L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.
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L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.
On se pince pour y croire : à l’appel de la CGT Cheminots, rejointe par SUD Rail, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, la SNCF sera en grève, de ce mercredi 16 septembre à 20 h jusqu’au vendredi 18 septembre à 7 h 55.
C’est une grève dont on dit qu’elle sera fort peu suivie, et c’est tant mieux, mais qu’importe, au fond, car le seul fait qu’on appelle à la faire est, dans les temps que nous vivons, le summum de l’indécence.
C’est, encore une fois, le moustachu Martinez, cette figure caricaturale qui ne représente plus rien ni personne de sensé, qui appelle au sabordage. Comme une grinçante boîte à musique, il rejoue son air en mouvement perpétuel : « Après la rencontre avec le Premier ministre, toujours rien de concret pour l’emploi et les salaires. Il faut passer des paroles aux actes », a-t-il tonitrué en sortant de Matignon, vendredi dernier. Qu’importent la crise sanitaire, le climat délétère, l’économie à la ramasse, le disque Martinez est rayé. Sa chanson tourne en boucle, réclamant « hausse des salaires, abandon définitif des réformes de retraites et de l’assurance chômage, réduction du temps de travail sans perte de salaire », à quoi il faudra ajouter, demain, sans doute, la contestation des futurs horaires d’hiver, comme c’est le cas quasiment chaque automne.
Les députées Marie-Noëlle Battistel (PS) et Cécile Muschotti (LREM) rendent, ce mercredi 16 septembre, un rapport sur l’accès à l’avortement commandé par le gouvernement en juin 2019. Une proposition de loi, qui doit être présentée dans la foulée, devrait notamment porter les délais de recours à l’interruption volontaire de grossesse de douze à quatorze semaines de grossesse.
Les auteurs du rapport s’interrogent sur ce qu’ils considèrent comme des freins à l’application de la loi Veil (malgré plus de 200 000 avortements chaque année).
« En France, la principale explication aux difficultés d’accès à l’IVG résulte essentiellement du désintérêt à l’égard d’un acte médical peu valorisé. »
« Seuls 2,9 % des généralistes et gynécologues et 3,5 % des sages-femmes » ont pratiqué un avortement en 2018.
Les députés préconisent notamment d’ « allonger le délai de l’IVG chirurgicale de deux semaines, pour le faire passer de douze à quatorze semaines de grossesse, afin d’éviter que les femmes confrontées à des difficultés en début de parcours (errance médicale, délais de rendez-vous trop longs…), se trouvent hors délai et dans l’impossibilité de faire pratiquer une IVG en France. »
Il y a vraiment de quoi se faire souci pour notre présidentielle de 2022
À voir comment BFM TV, première chaîne info de France, s’immisce et traite de la campagne présidentielle aux États Unis, il y a vraiment de quoi se faire du souci pour notre présidentielle de 2022. BFM a diffusé, lundi soir, un reportage d’une heure sur la présidence Trump, un véritable brûlot contre le locataire actuel de la Maison-Blanche, en fait.
Sur tout le temps qu’a duré ce reportage, pas la moindre action positive n’a été mise au crédit de Trump. Rien. Même pas les spectaculaires résultats économiques qu’il a engrangés avant la pandémie, jamais évoqués. Comme, d’ailleurs, ses succès entrepreneuriaux. Toute sa vie n’aurait été qu’une succession de mensonges (15.437 depuis qu’il est à la Maison-Blanche, paraît-il), de coups médiatiques, de vulgarités, de bravades, d’approximations. Trump serait stupide, vulgaire, inculte, despotique, mufle, jouisseur, inconvenant et même brutal avec les femmes. Et pour cause : toute l’émission repose sur des ragots, des on-dit et surtout une série de témoignages de gens qui lui sont hostiles, ou avec qui il a eu maille à partir – de nombreux conseillers qu’il a licenciés, entre autres ; on comprend qu’ils lui en veuillent et le critiquent vertement. Un témoin l’a même traité de « connard », sans plus d’explication, juste une diatribe sur sa façon de déstabiliser les gens qui l’entourent.
Les informations se succèdent à un rythme qui s’accélère, et elles semblent toutes aller dans le sens d’une seconde vague de Covid-19. Israël reconfine pour trois semaines. L’Espagne est confrontée à un raz-de-marée, la Grande-Bretagne s’inquiète, l’OMS prédit une augmentation du nombre de morts en octobre-novembre. En France, Marseille, Bordeaux et la Guadeloupe sont d’ores et déjà dans le rouge.
Les préfets sont en première ligne, ils s’agitent tels des rats dans un labyrinthe dont ils ne trouveraient pas l’issue. C’est qu’ils n’en savent guère plus que le Français moyen – (et l’on serait même tenté d’ajouter qu’ils n’en savent pas plus et pas moins que les médecins, que les politiques, que les membres du Conseil scientifique) – et ils ignorent en conséquence sur quels leviers agir efficacement pour enrayer le mal, même s’ils connaissent au moins l’étendue de leur pouvoir de contrainte.
Aujourd'hui, Stella Kamnga dénonce les dérives clientélistes, notamment communautaires et religieuses, de certains élus de banlieue. Une réalité qui n'a cessé de prendre de l'ampleur ces dernières décennies.
Les fabricants de peur détestent le professeur Didier Raoult. Il les rend hystériques. Cela fait des mois que le scientifique assure, en effet, que l’épidémie de coronavirus n’est pas si mortelle. Il l’a redit ce lundi matin sur CNews, interrogé par Laurence Ferrari : “Ca sert à rien de s’affoler (…) La mortalité de cette maladie n’a rien de terrifiant (…)“. Pour lui, les chiffres des décès causés par le virus ne seront pas significatifs sur l’ensemble de l’année 2020. Il parle également de “délire sur l’hydroxychloroquine“, interdite aux médecins depuis mai. Selon lui, elle “diminue la mortalité de 50%“.
Alors que le procès des attentats islamistes de janvier 2015, ouvert le 2 septembre dernier devant la cour d’assises spéciale de Paris, est entré lundi dans sa deuxième semaine, force est de constater que les journaux de 20 heures des grandes chaînes de télévision se montrent particulièrement discrets quant au déroulement de ses débats. Une discrétion qui s’explique bien sûr d’abord par leur volonté systématique de cacher à nos compatriotes le vrai visage de l’islam et la gravité de la menace islamiste en France. Mais aussi, et peut-être surtout dans le cas présent, par les propos « incorrects » qu’ont pu tenir ces derniers jours certains survivants et témoins de la tuerie de Charlie Hebdo.