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lobby - Page 591

  • Un réanimateur viré en pleine crise COVID pour désaccord avec la politique sanitaire ! #WTF

  • La justice n’est pas qu’affaire de budget, par Jacques Trémolet de Villers.

    Les éclats médiatiques ne sont qu'écume. Le véritable problème de la justice est double : lui donner des moyens, certes, mais surtout être capable d'entendre le besoin de justice, et répondre à cette demande. Là est le vrai rôle de l'État.

    «Huit pour cent d’augmentation pour le budget de la Justice », dit le Premier Ministre. C’est une annonce classique pour calmer la colère des magistrats. Mais elle peut aussi avoir l’effet inverse. Car, d’abord, la promesse sera-t-elle tenue en 2021, et, ensuite pourquoi ne pas crier plus fort pour avoir encore plus ?

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  • L'économie totalitaire : l'exemple de l'immigration (texte de 2013)

    Mars 1979. Éléments dénonce « L'économie totalitaire » Le dossier comprend un article inaugural d'Alain de Benoist (« L'erreur du libéralisme »), suivi d'une réflexion (« Économie organique et société marchande ») du secrétariat études et recherche du GRECE, d'un texte de Pier Paolo Pasolini (« Contre l'hédonisme de masse), d'un entretien avec Julien Freund et d'une charge de Lucien Chanteloup (« L'égalitarisme bourgeois »). Guillaume Faye se charge d'analyser les méfaits de l'immigration.

    Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l'appel à l'immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l'histoire européenne, comme une erreur de première grandeur.

    À l'origine, au début des années cinquante, il s'agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d'œuvre. Puis, au fil des années, l'habitude a été prise d'utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l'apport de leurs anciennes colonies, la France et l'Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ».

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  • Dernières nouvelles d’Allemagne (et de Finlande) : « la terreur islamiste est une menace permanente »

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    Il semblerait qu’un frémissement de courant d’air idéologique se fasse jour dans l’entre-soi médiatico-politico-journalistique parisien. Après les crimes de guerre (puisque « nous sommes en guerre » et que nous parlons de crimes) du Bataclan, et Nice il y aura cinq ans bientôt, je ne suis pas vraiment étonné que les colossales forces inertielles idéologiques à l’œuvre en France et en Europe aient permis une nouvelle et énième boucherie islamiste dont la victime est un enseignant cette fois. L’on nous épargna, du moins, les précédents océans de « bisounourseries » à base d’allumettes et de cire, de sucreries émotionnelles ou autres actes de résistance héroïque devant une bonne bière en terrasse.

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  • Rétablissement de la peine de mort : le débat interdit (texte de 2011)

    Pour ou contre la peine de mort ? Dissuasive ou pas ? Utile ou non ? Ces questions ne se posent pas, car elles sont interdites. Le débat est clos avant même d'être ouvert. Tel est le verdict du tribunal médiatique.

    Le dimanche 25 novembre 2007 dans un compartiment du RER D sur la ligne Paris-Orry-la-Ville, une jeune fille de 23 ans est assassinée. Massacrée de 34 coups de couteau par un prédateur récidiviste qui voulait la violer. Seule face à lui, elle s'est défendue et a résisté. Courageusement. Héroïquement. Jusqu'au bout. Elle s appelait Anne-Lorraine Schmitt. Trois ans plus tard, son meurtrier, Thierry Devé-Oglou, a été condamné par la Cour d'assises de Pontoise à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le 15 décembre dernier, le journaliste Julian Bugier rend compte, sur I Télé, de ce verdict. Robert Ménard, l'ancien président de l'organisation Reporters sans Frontières, est présent sur le plateau. Il réagit par quelques mots « Parfois, on regrette qu'il n'y ait pas la peine de mort ! ».

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  • Sur Sud Radio, Professeur Christian Perronne : "On est train d'inventer une deuxième vague artificielle !".


  • Grâce au coronavirus on découvre que l’état de santé de l’hôpital est préoccupant !

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    « Il faut sauver l’hôpital », a déclaré Jean Castex, le 24 octobre. On eût pu espérer qu’il dise qu’il fallait sauver les Français face à ce nouveau virus, mais apparemment, pour notre besogneux Premier ministre, sa préoccupation première est la santé de l’hôpital, dont les conditions de sauvetage sont, selon lui, intimement liées à la discipline qu’il impose au peuple. Si l’hôpital explose, ce sera la faute de la population qui ne respecte pas les consignes données, ne cherchez pas de raisons ailleurs.

