![]() |
Elle pleure SA France perdue : "Dis Papy, pourquoi t'as laissé faire ça ?" |
lobby - Page 2419
-
Immigration : Personne ne pourra dire «Je ne savais pas !»
- En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants. Les musulmans en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population.- En 1988 la population française était de 56.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.- En 2009 la population française était de 67.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 8.000.000 soit 11,94% de la population ! (chiffres officiels, mais nous les savons tous en réalité bien plus important)Puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3.5, si cette progression n’est pas stoppée et même inversée, il est probable qu'en 2030 la population française sera de 70.000.000 d'habitants. Et que les musulmans en France seront 28.000.000 soit... 40 % de la population française.Donc, à ce rythme de vagues migratoires, dans 17 ans seulement, près d'un habitant sur deux serait musulman. Consternant pour un pays qui n'a aucune tradition musulmane, pas plus qu’il ne comptait de population arabe en 1930 ? Alors à quoi ressemblera la France dans bientôt 20 ans, puisque l'Islam est une religion conquérante qui refuse toute cohabitation avec d'autres religions ?- Des églises seront-elles incendiées comme on peut le voir dans certaines parties du monde ?... ça commence !- Verrons-nous des formations politiques de type HAMAS ou HEZBOLLAH s'implanter en France ?... ça commence !- La laïcité de l'État sera-t-elle remise en question ?... ça commence !- L'égalité des droits homme-femme existera-elle toujours, puisqu'elle n'existe pas dans les pays musulmans et qu'elle est déjà remise en cause aujourd'hui même en France dans les banlieues ?... ça commence !- La viande halal sera-t-elle obligatoire, avec toutes les souffrances que cela représente pour les animaux, égorgés vivants ?... ça commence !Une chose est absolument certaine : à ce train-là, la France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010... CE NE SERA DÉJÀ PLUS LA FRANCE !MIEUX QUE STOPPER CETTE IMMIGRATION,IL FAUT L’INVERSER AU PLUS VITE !Regardez seulement autour de vous...Écoutez les propos de certaines personnes (hommes, femmes et enfants) dans les rues, les transports en commun...Regardez et écoutez attentivement les bulletins d'informations (Télévisions et Radios)...Lisez la Presse, les pages "faits divers" et les autres...Maintenant, réfléchissez sereinement en ayant pleinement conscience de ce que sera alors la vie de nos enfants, de nos petits-enfants... quand nous ne serons plus là !Et si vous pensez que c'est utile, alors transférez cet article à un maximum de personnes autour de vous.Plus tard, personne ne pourra dire : « Je ne savais pas !... » -
[Vidéo] Taubira s'attaque maintenant au nom de famille pour plaire aux LGBT ! Ça suffit !
On marche sur la tête ! Avec l’adoption du mariage homo, ce sont désormais les "couples" homo, stériles par définition, qui vont imposer leur loi en matière de transmission du patronyme ! Voilà où on en arrive avec la filiation fiction. Et un nouveau mensonge de Taubira sur le caractère indolore du projet de loi pour les couples hétérosexuels (excusez le pléonasme) !
Transmission du patronyme : ce que la loi sur le mariage pour tous changerait
Le député UMP Hervé Mariton, fer de lance de l’opposition au mariage pour tous, est revenu, lundi 4 février, sur l’une des dispositions de la loi concernant le nom patronymique des enfants. Cette disposition, inscrite dans l’article 2 du projet, concerne la dévolution du nom de famille : en cas de désaccord ou d’absence de choix des parents, les noms de chacun d’eux, accolés dans l’ordre alphabétique, seront donnés à l’enfant, alors qu’actuellement c’est le nom du père qui est attribué.
Pour M. Mariton, il s’agit d’une "révolution" qui "avance masquée". "Là où aujourd’hui un enfant s’appelle Durand, il s’appellera demain Durand-Martin, sauf si les parents demandent explicitement qu’il s’appelle Durand", a-t-il expliqué, précisant que cet accolement automatique des deux noms des parents concernera tous les couples, homosexuels comme hétérosexuels. [...]
La suite sur Le Monde
Lire également : Attention, les noms de famille de nos enfants vont changer !
-
PMA-GPA : L’affaire dans l’affaire
Le loi sur le « mariage pour tous » n’est pas encore votée, à peine les débats à l’Assemblée nationale ont-ils commencé, que la polémique qu’elle a suscité ne semble plus intéresser qu’une poignée d’opposants et guère plus de partisans.
