
Le 23 juin, le Comité des droits des personnes handicapées, à l’ONU, a demandé à la France, en vertu de l’article 36, paragraphe 1, de la Convention, des informations sur :
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Le 23 juin, le Comité des droits des personnes handicapées, à l’ONU, a demandé à la France, en vertu de l’article 36, paragraphe 1, de la Convention, des informations sur :
Riposte Laïque : Vous êtes une jeune patriote, peu de nos lecteurs vous connaissent. Pouvez-vous vous présenter rapidement ?
Éléonore Ranchin : Je suis née en 2007 à Montréal. À la rentrée, j’intègre une première année de licence en droit. Je suis issue d’une famille engagée : mon père est un ancien militaire, actuellement cadre, ancien porte-parole et candidat aux cantonales pour Nicolas Dupont-Aignan ; ma mère, ancienne hôtesse de l’air. J’ai un frère et une sœur. J’ai grandi en Touraine avant de rejoindre la région parisienne.
Comme il l’a été révélé très tôt, il y a bien un projet de centrales solaires là où ça a brûlé dans l’Aude, le journal local l’Indépendant en a parlé en 2024, évoquant même les Corbières comme « un nouvel Eldorado » des marchands de panneaux solaires. Deux centrales photovoltaïques au sol d’environ 40 ha chacune, sont effectivement prévues, limitrophes, sur les communes de Tournissan et Ribaute, là donc où ça a brûlé. Les collectivités et la société Investisun portent ce projet, avec pour objectif d’augmenter la part de la production d’énergie renouvelable. Rappelons que ces énergies renouvelables sont largement subventionnées par de l’argent public et qu’elles produisent une énergie plus chère que celle d’EDF et de ses centrales nucléaires. Des voix s’élèvent pour s’inquiéter de leur impact écologique dans des zones préservées. Rappelons qu’au RPF, nous sommes contre ces subventions publiques à l’éolien et au solaire. Soit ces énergies sont rentables et elles entre directement en concurrence avec EDF sur leurs fonds propres, comme n’importe quelle entreprise, soit elles mettent la clé sous la porte, comme toutes les entreprises pas viables.
On croyait être débarrassé de lui à jamais, et voilà que Bayrou n’a rien trouvé de mieux que de le prendre dans son gouvernement, et de le coller au ministère d’Outre-mer.
Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présent, cliquez ici.
Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…
Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.
Dans une récente décision (452850), le Conseil d’État a fait droit à une requête de l’association Mousse, qui contestait à la SNCF le droit de demander sur sa plate-forme en ligne la civilité de ses clients (« Madame », « Monsieur »). Ladite association se définit ainsi : « Mousse, ce sont des super héros en slip vert qui utilisent des moyens juridiques pour faire avancer les droits LGBTQI + ».
Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées
Je venais de quitter le bar de l’Océan au Guilvinec, abandonnant derrière moi le brouhaha des voix et ce mélange tenace de café corsé et de vin blanc qui imprègne l’air des ports. En longeant le quai, je gagnai le pont qui conduit à Lechiagat. Tandis que je le franchissais, je me surpris à évoquer les récits de ma mère : avant-guerre, me disait-elle, cet ouvrage n’existait pas. À marée basse, on passait d’une rive à l’autre en sautant de pierre en pierre, au risque de choir sur les goémons luisants. À marée haute, il fallait recourir aux passeurs, silhouettes robustes maniant à la godille leurs canots trapus pour conduire hommes et femmes d’un bord à l’autre.
par Serge Van Cutsem
«On ferme des productions locales au nom du climat, puis on importe de beaucoup plus loin avec plus de pollution et moins de garanties de qualité ce qu’on peut produire ici. D’Ibbenbüren au MERCOSUR, des fermes françaises aux cargos de bœuf et de produits laitiers, se dessine une écologie à deux vitesses : restrictive pour les citoyens, et profitable pour les multinationales. Derrière les discours «verts» il y a un sabotage méthodique du bon sens».
Dans l’épisode précédent, j’ai détaillé l’histoire du charbon Ibbenbüren, cette petite ville allemande devenue symbole mondial de l’absurde climatique avec la fermeture de sa mine automatisée, rentable et située à côté d’une centrale, ceci au nom de l’écologisme, et j’insiste sur le suffixe «isme» qui fait toute ma différence. Cette même centrale qui a continué de tourner durant plus de 3 ans en brûlant du charbon importé d’outre-mer (Russie, Colombie, USA, puis Australie, Afrique du Sud, Indonésie après 2022).