Selon le quotidien régional Sud-Ouest (à 15 h 45 - cliquez ici) : "les catholiques sont venus en force".
300 personnes rassemblées au pied de la statue pour mettre à bas les prétentions de l'officine gauchiste "Libre pensée". Un succès...
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Selon le quotidien régional Sud-Ouest (à 15 h 45 - cliquez ici) : "les catholiques sont venus en force".
300 personnes rassemblées au pied de la statue pour mettre à bas les prétentions de l'officine gauchiste "Libre pensée". Un succès...
Depuis l’été dernier, la mosquée du Grand Parc demande à installer des bâches pour protéger les fidèles qui prient dans sa cour tous les vendredis. La mairie de Bordeaux refuse au motif qu’il s’agit de l’espace public.
Avec ou sans bâche, à la mosquée du Grand Parc à Bordeaux, les prières du vendredi ont lieu en partie dans la rue. Depuis le début de l’été, l’association loi 1905 des musulmans de Bordeaux nord (AMBN), qui gère ce lieu religieux, demande à la Ville l’autorisation d’installer des protections dans la cour durant les offices. Une requête catégoriquement refusée par la collectivité territoriale qui loue «symboliquement» l’édifice pour 1000 euros par mois. Et pour cause : bien que clos, l’extérieur de cet ancien établissement scolaire n’est autre que l’espace public.
Bernard Germain
Le moins qu’on puisse dire c’est que ce « journal » POLITIS n’y va pas avec le dos de la cuillère, je devrais employer un autre mot que « journal » mais ce serait grossier.
Sont cloués au pilori par ce « journal » : Cyril Hanouna (qui est « juif »), Pascal Praud (qui est un homme « hétéro » de plus de 50 ans), Christine Kelly (qui est « noire »), Mathieu Delormeau (qui est « homo » mais dénonce les « gays prides », les « folles », … etc.) ainsi que Jean-Marc Morandini (incarnation de la presse « poubelle »).
Eh bien, dites donc, en voilà une belle brochette… et pas du petit fretin. Et POLITIS d’annoncer benoîtement que l’objectif c’est de faire taire ces odieux personnages. Rien que ça … !
Yves Thréard
Si certaines réformes, comme celle des retraites, sont délicates à conduire, car elles rencontrent une vive opposition dans l’opinion, d’autres paraissent beaucoup plus simples, tant elles sont attendues. Ainsi en va-t-il de l’immigration en France. Régulière ou pas, elle a encore battu des records l’année dernière, sans même compter l’exode forcé des Ukrainiens. Depuis des décennies, le sujet ne cesse d’inquiéter. Pourtant, rien ne change, tout empire : les camps de fortune se multiplient, les tensions dans certains quartiers ou territoires montent dangereusement et les liens avec l’augmentation de la délinquance sont manifestes.
Il y a un paradoxe au fond de toute pratique écologique : la cause, celle de l'environnement, celle de la propreté de notre planète, est la plus universelle qui soit. Mais elle est récupérée depuis un demi-siècle (la candidature Dumont à la Présidentielle de 1974), par toutes sortes d'agités du bocal et autres prêcheurs d'apocalypse.
« Vous allez casser le cycle de l'eau » crient les écologistes aux paysans. L’expression, mille fois reprise à propos de la fameuse Bassine de Sainte-Soline, ce réservoir d'eau creusé par les paysans poitevin, est très vague personne ne semble tellement désireux d'en préciser les contours. On sent que le choix de Sainte-Soline comme casus belli entre écolos et paysans relève du prétexte plus que d'un argument. C’est que l’écologie, comme Parti politique, se laisse aujourd’hui instrumentaliser par tous les nostalgiques de la Révolution. Je pense à ces jeunes bourgeois oisifs qui marchent dans leur tête, orphelins du grand Soir, ou à ces « petits blancs », qui, ayant abandonné jusqu’à l'idée d'une vie sociale normale, forment aujourd’hui les gros bataillons d’une future zad, alors que la zad de Notre-Dame des Landes, magnifique point de comparaison pour tous ces déclassés, a finalement remporté un succès politique, empêchant la construction d'un nouvel aéroport « européen », trop proche de l’aéroport de Nantes, ce qui, pour ces jeunes gens représentaient des kilomètres carrés de destruction de l’environnement, sauvés par les zadistes bretons.