Pour tous, l’affaire semble entendue… « Dans le sac » ou « Dans l’c… », selon affinités. Les messieurs qui aiment les messieurs et les dames qui aiment les dames pourront convoler en justes noces devant Madame ou Monsieur le Maire. Du moins, pour celles ou ceux de ces élu(e)s qui le voudront bien. Sinon, ce sera leurs adjoints respectifs qui seront à la manœuvre… Et si personne ne veut s’y coller, la loi sera enfreint, mais en France, quelle importance ? Entre les milliers de lois votées dont on attend ad vitam aeternam les décrets d’application et les lois qui sont quotidiennement violées, un peu ou beaucoup, les scandales à venir des Premiers élus communaux réfractaires n’empêcheront certes pas la « société unisexe pour tous » de tourner…
Non, le « Mariage pour tous » dont les débats vont sans doute s’éterniser quelques mois dans l’indifférence de plus en plus générale, est incontestablement une « affaire pliée »…
La nouvelle affaire qui défraie la chronique, désormais, est celle de la PMA (procréation médicalement assistée) et de la GPA (gestation pour autrui)… À l’origine, l’une et l’autre devaient être votées dans la foulée du « Mariage pour tous », mais la levée de boucliers fut telle – un million de personnes dans la rue en janvier dernier, tout de même ! – que le gouvernement socialiste a jugé plus prudent de dissocier « l’affaire » de « l’affaire ».
Chaque chose en son temps : la bague au doigt pour commencer, le « droit à l’enfant pour tous » pour après. Un peu comme pour le Pacte civil de solidarité (PACS), voté la dernière année du siècle dernier : pour le faire digérer, tout le monde jura, la main droite sur le cœur et l’autre où l’on pense, qu’il ne serait jamais question de mariage. Pensez donc ! Juré, craché, foi de politiciens !
Jamais avant que la loi ne soit votée, en tout cas ! À peine celle-ci obtenue, le mot d’ordre fut lancé à gorge déployée : « Et maintenant, le mariage ! »
Une douzaine d’année plus tard, on y est !
La nouveauté, c’est le changement. Le fameux changement qu’un candidat élu nous a tant promis durant sa campagne présidentielle. Aujourd’hui, plus le temps de la « jouer fine »…
Les plus virulents partisans de la PMA et de la GPA ne cachent même pas leur impatience… À quoi bon ! C’est l’époque qui veut ça ! On veut tout, tout de suite ! Pourquoi attendre ? Pourquoi épargner les susceptibilités de la France rétrograde qui n’a rien compris – le comprendra-t-elle un jour, d’ailleurs ? – au sens de l’Histoire des thuriféraires des droits-de-l’homme-moderne ?
Quoique le terme « droits-de-l’homme » fleure de façon terriblement nauséabonde le totalitarisme machiste. Vivement que les « droits-de-l’unisexe » soient imposés ! Cela ne tardera plus guère, heureusement car aux âmes bien rouées, la cause n'a plus le temps d'attendre le nombre des années.Philippe Randa http://www.voxnr.com -
VOTE DES ÉTRANGERS L'autre alibi du mondialisme
L'accession des étrangers non européens au droit de vote aux élections locales bouleverserait les rapports entre nationalité, citoyenneté et souveraineté. Aperçu des enjeux juridiques du débat.
Au-delà du serpent de mer qu'elle constitue, la question du droit de vote des étrangers non européens aux élections locales françaises n'en revêt pas moins un intérêt certain, notamment pour les problèmes concrets qu'elle pose au regard des principes de nationalité, de citoyenneté et, pourquoi pas, de souveraineté, voire d'identité. Cette question connaît même un regain d'intérêt à chaque échéance présidentielle, celle à venir ne faisant pas exception, le candidat du PS ayant même promis de la régler définitivement en accordant ledit droit de vote à tous les étrangers réguliers vivant sur notre sol (tandis que son principal adversaire, le président sortant, s'y oppose symétriquement, alors qu'il y fut favorable en d'autres temps).
Principe et exceptions
Mais par-delà les antagonismes de façade, eu égard au tropisme xénophile de nos élites qui, en première comme en dernière instance, pratiquent depuis plus de trente ans la préférence étrangère, une constante demeure, d'ordre politique et juridique celle-là, qui est la conditionnalité juridique des étrangers. Celle-ci s'étend de leur entrée à leur sortie éventuelle, en passant par leur séjour plus ou moins durable sur le territoire national. Ainsi, les droits revendiqués par les étrangers et leurs défenseurs se heurtent aux prérogatives de l'État, dont la théorie classique objecte les arguments de souveraineté que sont la nationalité et la citoyenneté. En France, le principe est bien celui de l'ouverture des étrangers aux fonctions publiques dont fait évidemment partie la fonction "politique" (droit d'élire et d'être élu). Mais on remarque aussi que les exceptions peuvent neutraliser le principe. Ainsi, l'exception de souveraineté reste, en France, symboliquement forte pour empêcher actuellement toute accession des étrangers au droit de suffrage.
