'appréciation d'un comité d'éthique, et la GPA ne devant pas voir le jour, du moins sous son quinquennat et quand à l'adoption par des couples de même sexe… silence radio...
    Cette fin de non-recevoir en forme de dédain confirme que le chef de l'État reste obstinément sourd à la colère du Peuple et que la phénoménale participation citoyenne à la manifestation Parisienne du 24 mars est pour lui insignifiante et ne représente rien, ce qui non seulement est un déni caractérisé de démocratie, une injure faite au Peuple, mais aussi une colossale erreur stratégique politique, car si cette manifestation populaire a  mobilisé toute cette foule venue massivement de tous les horizons (géographique, politique, spirituel....) elle ne représente en fait que la partie émergée de l'iceberg et qu'en conséquence, si le chiffre annoncé de 1.400.000 par les organisateurs et même porté à 1.800.000 par une source « bien informée » doit être retenu, cela sous-entend qu'au niveau national celui-ci doit être multiplié à minima par 10 si l'on veut rester dans la métaphore et les proportions des glaçons arctiques...
    Beaucoup de personnes ont pu se déplacer sur Paris depuis les provinces les plus reculées comme en attestaient les pancartes brandies, mais d'autres, plus nombreux encore n'auront pu faire le voyage pour différents motifs (financier, contraintes familiales, indisponibilité physique, absence du territoire, au travail le dimanche.....) et donc si l'ensemble des citoyens hostiles à cette loi hystérique, dangereuse, idéologique, inutile et non prioritaire avaient convergé vers les Champs-Élysées dimanche dernier, nul doute que Paris aurait été le théâtre d'un déferlement humain tsunamique qu'il aurait été impossible de canaliser et encore moins de maîtriser...
    Le président « normal » préfère donc ignorer ce troisième coup de semonce pourtant particulièrement audible qui vient de lui être adressé et il vient de prendre un risque énorme car devant le succès grandissant de ce mouvement de contestation, il n'y a aucune raison pour les organisateurs de ne pas enfoncer le clou et surfer sur cette incontestable victoire, même si l'annonce du retrait de cette loi ou l'annonce d'un référendum étaient les objectifs de cette manifestation et que ce souhait n'a pas été exaucé lors de la prestation télévisée...
    Il faut donc s'attendre à une nouvelle action qui devant l'absence de compréhension du pouvoir visiblement autiste risque d'être nettement moins bon enfant et pourrait prendre une tournure beaucoup plus agressive, plus musclée, ce qui pourrait nous entraîner dans un processus d'escalade, les  violences policières en marge de la journée du 24 contre des citoyens pacifiques ayant été perçues à juste titre comme une atteinte à une liberté fondamentale, celle d'exprimer son avis et de contester une décision estimée dangereuse...
    Rien n'interdit de penser que cette journée du 24 mars de l'an 2013 ne devienne une référence historique et ne figure prochainement dans les manuels scolaires d'Histoire à la rubrique « les Révolutions Françaises, de 1789 jusqu’à nos jours».......
    La fronde s'installe, la colère enfle, tous les ingrédients sont là pour aboutir à une iurrection sans doute nécessaire puisque l'option « zen » et diplomatique ne donne aucun résultat satisfaisant et que le mépris l'emporte sur la raison...

  • Olivier Delamarche : « Il faut que le mouton se tienne tranquille »

    Olivier Delamarche, du groupe Platinium Gestion, le 02 avril 2013 sur BFM Radio, met les points sur les i, dans l’émission “Intégrale Placements“, face à Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur.

    « C’est beaucoup plus facile de tondre quelqu’un qui ne bouge pas, que quelqu’un qui est en pleine panique – Restez tranquilles le temps qu’on aiguise les couteaux et qu’on vous tonde – Suicidons-nous très vite, ça règlera les problèmes. »

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Avoir raison, c’est parfois démoralisant – par Le Crieur du Cœur

