
La liberté d’expression, régulièrement malmenée par la macronie dans sa lutte contre les mal-pensants, est frontalement attaquée depuis mardi par des juges cloueurs de becs, avec le soutien d’une presse acquise à la censure. La dérive liberticide du pouvoir, mobilisé pour faire taire la pensée récalcitrante, se rapproche du modèle totalitaire, dont le but est l’élimination autoritaire de toute pensée alternative. Aujourd’hui, existe le risque d’une nationalisation de l’information. Saisi par Reporters sans frontières (RSF), association présidée par le journaliste Christophe Deloire, le Conseil d’Etat a ainsi sommé l’Arcom, instance de régulation de l’audiovisuel, de renforcer son contrôle éditorial sur CNews.