    L’hôpital subit les conséquences de notre société de consommation et de profit. Nos hôpitaux, gérés depuis quelques décennies uniquement en fonction de la rentabilité, et amenés à fonctionner en flux tendu, sont devenus le triste symbole de cette société où l’on ne respecte plus que les valeurs liées au profit, ignorant toutes les autres, pourtant indispensables à une vie harmonieuse dans le respect d’une culture humaniste.

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  • Daniel Estulin et le virus des Bilderbergs

    1903465505.jpgCe qui nous arrive est prévu et monté depuis longtemps. Une grande partie fut révélée par l’écrivain d’origine soviétique Daniel Estulin en 2005.

    Voici une interview de Daniel Estulin (auteur de nombreux ouvrages sur le globalisme, sur le Club Bilderberg, l’institut Tavistock etc) par Goyo G. Maestro pour le site espagnol larazon.es

    *

    S’il y a un sujet favorable pour les complots, c’est bien le coronavirus, et s’il y a quelqu’un de compétent en la matière, c’est Daniel Estulin, auteur de plusieurs livres sur le club Bilderberg et analyste du renseignement russe. Estulin ne sait pas quelle est l’origine de la « pandémie » , mais il n’exclut pas la version suggérée par les responsables chinois selon laquelle l’armée américaine aurait introduit le virus en Chine . Ce qui est clair, c’est que cette crise sanitaire – « qui est secondaire » – va accélérer la fin du cycle que, ajoute-t-il, nous vivons, avec l’effondrement des marchés et la fin de l’ère entamée avec les accords de Bretton Woods en 1944. « L’Espagne ne peut pas sortir vivante de cette crise », prédit-il dans cet entretien avec LA RAZÓN.

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  • Charles Robin : « L'impasse idéologique de l'extrême gauche » 1/2

    En deux essais, Le libéralisme comme volonté et comme représentation et, plus récemment, Penser le libéralisme, Charles Robin s'est imposé comme le jeune chef de file de ce qu'on pourrait appeler le « courant Michéa ». Rendant compte de ses ouvrages dans un précédent numéro d'Éléments, David L'Épée avait remarqué que ce jeune philosophe montpelliérain de 26 ans, né à l'extrême gauche au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) notamment, savait également manier l'anecdote, la satire et le pamphlet. Raison de plus pour l'interroger...

    Propos recueillis par Alain de Benoist

    Éléments : Vous avez publié il y a peu un superbe essai sur Le libéralisme comme volonté et comme représentation. Ce titre d'inspiration schopenhauerienne est assorti d'un sous-titre : Démontage d'une mythologie politique contemporaine. En quoi le libéralisme est-il pour vous une « mythologie » ? Comment le définissez-vous ?

    Charles Robin : Parler du libéralisme comme d'une « mythologie », c'est avant tout faire remarquer que son hégémonie actuelle est soumise à une série de « fictions » qui en conditionnent le déploiement dans l'ensemble de nos sociétés. La fiction centrale du libéralisme, c'est l'idée que celui-ci ne renverrait à rien d'autre qu'à une doctrine économique, dont les principaux adeptes se logeraient, pour l'essentiel, à la droite de l'échiquier politique. Il conviendrait ainsi, selon ce raisonnement (dont les ramifications sont lointaines et multiples), de voir dans la « droite » contemporaine le représentant principal, sinon exclusif, de la pensée libérale, quand la « gauche » (et, a fortiori, l’ « extrême gauche » se présenterait comme son adversaire idéologique naturel et le plus performant.

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  • Puissance et irresponsabilité des agences de notation financière (texte de 2010)

    Puissance et irresponsabilité des agences de notation financière.jpeg

    Perdre sa note AAA peut coûter très cher à un État - et à sa population. Mais qui décerne les notes ? Regard sur ces agences de notation qui font la pluie et le mauvais temps des peuples.

    Apparues aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle dans le sillage des compagnies de chemin de fer, les agences de notation financière sont devenues un élément

    Fausse monnaie : les Etats montrent l'exemple.

    Incontournable de la finance mondiale. Leur rôle n'est pas d'estimer la valeur d'une entreprise - d'où peut-être certaines confusions -, mais d'évaluer sa solvabilité. Il s’agit d'apprécier son crédit, c'est-à-dire de mesurer le risque de non-remboursement de la dette d'un emprunteur.

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