Que dit le droit ?
Il existe à la fois une souveraineté dans l'État et une souveraineté de l'État, l'une comme l'autre étant en réalité indissociables car participant de la liberté de l'État de se donner ses propres lois. Partant, la liberté de l'État de fixer ses propres règles d'accueil et d'hospitalité des étrangers est une expression naturelle de sa souveraineté. L'article 3 de la constitution du 4 octobre 1958 dispose, par exemple, que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. [...] Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. » Et l'article L. 2 du Code électoral de reprendre en écho cet impératif constitutionnel : « Sont électeurs les Françaises et Français âgés de dix-huit ans accomplis, jouissant de leurs droits civils et politiques et n'étant dans aucun cas d'incapacité prévu par la loi. »
Le triptyque "souveraineté-nationalité-citoyenneté" présenté nécessairement dans cet ordre, car chacun des éléments est la conséquence du précédent, s'applique d'autant plus aux élections locales que le Conseil constitutionnel n'a pas hésité à les qualifier d'« élections politiques », dans la mesure où elles servent « à désigner des électeurs qui à leur tour désignent les sénateurs, qui sont eux-mêmes des représentants car ils expriment la souveraineté nationale. En conséquence, seuls les nationaux français [peuvent] participer à la désignation des conseils municipaux. » Certes, le juge constitutionnel peut revenir sur ce qu'il a dit, le retournement de veste étant devenu sa principale spécialité depuis 2004. Il n'empêche, qu'en saine logique, l'exception de souveraineté subordonne donc le droit de vote à la possession de la nationalité française, celle-ci conditionnant l'accès à la citoyenneté.
Le cas particulier des étrangers européens
Une exception à cette exception de souveraineté réside, cependant, au sein de l'article 88-3 de la constitution de 1958 qui ouvre ainsi, « sous réserve de réciprocité [...], le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales [...] aux seuls citoyens de l'Union résidant en France », à la condition qu'ils ne puissent « exercer les fonctions de maire ou d'adjoint ni participer à la désignation des électeurs sénatoriaux et à l'élection des sénateurs ». Néanmoins, cette citoyenneté européenne sans nationalité n'est pas absolue. D'abord, elle reste subordonnée à la réciprocité, ensuite elle est contingente au traité sur l'Union européenne dans la mesure où si ce traité venait à n'être plus appliqué, la citoyenneté cesserait d'être octroyée.
Dès lors, sauf à pratiquer la double pensée orwellienne et à inverser le sens des mots, la citoyenneté, quel que soit son mode d'acquisition (par naissance ou par naturalisation), suppose le préalable de la souveraineté, laquelle fait office d'instance refoulante de l'extranéité. Et le principe de souveraineté étant lui-même un principe constitutionnel, l'exclusion des étrangers du droit de suffrage est également, ipso jure, de nature constitutionnelle. On peut certes changer la Constitution, mais on ne peut modifier la souveraineté, sauf à l'aliéner totalement. Mais dans ce cas, nous ne pouvons plus parler d'État et les étrangers, les naturalisés et les natifs sont interchangeables et indifférenciés. Le patronat et l'UMPS poussent évidemment à cette indifférenciation dans une visée mercantile pour le plus grand profit de leur funeste idéologie mondialiste.
