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Trump à peine élu et pas encore à la maison Blanche, on peut pourtant déjà entrevoir les conditions de l’arrêt de la guerre en Ukraine, c’était quelque chose qui était inconcevable !
C’est ainsi que commence Thierry Breton ancien mamamouchi européen et camarade commissaire politique à la grosse Commission.
Puis il va encore plus loin en expliquant…
“Et je peux vous le dire dans les couloirs de la Commission Européenne on n’avait absolument aucun droit de parole.”
Heidegger disait qu’invoquer les valeurs était l’attaque la pire qu’on puisse faire contre l’être. On invoque des valeurs pour justifier un projet de destruction. Par exemple, invoquer les valeurs pour justifier l’immigration illimitée est vouloir la mort d’un peuple tel qu’il est.
C’est au nom de valeurs comme l’égalité qu’on a utilisé la guillotine ou qu’on a fait des purges meurtrières. Les valeurs servent de justification hypocrite pour masquer la haine à l’égard de l’être. C’est l’arme préférée des Pharisiens contre le Christ. Il est accusé d’avoir attaqué les « valeurs » des prêtres juifs de l’époque en se prétendant Dieu. C’est au nom des valeurs qu’on demande sa mort au préfet Pilate.
Je ne vous dis pas de ne pas payer vos impôts ! D’abord ce serait illégal, et en plus ce serait une bien mauvaise suggestion car les impôts finiraient par vous rattraper et vous faire payer de force avec tous les désagréments que cela impliquerait.
Il y a une manière bien plus puissante de refuser l’impôt, c’est en gagnant la bataille des idées.
C’est de parler.
C’est de dire.
Ne sous-estimez pas le pouvoir des mots et des idées.
Dans une vidéo, le président élu Donald J. Trump a présenté un plan en dix points promettant de démanteler radicalement et de désarmer l’« État profond », et d’envoyer une grande partie de ce qui reste « de la bureaucratie fédérale tentaculaire vers de nouveaux lieux en dehors du marais de Washington », dans « des endroits remplis de patriotes qui aiment l’Amérique ».
La réélection fracassante de Donald Trump à la présidence américaine, face à une gauche agonisante et empêtrée dans ses contradictions, sonne comme un avertissement tonitruant. Le peuple américain, fatigué par des décennies de soumission aux dogmes du gauchisme, du wokisme, et de l’immigration incontrôlée, a finalement pris position, préférant un dirigeant droit dans ses bottes, imperméable aux injonctions du politiquement correct et aux sourires mielleux du système. Contrairement à Marine Le Pen et au Rassemblement National, qui persistent à s’aplatir devant les médias bien-pensants et à caresser les élites dans le sens du poil, Trump, lui, n’a fait aucune concession. Et cette posture de confrontation, loin de lui nuire, l’a mené à une victoire historique.
Les résultats des votes pour l’élection présidentielle américaine montrent la déconnexion totale entre le narratif médiatique et le réel : Kamala Harris, présentée comme la candidate des pauvres, des opprimés, des exclus, des discriminés, des immigrés, ne gagne que parmi les « riches » des villes.
Dans les quartiers les plus riches, dans les villes, la majorité vote à gauche
Elle a ressenti une vive douleur dans le dos. Ce samedi 9 novembre 2024, une jeune joggeuse de 18 ans a été blessée d’un coup de couteau dans le dos alors qu’elle se trouvait quai Deschamps, à Bordeaux. À un endroit où, entre sans-abri occupants de « l’aire d’accueil solidaire » et habitants des immeubles flambant neufs qui le voisinent, la cohabitation est déjà explosive.
Si l’élection de Trump doit changer quelque chose dans le comportement et l’attitude de nos personnages politiques, ce sera à l’insu de leur plein gré. On se doutait qu’il ne fallait rien en attendre directement, mais on pouvait, naïvement penser qu’un réveil salutaire allait frapper les volontés mollassonnes de ceux qui briguent le pouvoir. Un paramètre nous avait échappé, c’est justement ce détail. Ils réclament le pouvoir, mais pas pour gouverner, prendre des décisions. Ils le convoitent tous pour bénéficier des avantages de la situation et obéir. Aucune ambition nationale, ils ne savent et ne veulent que suivre des instructions qui leurs seront données par des instances supranationales. De toutes les réactions politiques qui a dit maintenant c’est : la France d’abord ?! Personne, même Marine Le Pen s’est alignée sur Macron pour regretter que l’Europe ne protège pas mieux les intérêts de la France !
La presse française et les instituts de sondages ne se sont pas « trompés », comme le racontent les analystes, à propos de l’élection américaine et de la victoire de Trump. Ils sont simplement dévoilé leur vraie nature. Ils ne sont ni presse, ni instituts de sondages, ils sont influenceurs et ils ont usé de leur poids médiatique, largement subventionné, pour tenter de nous imposer Kamala, de manière à perpétuer leur idéologie du moment, une gauche dévoyée, devenue woke. Ce faisant ils n’ont pas compris que ce ne sont pas les Français qui élisent le président américain et à les voir et les entendre, on avait l’impression que si. Ils pourraient faire un mea-culpa ? Pensez-donc. Ils se remettent en ordre de marche pour débiter avec des airs sentencieux, les pires prédictions et les pires traits de caractère pour les années à venir de la présidence Trump. Ils comptent quoi, ce faisant ? Faire annuler l’élection américaine par les électeurs Français ? Convaincre les Français qu’une part de nationalisme à la Trump ne serait pas bonne pour eux ?
Le réchauffisme est une partie d’un tout. Avec le wokisme, le genrisme, la pédophilie, la drogue et la féminisation des mâles. Un ensemble de contre-valeurs destinées à déstabiliser les gens raisonnables et à finir d’abrutir les crétins. Mais cette fois, les salopards qui prétendaient soumettre le monde à leurs lubies vont avoir affaire à forte partie.