    Être apparemment prophétique, ce n’est jamais de tout repos. Mais lorsqu’il ne s’agit pas d’un don surnaturel, bien au contraire, de conclusions tirées d’une grande expérience pratique, visuelle assortie du résultat d’analyses exhaustives des situations vécues, il est alors attristant de voir se vérifier le vieil axiome : « Nul n’est prophète en son pays ».
    Surtout lorsque l’on voit des « leaders » que l’on espérait lucides, négliger allègrement les avis des membres de leur parti, et oublier cette vérité incontestable, qui pourtant rappelle que, toujours, dans tous les cas, en toutes circonstances, « Entre deux maux, il faut choisir le moindre », car sinon c’est effectivement la pire des deux possibilités qui ne tarde pas à s’affirmer.
    Et ce, surtout en politique, car l’on devrait savoir que les partisans de la pire politique se persuadent qu’ils ont raison, et que par conséquent tous les moyens leur sont justes pour garder le pouvoir qu’ils ont pris ou usurpé à grands élans de promesses fallacieuses.¢
    Contrairement au proverbe français « Gouverner c’est prévoir », les Anglais, toujours très pragmatiques,  disent : « To foresee is to rule », c’est-à-dire : « Prévoir c’est gouverner ». La différence est de taille; elle est même fondamentale, car si certains pensent que l’on peut gouverner et ensuite prévoir, ceux-là vont droit à la catastrophe : il est vrai que pour ces individus qui ne voient la vie qu’en rose, un leitmotiv historique semble leur servir de programme : « Après moi, le déluge !!! ». Au contraire, prévoir avant toute action est le mode le plus sûr de réussir : demandez-le donc à tout bon joueur d’échecs !!! Toutefois, si l’on veut éviter tout déluge, et gouverner pour l’éviter, il est nécessaire de prévoir les conséquences le plus précisément possible les conséquences de tout ce que l’on promet, de ce que l’on fait et qui provoque  consciemment ou non, puis  vous embringue dans les résultats d’un slogan exagérément gonflé ou tout simplement utopique.
    Si ; comme je l’ai déjà crié ici même, tout gouvernement « de gauche », se sentant porteur d’une idéologie par principe triomphante et tabulaire (n’oubliez jamais l’idée bien française devenue internationale : « faire table rase ») est prêt par principe à toutes les manœuvres pour se perpétuer : comme l’URSS en 79 ans... la Corée ad aeternam...) En admettant que le socialisme soit une panacée universelle, ce qui reste à démontrer si possible...
    Il ne m’appartient pas – et je n’en ai nulle envie – de juger ici du bien-fondé de poursuites contre un ancien Président de la République, et pas non plus des délais de ces affaires (Karachi, une vingtaine d’années, non ?), ni de celles qui touchèrent un précédent ancien Président (quoique l’on pourrait s’étonner de la défaillance sécuritaire qui fut le lot d’un autre Président, qui avait nommé ministre des transports (poste qui  englobe les transports stratégiques) un homme qui était un espion soviétique !)...  Et tout cela, sans peser à l’effet de telles décisions sur la réputation internationale de notre pays...
    N’oublions pas non plus l’effet que provoque, après les destructions sociétales contre les lois naturelles (mariage artificiel), la suppression des peines minimales aux récidivistes, la fantastique « amnistie préalable » décidée en faveur des grévistes casseurs, le fait d’accorder la même importance à des sujets financiers qu’à des délits graves...
    Cependant, on peut en être certains sans être pessimistes (du reste, comme me le disait un ami baroudeur qualifié, « seuls les paranos survivent » !!!) : s’attendre à ce que les socialistes renoncent au pouvoir en acceptant comme promis les référendums et leurs résultats (ils en ont déjà refusé un, des plus importants) est, en fait un aveuglement coupable. C’est pour cette raison que, « Moi, leader... » je n’aurais jamais appelé à voter blanc ; car entre Nicolas et François, la différence est de taille : avec plus de 48% des voix, Nicolas s’est retiré ; tandis qu’avec un déclinant 35%, François voulait modifier la Constitution pour pouvoir faire ami-ami avec n’importe quels étrangers et en faire des électeurs contrôlant nos vies...¢
    Je compléterai ces remarques en citant un extrait d’un livre écrit par un homme qui lui aussi sait parfaitement de quoi il parle ; un écrivain, le Tchèque Milan Kundera, bien placé pour décrire les avatars d’un socialisme dévoyé : « ...La Constitution, il est vrai, garantit la liberté de parole, mais les lois punissent tout ce qui peut être qualifié d’atteinte à la sécurité de l’État. On ne sait jamais quand l’État va se mettre à crier que cette parole-ci ou cette parole-là attente à sa sécurité. » (Le livre du rire et de l’oubli, Milan Kundera, Editions Gallimard, collection Folio)