Aristide Leucate L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 1er au 14 mars 2012 -
L’Occident n’accorde aucune importance aux Chrétiens de Syrie
L'évêque chaldéen d'Alep, Mgr Antoine Audo, dénonce l'attitude de la communauté internationale vis-à-vis de la communauté chrétienne de Syrie. Il accuse les puissances occidentales d’être plus préoccupées par leurs intérêts économiques que par la présence chrétienne au Moyen-Orient.En Syrie, les chrétiens représentent 10% de la population du pays. Une minorité dont le sort n’a « aucune importance » aux yeux de l’Occident, a accusé l’évêque chaldéen d’Alep, Mgr Antoine Audo, qui est aussi le président de Caritas Syrie.Au début de la crise syrienne, des voix au sein de la hiérarchie chrétienne de Syrie ont défendu le régime de Bachar el-Assad. Mais l'évêque chaldéen d'Alep assure que les chrétiens ne sont pas la cible particulière des enlèvements ou des exécutions sommaires. Il dénonce par contre l’angoisse et la paupérisation à l’œuvre dans l’ensemble de la société syrienne.« Cet appel vient de quelqu’un qui exprime très bien la complexité de la situation, qui ne désigne pas un adversaire particulier, et qui dénonce les violences dans les deux camps, l’extrême souffrance du peuple syrien. C’est l’appel d’un homme pacifique », juge Jean-Claude Petit, président du réseau « Chrétiens de Méditerranée ».Monseigneur Antoine Audo n’en dénonce toutefois pas moins avec force la position de l’Occident vis-à-vis des chrétiens du Moyen-Orient. « L’Occident ne donne aucune importance à ces communautés chrétiennes. […] La priorité de l'Occident est la puissance économique, la société de consommation. Il ne voit pas l'importance historique de notre présence », a-t-il ainsi déclaré.Avec RFI http://www.francepresseinfos.com/Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, international, lobby, religion 0 commentaire -
pour faire plaisir aux Américains, on ferme des usines Le cas Pétroplus
Selon la société de veille économique Trendeo, quelques 266 usines ont mis la clé sous la porte en France en 2012, pour seulement 166 créations. Seules la construction aéronautique et l’industrie du luxe tirent leur épingle du jeu, avec plus de 2.400 créations de postes. Le mois de janvier 2013 est considéré comme « le plus mauvais » par ce cabinet depuis qu’il collecte des données. Le rythme de fermeture progresserait de 42% et près de 1.087 usines ont disparu depuis 2009. Sans surprise, en l’absence d’un mécanisme de protectionnisme intelligent et de barrières douanières modulables, ce sont l’industrie manufacturière française et l’industrie automobile qui sont les plus touchées, alors que les délocalisations se poursuivent à vitesse grand V (41.994 emplois de moins depuis 2009), suivie de l’industrie pharmaceutique (-8.648 emplois). Viennent ensuite les secteurs des Transports et de la logistique et celui de l’Administration publique avec respectivement 60.854 et 57.790 emplois supprimés depuis quatre ans.
Au total 23.897 emplois industriels ont été supprimés en 2012, 121.946 depuis 2009. Un bilan effroyable qui pourrait s’alourdir du nombre des 470 salariés de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) qui n’ont guère d’espoir de voir leur entreprise survivre. Le délai pour les offres de reprise expire ce mardi à 17 heures. Pétroplus a déposé son bilan le 24 janvier 2012, mais a été autorisée plusieurs fois à poursuivre son activité par le tribunal de commerce de Rouen.
« C’est un dossier difficile sur lequel l’Etat s’est beaucoup mobilisé mais les chances de succès sont limitées » a prévenu le cabinet de Jean-Marc Ayrault pour préparer les esprits au pire. Même dramatique aveu d’impuissance du chef de l’Etat, en janvier, qui écartait toute nationalisation comme à Florange, tout en précisant lui aussi qu’il était « difficile de trouver un repreneur. »
Il convient de noter que l’intersyndicale de Pétroplus, par la voix de son porte-parole, le cégétiste Yvon Scornet, accuse le gouvernement socialiste d’avoir « tout fait pour écarter l’iranien Tadbir Energy Development Group » qui était un très sérieux repreneur potentiel.
« Je suis en colère a déclaré M Scornet, dans le sens où ce n’est pas seulement le fait qu’on refuse le dossier iranien, qui était très solide, mais on demande des comptes, par exemple sur Total, qui dit je me fous de ce que dit le gouvernement, en gros, c’est ça. Total n’a pas le droit d’acheter du pétrole iranien mais en achète par sa filiale coréenne. Le boycott de l’Iran affaiblit l’industrie française, pas iranienne : PSA est très affaibli. Doux vendait deux millions de poulets à l’Iran : ils sont où, Doux, maintenant ? On peut nous offrir le meilleur plan social, ça voudra dire qu’on aura perdu. Les gens vont partir avec de l’argent alors qu’il n’y en avait pas il y a un an. Et on s’est battus pour ça ? »
« Le gouvernement poursuit Yvon Scornet, a tout fait pour écarter toute offre de la part d’une société iranienne, alors que cette offre non seulement n’était pas contraire à l’embargo mais était une réponse aussi à d’autres sociétés françaises mises en difficulté actuellement. Il faudra que l’on nous explique pourquoi des sociétés américaines trouvent le moyen de contourner l’embargo, que des pays comme la Corée du Sud ont une dérogation, ce qui permet d’ailleurs à la filiale coréenne de Total d’acheter du pétrole iranien, et que nous, nous devrions accepter de fermer nos usines pour faire plaisir aux américains !»
