
Vincent Peillon, pour ceux qui l’auraient oublié - ils auraient des excuses -, est cet éphémère ministre de l’Éducation nationale qui, en septembre 2012, dans un entretien accordé au JDD, préconisait « d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel ». Il faut savoir faire montre de justice : si l’école est un champ de ruine, toute la responsabilité n’en revient pas à Pap Ndiaye. Ses prédécesseurs ont aussi manié avec beaucoup d'entrain et de dextérité la pelleteuse, notamment sous le piteux règne de François Hollande.