Rappelons que l’embargo sur le pétrole iranien, qui se voulait un moyen de pression sur Téhéran dans le dossier du nucléaire, et décrété il y a un an par l’UE – environ 18% de ses exportations de brut- est sans grande conséquence pour un pays qui ne manque pas de clients asiatiques en forte croissance économique et gourmands en or noir.
Il est vrai aussi que François Hollande met ses pas dans ceux de Nicolas Sarkozy également dans le domaine de la politique étrangère. Nous l’avons constaté lors du passage lundi du vice-président américain Joe Biden à Paris. Celui-ci a félicité le locataire de l’Elysée pour une intervention militaire au Mali qui défend aussi les « intérêts américains ». Il s’est réjoui de la complète identité de vue entre le président français, Barack Obama et lui-même…ce qui n’est pas forcement rassurant. Rappelons que M. Biden prône clairement le renversement de Bachar el Assad en Syrie et a averti solennellement l’Iran que « la fenêtre diplomatique se referme »…
Enfin, soulignons pour conclure, à l’adresse de M. Scornet et de tous les éternels cocus de la gauche au pouvoir, que ce n’est pas en votant pour les partis du Système que le sort des salariés français ira en s‘arrangeant.
A cette aune, rappelle Bruno Gollnisch, nous n’oublions pas le rôle délétère qui est souvent joué par les petits marquis et autres chefs féodaux du syndicalisme français. Dans le cadre de la dernière campagne présidentielle, l’intersyndicale (CGT-CFDT-CFE/CGC) de Pétroplus avait ainsi invité tous les candidats pour débattre de leur sort…mais avait interdit à Marine Le Pen de venir…laquelle arriva en tête des votes ouvriers quatre mois plus tard ! Ceci explique certainement cela…
-
“Légiférer pour affirmer le droit des personnes de même sexe de se marier, c'est comme légaliser l'allaitement paternel.”
L'archevêque de San Francisco, Mgr Salvatore Cordileone, vient d'accorder une interview au Catholic Herald britannique.
Phrase à retenir :
« Légiférer pour affirmer le droit des personnes de même sexe de se marier, c'est comme légaliser l'allaitement paternel. »
Quelques autres paroles fortes :
« La vérité est claire. Vouloir que les enfants soient liés à un père et une mère ne constitue une discrimination à l'égard de personne. Chaque enfant a un père et une mère, et soit vous soutenez la seule institution qui assure ce lien d'un enfant avec son père et sa mère ou vous ne la soutenez pas. L'adoption, par une mère et un père, est le miroir de l'union naturelle entre une mère et un père et fournit l'alternative heureuse et équilibrée lorsqu'un enfant ne peut pas être élevé par ses parents biologiques. »
Mgr Cordileone récuse le recours à la théologie dans la bataille contre le « mariage » gay :
« Si vous utilisez la théologie, vous faites leur jeu et ils vous diront que vous utilisez la religion pour prendre le contrôle des gens. Le mariage ne se trouve pas d'abord dans la théologie : le mariage est dans la nature. La théologie construit sur la base de l'institution naturelle, en nous donnant un sens plus profondément mystique et surnaturel de sa signification. »
Et il appelle à l'action, après que l'intervieweuse Mary O'Regan, note que pour beaucoup, prendre part au débat expose à des critiques, des problèmes, voire des pertes d'emploi. Ayant rappelé qu'il est plus facile à cet égard aux clercs de s'exprimer, il précise :
« Nous battre pour le mariage est notre façon d'aimer Dieu, et cette bataille est le don particulier que Dieu a donné à notre génération. C'est notre épreuve spécifique, et en la surmontant nous pouvons atteindre à la grandeur spirituelle. Cela entraînera des souffrances que de nous opposer au mariage gay, une chose qui menace d'une telle destruction le sens du mariage naturel, qui est une institution orientée vers l'enfant. »
Quant aux termes « mariage gay », il recommande de n'y avoir recours que « parcimonieusement », car il s'agit d'une impossibilité naturelle : à force d'employer les mots, nous pourrions nous laisser tromper jusqu'à croire qu'il s'agit d'une réalité authentique qui n'attend que l'approbation du gouvernement pour la rendre légitime.
L'interview aborde bien d'autres thèmes, et notamment, en profondeur, celui du rite extraordinaire.
• Voulez-vous être tenu au courant des informations originales paraissant sur ce blog ? Abonnez-vous gratuitement à la lettre d'informations. Vous recevrez au maximum un courriel par jour. S'abonner
-
La gauche la plus archaïque du monde
Gramsci n'a pas gagné. La gauche française, qui prétend depuis cinquante ans régenter le monde intellectuel, n'a remporté la présidentielle que par défaut. Petit portrait.
Ce qui est extraordinaire avec la gauche, c'est qu'elle n'a de cesse de se réclamer du progressisme et qu'elle n'évolue pas d'un iota. Elle ressert toujours les mêmes symboles, entretient les mêmes préjugés, cultive les mêmes dogmes de sa religion laïque, qui organise ses rituels au secret d'ailleurs de moins en moins bien gardé des temples maçonniques. Dire que nous avons la droite la plus bête du monde est devenu presque un truisme ; mais qui ose dire que nous avons aussi la gauche la plus archaïque de la planète ? Il est vrai que cet archaïsme est déguisé avec soin par les médias de gauche, qui le fardent aux couleurs de la jeunesse, de la nouveauté et de l'insolence. Mais l'insolence de la gauche est aussi fatiguée qu'une blague de Bedos et rouillée que l'humour de Stéphane Guillon.
La gauche tire l'essentiel de sa force des moyens de communication moderne, qui diffusent un prêt-à-penser qui lui tient lieu de « culture » et qui lui permettent d'orienter les badauds dans le sens du vent artificiel qu'elle fait souffler. Un confrère libre d'esprit, et donc pas de gauche, a plaisamment décrit le fonctionnement de l'univers intellectuel de la gauche, dans un réjouissant petit livre intitulé Maos, trotskos, dodo. Jean-Christophe Buisson - rien à voir avec Patrick - s'y demande pourquoi les philosophes les plus influents, les papes de l'éditions et de la littérature, les producteurs de cinéma et les patrons des maisons de disques sont des anciens de 68 (le livre a dix ans, aujourd'hui ils jouissent d'une retraite bien méritée). La réponse, dit-il, se trouve chez Antonio Gramsci, le stratège italien de la conquête du pouvoir par la culture. Au début du XXe siècle, celui-ci a établi, écrit Buisson, « l'existence d'un mouvement de pendule idéologique ou politique à travers son concept de "bloc historique " que constituent les croyances qu'une génération tient pour acquises définitivement. Institutionnalisées, ces croyances deviennent des évidences presque sacrées. Toute remise en cause de celles-ci s'apparente dès lors à un acte criminel, iconoclaste, fasciste. » En somme, passible du bûcher.
« Ces croyances, poursuit Buisson, se diffusent par des "intellectuels centraux" (autorités littéraires, artistiques, philosophiques, universitaires) vers des "intellectuels secondaires" (professeurs, journalistes) qui, eux-mêmes, diffusent ces croyances vers le peuple. On appelle ça un réseau. »
Adossés au Mur de l'Argent.
Au nombre des « intellectuels centraux », Buisson range Bourdieu, Sollers, Glucksmann, B-H. L - ce qui est sans doute faire beaucoup d'honneur au dernier. Leurs relais ? l'auteur cite July, Miller, on pourrait en citer par dizaine, depuis des Fourest au Debbouze en passant par les Drucker : on n'a que l'embarras du choix. Tous ces braves gens prospèrent d'autant mieux qu'ils sont portés et supportés par leur pire ennemi : adossés au Mur de l'Argent. L'Argent ! Comme il les met mal à l'aise ! Ils n'en manquent pourtant pas : les firmes du Cac 40 arrosent généreusement leur presse de publicités, Rothschild vole au secours de Libé au bord de la faillite, et les éléphants roses, lorsqu'ils ne crèchent pas comme Fabius devant le Panthéon où reposent leurs grands hommes, voisinent place des Vosges comme Jack Lang et Dominique Strauss-Kahn, dont le patrimoine modique a été révélé aux Français lors d'un récent séjour new-yorkais...
Nous ne sommes pas jaloux et ces péchés mignons, humains après tout, seraient supportables si l'homme de gauche n'était pas de surcroît un insupportable père la morale, redresseur de torts jusqu'à devenir parfois fauteur de guerre, comme les Bernard Kouchner ou les Bernard-Henri Lévy. Toujours prêts à vilipender le fascisme, à défendre au bout du monde la liberté d'expression opprimée, ils sont dans leur propre pays les premiers des maîtres censeurs, pour reprendre le titre bien inspiré d'un livre de la journaliste Elisabeth Lévy. Toujours prêts à partir à la chasse au mal-pensant, les maîtres censeurs sont la moderne caricature des inquisiteurs - à cela près que les vrais tribunaux de l'inquisition jugeaient dans les formes, peine que ne prennent pas nos intellectuels de gauche. L'un des derniers à en avoir fait les frais est Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières et auteur - entre autre - d'un livre judicieusement intitulé « La Censure des bien-pensants ». Déjà suspecté d'homophobie après avoir déclaré qu'il ne souhaitait pas que ses enfants voient le dessin animé Le Baiser de la Lune, qui fait la promotion de l'homosexualité, et préférait qu'ils soient hétérosexuels, puis blâmé pour avoir défendu la peine de mort au cours d'une émission télévisée, il est devenu tout à fait infréquentable quand il a publié son livre Vive Le Pen, en déclarant : « Je ne voterai pas Front national mais je pense que ce parti, qui doit être considéré comme républicain aussi longtemps qu'il ne sera pas interdit, doit bénéficier du droit à la liberté d'expression. » Le monstre !
Dans un tel contexte, le fait que, malgré le bourrage de crânes médiatique, 55 % des électeurs aient néanmoins voté pour l'une ou l'autre des listes de droite présentes au premier tour de la présidentielle est, somme toute, un signe étonnant de la bonne santé des Français.
Hervé Bizien monde & vie 26 mai 2012 -
Transmission du nom : la Révolution poursuit son oeuvre destructrice
Un enjeu important, impliqué par le projet de loi actuellement débattu à l’Assemblée, et intrinsèque au bouleversement en cours des lois de la filiation : la transmission du patronyme. Car il se trouve, dans le projet sur le mariage homosexuel, une disposition concernant le nom patronymique et touchant tous les couples : c’est ainsi que le député Hervé Mariton a dénoncé hier, à l’Assemblée, « une véritable révolution ». Cette disposition, inscrite dans l’article 2 du projet, concerne la dévolution du nom de famille: en cas de désaccord ou d’absence de choix des parents, les noms de chacun d’eux, accolés dans l’ordre alphabétique, seront donnés à l’enfant, alors qu’actuellement c’est le nom du père qui est attribué.
« Vous proposez une révolution mais cette révolution avance masquée », a lancé Hervé Mariton. « Là où aujourd’hui un enfant s’appelle Durand, il s’appellera demain Durand-Martin sauf si les parents demandent explicitement qu’il s’appelle Durand », a-t-il expliqué. Quant au député UMP Marc Le Fur, il s’est exclamé : « Nous allons engager une réforme majeure qui va engager le nom de famille et la ministre de la Famille n’est toujours pas là ! (…) Les Français vont se rendre compte que cette réforme aura un impact : c’est l’effacement du père ! » À gauche, Christophe Bouillon a répondu : « Oui, c’est une révolution, nous l’assumons. Nous assumons que le père ne soit plus le seul à donner le nom ».
Il y a manifestement une résurgence de la dialectique traditionnelle droite/gauche dans le paysage politique actuel : d’une part les conservateurs, ceux qui sont attachés à l’ordre traditionnel des choses dont ils savent que l’homme n’est pas l’auteur, tout en en étant tributaire dans toutes les dimensions de l’économie humaine ; de l’autre les progressistes qui veulent émanciper l’homme de toutes normes, qu’ils jugent d’ailleurs davantage conventionnelles que naturelles. Ce qui est en jeu, c’est l’homme lui-même dans son rapport au monde : est-il débiteur, attaché à la transmission d’un héritage dont témoigne entre autre le patronyme ? Ou doit-il s’affranchir, révolutionnaire, de tout ce qui l’attache à autre chose qu’à lui-même, proclamant son absolue indépendance, n’étant dépositaire de rien ?
Oui, la question de la filiation, c’est celle de l’héritage et de la transmission. Fondamental pour comprendre l’homme. La Révolution poursuit son œuvre destructrice des repère naturels, rendant l’homme un orphelin..
-
Culture de l’excuse, délinquance, immigration… Stop ou encore ?
Ahmed Ben Bella, premier président de l’Algérie indépendante entre 1962 et 1965, est mort hier à Alger. Ecarté brutalement du pouvoir, il fut remplacé à la tête de l’Etat FLN par Houari Boumediene, resté célèbre par sa prédiction, souvent citée ces dernières décennies par Jean-Marie Le Pen. En mars 1974, M. Boumediene déclarait ainsi : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
Dans son Mémoire de géopolitique sur la France multiethnique de 2030 (Collège Interarmées de Défense, mars 2004), le Commissaire Principal de la Marine, Florian Chardès, notait que « 75% de l’immigration actuelle est une immigration de peuplement, l’immigration de travail représentant seulement 10% du total annuel. » « Aujourd’hui, la Seine-Saint-Denis est le premier département français dans lequel naissent plus d’enfants d’origine extra-européenne que d’enfants d’origine européenne. Cette situation préfigure celle de l’ensemble du territoire métropolitain à compter des années 2040. »
Une immigration qui tiers-mondise la France à tous les niveaux (socialement, économiquement, culturellement…) et qui est aussi responsable de la flambée de l’insécurité depuis trente ans. Faut-il le rappeler, les départements et villes les plus criminogènes sont aussi ceux les plus touchés par l’immigration de peuplement.
Le Figaro rapportait notamment ce jeudi qu’un « commerçant de 39 ans, connu des services de police et neveu de Saïd Tir, caïd marseillais du trafic de drogue abattu en avril 2011 -« considéré comme l’un des trafiquants les plus influents des quartiers Nord de Marseille »- « , a été tué hier soir de plusieurs balles de fusil d’assaut alors qu’il circulait dans sa voiture dans le 3e arrondissement de Marseille (…). En 2011, 20 règlements de comptes ont été recensés dans les Bouches-du-Rhône (29 victimes dont 16 morts), dont 15 à Marseille (23 victimes dont 13 morts), selon la préfecture. »
Dans la nuit de mardi à mercredi, à Saint-Alban-Leysse, prés de Chambéry (Savoie) cette fois, c’est un policier, le brigadier-chef et père de famille Cédric Papatico, 32 ans, appartenant à la brigade anti-criminalité (BAC) qui a été percuté sciemment et traîné sur une trentaine de mètres par le 4×4 Porsche Cayenne de l’équipe de cambrioleurs que la BAC a surprise en pleine action.
Nous l’évoquions sur ce blog, comme le FN Xavier Raufer a fait justice il ya déjà longtemps de l’explication économique (la crise, le chômage…) pour expliquer le basculement dans l’incivilité, la délinquance, la violence. Il a ainsi rapporté que le taux de pauvreté monétaire, c’est-à-dire de gens qui n’ont pas d’argent est de 19,5% dans la Creuse et de 18% en Seine-Saint-Denis ; que les deux tiers des immeubles dégradés en France se trouvent dans la Creuse. Dégradations qui elles, ne sont pas le fait des saccages commis par leurs habitants.
« Les pauvres sont-ils en Seine-Saint-Denis ? Non. La vraie misère est dans le Cantal et dans la Creuse. Ceux qui n’ont pas d’argent, qui vivent dans des immeubles dégradés, qui sont éloignés des services publics, qui n’ont pas accès aux prestations sociales parce qu’ils ne savent pas qu’elles existent (vivent dans ces départements ruraux) ». « Une fois de plus cette culture de l’excuse (de la délinquance) est une escroquerie mais désormais on en a la preuve. »
Bruno Gollnisch constate d’ailleurs que malgré le marasme social qui sévit tout particulièrement depuis 2008 aux Etats-Unis, la criminalité continue d’y baisser pour atteindre son plus bas niveau depuis quarante ans. Autant dire que l’explication sociologico-environnementale, gauchisante de la délinquance -« c’est la faute à la société »- ne saurait servir d’explication toute trouvée et magique à l’explosion des crimes et délits dans notre pays.
Bref Sarkozy et l’UMP au pouvoir ont refusé ou ont été incapables de prendre les mesures nécessaires pour enrayer la délinquance et la libanisation dela France.
Marine Le Pen le rappelait hier soir plus largement, « le contexte international nous donne raison, le contexte économique nous donne raison. Les problématiques d’immigration sont aujourd’hui telles que la lucidité des Français sur ces problématiques est plus importante (…). Pendant cinq ans (Nicolas Sarkozy) a démontré que les seuls qui étaient capables véritablement de prendre les choses en main, de ramener un peu d’ordre dans notre pays, de faire preuve de la fermeté nécessaire, et bien c’était ma candidature ! »,
12 avril 2012 http://www.gollnisch.com